La camionnette a déposé Sofia au milieu de la forêt, à proximité d’un pavillon de chasse. Sous son tailleur de cuir, elle tremble de froid. Elle s’avance vers la petite maison, en veillant à maintenir l’équilibre sur ses escarpins noirs et vernis. Pas facile de marcher dans les bois avec des talons aiguilles de douze centimètres. Une légère brise parvient à se faufiler sous sa jupe fendue mais Sofia, en bonne pute bourgeoise, est équipée pour pouvoir se faire réchauffer par des mains viriles. La belle salope porte un fin string noir, une guêpière rouge et noire qui met en valeur ses gros seins. À chaque mouvement, ceux-ci menacent de déborder de leurs bonnets presque trop petits. Les jarretelles de la guêpière peinent à retenir des bas couture noirs. Aux genoux, des plis se sont formés. Au niveau de ses chaînes de cheville, une pour chaque jambe, il y en a aussi. Un plug chromé barre le chemin de ses fesses. Du vernis rouge pour ses longs ongles, un collier de perles qui navigue sur sa poitrine. Sofia ne porte rien d’autre.
À la sortie de la ville, Sofia a fait du stop, avec l’envie de rajouter un peu de piment à ce qui l’attend. À mi-parcours, elle a demandé au conducteur de s’arrêter. Dans la cabine, elle l’a gratifié de gorges profondes multiples dont il se souviendra toute sa vie. Le routard lui a littéralement défoncé la bouche, générant de gros filets de bave sur les sièges.
Devant la porte du pavillon, Sofia n’hésite pas. Elle frappe trois grands coups contre le bois. On vient lui ouvrir sans attendre. Un homme au physique massif, comme s’il était tout droit sorti des bois, se présente.
– Bonjour, moi c’est Philippe. Vas-y, entre.
Sofia ne se fait pas prier. Elle pénètre dans la bâtisse. Une douzaine de paires d’yeux l’observent. Uniquement des hommes. Ça sent le mâle, la testostérone prête à être dégoupillée. Douze bites rien que pour elle. La belle bourgeoise sent que sa chatte s’humidifie, que son jus commence déjà déborder et à humidifier son string.
Les premiers commentaires ne tardent pas à fuser.
– Ça sent la grosse salope.
– Ouais, un sac à foutre. Avance, qu’on te voit mieux.
Sofia n’a pas peur. C’est même ce qu’elle est venue chercher. Des queues impérieuses, prêtes à satisfaire la moindre de ses envies de pute assoiffée de foutre. Ses talons claquent sur le parquet. Passant une langue mutine sur ses lèvres pleines, elle détache un bouton de sa veste de tailleur. Puis un second. Les hommes sont suspendus à ses mouvements.
La veste de Sofia est maintenant intégralement ouverte, découvrant une poitrine lourde. Sous la fine dentelle de la guêpière, les tétons dardent déjà. Entre les cuisses de la pute bourgeoise, l’excitation gagne aussi du terrain. Son jus de moule coule sur ses cuisses, son string est complètement imbibé. Sofia retire sa veste et la tend à Philippe. Elle meurt d’envie de grimper sur la table, de se caresser, de montrer sa chatte trempée à ces mâles.
Dans le fond de la pièce, de l’autre côté de la table, on s’agite, on ne tient plus en place. Plus rien ne compte. La présence de Sofia magnétise l’assemblée. La belle putain s’attaque à sa jupe. Quelques instants de silence où seul le bruit du cuir se fait entendre puis le vêtement atterrit sur le parquet. Le string, devenu dérisoire, suit le même chemin. Sofia peut juger de l’effet qu’elle produit. Les hommes se palpent l’entrejambe. Quelques-uns plus gaillards se lèvent et se dirigent vers elle.
Des mains palpent sa poitrine, des doigts s’insinuent dans sa chatte fiévreuse. Sofia se penche un peu pour qu’on puisse accéder à son cul. Sa corolle ne cesse de déverser sa cyprine le long de ses cuisses. Des bouches surexcitées lèchent ses seins. En chef de meute, Philippe a posé ses fesses sur la table et sorti une bite bien dure. La bouche de Sofia plonge droit devant. D’abord par petits coups sur le gland violacé, sur les couilles épaisses et gonflées, puis remontant le long de la hampe.
La traînée relève la tête, prend une grande inspiration puis gobe la queue entière. Sofia reste ainsi plusieurs secondes. L’homme lui maintient la tête avec fermeté pendant qu’un comparse lui dévore le cul à grands coups de langue. La belle putain est heureuse d’être ainsi dégustée. Philippe lui relâche la tête et Sofia, gémissante, libère un énorme paquet de salive.
– Tu es vraiment une très grosse pute ! Tu en veux encore ?
– Oui ! Oui ! Oui !
L’homme est aux anges. Avec de terribles bruits de succion, Sofia pompe violemment sa bite. Autour d’eux, on se branle avec intensité, on caresse les bas couture qui font encore plus de plis. Sofia intensifie ses va-et-vient. Derrière elle, on ne tarit pas d’éloges sur sa chatte.
– Mais quelle grosse pute ! Regarde comme elle mouille !
– Impressionnant ! Elle en veut de la bite !
La chatte incendiaire de la putain continue de couler à gros débit. Ses bas sont imbibés de sa cyprine. Son anus est tout aussi trempé. Un des mâles parvient à y rentrer sa queue sans le moindre effort pendant qu’elle continue de sucer avec avidité. Dans sa bouche, une autre queue s’est installée. Encore une belle bite que Sofia gobe comme une acharnée. Sur le parquet, sa salive forme désormais une mare bien épaisse. Dans son dos, le mâle continue de pilonner son cul. Une sodomie dévastatrice qui la fait hurler de plaisir quand elle relâche la queue.
– Oui ! Oui ! Défonce-moi ! Plus fort ! Je suis votre putain !
Ainsi encouragé, l’homme s’active de plus belle. Il s’agrippe aux hanches et aux jarretelles de la bourgeoise afin d’insuffler une cadence plus élevée. Sofia se laisse ainsi défoncer pendant cinq minutes avant de demander, le menton plein de bave, à changer de position. Elle se couche sur la table, laissant juste sa tête à l’envers, dans le vide, afin de se faire limer la bouche. Un des mâles en profite pour lui écarter les cuisses et dévorer sa chatte inondée à coups de langue ravageurs pendant qu’elle reprend un autre chibre jusqu’au fond de sa gorge. La salive coule sur son visage, sur ses yeux, se mélangeant à son maquillage. Sofia, comme si elle pouvait l’aspirer au-delà de ses couilles pleines, ouvre encore plus grand la bouche. L’homme s’y enfonce avec un râle de bonheur.
Elle bave de plus en plus tandis qu’un des mâles a pris possession de sa corolle enflammée. Il la besogne sans ménagement, avec une frénésie non retenue. Les cuisses écartées, les bas plissés au-delà du raisonnable, Sofia est totalement soumise au désir de ces hommes. Elle est la reine du stupre, la princesse de la débauche, l’impératrice de la luxure, la déesse de la lubricité.
– Elle adore vraiment ça, cette grosse pute ! Quelle salope ! Elle aura bien mérité son foutre ! lâche Philippe, la bite à la main.
Le chef de la meute se branle avec énergie. Il meurt d’envie d’enculer cette pute bourgeoise. Envie d’enfoncer sa queue bien profondément dans le cul totalement dilaté. Sofia capte son regard, devine ses intentions. Elle repousse la queue qui la pilonnait, crache la bite qui lui remplissait la bouche ainsi qu’un énorme paquet de salive. Elle se met à quatre pattes sur la table, laisse passer un des hommes sous elle et un autre juste sur son dos.
Les deux mâles la pénètrent en même temps. Sans queue dans la bouche, Sofia peut donner libre cours à ses gémissements. Elle hurle de plaisir, de bonheur, invite ses tourmenteurs à lui donner encore plus.
Les hommes accélèrent le rythme, n’hésitent pas à s’échanger les places. Le jus de Sofia ne cesse de couler à gros débit. Il y a désormais une large auréole sur la table. Doublement pénétrée, secouée, le cul intégralement trempé, Sofia est plus qu’heureuse. Elle crie un plaisir qui ne se tarit pas.
– Plus fort ! Encore ! Encore !
Les mâles s’activent. On cherche à nouveau sa bouche. Sofia veut continuer de pomper, comme elle sait si bien le faire. Une bite s’installe au fond de sa gorge et rapidement, après quelques va-et-vient intenses, Sofia, au comble du bonheur, crache une salive épaisse. Le bruit de sa succion se répercute dans tout le pavillon de chasse.
Les queues raides jouent l’alternance dans sa bouche, son cul et sa chatte. Sofia est empalée de partout, secouée dans tous les sens. Pas de répit pour la salope dont les bas couture plissent de plus en plus.
– Défoncez-moi plus fort, bande de salauds !
Sofia repousse les bites, descend de table et vient s’accroupir au milieu de la pièce. Les douze hommes ont compris le mouvement et viennent entourer la pute bourgeoise. Un premier chibre vient forcer le passage de la gorge de Sofia puis, à un rythme effréné, une seconde lui succède, puis une troisième… Les douze mâles ravis y ont droit. La salive de la putain dégouline à grands jets sur ses gros seins aux tétons dardés. Une bave épaisse qui coule sur ses bas et jusque sur le parquet. Sofia, jouant de sa langue vorace, tient les bites longtemps dans sa bouche, les laisse bien s’enfoncer au fond de sa gorge. Puis elle pompe à un rythme effréné, ne se laissant que peu de répit entre chaque queue. C’est elle qui mène le bal.
Sa bouche est remplie à foison mais elle a encore envie des queues au fond de son cul de putain. Elle se relève, toute dégoulinante de salive et donne ses instructions :
– Toi, tu t’assois sur la table. Je vais te dévorer la bite. Et toi, fait-elle à un autre, tu m’encules. Et ainsi de suite.
Solidement campée sur ses talons aiguilles, Sofia pompe à nouveau les chibres offerts à sa bouche insatiable. Des fellations voraces, intenses. À chaque fois, l’homme est sur le point de décharger mais elle sait s’arrêter à temps. Quant à son cul, il engloutit les queues enfiévrées avec régularité. Des sodomies profondes et rythmées. Sa chatte n’est pas en reste et libère son jus sans discontinuer.
Entre deux bites, Sofia reprend un peu de souffle et ne manque pas de crier un plaisir dévastateur. Elle hurle à n’en plus finir avant de reprendre une bite en bouche. Profondément. Très profondément. Jusqu’aux couilles. Elle recrache la verge avec un énorme filet de bave. Puis elle recommence l’exercice avec une joie toujours renouvelée. Sans changer de position, l’anus toujours bien rempli, les queues défilent au fond de sa gorge. Sofia prend un même plaisir à lécher les couilles gonflées. Elle sent qu’ils ne vont pas être long à venir. Ses lèvres expertes et gonflées par le stupre ralentissent un peu le rythme. La pute bourgeoise ne veut pas de sperme au fond de sa bouche, ni au fond de son cul. Sans leur dire, elle a déjà choisi l’endroit où ils pourront gicler toute leur semence.
– Du foutre ! Je veux du foutre ! Donnez-moi tout votre foutre sur mes bas !
Ce n’est pas une supplique, c’est un ordre. Sofia s’allonge sur la table et les douze hommes se positionnent afin d’avoir leurs queues bien orientées vers la cible. Elle se masturbe avec vigueur, joue avec ses tétons et sa bouche. Son menton est encore imbibé de salive. Les mâles se branlent avec énergie et rapidement, les premiers jets de sperme atterrissent sur le fin nylon en paquets épais et chauds. Sofia est ravie. La voilà inondée d’un foutre qu’elle badigeonne, s’attardant sur ses seins et sa bouche.
Ajouter un commentaire