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Camping final

Camping final



Un trio…

Je réussis à échanger mon billet de loto contre une moitié sandwich au jambon. Le raton laveur le dévora sur place, bien assit sur la table. Il me surveillait avec son regard presque humain sous son masque de Kato. Marie, qui m’avait suivis, était sur le téléphone a présent, j’allais devoir oublier son beau derrière pour le moment. Je mit le billet en sécurité dans mon sac et filer en arrière de la cabane pisser un coup. Surprit je vis la vielle bicyclette sur la quelle j’avais vu Pierrette pour la première fois appuyer contre un arbre. Juste a coté il y avait un chemin, juste deux ornières en faite qui s’enfonçait dans la forêt sombre et qui devait rejoindre la route. Elle avait prit le vélo pour revenir de la roulotte. En secouant ma bite je grimacer, j’avais mal partout. La petite descente de la cascade sans doute.
Le ciel se couvrait, tout devenait gris et plus humide. J’espérais juste que se ne soit que de la pluie et pas un autre ouragan.
Quand je revint à la table le raton me regardait, les yeux larmoyant, genre…
… J’ai faim, pitié, cé dure monsieur de vivre dans le bois vous savez. On a pas de frigo nous dans nos terriers et remplie de bonne chose. Ni de super marché comme vous les humains…
Mais ce salaud m’avait fait manquer le cul de Marie et avait faillit avaler mon billet gagnant alors je perdis patience.
-Décrisse ! Criai-je en donnant un coup de pieds a terre me faisant mal au talon.
Il me sauta dans face.

Quand je revint à moi j’étais coucher dans le grand lit, il faisait plus sombre, Pierrette et Marie riait comme des folles assises toutes les deux à côté de moi en épongeant mes nouvelles égratignures tandis que je grimaçais en me voyant étrangler ce maudit a****l.
-Ah ! Fit Pierrette toute joyeuse en posant une serviette humide sur mon front, yé pas mort !
-J’en et perdue un boutte je pense !
-Oui Paul, répondit Marie tout sourire en me tamponnant le visage avec une ouate humide, en te battant avec le raton tu tes cogner la tête sur le rebord de la table de pic-nic. Ta une autre belle bosses sur le front.
-On pensait t’amener à l’hôpital mon petit Paul.
-Non, sa vas !
-Tes sur ? Fit Marie penchée sur moi, ses seins frottant sur mon torse. Pis le tétanos ?
-J’ai eu un rappel ce printemps, une mésaventure avec un autre a****l dangereux.
-On peut savoir le quelle cette fois !
-Un écureuil mutant de Montréal.
Encore des rires.
-Y a une érection. Lâcha Pierrette peut après. Yé correct. Les animaux vous aime pas mon beau Paul qui bande tout le temps.
-Non !
La tante commença à me branler en s’étendant à coté de moi, j’en profiter pour glisser une main sur ses fesses heureux de sentir son corps chaud et doux contre le mien et pour posé mon autre main sur la hanche gauche de Marie.
-Heureusement on a trouver une trousse de premiers soins sous le lavabo. Fit celle-ci tout sourire en me montrant la ouate quelle tenait et un pot de peroxyde tandis que je lui caressais un sein a présent. Wais, tu te sens mieux on dirait.
Je me sentais effectivement et étrangement beaucoup mieux tout a coup.
-Je vais m’occuper de toi mon Paul. Fit Pierrette langoureuse en me couvant la joue gauche de baiser chatouille.
-Pas question ! Dit Marie exaspérer en déposant ce quelle tenait sur la petite table de chevet pour ensuite grimper a genoux par-dessus moi en tassant sa tante un peut et agripper ma bite elle aussi mais entre ses cuisses. Çé a mon tour ma tante, aller dont nager un peut.
-Pas question, pis y vas pleuvoir de toute façon. Répondit Pierrette en frottant mon gland sur les fesses de Marie qui la regarda avec un petit sourire pincer en tirant sur ma pauvre bitte pour la passer par devant elle contre son pubis. Mais la tante la retira par derrière comme si c’était un bras de vitesse.
Ouf…
-Lâche sa Pierrette.
Par devant. Hou ! Mon pénis pliait en passant d’un coté à l’autre bien serrer par deux belles petites mains.
-Non. Objecta Pierrette.
Par derrière et elle riait, moi je grimaçais bandé de plus en plus dure.
-Oui.
Marie.
Non
C’était la tante.
-Houfff !
C’était moi.
-Non.
Par devant.
Encore Marie.
Aoutch !
Sa c’était moi mais en pensé.
Par derrière.
Pierrette.
-Ma tante tabarouette ! ! !
C’était Marie.
-Eh ! Fis-je finalement en grimaçant tandis quelle tirait toujours ma bite d’un coté et de l’autre. Ces sensible ça mesdames. La serviette m’avait glisser sur les yeux, je l’enlever et la jeter quelque part.
Elle stoppèrent leurs petits jeux et se regardèrent en s’affrontant du regard en tenant toujours fermement ma bite toutes les deux. Puis elle rirent en me masturbant ensemble, moi je soupirer de soulagement en levant les yeux vers le plafond.
Panique totale !
Kato était la, percher sur une des grosses poutres qui soutenait le toi juste au-dessus de moi et il me fixait méchamment ce damné raton laveur.
-Eh… Yé la les filles.
-Hum, fit Marie en pressant ma main qui pressait son sein tout en me regardant, qui ?
-Kato !
Elle suivirent mon regard en soulevant la tête toutes les deux et rirent.
-Ca vas Paul, fit Pierrette, il est gentil finalement. Vas bouffer mon gros. Cria telle
Mais il ne bougea pas.
-Bou bouffe. Ordonna Marie avec ça belle voix érailler.
Kato se retourna aussitôt, sauta habilement sur la longue poutre qui faisait toute la longueur du campe qu’il longea et se laissa ensuite tomber sur la table, puis par terre et fila jusqua un bol près du poêle pour se mettre à manger quelque chose.
-Un vrai petit chien lui aussi. Dit Pierrette avant d’éclater de rire tout en lâchant ma bitte pour se faire un nœud dans les cheveux.
-T’inquiète pas Paul. Fit Marie en glissant aussitôt mon pénis un peut échauffer en elle. Bou bouffe Pierrette.
Elle était mouiller à point, ma queue entra dans sa fente avec une facilité déconcertante. Je fermer les yeux de plaisir juste un battement de cœur.
-Bou bouffe mon œil ! Fit la tante en se levant soudainement pour aller s’accroupir derrière sa nièce qui plissa aussitôt les yeux en arrondissant la bouche de surprise. Elle soupira en se penchant sur moi plaquant sa joue contre la mienne. La, je put voir par-dessus son long dos recourber et son cul splendide que Pierrette lui léchait la craque de fesses de haut en bas en me faisant un petit clin d’oeil. Je sentit mon engin durcir plus bien enfoncer dans le vagin humide jusqu’au couilles.
Pierrette était ultra bandante les cheveux remonter comme ça. Elle me faisait penser à ses visages que l’on voyait sur les camés d’antan a l’époque victorienne.

Ma jolie sœur semblait grandement apprécier le petit coup de lèche en plus de ma bite en elle en commençant à onduler du bassin. Pierrette laissait sa langue courir sur ma hampe et mes couilles en revenant au cul de Marie quelle empoignant avec vigueur ou sortait carrément mon gland du con détremper pour me sucer avidement avant de la remettre dans la fente juteuse.
Doux Jésus j’en salivais à m’en étouffer.
Kato, le ventre plein sans doute, fila se coucher sous le poêle et ferma les yeux.
Par les fenêtres je vis qu’il y avait une brume épaisse qui englobait la cabane et qu’une pluie fine commençait à tomber en crépitant sur le toit.
C’est ça le paradis faut pas chercher plus loin. Deux belles femmes a baiser en même temps, un bon lit, un toi sur la tête et un billet de loto gagnant dans les poches.
Soudain je sentit un doigt dans le cul de Marie qui soupira plus fort contre mon oreille en se crispant un peut, je le sentais très bien par la mince parois anale séparant le vagin du rectum. Ouf ! Marie semblait manquer d’air…
-Hum… J’aime ça ! Fit-elle tout bas.
Et moi don ! La tante me gobait les couilles, mon petit coeur s’emballa tandis que mes genoux se repliaient tout seul.
Quelque chose craqua méchamment, mon genou droit. Outch !

Ce petit jeux dura un moment puis Pierrette nous lâcha, se suça le doigt qui sortait du cul, se redressa et claqua fortement les fesses de Marie de la main droite l’autre poser sur ses reins, celle-ci sembla grandement apprécier en lâchant des… Ouuuu… Ah Oui… Câlice oui… les lèvres en cul de poule. Les vibrations de claques se répercutaient jusque dans ma queue, un pur délice et je fixais les fesses qui rebondissaient terriblement tout comme les seins de la tante. Une vision de rêve encore une fois. La plote de ma soeur se remplie de liquide qui me dégoulinait sur les couilles tandis quelle s’empalait toujours sur ma queue.
Mon gland était devenu si sensible que je grimaçais comme un pauvre prisonnier politique chinois.
Puis Marie fut secouer par des spasmes tout a coup, peut être quelle jouissait la chanceuse.
Pierrette me fixait le sourire au lèvre, elle s’amusait bien visiblement.
Le bruit des claques sembla perturber Kato qui ouvrit un oeil, mais juste un instant.
Puis la tante stoppa pour refermer une main a la base de ma bite et serrer très fort, Marie stoppa en geignant, le visage toute rougie, les yeux réduit a deux petites fentes et Pierrette se mit a secouer ma bite dans le vagin avec force. Je me crisper de plaisir, touts mes muscles se tendirent, mes orteils se dressèrent au garde a vous, si elle n’aurait pas enserrer ma bite aussi fort j’aurais décharger toute ma semence dans le vagin. Mais la impossible elle me bloquait le canal et Marie semblait jouir, elle rougissait jusqu’au épaule en gémissant. On aurait put croire quelle pleurait.
Pierrette fixait ma bite a présent, très sérieuse, éxiter sans doute autant par mon membre que le con juteux.

Au bout d’un moment Marie sembla a bout de force, je la sentais respirer très fort par son ventre coller au mien et Pierrette stoppa, se retourna et poussa du cul Marie pour que ma queue sorte de son vagin, elle s’en empara sans ménagement et s’assit dessus un peut vite m’arrachant de sacré grosses grimaces. J’avais le visage entre les seins en sueur de ma soeur et j’en profiter pour en amener les pointes a ma bouche.
-Ah Pierrette, C’est pas correct ça ! Se plaignit Marie tout sourire en se frottant le derrière contre celui de sa tante tandis que je suçais ses mamelons l’un après l’autre ou les deux en même temps en les agaçant du bout de la langue. Sa peau si douce goûtait salé, un pur délice et la pointes de ses seins rallongeaient et gonflaient entre mes lèvres humides.
Pierrette était aussi mouillée que sa nièce et il fallait que je pense à autre chose si je ne voulais pas jouir trop vite. Ok ! Mais a quoi ?
La tortue géante a tête bleue des marais de Louisiane est sans doute…
Houfff… !
Au bout d’un moment Marie se redressa sur les mains en me fixant les yeux brumeux me souriant en se frottant toujours le cul contre celui de Pierrette, si belle que mon coeur s’emballa tandis que je pressais ses seins chauds. Elle me tapota les mamelons d’un doigt, puis me les tordit… Encore. Outch ! J’allais jouir…
L’homme a perdu ses poils à force de courrir après des proies pour pouvoir mieux refroidir son corps et…
Marche pas.
Le saint Graal a été retrouver dans une cathédrale en Italie grâce à la traduction…
Marche pas…
Angélina Jolie.
-Ouuuu… pense à autre chose pis vite…

Et la j’eu une bonne idée…

-Marie, eh… Tes ma soeur !
-Maudit Paul ! Lâcha Pierrette aussitôt en se démenant toujours sur mon membre. Cé pas le moment.
Je déballer tout mon petit sac en grimaçant de plaisir tandis que Pierrette corroborai mon histoire en criant le siens aussi et que Marie toujours pencher sur moi me laissait toujours palper sa poitrine et écoutait sans aucune émotion apparente.
Je me sentais soulager en lui faisant les même yeux sans doute que le raton tantôt quand il me quémandait de la bouffe.
-Merde ! Fit-elle finalement. Je me rappelle de rien. Chut adopter pis j’ai un frère et je suis entrain de baiser avec ! Et ben, apprendre sa a 51 ans cé kec chose.
-On te la dit souvent ma grande mais tu voulais rien entendre. Tu te bouchais les oreilles, tu fredonnais. Fit Pierrette en stoppant bien assise sur ma bite tout en expirant fortement et moi aussi. On ses tanner pis on t’en a plus parler et même plus tard, une fois que ta été une adulte on a décider de ne rien dire étant données que ta vrai mère était morte. J’espère que tu nous en veux pas ! On baise put j’imagine ?
Marie me sourit et me frencha avec plus de vigueur encore que la dernière fois puis se redressa en disant.
-Pourquoi, cé pas le fun ? Frère et soeur on s’en fou ! Surtout a notre age et on vient de se connaître. Cé correct Pierrette et toi Paul ?
Pierrette recommença à s’empaler sur ma bite.
-On s’en fou Marie. Dis-je soulager, je t’aime.
-Moi aussi je t’aime Paul. Mais faut pas que sa sorte dans les journaux. Parole scoute ?
-Wais, parole de scout ! Ouf… Pas trop vite Pierrette.
… Pas trop de sel, de la moutarde sécher et un peut de coriandre, on coupe en tranche fine et…
Marche pas.

Encore un gros french puis Marie se retourna avec précautions et plaqua son sexe humide sur mon visage. J’y enfoncer ma langue aussitôt le nez contre son anus bomber en empoignant son beau cul a pleine main. Je put détailler en gros plan son étrange tattoo, deux cerise.
Sa marche.
Je repartit à la conquête du poing G avec ma langue. J’allais sûrement arriver un jour a le trouver.
Au passage j’agaçais l’anus quelle m’avait offert si généreusement tout à l’heure me promettant d’aller le visiter des que je le pourrais.
Pierrette se redressa sortit ma bite de son con et je sentit deux bouches débordantes de salive me sucer tour a tour ou me la lécher. Ouf ! Deux langues l’une contre l’autre qui se tortillait sur mon gland, des lèvres douce me mordillait la peau, des doigts pressant mes couilles, ma hampe, une vrai torture. J’en frémissais de partout la bouche remplit de déjection vaginale. Quand une bouche se refermait sur ma bite mes fesses se resserraient tout seul et mon bassin se soulevait pour essayer de la pousser jusque dans la gorge.
Kato ronflait. Pauvre madame Kato.
Ma bite passait d’une bouche a l’autre mon gland touchant des dents, des palais, des langues, des seins… Elle se frenchait contre ma queue ultrasensible… Puis une paire de seins mous m’enserras la bite tandis qu’une bouche me suçait le gland qui en jaillissait.

Je léchais la plote de haut en bas jusqu’a l’anus bomber et salé pour me changée les idées.
Pierrette se releva et Marie lui fourra ma bite dans le vagin sans la lâcher et je sentit le bout de sa petite langue pointu lui agacer le clito. Pierrette ralla en se pognant les seins les yeux clos en s’empalant sur ma queue heurtant le poing fermer de sa nièce par adoption.
J’enfoncer ma langue dans le petit trou de Marie le plus profond possible et l’agiter. Elle grogna en dodelinant du cul… J’enfoncer en même temps deux doigt dans son con et sentit ma langue.
Une petite bête courait sur le toit et Kato faisait sans doute un cauchemar car il frémissait et tremblait en dormant.
Pierrette laissa ma bite ressortir et Marie la goba profondément et me suça, sa tante lui agrippa les cheveux pour la forcer à me pomper plus vite et plus profondément. Moi je la fourrais avec mes doigts et ma langue. C’était fantastique, presque trop. Parfois Pierrette relevait la tête de Marie pour la frencher puis la forçait à me ravaler. Au bout d’un moment j’allais enfin venir mais…

Elle me lâchèrent pour faire un beau 69 Pierrette en dessous. Je me faufiler derrière Marie et la prise par la fente un bon moment en sentant Pierrette me gober les couilles. Un pur bonheur.
Parfois je sortais ma bite du vagin pour me la faire sucer par la tante a la troisième fois Marie me dit.
-Dans le cul Paul… Mais doucement.
C’est ce que je fit prudamment tandis que Pierrette lui léchait la plote.
Quelle sensation qu’être dans le cul étroit de Marie Lemieux en sentant sa tante lécher mes couilles et sa plote tandis quelle, elle léchait sa tante qui en retroussait des orteils. Sublime.

Je l’enculer un bon moment apercevant soudainement l’écureuil sur la table de cuisine qui nous fixait comme si sa pouvait l’éxiter celui la. Je sortis ma bite du cul pour la fourrer dans la bouche de Pierrette, puis dans le vagin de marie et encore le cul et ainsi de suite jusqu’a ce que l’orgasme arrive. J’avais le chois pour décharger, je choisis le cul et lui remplit le rectum de foutre chaud avant de me faire sucer encore un peut par Pierrette puis je les laisser s’amuser toutes les deux en allant manger un peut avec l’écureuil et me faire un bon café.
Elle finirent par s’endormir dans les bras l’une de l’autre et je les rejoignit en baillant.

3 mois plus tard.

Assit dans le salon de ma nouvelle vie a prendre mon premier café du matin je regardais par les grandes baies vitrées une grosses neige floconneuse tomber sur la forêt et la cascade. C’était magnifique.
Marie arriva portant encore le pyjama d’homme quelle enfilait toujours pour dormir, café a la main et, malheureusement, ses énormes pantoufles rose à long poil au pieds. C’était navrant de voir qu’une femme aussi brillante et intelligente que Marie osait porter une atrocité pareille.
Elle resta debout devant moi a regarder la neige tomber. La lumière hivernal rendait son pyjama transparent, elle ne portait rien en dessous.
-On va avoir de la visite en fin de semaine. M’avertit telle en se grattant une fesse.
-Qui ? Demandai-je en l’admirant tête penchée. Pierrette ou ta mère ?
-Marie-France Corbeil, une amie d’enfance.
J’avaler ma gorgé un peut croche en toussant. C’était don elle l’autre vedette connue avec qui elle baisait. Marie-France Corbeil, la petite brunette animatrice qui faisait bander tout le monde.
Wow !
Marie me regarda tout sourire.
-Seigneur Paul, ta les yeux rond comme des billes. Tu bande dessus toué avec on dirait.
-Ben, un peut.
Elle vint s’asseoir sur mes pauvres genoux qui craquèrent atrocement pour me dire.
-J’y pense, j’ai déballer tes dernières broîtes pis je les et trouver.
-Ah, et quoi ?
-Tes pantoufles Omer Simpson.
-Yes ! ! !
Kato, arriva et s’assit le cul dans la neige sur notre grande terrasse et nous regardait genre.
… Pitié, je peut tu entrer, vos grandes maisons son chauffé, pas mon petit terrier et j’ai si faim…
-Pauvre lui ! Fit Marie.
-Ben oui, pauvre lui ! Dis-je en lui faisant un doigt d’honneur pour ensuite pogner les seins de Marie.
-Sans coeur !
-Y a faillit m’arracher les yeux le salaud, sans parler de mon billet et pis y et ben sous le hangar. Nourrit loger gratos.
Une voiture arrivait, je mit à bander sous les fesses de ma belle grande soeur.
Elle me regarda avec un étrange sourire.
-Quoi ?
-Tu voulais savoir pour mon tattoo !
-Enfin et ?
-Tu vas voir, Marie-France a le même que moi…
Doux Jésus…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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