Moi-même, j’avais de la peine pour elle. Cette fille entrait parfaitement dans ma définition du magnifique, voire de la perfection. Ses cheveux blonds tombaient jusque sur ses omoplates, son visage, d’une beauté à couper le souffle, aurait sans problème pu faire jalouser les mannequins du monde entier. Désormais, je la voyais nue. Sa faible poitrine, m’excitant tout autant que celle de ma sœur, qu’elle essayait de cacher, traduisait son appréhension. Ses fesses, ni trop grosses, ni trop minces, rebondissaient à chacun de ses pas. Mon pénis, voyant à travers mes yeux ce spectacle, gonflait de plus en plus au rythme de ses rebonds. Un instant, lorsqu’elle nous fit face, je pus apercevoir son intimité et je m’aperçus que mon plaisir ne venait que de commencer : je voyais ces lèvres sublimes et son pubis sur lequel un petit triangle de poils avait volontairement été épargné, rendant ce spectacle plus magique encore. Seul bémol, elle n’était pas excitée, loin de là, mais qui aurait pu lui en vouloir ? Avoir un cochon pareil comme binôme
Je fus tiré de ma rêverie lorsqu’elle se prépara à lui faire une fellation. Alors qu’elle se baissait, il lui attrapa les cheveux et la força à se relever.
-Tu as sans doute mal entendu petite coquine. Je dois t’enculer, et ton cul n’est pas sur ton visage.
Elle baissa les yeux sur l’organe de son « compagnon ». Elle l’avait toujours en main, apeurée de ce qui se passerait si elle daignait le lâcher.
-Mais il faut que je le lubrifie si tu veux le faire, mes trous sont étroits, tu ne passeras jamais…
Elle avait prononcé cette phrase avec tant de timidité que je me surpris à craquer. Ma sœur, maintenant toujours fermement mon membre, s’aperçut de mon état surexcité et, histoire de me faire passer un incroyable moment, se mit à caresser mon gland. En réponse, je la regardais tendrement, enfonçant mes doigts plus profondément encore dans son vagin trempé de cyprine. Elle gémit, mais mes yeux se reportèrent sur la scène. Le petit gros lui lécha la bouche, et la jeune fille, malgré elle, ne put cacher son écœurement.
-Rien à foutre qu’elle soit pas lubrifiée, je pousserai plus fort, elle finira par rentré là-dedans.
D’un geste, il donna une énorme claque sur les fesse de la jeune fille qui hurla de douleur. Mylène, ma sœur de 19 ans, serra son poing d’un coup, si bien qu’elle manqua de couper l’afflux sanguin de ma bite.
-Désolé, lâcha-t-elle. Ce type me dégoûte, t’as vu cette claque ?
-J’ai vu, ce n’était pas une fessée coquine pour l’exciter, il voulait vraiment lui faire mal. Ce monstre ressemble moins à un porc qu’il ne l’est vraiment.
Je tournais la tête et nous vîmes, ma sœur et moi-même, que les autres semblaient aussi stupéfaits que nous. Et d’après leurs visages froids et énervés, monsieur Auburn et madame Gustave semblaient du même avis.
Ne voulant pas recevoir une nouvelle claque, la jeune fille se tourna et se pencha en avant, laissant voir son petit cul et sa chatte, encore moins ouverte que précédemment. Sans attendre davantage, le cochon de service plaqua violemment sa queue à l’entrée de son cul et commença à forcer, s’apprêtant à l’enculer à sec. La jeune fille hurlait de douleur. Elle lui demandait d’arrêter, d’y aller plus doucement, mais il ne voulait rien entendre. A ce rythme, il risquait de lui faire vraiment mal. N’y tenant plus, je ne pus m’empêcher de hurler.
-Assez !
Il ne s’arrêtait pourtant pas, comme si je n’avais rien dit. Ce fut à se moment que je craquais. Je m’avançais et ma sœur fut contrainte de me suivre. Me voyant alors qu’il tournait la tête. Le porc se retourna et je le bousculai pour l’éloigner de la jeune fille.
-Ne t’approche plus d’elle !
-C’est ça ! Pour que je me fasse renvoyer, non merci !
-Tu n’as rien à faire ici, tu n’es là que pour lui faire du mal !
-Et alors, c’est ma façon de faire l’amour, et si ça ne te plaît ni à toi, ni à Alice, j’en ai rien à battre, je continue quand même.
Elle s’appelait donc Alice. Cette merveille de la nature portait un nom aussi sublime qu’elle. Perdu quelques dixièmes de secondes dans mes esprits, je m’aperçus qu’il se préparait à repartir à l’assaut avant que ma sœur ne lui envoie un violent coup de pieds dans les parties. Il s’écroula aussitôt, les mains sur ses couilles transformées en ratatouille.
-Je vais t’apprendre à faire souffrir les gens !
Je regardais Mylène stupéfait. Je ne pensais qu’elle ira jusqu’à broyer les coucougnettes du petit cochon, mais apparemment, cela avait amusé monsieur Auburn. Alors que je m’apprêtais à revenir parmi mes camarades, le principal m’interpella.
-Que fais-tu Bastien ? Tu ne vas pas laisser cette douce petite seule, sans partenaire, après l’avoir si vaillamment sauvée de la gueule du loup.
Je me retourne, satisfait. Il est vrai que désormais, on pouvait considérer qu’elle n’avait plus de partenaire. Pour y remédier, je devrais être le sien, mais j’étais déjà celui de ma sœur.
-Je le ferai volontiers monsieur, mais je suis déjà le partenaire de ma sœur.
Il m’adressa un sourire narquois tandis que ma sœur ne réagissait pas, sa main toujours enroulé autour mon pénis.
-Petit veinard, tu as maintenant deux filles pour toi tout seul !
Il me fit un clin d’œil tandis que, de mon côté, je me rapprochais d’Alice. Elle se releva et me fit face. Elle semblait reconnaissante et me sourit. Je vis d’ailleurs que ses lèvres intimes s’étaient entrouvertes. Elle se posa à côté de moi et m’attrapa les couilles, la tige étant occupée par ma sœur. Je me rappelai soudain qu’il fallait que je glisse mes doigts à l’intérieur de sa chatte pour sceller ce pacte de partenariat. Je le fis précautionneusement, je ne voulais pas lui faire mal, l’intervention de « Big Pig » lui ayant probablement laissé quelques séquelles. Je pouvais alors profiter de cette douce peau lisse, de ce triangle de poils m’ayant tant fait bavé. Je pénétrais son vagin de mes doigts lentement, sous les soupirs de plaisir qu’elle ne cachait pas, comme pour m’encourager à aller plus profondément. Voyant cela, monsieur Auburn sembla satisfait.
-Bien. Maintenant, pour confirmer l’entrée de cette douce Alice parmi nous, elle va devoir accomplir ce défi avec son nouveau partenaire…
En entendant cette phrase, je fus transporté en plein rêve. J’allais l’enculer.
-…A moins que tu ne veuilles tirer un autre papier jeune fille, aux vues des circonstances, je comprendrais.
A ma grande surprise, elle refusa.
-Merci de ce geste monsieur, mais j’ai très envie de sentir mon nouveau chevalier en moi à cet endroit. Je suis d’ailleurs certaine qu’il me laissera apprécier ce moment.
Elle me fit un clin d’œil et, après avoir lâché mon membre, elle s’agenouille. Alors qu’elle allait commencer une fellation, Mylène l’en empêcha. Je ne pus m’empêcher d’éprouver une certaine colère envers elle, colère que j’essayais de contenir.
-Mylène, qu’est-ce que tu fais ?
Pour seule réponse, elle me demanda de l’allonger sur le dos. J’obéis. Elle demanda ensuite à Alice de se placer en position de 69. Cette dernière lui jeta un regard interrogateur mais elle obéit à son tour.
-Maintenant, dit-elle, tu vas lui sucer la bite pendant que de mon côté, je vais préparer ton petit cul à être sodomisé, ma jeune Alice.
Elle lui fit un clin d’œil et sans attendre, ma sœur lui planta la langue dans le rectum et commença à la lécher avec gourmandise. Je comprenais maintenant pourquoi elle voulait cette position : d’ici, je voyais tout. Je pouvais voir Alice me sucer et en même temps je pouvais voir la langue de ma sœur s’enfoncer, ressortir et tourner autour du petit trou de ma nouvelle partenaire. Après quelques rapides secondes, les deux s’arrêtèrent et nous nous relevâmes tous. Une fois debout, Alice se tourna, se pencha, attrapa ma bite et la plaça à l’entrée de ses fesses.
-Vas-y, je t’attends.
N’en pouvant plus d’attendre, je rentrais délicatement ma queue dans son orifice. Je décidai de ne pas toucher à son vagin, elle ne m’avait offert que ses fesses, je n’avais pas envie qu’elle m’en veuille après ça. Une fois que je fus entré jusqu’au bout, je commençais délicatement les aller-retours. Je fus alors très surpris de découvrir qu’à chaque retour, elle desserrait les fesses mais les serrait à fond pendant les allers, aspirant mon sexe vers le fond et me faisant ressentir un plaisir inconnu jusqu’alors.
-Tu aimes quand je te fais ça, Bastien ?
Elle me regardais tendrement, ses yeux se fermant entre chaque jouissement de sa part.
-J’adore, tu es une vrai magicienne.
Nous continuâmes alors ce petit jeu plusieurs minutes. Monsieur Auburn ne nous interrompant pas, nous arrivâmes bientôt à bout. Nous avions tout de même décidé de nous retenir, histoire de profiter plus longtemps de ce moment. Je sentais toujours ma queue avancer et reculer dans ses fesses qui s’ouvraient et se fermaient en même temps. Je me mis alors à lui att****r les seins et à jouer avec. Elle sembla apprécier et, sans que je me rende compte de ce qui se passait, elle attrapa ma main gauche pour la poser sur sa chatte. Je commençais alors à lui titiller le clitoris et à enfoncer quelques doigts dans son minou. Elle poussa alors des cris plus passionnés que précédemment, m’encourageant à continuer. De son côté, elle avait réussi à att****r mes couilles et s’amusait à les faire glisser entre ces doigts. Nous n’en pouvions plus. Nous jouissions ensemble, comme deux âmes sœurs. Sa mouille se répandant sur ma main la caressant, mon sperme emplissant son trou. C’était l’orgasme le plus puissant de ma vie et je compris que c’était réciproque lorsque ma partenaire s’écroula sur le sol, épuisée par les efforts qu’elle venait de fournir. Mon sperme s’écoulait abondamment de ce petit trou. Je ne m’en étonnait pas, j’avais senti cinq giclées assez conséquentes sortir de mon pénis au moment de jouir. Ne pouvant attendre plus longtemps, ma sœur nettoya ma bite avec sa langue.
-Félicitation jeunes gens, s’écria monsieur Auburn, bienvenu dans cette école !
Ce fut alors qu’après avoir relevé Alice, nous retournâmes tous les trois nous asseoir, prêts à commencer cette année qui semblait déjà bien commencer avec ces deux superbes filles rien que pour moi.
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