Bonjour, bonsoir, chère lectrice, cher lecteur de mon histoire.
Je m’appelle Alexandre et l’histoire que je vais vous conter s’est déroulée un soir d’avril, lorsque j’avais dix-huit ans.
Ce soir-là, mes parents devaient assister à une réunion de travail et n’étaient pas supposés rentrer avant les premières heures du lendemain matin. Ma soeur aînée, Morgane, avait donc décidé d’en profiter pour convier ses amies et, ainsi, travailler ensemble sur leur présentation de biologie.
Quant à moi, j’avais décidé de passer la soirée dans ma chambre à regarder des films (non porno et non érotiques) en mangeant des popcorn et laisser ma soeur et ses copines travailler sur leur projet.
Cependant, un évènement aussi surprenant qu’imprévu perturba mes projets. Pendant que je regardais « Gladiator », quelqu’un frappa à la porte de ma chambre. Je mis le film en mode « Pause » et me dirigeai vers la porte. Je l’ouvris et fus surpris de voir ma soeur sur le seuil.
— Qu’est-ce qu’il y a, Morgane ?
— Nous avons besoin de ton aide. Tu peux venir en bas, s’il te plaît ?
— Euh… Bon, d’accord.
Je suivis ma soeur jusque dans le salon en me demandant ce que je pouvais bien lui apporter comme aide, moi qui ai toujours été lamentable dans les sciences.
Arrivés dans la pièce, Morgane me fit signe de m’assoir sur le canapé. Elle prit ensuite place en face de moi, ses amies à ses côtés.
— Bon, Alex. Comment te dire… Nous avons besoin de ton aide. Nous faisons une expérience sur la sexualité des mammifères, notamment sur leurs sentiments et leur jouissance au moment de l’acte et nous avons décidé de prendre l’être humain comme modèle afin d’être les plus précises possible. Nous voulons donc te demander si tu… Serais d’accord de nous servir de cobaye pour nos expériences.
Je fixai ma soeur d’un air interloqué en me demandant ce qu’elle attendait de moi. Bien que je ne le comprisse que trop bien. Je décidai alors de freiner un peu le jeu.
— Euh… Quelles sortes d’expériences ? Vous voulez que je… Que je me mette à poil ? Mais je risque d’être un peu gêné…
— Ne t’en fais pas ; nous te mettrons en condition pour que tu sois le plus à l’aise possible. Nous avons vraiment besoin de ton aide, s’il te plaît.
— Euh… Bon, d’accord. Je veux bien vous aider.
— Parfait. Maintenant, déshabille-toi; nous en ferons de même.
Je me mis donc nu devant ma soeur et ses copines, un peu gêné de leur montrer mon intimité. Les filles tinrent parole et se dévêtirent à leur tour. Leurs formes et leurs attributs me firent bander au maximum et ma gêne disparut peu à peu, laissant place à un sentiment d’excitation.
Morgane prit un verre sur la table basse du salon et me le tendit.
— Pour la première expérience, tu devras fermer les yeux et laisser un fantasme envahir ton esprit. Une fois que ton fantasme aura pris corps dans ta tête, tu te branleras aussi fort que possible sans te faire mal et de manière continue. D’accord ?
J’hochai la tête en signe d’approbation et fermai les yeux. Je m’imaginai dans ce même salon, assis sur ce même canapé, les filles à genoux en file indienne devant moi se succédant pour me prodiguer des fellations toutes plus belles les unes que les autres.
Je pensai tout d’abord à ma soeur et à son magnifique visage puis à Élodie, une jolie blonde à forte poitrine et à la chatte totalement épilée. Je fis ensuite passer Thu Jin, une belle jeune femme d’origine vietnamienne aux fesses rondes et bien fermes.
Je me repassai le film des trois filles plusieurs fois dans la tête afin de n’avoir que cette idée en tête puis, une fois ce fantasme insinué en moi, je saisis mon sexe raide et me masturbai frénétiquement en pensant inlassablement à mes trois biologistes préférées.
Au bout d’un temps que je ne saurais estimer, ma verge fut prise de palpitations et j’éjaculai par puissantes saccades dans le verre que ma soeur m’avait donné.
Je rouvris ensuite les yeux et reposai le verre sur la table basse.
— Merci, Alex. Maintenant, nous allons te laisser te reposer un instant, le temps que ton moment de résolution s’estompe. Ensuite, nous attaquerons la deuxième expérience. Les filles, je pense que mon petit frère a bien mérité une petite récompense.
Les trois filles s’installèrent de part et d’autre de moi. Élodie et Thu Jin me saisirent chacune un bras et posèrent mes mains sur leurs seins. Morgane se positionna debout devant moi et m’expliqua ce que j’avais gagné.
— Pour te remercier d’avoir accepté de nous aider, nous te laissons nous toucher les seins autant que tu veux jusqu’à ce que tu bandes à nouveau. En ce qui me concerne, tu gagnes même un petit extra : maman dit depuis toujours que tu as été le plus glouton de nous deux en lait maternel. J’aimerais beaucoup vérifier cette affirmation. Par conséquent, je vais même te laisser téter mes seins.
Morgane se pencha au-dessus de moi et me donna son sein droit à sucer. D’abord un peu mal à l’aise, je pris rapidement goût à ce magnifique cocktail de poitrines que je pouvais toucher, sucer et lécher à volonté. Mes mains massaient avec désir les seins d’Élodie et de Thu Jin pendant que ma bouche suçait avidement tour à tour les seins de ma soeur.
En quelques minutes, mon sexe reprit toute sa vigueur et les filles mirent un terme à ce délicieux traitement.
— Hum… Effectivement, maman n’affabulait pas : tu adores les seins des femmes.
Morgane se rassit à côté de moi tandis que ses amies prenaient place en face de nous.
— Pour cette deuxième expérience, tu seras passif. Tout ce que tu auras à faire, c’est de me laisser te masturber aussi fort que tu l’as fait tout à l’heure et d’éjaculer dès que tu sentiras la jouissance monter en toi. Ça joue ?
J’hochai à nouveau la tête en signe d’approbation puis ma soeur se saisit de mon membre et le branla énergiquement. Le mouvement expert de Morgane, combiné à l’excitation que j’éprouvais de me faire branler par ma propre soeur, ne mit pas beaucoup de temps à me faire jouir par puissants jets et à recouvrir de mon sperme la main et l’avant-bras de mon aînée.
Morgane se releva et porta sa main à sa bouche.
— Hum… Ton sperme est délicieux, petit frère. Je sens que nous allons tous adorer ce qui va suivre. En attendant, les filles, accordons une nouvelle récompense à Alexandre. Il l’a amplement méritée.
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