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A quoi tient la vie d’un couple… (3)

A quoi tient la vie d’un couple… (3)



J’arrive au niveau des serviettes et tout de suite je comprends que Geoffrey me fait encore la gueule, couché à plat ventre le cul à l’air sur son drap de bain et ne daignant même pas tourner la tête. Je ne sais comment réagir, consciente de n’avoir pas été très correcte avec lui mais ne sachant pas ce qu’il a réellement vu et compris de la situation.
Je décide de jouer l’apaisement et vient m’allonger à côté de lui, passant ma main dans ses cheveux bouclés tout en lui baisant la joue avec tendresse.
– Je m’excuse pour tout à l’heure, Geoffrey… je ne voulais pas te blesser. Allez, arrête de faire la tête, s’il te plait… Tu me mets de la crème solaire dans le dos, mon amour !?
– Tu n’as qu’à demander à un vieux pervers sur la plage, bien laid de préférence ! Et peut-être voudra-t-il consommer !?…
– Tu mériterais que je me fasse sauter par plusieurs vieux cochons, là devant toi !
– Et bien vas-y, ne te gêne surtout pas pour moi si ça te fait plaisir, Alexia ! Tu n’as qu’à écarter les cuisses puisqu’ils n’ont même pas à te déshabiller pour te fourrer !
– Pauvre connard, tu sais quoi… je…
– Vous arrêtez un peu de vous chamailler, les enfants ! Geoffrey, tu ne devrais pas tenir de tels propos à l’encontre de ta copine, ce quel que soit ce que tu lui reproches. Ce sont le genre de paroles que l’on regrette toujours un jour ou l’autre… Allez, profitons de cette belle plage et de ce temps magnifique !… Axelia, je te passe de la crème solaire dans le dos, si bien sûr mon petit-fils n’y voit aucun inconvénient ?
– De toute façon, il n’a…
Roger ne me laisse pas terminer ma phrase, me posant un doigt sur la bouche.
– Bon, Alexia… elle est où ta crème, pour que je protège cette jolie peau de citadine qui ne doit pas voir souvent le soleil ?
Je lui passe le tube de crème et m’allonge sur ma serviette de bain, bien décidée à me venger de mon copain. Aussi, dès les premières caresses de Roger pour étaler le liquide blanc et opaque sur mon dos ainsi que sur mes épaules, j’écarte les cuisses tout en remontant le bassin pour l’inciter à s’aventurer en direction de mon intimité. Je tourne ma tête tantôt vers lui, le gratifiant de gestes obscènes avec ma langue pour l’exciter encore davantage, tantôt vers Geoffrey pour vérifier ce qu’il fait et s’il nous regarde. Ce dernier semble dormir ou tout du moins le feint-il, son visage dirigé dans ma direction et ses yeux clos. Je me fais d’ailleurs la réflexion que dès que son grand-père me baisera, je le réveillerai pour qu’il ne manque rien du spectacle…
Cependant, malgré mes invitations explicites à abuser de mon corps, Roger ne s’y résout toujours pas et se borne à étaler la crème uniquement sur mon dos et mes épaules. Je suis bien évidemment dans un état de manque insupportable, avec toutes mes zones érogènes douloureuses d’un brûlant désir de baise toujours inassouvi.

Je décide donc de forcer le destin et me retourne sur le dos…
– Roger, vous pouvez me mettre aussi de la crème solaire sur les seins et sur mon petit abricot, s’il vous plait… car je ne voudrais pas chopper un coup de soleil !? Vous allez voir, j’ai la peau très douce et fragile à ces endroits-là.
Je rajoute quelques minauderies pour enlever toute inhibition au vieillard dont le sexe s’est redressé comme par magie. Je jubile de ce que je viens de provoquer, surtout que j’ai également aperçu mon copain relever subrepticement la tête, preuve qu’il faisait bien semblant de dormir.
Roger, qui avait probablement vu lui aussi son petit-fils se redresser, commence néanmoins à étaler la crème qu’il vient de mettre sur mon bas-ventre avec la main droite tout en continuant d’en verser avec l’autre sur mes seins.
– Qu’elle est amusante, cette petite chouquette !… me dit-il avec tendresse tout en jouant, ses doigts avec ma petite touffe brune délicatement taillée.
– Vous aimez mon petit minou, Roger ?… Moi, vous savez, j’adore qu’on me le fasse miauler de plaisir et vous devez savoir y faire, vous !?… Hmmmm !…
J’appuis particulièrement sur le dernier « vous » de ma phrase, à destination de Geoffrey. Pendant ce temps, les doigts du vieil homme descendent un peu plus bas sur mon sexe et s’immiscent entre mes lèvres charnues avec beaucoup de dextérité, son pouce jouant avec mon clitoris pour le faire sortir de son capuchon. Je suis aux anges… ma chatte s’humidifie de nouveau intensément et mes tétons se dressent, particulièrement sensibles, dès lors que Roger commence à étaler la crème.
Tout en levant le bassin pour l’inciter à enfiler ses doigts dans mon vagin, je glisse une de mes mains entre ses cuisses et saisis ses bourses, les lui caresse un moment… puis remonte vers sa colonne de chair gonflée d’excitation. Je commence à le branler doucement, bien consciente que Geoffrey ouvre régulièrement ses yeux pour regarder la scène.
– Oh oui, vieux cochon… Hmmm… Fourre-moi tes gros doigts bien profond !… Hmmm… Je veux ta main toute entière dans ma chatte !
– Oui… Axelia… t’es une bonne petite salope !… Tu aimes sentir ma grosse queue dans ta main et la caresser, hein !? C’est mon petit-fils qui en a de la chance, d’avoir une aussi belle salope comme copine.
– Hmmm !… Encore !… Hummm !…
Après un premier doigt, un deuxième vient de se glisser entre mes lèvres dégoulinantes de cyprine… j’écarte les cuisses encore un peu plus pour qu’il puisse en rentrer un troisième dans mon antre. Tous mes muscles se contractent d’un seul coup… je jouis de tout mon corps, criant ma jouissance sans la moindre discrétion, sans la moindre honte ! Cela n’empêche pas pour autant Roger de poursuivre sa fouille en règle de mon sexe, son autre main jouant avec mes tétons tout durs et pourtant tellement sensibles.
Quant à moi, après quelques instants perdue dans des pensées vaporeuses, je reprends avec hargne mes va-et-vient sur le chibre tendu de mon amant du jour, obsédée par l’idée de le prendre ensuite en bouche…

Secouée par les orgasmes qui se succèdent, j’aperçois lors d’un mouvement de tête Geoffrey en train de se trémousser au niveau du bassin tout en faisant toujours semblant de dormir, sans doute gêné par une féroce érection. Et puis je distingue également plusieurs silhouettes debout autour de nous, des hommes pour la plupart semble-t-il, probablement occupés à se masturber devant notre scène de baise.
Tout ça ne fait que décupler mon excitation.
– Roger, je veux ta bite dans ma bouche !… Je veux que tu me donnes ton jus à boire !…
Je ne lui laisse pas le temps de réagir à mes propos que déjà je me suis mise sur le flanc et rapproche ma bouche de son vis couleur cramoisi. Un petit coup de langue sur le méat, puis j’engouffre la bête entre mes lèvres gourmandes avec un bruit de succion ne laissant aucune ambiguïté sur la suite des événements.
Mon vieillard me ramone toujours le vagin avec ses doigts, de façon encore plus farouche comme s’il tenait à me faire jouir une dernière fois avant de me remplir la bouche de son foutre. J’ai maintenant aussi un doigt qui me taraude frénétiquement mon petit œillet… mais je n’arrive pas à voir à qui mon intrus appartient. A un des pervers de la plage, probablement…

– Arrrghhh ! Oh ouiii ! Axelia, pompe-moi comme une petite pute !…
Comprenant parfaitement le message, je m’agrippe fermement à sa queue et serre les lèvres pour ne rien perdre de sa semence. De longues giclées de son sperme brûlant inondent ma bouche alors que je suis moi-même prise de spasmes de jouissance, un très violent orgasme me submergeant.
J’étouffe, recrache une partie… mais en avale aussi une grande quantité. J’aime ce goût salé et cette sensation de chaleur dans tout mon corps.
Encore toute retournée par mon dernier orgasme, j’ouvre les yeux et, là… une très agréable surprise : plusieurs belles bites bandées d’excitation surplombent mon visage. J’ai à peine le temps d’exclamer ma joie et ma gourmandise que déjà les premières me crachent à la gueule leur foutre. J’ouvre grand mes lèvres et offre ma langue à ces jets spasmodiques, récolte sur mes seins et mon visage le chaud nectar pour le porter à ma bouche… complètement ivre de jouissance.
– Putain de chienne… elle en redemande !…
– Un vrai aspirateur à sperme… je n’ai jamais vu ça !…
– Sacré coquine, reviens vite sur notre plage… la prochaine fois, nous te défonçons ton putain de petit cul de salope !…
– Hmmm !…
Chacun y va de son commentaire salace… et moi, je continue à me faire asperger de foutre comme si de rien n’était. Enfin, le dernier me gicle sa semence dans mes longs cheveux noirs, puis il s’adresse à Geoffrey qui semble pourtant toujours endormi.
– Eh, toi qui fais semblant de dormir… si c’est ta copine là, t’es un sacré veinard ! Par contre, si tu lui fais sans arrêt la gueule, je veux bien te l’échanger avec ma femme… elle tire souvent la tronche aussi. Allez, sans rancune, cocu !…
Mon copain ne bronche pas du tout mais je sais qu’il a tout entendu… les autres hommes rejoignent leurs emplacements respectifs sur la plage. Roger se lève, la queue maintenant toute molle.
– Allez, viens Axelia ! Nous allons nous laver dans l’océan surtout que tu es couverte de sperme de la tête aux pieds. Et puis après, il sera l’heure de rentrer à la maison pour que mamie ne s’inquiète pas trop !
– Ouiiii !… Merci, mon Roger d’amour, pour cette magnifique journée.
Je l’embrasse voluptueusement sur la bouche pour un long baiser où nos langues s’entremêlent. Bien sûr, je n’avais encore jamais embrassé un homme comme ça et je ressens immédiatement une douce chaleur dans mon ventre.

Une fois rincés et rhabillés, nous bousculons Geoffrey pour qu’il se lève et passe ses vêtements. Il est tout bizarre, le regard halluciné comme s’il avait consommé de la drogue. Bon, vu ce que je lui ai fait subir, à mon copain, c’est sans doute logique… et j’appréhende sa réaction quand il aura retrouvé ses esprits.
En attendant, le retour sur Challans se passe sans le moindre mot dans la voiture, chacun étant pris dans ses propres pensées…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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