mon attraction pour le naturisme date de ma jeunesse…. j’ai grandi en zone péri-urbaine, encore très campagnarde avec de vastes espaces de bois et champs…. Je ne me souviens plus quand j’ai commencé à fantasmer sur l’idée d’être à poil en nature mais j’ai des souvenirs très nets et très chouettes de mon adolescence, où je sortais de nuit dans le jardin, je laissais mon t-shirt dans un fourré et je partais à poil dans les champs. Je m’étais fabriqué un string avec un triangle qui me cachait la bite et les couilles et une ficelle qui m’entrait dans la raie des fesses. La sensation de cette ficelle du reste me faisait toujours bander, si bien que le triangle de tissu ne parvenait pas à contenir son précieux chargement…
J’ai parcouru ainsi tous les étés toute la campagne autour de chez nous presque chaque nuit, la queue tendue dans mon mini-string…. je ne sais pas exactement ce que je cherchais, je crois que je cherchais surtout l’excitation de faire quelque chose d’interdit et cette excitation se traduisait par une érection puissante et durable…
Je ne rencontrais personne, et en fait j’aurais eu très peur si je rencontrais quelqu’un, je n’aurais pas su comment réagir…
Jusqu’à une nuit d’été où, dans un bois, j’ai surpris deux mecs en train de se branler. J’avais été très silencieux et ils ne m’avaient pas entendu. C’est moi qui les avais remarqués car ils faisaient un peu de bruit en bougeant et soupirant et ne se doutaient pas du tout de ma présence. J’étais déchiré entre la peur d’être surpris et la curiosité de les mater…. je suis finalement resté pour les mater. Je me suis approché tout doucement pour mieux les voir…dans l’obscurité on devinait plus qu’on ne voyait, ce qui protégeait aussi. Je me souviens que mon cœur battait à tout rompre, tant j’étais excité et stressé en même temps. Sous l’effet du stress j’avais évidemment débandé, mais cela n’était plus ma préoccupation… je voulais voir sans être vu.
J’ai pu m’approcher assez près pour bien distinguer ce qu’ils faisaient. Il se suçaient à tour de rôle, leurs sexes étaient tendus et gros, je n’en avais encore jamais vu en réalité, je n’en voyais que sur les films de cul que je matais en secret… Je me souviens que, progressivement, je me suis senti à l’aise en les matant, et mon excitation est revenue peu à peu… j’ai été surpris de bander à nouveau aussi vite… la tension de ma queue dans le tissu du triangle tendait la ficelle dans mon cul, et cela contribuait à m’exciter encore davantage.
Je suis resté accroupi un long moment et j’ai senti que je m’ankylosais. Je me suis déplacé doucement pour me mettre à quatre pattes…mais les fourmis dans une de mes jambes m’ont handicapé dans mon mouvement et j’ai glissé. Le bruit de feuilles mortes et de petits branchages écrasés les a surpris et ils se sont redressés et ont regardé dans ma direction… inutile de tenter de me cacher j’étais à deux mètres à peine, derrière un buisson certes, mais leur lampe de poche me débusqua vite fait.
L’un d’eux vint vers moi, à poil au demeurant, et me regarda…. lorsqu’il vit ma tenue et la bosse de ma queue encore mi-bandée, il comprit que je n’étais évidemment pas une menace….il me demanda si cela faisait longtemps que je regardais – je dis oui – et si cela m’excitait – je dis à nouveau oui. Il me demanda si je voulais continuer à mater ou même jouer avec eux….j’hésitai, mais j’avais en tout cas envie de mater, ce que je leur dis.
Il me fit signe d’approcher de la couverture sur laquelle ils étaient couchés, puis ils me demandèrent tous deux d’enlever mon bout de tissu. Je le fis et trouvai excitant de me dénuder complètement devant eux. Ma queue redevenait épaisse. Je vivais enfin mon fantasme de nudiste… Manifestement ma bite leur plaisait…
Ils me demandèrent évidemment ce que je faisais dans cette tenue. Je leur ai expliqué mon fantasme et que j’aimais être nu en nature. Ils me dirent qu’eux aussi et qu’ils comprenaient. Nous avons continué à discuter de tout et de rien mais évidemment surtout de sexe. Je n’avais pas grand chose à dire car je n’avais aucune expérience, mais eux m’ont beaucoup raconté de leurs plaisirs. L’un d’eux s’est finalement rapproché de moi et me posa sa main sur le bas ventre et descendit vers ma bite qui était mi-bandée. Je fus d’abord surpris et il retira sa main….désolé, je ne voulais pas te brusquer, dit-il… Je lui ai dit que c’était la première fois mais que en fait j’aimais bien…. Il reprit ma queue en main et se mit à la caresser doucement. Il descendit sur mes couilles, ce qui m’excita beaucoup… je me laissais faire en les regardant l’un et l’autre. Leurs deux queues redevenaient dures et je trouvais cela fascinant. Je tendis ma main vers la bite de celui qui me touchait, c’était la première fois que je sentais un autre sexe que le mien dans ma main. Dur et chaud, ferme…
Il continua ses mouvements sur ma queue et mes couilles pendant un long moment puis me demanda si j’avais déjà éjaculé dans ma vie. Je lui dis que non et que je ne savais pas si je pouvais déjà. Il me dit qu’il pensait que oui et me demanda si je voulais essayer. Je lui dis que oui, car de toute façon je n’avais pas envie qu’il arrête de branler ma bite. Il continua donc ses mouvements et commença à me sucer le gland…ce qui me fit découvrir des sensations complètement nouvelles dans la bite et dans mon gland. Pendant ce temps son copain faisait des longs mouvements de va et vient sur sa propre queue qui était devenue très dure et droite.
Je voyais mon gland devenir beaucoup plus gros et rouge que d’habitude lorsque je bandais et ma bite était devenue hyper-sensible sur toute sa longueur. Je croisai son regard et lui demandai de ne pas arrêter…. Il me sourit et me dit que j’allais bientôt gicler….cette idée m’excita tellement que je crois qu’elle a tout accéléré. J’ai senti une délicieuse pression sur mon trou puis une sensation indescriptible dans toute ma bite et dans mon gland et j’ai giclé mon premier sperme….
Il m’a souri à nouveau et m’a dit que mon jus avait bon goût. Puis il me lécha encore le gland….il prit alors sa queue et me demanda si je voulais la sucer…. je lui dis que non, j’étais un peu troublé… il se tourna alors vers son copain et ils se branlèrent mutuellement très fort jusqu’à ce qu’ils éjaculent. Ils restèrent ensuite à se sucer le gland…
Je suis rentré chez moi par les chemins des bois, complètement nu….je repensais évidemment à ce que je venais de vivre…. je me faufilai dans ma chambre et dans mon lit et fit de nouveau durcir ma bite. Puis je la branlai comme il m’avait branlé et finis par éjaculer de nouveau. Je goûtai alors mon sperme, qui sentait très fort…. le goût ne m’a pas déplu.
Ceci fut le début de ma vie vraiment sexuelle.
Ajouter un commentaire