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Le stage d’Elodie 7

Le stage d’Elodie 7



Le stage d’elodie, suite…

Mais voilà le coup de sifflet nous nous arrêtons toutes les deux pour notre petite pose afin de récupérer un peu pour tenir le coup jusqu’à la mi journée.
Comme d’habitude nous avons droit à notre petite bouteille d’eau, mais comme nous sommes au même endroit le Maître nous sépare de quelques dizaines de mètres, de cette façon impossible de discuter ensemble. Moi je suis mise à un piquet planté dans le sol toujours à poils et avec les menottes reliées par la laisse. C’est vraiment très très humiliant. Pour Audrey elle est attachée à un arbre comme moi hier. Nous allons pouvoir savourer notre maigre repos.

Nous voilà donc au repos, afin de récupérer quelques forces. Je bois rapidement ma bouteille d’eau car la température est vraiment montée et je commence à transpirer. Je suis moite de partout et je sens même la sueur couler dans mon dos et entre mes seins. Ce qui est le plus dur c’est l’absence de discussion ou avec les gardes ou comme là avec Audrey. Moi j’adore papoter et en ce moment je suis vraiment en pénitence.
La pause se termine au coup de sifflet on nous détache je renfile ma blouse et la Maîtresse toujours montée sur son cheval me dit que je dois inverser avec F536 et faire le transport des cailloux. Je m’exécute et vais vers F536 pour lui prendre son balancier. Nous échangeons donc nos places et la noria reprend. Le balancier est lourd surtout quand il est chargé de cailloux. Je dois faire environ une centaine de mètres avec la charge avant de les déposer dans les allées. Cela me scie littéralement les épaules. Je plie sous le poids et aussi la chaleur. Au bout de quelques voyages, je commence à avoir envie d’uriner. Comme la pause est finie, je demande à la gardienne si je peux m’arrêter pour me soulager. Elle refuse en me disant que je n’avais qu’à prendre mes dispositions avant et en tout cas à la pause. Je suis vraiment fatiguée et j’ai de plus en plus envie de pisser. Je reformule la question mais comme seule réponse elle me dit de pisser en marchant de cette façon je n’aurais pas de retard. Là je suis folle de rage je lâche mes paniers et je dis puisque c’est comme cela j’arrête mais au même moment la maîtresse saute de son cheval vient à ma rencontre avec une trique. Elle m’en assène quelques coups dans le dos et sur les fesses. Cela me fait réagir tout de suite et je me lève pour reprendre ma place. Ma vessie est prête à exploser et malgré moi je suis en train de me soulager tout en marchant et en effectuant mon travail. Je me sens sale je suis pire que les animaux. Je me soulage comme cela comme un escargot en montrant mon chemin. Le coup de sifflet n’a pas encore retentit que je vois le Maître venir vers moi mais aussi le soumis qui s’occupe des chevaux. Le Maître m’intime l’ordre de me mettre à genoux et de croiser mes doigts sur la nuque. Bien sur je me doute que je vais avoir une punition à cause de ma petite crise de tout à l’heure. Rapidement j’ai les mains menottées dans le dos ainsi qu’une laisse de conduite qui pend des menottes.
Le soumis s’approche je le vois bien en détail maintenant il porte un harnais de cuir très serré, en plus c’est un très beau garçon et musclé avec cela. Ce qui attire un peu plus mon regard c’est le fait qu’il porte une cage de chasteté cadenassée.

C’est la première fois que j’en vois une en réel et je n’arrive pas à retirer mon regard de cette chose.
Le Maître me fait mettre debout jambes écartées, puis donne l’extrémité de la laisse au soumis. Je ne suis plus rien car un soumis me tient par la laisse. Je suis vraiment un sous être. Le soumis passe la laisse entre mes jambes et commence à me tirer comme cela avec la laisse qui passe et frotte sur mes lèvres, je suis déjà toute mouillée mais là c’est encore pire puis nous marchons afin de rejoindre la maison et pas la cellule. Je tremble, j’ai peur mais impossible de me rebiffer donc je suis le soumis tout en regardant ses fesses danser dans leur harnais devant moi. Je suis au bord de la jouissance et j’ai un mal fou à essayer de ne pas jouir ainsi traînée exhibée et excitée.
En partant j’entends la sonnerie du sifflet et je vois Audrey menée par le couple aller vers la cellule tandis que moi tête basse je me dirige vers un autre lieu.
Mon garde me fait descendre les escaliers qui mènent aux pièces ou je suis arrivée et ouvre une porte. Je rentre dedans puis referme cette porte. C’est tout petit je ne peux m’y tenir que debout c’est grand comme un placard et sombre. Je ne vois rien mais en me tournant je me cogne de tous les cotés. Me voilà dans une geôle en attendant surement la décision du couple. Je ne sais pas si je vais être punie ou alors, mon stage vas s’arrêter comme cela. C’est vrai que j’ai pété les plombs mais le refus de la Maîtresse n’était pas vraiment justifiée. Je vais peut être être fouettée et cela j’en ai peur ou alors me retrouver au cachot. L’attente se poursuit dans le silence et la pénombre. Je ne peux rien faire pour améliorer ma position ou alors présenter mes excuses à la Maîtresse.

Je trouve que l’attente est très longue et en plus c’est l’heure du repas, et j’ai bien l’impression que je vais sauter celui-là. Je ne peux rien faire que de prendre mon mal en patience et de méditer sur ma faute. J’aimerais pouvoir m’asseoir mais la cage est vraiment trop petite c’est virtuellement impossible, donc je dois rester debout. Tout à coup j’entends des pas se rapprochant et les verrous de ma cage se libèrent. C’est le soumis qui est devant moi et me dit de sortir puis prenant la laisse mais cette fois il reste à mes cotés me conduit vers une salle. Tout au long du chemin il me passe la main sur les fesses et les cuisses. Je n’ose rien dire et cela à l’air de lui plaire. J’aimerais pouvoir lui rendre ses incursions mains impossible avec les menottes. Nous entrons maintenant dans la pièce ou il y a un bureau et le couple de dominants est derrière celui-ci assis. Pour moi il n’y a rien et la Maîtresse me donne l’ordre de me mettre à genoux.

Pendant ce temps là le soumis continue à me tenir en laisse. Puis c’est le Maître qui ouvre la lecture de mon acte d’accusation pour rébellion. Je suis en pleurs et essaye de présenter des excuses à la Maîtresse. Mais rien n’y fait La sentence tombe j’ai droit à deux jours et demi de cachot. On me demande ce que j’ai à ajouter pour ma défense, j’essaie à nouveau d’amadouer le couple mais cela ne sert à rien. On m’explique que je serais enfermée 23 heures par jour avec deux sorties autorisées.

Le Maître se lève contourne le bureau et me détache les poignets. Ensuite je dois retirer ma blouse. Je subis une fouille corporelle complète et en plus devant le soumis qui n’en perd pas une miette. Ensuite remise des menottes dans le dos et départ vers le cachot. Je frissonne de peur. C’est le soumis qui me conduit cette fois en me tenant par le bras car je n’ai pas de laisse. Cela lui permet de me tâter les seins presque à sa convenance. Il vois que je suis excitée car les tétons pointent outrageusement.

Nous entrons dans un petit couloir, il y a une porte au fond je suis sûr que c’est la porte du cachot. La Maîtresse nous à suivis et déverrouille une porte métallique. Je découvre le cachot et j’ai un choc. Dans la pièce qui est éclairée par une lampe, il y a une cage très basse. J’ai peur de comprendre que c’est dans cette cage que je vais être enfermée. La cage mesure deux mètres de cotés mais pas plus d’un mètre de haut. La Maîtresse ouvre la porte de la cage, cela fait un bruit de vieux château. Elle me détache les poignets pour tout de suite me passer autour d’eux des fers d’esclaves qu’elle verrouille avec des cadenas. Heureusement il y a quelques centimètres de chaîne entre eux et je ne suis pas trop restreinte. Elle me dit que je serais en permanence entravée et nue pendant ma punition. Pour pouvoir entrer dans la cage il faut se mettre à quatre pattes. Je pénètre dans ma cage, je suis comme un chien dans un chenil. La porte se referme et la porte extérieure. La lumière restera allumée en permanence même la nuit. Le sol est en ciment, il n’y a qu’une natte posée par terre pour servir de lit et un trou au milieu de la cage directement dans le sol pour les besoins. Le fait d’être ainsi me fait un choc mais en même temps cela m’émoustille et je sens mes lèvres s’humidifier.
Voilà mon nouveau domaine pour deux jours et demi. Cela va être atroce et surtout très long puisque je n’aurais que deux sorties par jour. Je ne peux que me coucher ou être à genoux dans la cage et encore à ce moment là je dois baisser la tête pour éviter de cogner dans les barreaux du haut. J’essaie de me faire une résolution de ma condition.
Le temps passe encore plus lentement qu’en cellule normale et je ne peux presque pas bouger. Cela me permet de faire un point sur ma condition et mes demandes. C’est vrai que j’adore le déroulement de ce stage depuis le début. La mise en situation est assez bien et surtout cela m’apporte beaucoup de désirs.

Je pense à Audrey, qui elle aussi aura une punition pour le bavardage inopportun, peut être aussi le cachot, elle m’a prévenue hier en me disant que c’est très dur de vivre cela et qu’elle l’avait aussi subi.
Ma vie dans cette cage se résume en fait à peu de chose attendre les repas qui me sont glissés par un guichet à même le sol, l’attente de mes deux sorties quotidienne. Le plus dur enfin je le pense c’est l’absence de nuit car la lumière est allumée H24 et c’est très dur pour arriver à dormir, et tu ne sais plus si c’est le matin ou le soir surtout que apparemment les horaires de promenade ne sont pas fixes et quand je sors je ne peux pas avoir une vision sur les montres du couple, il n’en ont pas ou elle est cachée.

A suivre…

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