-Et toi, tu aimais te voir dans le miroir, en jeune homme vicieux qui enfile la vieille dame en chignon?
-Marlène, ma douce, ma belle roussinette, tu en veux encore, des histoires cochonnes avec Brigitte?
-Oui, tu me donnes envie de me toucher, je vous vois tous les deux! Hier, entre deux cours, je me suis branlée en repensant à ton épisode de léchage de cul, lorsque tu te couchais sur la table de la salle à manger et qu’elle s’asseyait pour te lécher la raie. Je pensais bien qu’elle n’était pas si farouche que ça, madame la marquise, avec ses battements de cils, ses minauderies ,ses petits airs distingués. Mais l’imaginer se mettre à table pour te bouffer le cul…
-Lorsqu’elle était de bonne humeur, il lui arrivait de se mettre à genoux, chez elle, en plein jour, et de sortir ma queue pour me sucer, comme ça, brusquement. On était dans la cuisine pour préparer le dîner, et tout à coup, après un baiser fourré, elle s’agenouillait. Je lui tenais les mains tendrement pendant que sa tête blonde oscillait, …ma queue entre ses lèvres fardées…
-Une bonne pipe sans les mains…
-C’est cela.
-Une bonne maman en tablier à fleurs qui suce un peu, pendant que le gâteau à la cannelle finit de cuire au four.
-A force de me lécher tout le temps les couilles et le cul, on s’est aperçu qu’elle ne me faisait plus tellement de pipes. Un jour, elle a voulu me sucer de manière classique, et recevoir mon sperme dans la bouche.
-Mais tu lui giclais dessus tout le temps!
-Oui, mais je me branlais sur sa langue, ou sur ses seins. Cette fois, elle voulait que le sperme jaillisse directement dans sa bouche, faire une vraie fellation aboutie.
-Alors elle t’a pompé?
-Avec beaucoup de bruit. Elle suçait comme dans certains films porno, avec des bruits de baignoire qui se vide. Elle ne voulait pas seulement me faire jouir, ou me rendre fou avant que je la baise, elle voulait sa giclée. C’était un peu long, peut-être par ma faute. Je m’en voulais de la voir se donner tant de mal, j’étais prêt à l’interrompre. Mais non, c’est ce qu’elle voulait. Une bonne giclée de sperme, que j’ai fini par lui envoyer dans la bouche.
-Elle t’a sucé aussi dans des lieux publics?
-Pas tellement, en public elle reprenait beaucoup plus son style de dame catéchiste pomponnée. Il nous arrivait parfois de nous embrasser très goulument, notamment dans le train. Je me souviens d’un voyageur qui nous avait dit: vous n’êtes pas au lit, c’est un lieu public, ou quelque chose comme ça. Il devait être doublement choqué à cause de la différence d’âge.
-Une douce et élégante vieille dame qui roule des pelles à son fils…
-Un soir, nous étions assis sur la dernière banquette du dernier wagon. Tandis que je guettais dans le couloir, la jolie grand-mère au chignon blonde a fait plaisir à son garçon avec ses lèvres de cerise. Elle avait gardé ses lunettes, ce qui devait lui donner l’air de me sucer sérieusement.
-Avec ses lunettes, elle avait l’air plus âgée, moins douce.
-Mais tout aussi salope. Un soir, elle téléphonait à sa soeur, une dame grisonnante dix ans plus jeune qu’elle. Cette dame ne dégage aucune séduction, elle est divorcée et ne doit pas avoir d’amant. Pendant la conversation, j’ai commencé d’embrasser Brigitte dans le cou. Ensuite, pour faire l’imbécile, j’ai sorti ma queue. Elle me regardait, amusée, l’air de dire « -Coquin, ce n’est pas le moment. Tout à l’heure, mon chéri, maman va sucer ».
Comme j’insistais, et que les palabres de la dame frustrée s’éternisaient, elle finit par trouver la situation excitante. Avec une perversion revancharde vis-à-vis de sa soeur, elle accepta de me donner un coup de langue, en faisant bien attention de ne pas faire de bruit suspect.
Je suis sûr qu’en faisant ce geste, elle se disait: Moi, j’ai un jeune amant avec une grosse queue, et pas toi. J’ai beau avoir dix ans de plus que toi, mais moi, j’ai un jeune homme qui bande pour mes fesses ».
Elle me regarda avec un sourire amusé, l’air de dire: -Voilà, j’ai fait la coquine, maintenant soyons sérieux ».
Mais j’étais excité par ce coup de langue de cette jolie dame âgée à son bureau, qui plus est en train de téléphoner.
Je gardai mon sexe tendu à portée de ses lèvres.
Soudain, elle me pris carrément en bouche, et fit quelques mouvements enivrés de désir. Elle n’était plus amusée, mais excitée. Avant de reprendre la parole, elle me regarda avec les yeux d’une femme qui vient de boire une liqueur forte. Je voyais des envies de sexe passer dans ses prunelles grises et bleues.
Le regard de la suceuse. Le regard de la salope.
Lorsque je repense à ces petites scènes, je bande comme si je le revivais.
-Alors, revis-le dans mon vagin.
Marlène écarte les cuisses, et m’offre sa jolie fente rose. D’un seul coup, je lui enfonce ma bite jusqu’aux couilles.
Pour corser un peu l’ambiance, elle me murmure:
-J’aimerais tellement que ma soeur me voie quand tu me baises.
Ajouter un commentaire