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Promenade au parc

Promenade au parc



C’est Sylvia.
Je voudrais vous raconter la petite histoire que j’ai eu dernièrement alors que je me trouvais seule avec notre compagnon Christian.
Nous étions tout les trois en vacances. Véronique est restée seule au bord de la piscine de la location. Christian et moi faisions quelques courses en ville.
Comme il fait beau je ne suis vêtue que d’une robe légère à fines bretelles arrivant a mi-cuisse, et pourvue d’un décolleté avantageux. La robe est resserrée sous les seins et tombe en corolle. Dessous, comme toujours et suivant les désirs de mon compagnon, je ne porte rien, ni soutien gorge ni culotte. Nue.

Christian porte un simple bermuda et un tee shirt. Comme moi, je sais qu’il est nu. Il a adopté, comme il dit, une tenue estivale.
Nous nous promenons, enlacés. Je tiens Christian par la taille et il en fait de même.

Nos pas nous amènent vers un parc. De nombreux grands arbres ombragent ce coin de nature situé au cœur de la ville. De larges allées parcourent le jardin public et quelques allées secondaires plus petites ramifient. Le long des sentes, se trouvent des bancs en bois peints de neuf. Les bancs sont implantés de chaque cotés des chemins légèrement décalés les uns par rapport aux autres.
Nous tenant pas la taille Christian et moi marchons sous les frondaisons. Sous les arbres la température est légèrement plus fraiche. Agréable. Sous ma robe mes tétons s’érigent.

Au cours de notre promenade je repère, dans une allée secondaire, un banc qui se trouve ensoleillé. Les rayons passent par un trou dans la cime des arbres. Nous nous asseyons. Christian s’adosse au dossier, tend les jambes devant lui et pose les bras en croix sur le dossier du banc. En relevant la tête il s’expose au soleil. Je m’assoie près de lui. Machinalement, en m’asseyant je relève le bas de ma robe pour poser mes fesses nues sur l’assise. Ce qui a pour effet de faire remonter le vêtement haut sur mes cuisses. Christian veut que Véronique et moi pratiquions comme çà lorsque nous nous asseyons. Moi aussi je m’adosse au dossier, près de mon compagnon qui pose son bras sur mes épaules. Comme lui je tend les jambes.
Un long moment nous profitons des rayons du soleil qui nous réchauffent. L’allée est particulièrement calme.

Du coin de l’œil, je vois arriver un homme. Il marche lentement. Le promeneur passe devant nous. Christian ne bouge pas s’exposant aux rayons solaires. L’homme a la quarantaine, cheveux légèrement poivre et sel simplement vêtu d’un pantalon et d’une chemisette en lin. Lorsqu’il passe devant nous je vois distinctement ses yeux regarder mes jambes nues et parcourir mon corps, me déshabillant par la pensée. Sans qu’il arrête sa marche nous nous sourions. Et il s’éloigne.

Un peu plus tard, dans l’autre sens, je le vois revenir. J’entends Christian à coté de moi qui me murmure :
– Écarte un peu les jambes. Il verra un peu plus et un peu mieux.
– Je croyais que tu somnolais.
– Non. Vas y écarte les jambes.

Ce que je fais. La robe est relevée très haut. Le rayon lumineux éclaire mon entre jambes. Et l’homme passe. Arrivé à notre niveau ses yeux sont rivés sur mes cuisses. Tout a fait inconsciemment, son allure ralentie encore. Il n’en perd pas une miette : mon sexe épilé, ma chatte, le petit tatouage sur la lèvre de mon sexe. Il profite pleinement de l’exposition.
Il est passé. Derrière ses lunettes noires, Christian n’a pas bougé.
– Il va revenir, me dit-il.
– Tu crois?
– Oui, il va revenir. Il va même s’assoir sur le banc un peu à notre gauche.
– Tu crois ?
– Je te parie qu’il va revenir, qu’il va s’assoir. Tu ne bouges pas, tu restes comme tu es.
– On pari quoi ?
– S’il s’assoit je te fais un doigté, ici et sur le banc. Et s’il se touche et se masturbe, tu me suces.
– Et s’il ne fait rien de tout çà?
– On en reste là. Au retour je t’achète un bijou et on rentre.
– D’accord.

J’adore les bijoux. Et, sans bouger, nous attendons. Et il revient. Je le vois s’approcher de sa marche nonchalante. Derrière ses lunettes de soleil, Christian ne bouge pas. Et lorsque l’homme s’assoit sur le banc sur notre gauche, un léger sourire vient sur son visage.

La main de Christian sur mon épaule bouge. Elle se pose sur mon sein. Au travers du tissu, avec douceur il le caresse. Mes tétons durcissent et pointent. C’est agréable. Je profite de l’instant. Puis mon compagnon fait glisser la fine bretelle et découvre mon sein. La main l’empalme, prend le téton entre le pouce et l’index et le fait rouler, tire dessus.

En face l’homme est hypnotisé. Les yeux rivés.

Puis Christian bouge. La main toujours caressant mon sein. Il se tourne et pose l’autre main sur ma cuisse. Il me fait écarter plus les jambes. Je m’expose encore plus. La main remonte la jambe, caressante. J’aime cet instant plein de promesse.

Je glisse un peu plus sur le banc pour amener mes fesses au bord de l’assise. Le main remonte toujours à l’intérieur de mes jambes, repousse le bas de la robe sur mon ventre, découvrant totalement mon intimité. Puis je sens un doigt descendre à la naissance de ma fente et se poser sur mon clitoris. Je suis déjà mouillée de plaisir. Le doigt se fait doux, caressant. Le clitoris gonfle, comme venant au devant du doigt. Je renverse ma tête, ferme les yeux, jouissant de l’instant. La main glisse et le doigt descend vers mon sexe lubrifié. Le doigt pénètre.

Je regarde l’homme sur le banc. Son souffle est court. Sa main est posée sur le haut de sa cuisse.
Dans mon sexe ce n’est plus un doigt qui me fourrage mais deux puis trois. Christian va et vient dans mon intimité. Il me fouille de plus en plus vite. D’une main je serre sa cuisse et de l’autre je saisi la main sur mon sein. La tête renversée je respire fortement sentant le plaisir monter. Mon jus coule, me semble-t-il, à flot sur la main de Christian. Mes reins se cambrent, mes fesses se soulèvent du banc, mes muscles se contractent autour des doigts qui besognent mon sexe. Là, sur ce banc, pour la première fois en public, je jouis. Totalement abandonnée. Je crie l’orgasme qui parcourt mon corps jusqu’à la moindre de ses terminaisons.

Puis, mes fesses retombent sur le banc en même temps que mon corps se décontracte. Les doigts de mon amant sont encore profondément enfoncés. Mon sexe est inondé de mon nectar de jouissance. Je reste comme inerte sur le banc. Christian sort ses doigts de ma chatte et se lève.

J’ouvre les yeux et le regarde. Un mouvement de tête m’indique de regarder l’homme sur le banc. Il a ouvert son pantalon, tient sa bite en main et se fait manuellement une virilité. Un sexe raide, dur, au bout circoncis. Christian me regarde en souriant, baisse les yeux vers sa ceinture, puis me regarde de nouveau. Un léger mouvement d’épaule.

– Mais comment fait-il pour gagner ses paris !

Je pose ma main sur son sexe au travers du tissu. Je sens sa bite bien dressée dans sa cachette. Belle et bonne perspective.
Je défais la braguette, plonge ma main et en extrait ce sexe objet de bien de plaisirs partagés. Je donne quelques mouvements de branlettes et approche ma bouche. J’enfourne cette hampe et avec de amples mouvements de tête je la suce.

Du coin de l’œil, je remarque que l’homme s’est levé. Il tient son chibre dans la main et fait un pas dans notre direction pour s’approcher. Je le regarde et d’un geste de la main je lui fais signe de ne pas s’approcher, de rester sur le banc. Il n’y aura aucun contact, rien. Je ne fais l’Amour qu’avec Christian et Véronique. L’homme recule et continu de se branler assis sur son banc.

Je reprends le sexe de mon compagnon. Je défais le bouton de la ceinture du short de Christian et le baisse. Tout en suçant sa bite je caresse ses fesses. Rondes. Comme j’aime. Une de mes mains passe devant, soupèse les balloches. L’autre caresse la raie du cul, s’insère entre les fesses, trouve la rondelle. Christian cambre les reins pour un accès plus facile.
Pendant que je suce la bite, une de mes mains roule les couilles. Je mouille à mon sexe les doigts de mon autre main puis remonte vers ce cul adoré. Mon doigt retrouve le trou du cul, et pénètre. La réaction au toucher rectal est immédiate. La bite dans ma bouche semble durcir et grossir. Je pompe le dard de mon amant pendant que ma main roule les couilles et que mon doigt va et vient dans le cul.

Je sens le plaisir de Christian monter. J’arrête de sucer, sors le sexe de ma bouche et, tirant la langue, je garde le gland comme reposant sur le coussin de ma langue. Le ventre se creuse. Les testicules semblent rentrer dans les bourses. Mes doigts m’indiquent la remontée du plaisir.

L’homme sur le banc n’en perd pas une miette. Il se branle les yeux fixés sur le spectacle.

Dans un soubresaut du gland, jaillit la semence crémeuse. A longues giclées. Droit dans ma bouche. Douce nourriture. J’enfourne de nouveau l’objet du désir et suce, extrayant les dernières gouttes de spermes. Christian caresse ma tête doucement.
Je lève les yeux vers lui. Mon Amour. Il me regarde. Je laisse son sexe, et ouvre la bouche pour lui montrer sa douceur posée sur ma langue. Il faut toujours lui montrer. J’avale son éjaculation tout en le regardant puis ouvre de nouveau la bouche. Il faut toujours lui montrer.
Je rapproche ma bouche du sexe et le lèche enlevant les restes de l’éjaculation. Ensuite, je remonte le short. Avant de le refermer, je dépose un petit baiser sur le petit tatouage à la naissance du sexe et reboutonne.

L’homme sur le banc se masturbe encore.

Je me lève et dépose un petit baiser sur les lèvres de mon Amour. Et nous reprenons notre promenade.
Alors que nous passons devant l’homme, Christian m’arrête. Je sens sa main glisser, remonter le bas de ma robe découvrant mes fesses nues à la vue du voyeur. Sa main descend en suivant le sentier de ma raie fessière, va à mon sexe où se trempe un des doigts. La dextre remonte, s’insère. Je cambre les reins. Le doigt lubrifié trouve ma rondelle et pénètre. Puis Christian m’entraine, la robe relevée sur mes reins, son doigt profondément enfoncé dans mon cul.
Derrière nous je perçois le feulement de l’homme. Je devine qu’il vient de prendre son plaisir solitaire. Alors que nous nous éloignons, nous entendons :
– Merci !

Pendant un moment je prends plaisir au doigt qui bouge en moi. Puis Christian l’enlève et la robe retombe. J’aurais préféré que ce soit son sexe qui ouvre mes fesses. Peut être plus tard.

J’ai eu du plaisir.
Je n’aurais pas de bijou. Dommage, j’avais repéré une belle perle noire.

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