Une heure de voyage et je suis à Douai, personne sur le quai de la gare, faut pas rêver, avec mon mari nous n’en sommes plus là…
Un peu de marche pour arriver à la maison, J’ouvre la porte et… stupeur, je tombe nez à nez avec un inconnu, un homme à la carrure impressionnante.
– Bonjour monsieur, Vous êtes ?
– Bonjour, je m’appelle Maurice et je suis en affaires avec votre mari, vous êtes Annabelle je suppose ? Vous êtes encore plus belle que sur les photos !
Je me demande bien comment il a pu me voir en photos, je m’avance dans la salle, je vois mon mari assis dans le canapé avec une tête d’enterrement, c’est à peine s’il me dit bonjour.
– Mais enfin ! Qu’est-ce qu’il se passe ?
Mon mari ne répond pas, Maurice s’avance :
– Voilà, je vais t’expliquer, tu permets que je te tutoie ?
Cette dernière phrase n’est pas une question, elle a été prononcée avec un air de certitude qui ne prête pas à discussion.
Je hoche la tête.
– Ton mari a joué, beaucoup, et il a perdu ; il me doit 10000 euros, nous sommes samedi, je lui ai donné jusque vendredi prochain pour me rembourser.
En attendant, nous sommes convenus que puisque je lui prêtais mon argent, il me prêtait sa femme, ce qui me semble tout à fait correct, donc, jusque vendredi prochain tu es à moi.
Je regarde mon mari qui baisse la tête, effectivement, le salopard a non seulement joué notre argent, mais il me donne en gage comme une vulgaire marchandise.
Je me révolte :
– Il n’en est pas question, il n’a pas le droit de disposer de moi.
Je reprends ma valise pour sortir.
Maurice me ratt**** par le bras sous l’œil éteint de mon mari.
– Je t’ai dit que tu m’appartenais et je vais te montrer ce qui va t’arriver quand tu désobéiras.
En disant ces mots, il me soulève, je lâche ma valise qui s’ouvre en tombant, il me prend sous son bras sans que je puisse faire quoi que ce soit, va s’asseoir sur une chaise avec moi sur ses genoux me tortillant vainement pour m’échapper.
Je prends un premier coup sur les fesses qui me fait crier de surprise, il remonte ma jupe pour continuer sa fessée et marque un temps d’arrêt.
– Putain, la salope,
Et s’adressant à mon mari :
– Tu savais qu’elle se baladait le cul nu ta pouf, on dirait même qu’elle vient de se faire baiser, elle sent le foutre à plein nez et elle a les poils de la chatte tout collés.
Je n’ai vraiment pas l’air maligne, allongée cul à l’air sur un mec que je ne connais pas, lequel me renifle et me tripote sous l’œil bovin de mon époux.
Maurice me redresse, je crois qu’il en a fini avec moi mais…
– Allez hop ! à la douche, tu pues comme une bique qui vient de se faire sauter par le bouc !
Il m’emmène dans la salle de bain
– Allez déshabille toi !
Ce n’est pas la peine de résister, je lui tourne le dos, j’ôte le chemisier, il dégrafe le soutien-gorge, baisse la jupe que j’enjambe pour me glisser sous la douche. Je laisse couler longtemps, goûtant le bien être de cette eau chaude en évitant de penser à la suite.
Ça fait bien 10 minutes que je profite de la douche, il y a une buée importante dans la salle de bains, quand j’entends la porte s’ouvrir, Maurice me rejoint, il est poilu comme un ours et de cette masse de poils émerge un sexe monstrueux qu’un plantigrade ne renierait pas.
Il m’att**** par les cheveux et je n’ai d’autre alternative que d’enfourner son bâton. Je le suce avec ardeur, j’ai pris de la technique en quelques jours, en même temps je lui caresse les couilles et je glisse mon index dans son cul ; surpris il se dégage et m’att**** par les cuisses, sans effort il me soulève et je viens tout naturellement m’empaler sur son dard, je me cramponne à son cou et j’ondule le long de son torse les pointes de mes seins qui s’étaient rétractées avec l’eau chaude se redressent en frottant contre ses pectoraux, je me sens partir, je gémis, je gueule, mon mari est dans la pièce à côté mais je m’en fiche ; en m’entendant, Maurice se laisse aller, il me remplit à grands jets saccadés puis me repose sur le sol, j’entoure son torse puissant et viens poser la tête contre son cou ; la douche coule toujours, elle devient plus froide, on doit avoir usé la totalité du ballon.
Nous sortons, il me dit :
– Tu viens avec moi !
Je vais chercher des vêtements propres dans la chambre et je refais ma valise, je vais suivre Maurice.
J’ai mis une petite robe noire assez courte, il a l’air d’apprécier…
Avant de partir, il regarde Serge mon mari, il soulève ma robe, me retire la culotte.
– Pour l’instant tu n’en as pas besoin !
et s’adressant à mon mari :
– Tu as jusque vendredi pour me rembourser !
Nous grimpons dans sa voiture, une petite décapotable et immédiatement c’est moi qu’il décapote, je me retrouve avec la robe remontée jusqu’aux hanches, les poils de la chatte au vent.
Quand nous sommes arrêtés à un feu, je n’ose pas regarder les véhicules de l’autre file, mais je vois du coin de l’œil que les deux châssis sont appréciés. Ça ne me gêne pas trop mais…merde, un car scolaire à côté de nous, tous les gamins font des signes, je veux rabaisser ma robe, Maurice m’en empêche, mieux, comme nous sommes à l’arrêt et qu’il n’a pas à s’occuper de son levier de vitesse, il me caresse le clitoris, la situation doit m’avoir exacerbé les sens, j’ai immédiatement un orgasme, je renverse la tête en arrière, tout le car est massé aux fenêtres.
Quand nous arrivons chez lui, il me fait enlever robe et soutien-gorge :
– Maintenant tu vas préparer le dîner, mais avant j’ai une petite surprise pour toi !
Il va dans la chambre et revient avec ce que j’identifie comme étant des boules de geisha, seulement celles-ci sont un peu spéciales, il y a une antenne et elles vibrent par l’intermédiaire d’une petite télécommande.
– Tiens ! met cela, tu devrais aimer !
Comme je suis encore mouillée de l’épisode de la voiture, les boules rentrent sans difficultés.
Il commence aussitôt à jouer avec le potentiomètre…
Je choisis de faire des pâtes, je n’ai pas envie de faire une cuisine élaborée avec ce machin qui vibre dans le vagin, il monte la puissance à fond et dès qu’il voit que je commence à perdre pied, il baisse ou remet à zéro. C’est intenable de sentir cette jouissance monter et de ne pas pouvoir conclure ; je suis trempée, la cyprine coule le long des cuisses ; je le sers et pendant qu’il commence à manger, je me caresse les seins et je viens frotter mon clitoris sur le coin de la table ; l’orgasme arrive très rapidement, je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri.
– Je ne t’ai pas autorisée à te masturber, tu vas être punie !
Je me suis retrouvée sur ses genoux, dans la même position que quelques heures plus tôt, il a mis le potentiomètre à fond, les boules tressautent au fond de mon vagin, sa main droite me frotte le clitoris pendant que la main gauche me distribue des claques sur les fesses.
Finalement la punition n’est pas trop sévère !Je me tortille, je hurle de plaisir, de douleur, de désir d’être encore baisée ; mais ce n’est pas pour maintenant…
Nous allons au lit, celui-ci est protégé par un plastique, je comprendrai bientôt pourquoi …
Il m’attache les membres aux quatre coins et me bâillonne, je suis complètement immobilisée et à sa merci. A l’intérieur les boules continuent leur sarabande. Il se dirige vers un petit aquarium et délicatement s’en va pécher quelque chose à l’intérieur ; je suis intriguée jusqu’à ce que je découvre ce que c’est, une énorme araignée noire pleine de poils, une mygale, qu’il pose avec précaution sur mon nombril, je hurle comme je peux, il n’y a qu’un son ridicule qui sort de ma bouche, je suis tétanisée par cet a****l qui se promène lentement sur mon corps, elle est maintenant à la hauteur du sein gauche, elle se dirige vers mon visage, j’ai les yeux exorbités, je ne peux pas me retenir, les sphincters lâchent, je pisse de terreur, elle arrive vers ma bouche, je m’évanouis.
Quand je reviens à moi, l’a****l n’est plus sur mon corps, Maurice a nettoyé la chambre et enlevé le plastique, il me regarde :
– Tu as aimé ma petite amie ? elle te rendra visite à chaque fois que tu me désobéiras !
– Tu as compris ?
Je hoche la tête, je ferai tout ce qu’il voudra, tout plutôt que me retrouver avec cette affreuse bête sur le corps.
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