Chapitre 1
Moi, c’est Émilien, je suis un grand brun avec des beaux yeux bleus, à un point que ma maman me disait toujours :
« Mon grand, tu as tellement de beaux yeux qu’on les met en vitrine avec tes lunettes ! »
Aujourd’hui, quand j’y repense, je me dis que l’on est très naïf en étant petit.
Toujours est-il que j’ai bien grandi maintenant. Mais revenant à notre histoire qui, franchement, je n’aurais jamais cru qu’elle puisse me mener jusque-là.
Il y a quelques jours, j’ai reçu une invitation pour une cousinade. Le genre de réunion bien chiante où l’on rencontre des gens notre famille qu’on a jamais vus la plupart du temps. Toutefois, je me dis qu’après tout, pourquoi pas ?
Je vais, peut-être, rencontrer des gens sympas.
Le jour J, me voilà en voiture, après un grand nombre de kilomètres, arrivé sur le lieu de la rencontre. Et effectivement, au vu de la difficulté pour se garer, il y beaucoup de personnes. Au loin, je vois Bernard, ou Nanar, comme je préfère le surnommer, me faire signe, je vais vers lui et ce gentil bougre m’a dégoté une place de parking.
Quelle chance !
Nanar est un homme baraqué, façon rugbyman, brun avec une barbe de 2 jours. Sa nouvelle femme, une grande blonde avec des lèvres pulpeuses, vêtue d’une robe blanche qui dessine ses formes, laissant peu de place à l’imagination. On lui devine des formes généreuses bien réparties, là où il faut.
Après les bises et les courtoisies de rigueur, j’aperçois, derrière lui, une jolie demoiselle.
Une magnifique petite rouquine.
Avec des taches de rousseur sur les joues, un regard angélique avec ses magnifiques yeux, bleu océan, mis en valeur par une touche de mascaras. Et son corps…
Hum, son corps !!!
Une jeune femme mince avec des seins mis en valeur dans un petit top que je trouve trop serré pour elle. Ce qui lui fait un décolleté de malade. Et un petit cul, galbé par un jeans slim, taille basse, duquel dépasse un magnifique petit string.
J’ai franchement eu du mal à me contrôler.
Si j’avais pu, je lui aurais sauté dessus, direct !!
Après ce moment d’égarement qui, pour moi, a duré une éternité, mais en réalité, à peine une, voire deux secondes, la petite rouquine me dit :
« Bonjour Cousin !
– Euhhhhh… »
Je sens mon cœur battre la chamade, un truc énorme :
« Lola !?
– Ben oui, Lola !! » Me répond-elle, avec un petit rire équivoque.
Je lui fais une bise à elle aussi :
« Mais comme tu as grandi, Lola !
.. Je me rappelle de toi à l’époque où l’on jouait ensemble sur la balançoire chez tes parents !
.. Tu es devenue magnifique, ma grande !!
– Toi aussi, tu as vieilli, Mimile ! »
Oui, Mimile, c’est mon surnom, étant donné que je m’appelle Émilien.
« Bon et si nous allions rejoindre les autres invités ? Nous dit Bernard.
– Je vous suis ! »
Et nous allons vers le lieu de la fête.
Sur place, nous nous servons une coupe de champagne, puis chacun va au devant de la foule, dans des directions différentes.
Je croise Isabelle, une tante germaine par alliance, avec un je ne sais pas qui, que j’avais dû voir une fois en 24 ans, âge que j’ai aujourd’hui.
Une petite femme boulotte, avec un décolleté énorme. Malgré ses 68 ans, je la trouve radieuse.
Elle me parle d’histoires qui n’ont, hélas, ni queue ni tête. Etant donné qu’elle a un cheveu sur la langue.
Ou un poil de bite dans la bouche car, paraît-il, Isabelle est portée sur la sucette.
Toujours est-il qu’elle me gave.
Je me retourne à droite, à gauche, dans l’espoir de trouver quelqu’un de ma connaissance afin me m’éclipser sans être discourtois.
Un peu plus loin je vois Lola qui regarde dans ma direction.
Elle pouffe de rire.
J’imagine donc qu’elle a compris dans quelle situation je suis.
Avec un grand sourire, elle se lève et vient en ma direction.
Une fois à notre hauteur, elle entame la discussion :
« Bonjour Isabelle ! Vous allez bien ? »
Smack, Smack.
Après une bise, elle lui répond :
« Très bien, merci ma petite !
– Puis-je vous emprunter mon cousin ?
.. J’aimerais lui faire faire le tour du manoir, étant donné que c’est, pour lui, la première fois qu’il vient ici !
– Bien sûr, Lola !
.. Bonne balade, les enfants ! » Nous dit, gentiment, Isabelle.
Lola et moi nous partons main dans la main, en direction du manoir et Isabelle de l’autre côté.
« C’est trop chiant, n’est ce pas ?
– Tu m’étonnes !
– J’ai cru mourir avec elle !
.. Franchement, je te ferais bien une bise pour te remercier, Lola ! »
Elle s’arrête de marcher, se retourne en me faisant face. Se colle contre moi.
Avec son sourire magnifique et son regard de braise. Ses seins collés contre moi, je me sens limite défaillir.
Une érection commence à se faire sentir. Et je suis sûr que Lola a pu le remarquer.
« Mais je t’en prie ! » Me dit-elle.
Alors, ni une ni deux, je lui embrasse la joue et au moment de biser la deuxième, elle tourne la tête.
Ce qui finit, au final, par un bisou tendre. Collé l’un contre l’autre.
Elle s’est mise à rire.
« Humm, merci pour le bisou !
– Mais de rien, cousine ! Lui ai-je répondu, en souriant.
– Mais dis donc, je te fais de l’effet ! Me dit-elle, en sentant mon érection.
– Oui, je l’avoue, ma grande !
– Humm, après tout… ! »
Là, un silence de quelques secondes me laisse plein d’espoir et songeur.
Mais que va-t-il se passer !?
Elle me caresse le dos avec ses mains menues, puis se retourne. De nouveau, me prend par la main et m’entraîne avec elle.
Elle me dit alors :
« Viens Mimile, on va aller dans un coin pas mal que je connais !
.. On va s’amuser un peu tout les deux ! »
Et c’est avec un petit clin d’œil coquin qu’elle brise en moi toute résistance.
Je la suis, ma charmante rouquine, ma cousine magnifique avec qui…
Chapitre 2
Alors qu’elle m’attire vers le fond de la propriété derrière le manoir, je suis comme hypnotisé par son petit cul.
Ses fesses se dandinent au rythme des ses pas pressés qui en disent long sur son envie.
Hum, c’est un appel à la débauche !
J’imagine mon pénis, au fond de son boyau, se faire masser à la même cadence par ses petites fesses musclés.
C’est à cet instant qu’elle me dit :
« Mimile, ça y est, on y est ! »
Elle ouvre la porte d’une petite bâtisse– Nous descendons les quelques marches pour arriver dans un sous-sol qui, au final, est simplement une cave à liqueurs aménagée.
Et drôlement bien aménagée, d’ailleurs !
Sur les pans de mur, des étagères remplies de bouteilles d’alcool et autres liqueurs.
Dans un coin, se trouvent deux fauteuils et un tapis au sol, rouge bordeaux– Entre les deux fauteuils, une table avec tous les ustensiles et verres, afin de pouvoir se délecter des nectars de la cave.
Lola me lâche la main et va chercher une bouteille de champagne dans une des étagères.
Elle revient vers moi, puis s’installe sur l’un des fauteuils.
« Alors Mimile, mets-toi à l’aise !
– Oui !
– Au fait, alors il te plaît, mon cul ?
– Oui, ma cousine, franchement, il me fait envie ! » Je lui réponds, tout en m’asseyant sur le fauteuil en face d’elle.
Elle débouche le champagne de telle sorte qu’elle en renverse un peu partout ! Elle en a partout sur ses mains, ses doigts.
Elle sert une coupe et me la tend avec le sourire.
« Merci Lola !
– De rien ! »
Et ensuite, avec son regard magnifique, elle commence à lécher le goulot de la bouteille, afin de ne rien perdre des gouttes qui dégoulinent.
Cette petite langue rouge, hum !!
Cela me donne envie grave. Elle prend ensuite le goulot de la bouteille et commence à le lécher.
Je suis dans un état délicat et mon sexe serré dans mon pantalon me fait souffrir.
Une bosse fièrement dressée que Lola continue de mater, tout en suçant le goulot de la bouteille.
Je lui dis alors :
« Lola, j’en peux plus ! Tu me fais trop envie !
.. En plus, je suis serrée dans mon pantalon !
– Ben, vas-y, sors-la ! Fais-moi plaisir, caresse-toi ! »
Je n’en crois pas mes oreilles, ma cousine Lola me demandant de me branler devant elle.
Il faut dire que ce n’est pas l’envie qui m’en manque.
Lola pose la bouteille, puis se lève du fauteuil, déboutonne son jeans slim et se tourne, puis le retire en s’abaissant.
J’ai une vue imprenable maintenant sur son petit cul, il est magnifique !
La même couleur de peau claire que son magnifique visage d’ange.
Seul, son petit string rose m’empêche encore de pouvoir contempler son sexe.
Elle se tourne face à moi et s’assied de nouveau sur le fauteuil.
Elle pose l’un de ses pieds sur l’accoudoir.
D’une main, elle écarte son petit string et commence à se titiller le sexe.
Moi, je ne tiens plus et décide de me mettre à l’aise.
Je baisse mon pantalon et mon boxer, puis je m’assieds, face à ma cousine.
Mon sexe dressé, je commence à me caresser, tout en scrutant Lola qui en fait de même.
Cela me fait tant de bien !
Ma cousine regarde mon sexe et n’en perd pas une seconde de ma branlette.
« Mais tu es circoncis, mon chéri !
– Oui, tu as raison !
.. Je trouve cela plus hygiénique pour la toilette.
.. Mais, dis-moi, tu es drôlement vicieuse ! Tu te masturbes souvent comme cela ?
– Peut être !
.. En tout cas, ta zezette me fait envie ! » Me répond la petite coquine, en se léchant ses petites lèvres pulpeuses.
Qui, au même instant, s’introduit deux doigts dans son sexe que je vois gonfler de plaisir.
Moi, cela n’a pour effet que d’accélérer les va-et-vient de ma main sur mon sexe.
Ma cousine commence à gémir tout doucement :
« Humm ! C’est si bon !
– Tu m’en diras tant !
– Mimile… !
– Oui, ma belle rousse vicieuse ! Lui dis-je, en lui faisant un clin d’œil.
– Tu sais ce que c’est une cousinade ?
– Non, dis-moi, Lola !
– C’est une omelette de cousin ! »
Je suis énormément troublé par ce qu’elle vient de me répondre.
Elle arrête alors de se doigter et se lève pour me rejoindre. S’agenouille et stoppe ma main sur mon sexe.
« Laisse-moi faire, cousin chéri ! »
Et d’une main, elle commence à me caresser les deux joyeuses.
Avec son regard plongé dans le mien, elle commence à me branler avec son autre main.
« Hum, oui, vas-y, Lola, c’est bon ! »
Le sourire de Lola me dit quelle prend son pied, elle aussi.
Nous sommes tous les deux chaud bouillant.
C’est à ce moment que la main me branlant, quitte mon sexe pour laisser place à sa langue, si chaude, si tendre sur mon sexe.
Me délectant de ce léchage de la base de mes couilles jusqu’au bout de mon gland, je réussis à la voir, cette main entre ses cuisses.
En effet, cette petite rousse, bien salope, me lèche le sexe et les couilles, tout en se doigtant.
Je suis au paradis ! Et ma cousine ma déesse.
« C’est trop bon, Lola !
.. Donne-moi ta bouche !!
– Oh oui, cousin, vas-y, baise-moi la bouche ! »
Et telle une tigresse affamée, elle me gobe le sexe.
Sa cavité buccale chaude, humide, et sa langue m’enveloppant le gland, c’est divin.
Ma main rejoint la sienne entre ses cuisses. Je la lui retire de son intimité et apporte ses doigts à ma bouche ett les suce avec gourmandise.
« Hum, tes doigts sont couverts de tes sucs…, c’est si bon ! »
Elle lâche mon sexe un instant et me demande :
« C’est vrai ?
– Oui, j’aime le goût de ta chatte sur tes doigts ! »
Et c’est avec un grand sourire qu’elle me répond :
« Moi aussi, j’aime le goût de ta bite ! »
Et de nouveau, elle reprend sa sucette.
Je vais mettre mes doigts entre ses cuisses, afin de la caresser.
Cela lui fait un tel effet quelle me suce encore plus fort.
Je ne suis pas loin de jouir, tellement cela est intense.
Je plonge deux de mes doigts dans son vagin qui rentrent très facilement – tellement elle est trempée – et la masturbe comme si je l’avais baisée avec mon sexe en elle.
« Oh oui, putain ! S’exclame-t-elle, en lâchant ma bite.
.. Vas-y plus fort ! Tes doigts, c’est trop bon !
.. Je n’en peux plus, je veux te vider les œufs, mon cousin !
.. Je veux goûter à ton blanc d’œuf !! »
Et, aussitôt, elle m’aspire la bite dans sa bouche.
Me pompe comme si sa vie en dépendait, pendant que j’accélère, moi aussi, mes doigts inquisiteurs.
Au bord de la rupture, je lui dis :
« Ҫa y est, je vais jouir ! »
Elle sort mon sexe de sa bouche.
Lola prend ses deux mains, l’une me caressant les couilles, l’autre me branlant.
« Vas-y, donne-moi tout ! Crache ton jus, salop !! »
Et me suce et m’aspire le gland de nouveau.
« Ahhhh ! Oui… !! »
Je crache un premier jet, puis un second, puis encore un autre.
Lola, vicieuse comme tout, se délecte du produit des mes burnes et déglutit, telle une vicieuse affamée à chaque spasme de mon sexe, jusqu’au dernier.
Tout en me regardant dans les yeux, elle relâche mon gland, et comme pour la bouteille de champagne, me lèche le sexe afin de ne pas en perdre une goutte.
Quelle salope, me dis-je !
Mais je ne suis pas au bout de mes surprises.
« Et voilà, tout propre ! Me dit-elle, en rigolant.
– T’es une petite salope, cousine !
– Non, une grosse Salope ! » Me répond-elle.
Elle se relève lorsque je vois l’état de son string et de ses cuisses couvertes de jus.
« Effectivement, t’es une grosse salope !
.. Et une grosse salope de cousine, même !!
.. Viens voir… ! »
Je la soulève, l’assied sur le fauteuil.
« Je ne peux pas te laisser ainsi !
– Tu as sans doute raison, Mimile ! » Me répond-elle, en me souriant.
Et je commence à lui lécher les cuisses, histoire de la nettoyer.
Je remonte tout doucement vers sa petite chatte toute moite et chaude.
Je lui lèche la minette, lui lape son jus.
« Hum, cousin, c’est bon !
.. T’es un sacré salop, toi aussi !
– Oui, j’avoue !
.. Et tes liqueurs, je les adoorrreee !!!!
– Vas-y, régale tooooiiiii, mon chéri ! »
Elle n’a même pas besoin de me le dire. Je la lèche, je veux me rassasier de son jus.
Je glisse ma langue au fond de son vagin pour récupérer les liqueurs les plus odorantes.
Quelle extase, c’est tellement délicieux, la foufoune d’une petite rousse vicieuse !
Lola prend un pied monstre, elle se trémousse au rythme de ma langue qui la fouille.
Quand, d’un coup, elle m’agrippe des ses petites mains la tête et me colle le visage à sa choupinette.
Elle jouit d’une force !!
« Ohhh Oui !!!!!!!! » Se pâme-t-elle.
Et moi, trop heureux, j’ai touché le jackpot !
Une femme fontaine.
Je peux boire jusqu’à plus soif ett me délecter de sa foufoune.
Une fois sa petite chatte à sec, je me relève et me love contre elle et l’embrasse pour lui faire goûter à ses propres sucs sur ma langue.
Blottis et câlinés l’un contre l’autre, nous sortons de notre petit monde lorsque le Smartphone de Lola se met à sonner.
Elle répond :
« Oui ?
– Ben alors, Lola, que fais-tu ?
– Je suis avec Émilien, on se balade dans le parc ! »
« Putain de menteuse ! Si ton père savait… ! Me suis-je dit.
– D’accord et bien, il est temps de revenir, il est tard !
.. C’est l’heure de rentrer à la maison !
– Oui papa, on arrive. ! »
Nous nous rhabillons rapidement et sortons de la cave à vin et nous nous dirigeons en direction du manoir, afin de retrouver l’oncle Nanard.
Chapitre 3
Nous arrivons bras dessus, bras dessous, Lola et moi à la hauteur de Nanard et sa nouvelle femme Béatrice. Nanard, le sourire jusqu’aux oreilles a dû, lui aussi, passer un bon moment.
« Alors les jeunes, c’était bien votre balade ?
– Très bien merci ! Répondis-je.
– Super, merci papa ! D’ailleurs, ce serait super qu’Émilien puisse venir à la maison, c‘est un cousin génial ! Dit Lola à son père, en lui faisant un clin d’œil.
– Ah bon ! Je pense que cela peut s’arranger facilement, ma petite puce !
.. Enfin, si Béatrice est d’accord pour que l’on passe un bon moment !
– Hummm, aucun souci, ce sera un plaisir de recevoir Émilien ! » Répond-elle à Nanard.
Et en même temps, elle me lance un regard de braise tout en souriant.
« Merci papa, merci Béa !
– Demande le numéro de téléphone portable que l’on puisse le joindre pour régler les détails !
– Oui bien sûr, je suis bête ! Rigole Lola.
.. Tu me le donnes ?
– Bien sûr, 06 XX XX XX XX !
– Merci Mimile, tu vas voir, tu vas grave adorer tes vacances chez nous !!
– Je n’en doute pas, charmante cousine ! » Je lui réponds en repensant à notre après-midi branlette, pipe et cunni, mais en réalité, j’étais loin de me douter de la proportion des choses.
Sur le chemin du parking, Nanard et sa femme, devant nous, avancent en se tenant la main.
Quant à Lola et moi, nous sommes bras dessus, bras dessous.
Elle me dit à voix basse :
« Tu as vu le cul de Béa ? Ҫa te dirait pas de le lui bouffer ?
– Franchement, il est beau et bien charnu, il me plaît bien, mais je préfère le tien !
– Petit pervers !
– Et toi, petite perverse !
– Et ben, dis-toi que dans la famille, on s’aime tous énormément !
.. Et à partir de 18 ans, on a le droit de s’aimer de façon charnelle !
– Tu vas finir par me dire que Nanard, Béatrice et toi, vous vous envoyez en l’air ? »
J’étais à fond dans la conversation, imaginant le cul de Béa et celui de Lola offert à Nanard…
« T’es arrivé à ta voiture, Mimile et nous aussi ! Dit Nanard.
– Ah oui, en effet ! » Répondis-je.
Lola me saute au cou et m’embrasse sur les lèvres sous le regard amusé de Nanard et Béa.
Je réponds à son baiser en sortant ma langue. Elle aussi en fait de même et le bisou chaste se change en un baiser entre deux amoureux fous. Les langues se cherchent, se titillent. L’amour entre nous est définitivement présent.
À côté. Nanard et Béa, heureux de nous voir ainsi, en font de même et s’embrassent passionnément.
Je dis alors à Lola :
« On va pouvoir s’aimer tout les deux lorsque je viendrai en vacances ?
– Oui et même plus encore ! Me répond la petite rousse toute vicieuse, en me caressant le torse avec sa main.
– Comment ça, plus encore ?
– Et bien, tu pourras tous nous aimer !
.. Enfin, on en reparlera, je te recontacte rapidement sur ton tél, mon cousin d’amour ! » Me dit-elle.
Et c’est ainsi qu’elle me refait un gros bisou et relâche son étreinte pour rejoindre son père.
« Au revoir, Mimile ! Me dit l’oncle.
– Au revoir tout le monde ! » Je réponds.
Ils montent dans leur véhicule, démarrent et s’en vont en me faisant signe de la main par la fenêtre du véhicule. J’en fais de même en les regardant partir.
Je monte dans mon véhicule et repense à tout ce qu’il s’est passé. Si j’ai bien compris, tout le monde baise avec tout le monde et je suis convié par ma cousine à participer.
Cela me travaille énormément, au point que mon sexe me fait mal dans mon jeans, mais pas le choix, faut se calmer, penser à autre chose, car la route m’attend.
« Mais bon, plus facile à dire, qu’à faire ! » Je me dis.
Me voilà donc sur la route du retour, en attendant avec impatience des nouvelles de Lola.
Au même instant, dans le véhicule de L’oncle :
« Alors ma puce, heureuse de savoir que tu vas pouvoir faire venir ton cousin chez nous ?
– Oui papa, en plus il est trop doué !
– Ah bon…, raconte !
– Cet après-midi, on s’est isolé et je l’ai branlé bien comme il faut !
.. Et il a craché dans ma bouche, il a un goût que je kiffe !
– T’es une vicieuse, ma fille !
– Oui papa, carrément !
.. Ensuite, j’étais tellement trempée qu’il s’en est aperçu et m’a bouffé la moule… !
.. J’ai cru mourir, tellement c’était bon !
– Ma fille, tu es une espèce de salope i****tueuse et j’aime ça !
.. J’ai déjà la bite dure à écouter me raconter tes saloperies !
.. Béa, branle-moi un peu pour évacuer la tension, s’il te plait ?
– Bien sûr, mon amour, mais arrête-toi, qu’on ne finisse pas dans le décor, ça serait bête ! » Répond Béa.
Le véhicule à l’arrêt, elle ouvre la braguette de Nanard et sort le sexe déjà très dur et le branle énergiquement. Béa soulève sa robe écarte son string et se fouille la moule avec deux doigts.
Lola assise à l’arrière du véhicule derrière sa belle-mère s’approche et lui ouvre le décolleté pour lui caresser ses gros seins généreux. Se manège dure un petit moment bien agréable d’ailleurs.
Lorsque Nanard, par la branlette très énergique de Béa et le spectacle de celle-ci se doigtant comme une folle et de sa fille lui pelotant les nichons, se met à grogner comme un ogre et crache son foutre dans les doigts de Béa qui continue à le branler jusqu’à la dernière goutte. Béa approche sa main pleine de sperme et, ni une ni deux, Lola se jette dessus et s’en délecte.
« Hummm papa, ton foutre est aussi bon que celui d’Émilien !
– Ah bon et bien, j’ai hâte de le goûter, moi aussi ! Renchérit Béatrice, qui suce le reste de sperme sur ses doigts que Lola a bien voulu lui laisser.
– Bande de salopes, bouffeuses de foutre i****tueuses !!
– Oui parfaitement, papa, tu as raison !
.. On est de vraies salopes, des trainées i****tueuses et qui aiment ça, en plus !
– J’ai une idée. et si on envoyait une petite vidéo coquine à Émilien dans les prochains jours ?
.. Histoire de le chauffer et qu’il puisse penser à nous, en attendant les vacances pour qu’il vienne ! Dit Béatrice.
– Mais oui, très bonne idée, mais quoi comme vidéo coquine ? Répond Lola.
– Mon petit ange, ne t’inquiète pas, j’ai mon idée ! » Lui répond son père.
Nanard range son sexe dans son pantalon, redémarre le véhicule en direction de son domicile…
Chapitre 4
Quelques jours plus tard mon Smartphone retentit. Je décroche et je suis heureux de constater qu’il s’agit da charmante cousine.
« Bonjour Mimile. c’est Lola !
– Salut ma toute belle, je suis content de t’avoir au téléphone !
– Ah bon, je te manque tant que cela ?
– Bien sûr !!
.. En plus, tu me dois certaines explications !
– C’est vrai, je l’avoue !
.. Pour tout te dire, je fais l’amour avec mon père et l’ensemble de la famille depuis mes 18 ans !
.. Le sexe chez nous est libre, du moment que l’on ne force personne à faire ce qu’il ne veut pas !
– D’accord, je comprends mieux la petite phrase équivoque que tu m’as lancée avant de partir !
.. Donc, nous pourrons nous aimer tous les deux sans soucis ?
– Bien sûr, tu pourras me faire l’amour !
.. Tout comme tu pourras aussi t’occuper de ma sœur Dan et de ma belle-mère !
.. Voire même participer à nos soirées privées !
– Des partouzes dans ta famille ???
– Mais oui, mais aussi avec une autre famille et même certaines de mes amies !
– J’ai trop hâte de venir te rejoindre, ma Lola !
.. En tout cas, j’ai posé mes vacances, et je suis dispo pour les trois premières semaines d’Août, ma chérie !
– C’est vrai ?
– Oui, bien sûr !
– Trop génial, je vais prévenir mon père et Béa !
.. D’ailleurs, il ne reste plus que 3 semaines avant ton arrivée chez nous !
.. J’ai beaucoup de choses à préparer pour ton arrivée !
.. Et j’ai une surprise pour toi, mon cousin chéri !
– Ah bon, qu’est-ce donc ?
– Je voulais te faire une petite vidéo, mais hélas, le caméscope est mort !
.. Du coup, avec mon père, on a fait plusieurs Shootions photos exprès pour toi !
– Ah bon !
– Oui, comme cela, tu penseras à nous en attendant ton arrivée chez nous !
– C’est trop gentil, ma Lola d’amour !
– De rien, mon chéri !
.. Je te laisse, j’ai énormément de préparatifs à faire à la maison !
.. Bye et ne te tripote pas trop en pensant à moi ! Me dit-elle, ce qui me fait rire.
– À très vite, ma petite coquine ! »
Elle raccroche le téléphone sur mes derniers mots.
Me voilà donc de nouveau dans l’attente pour encore 3 semaines. Je me pose beaucoup de questions sur comment ces vacances vont se passer.
Et puis ce shooting photos… Que vais-je bientôt découvrir ?
Je suis à la fois anxieux, pressé, et excité. Je vais arriver chez elle avec une trique de malade si cela continue. Je ne fais que penser à elle et à son intimité. Je l’adore, son goût, son odeur, ses poils roux, elle est une vraie petite déesse, ma Lola.
Allez, faut que je reprenne le travail. Il ne va pas se faire tout seul.
Quelques jours plus tard, je reçois un SMS de Lola au moment ou je m’y attendais le moins. Ce fut une bonne surprise pour moi, mais une encore plus immense encore lorsque j’ai lu le SMS.
Il était écrit :
< Coucou mon chéri, c'est Lola.
.. Tu vas bien ?
.. Bon j’espère que tu es toujours fan des Pokémons comme lorsque nous étions plus petits !!
.. Bonne réception et sache que d’autres surprises t’attendent !! >
Alors là…, je suis sans voix, je ne vois pas qu’est ce qu’elle a pu faire.
Des Pokémons… ?
Je reçois un premier MMS, puis un suivant, encore un autre…
Au total, une quinzaine de MMS.
Mais je suis déçu, car ayant peu de réseau 4G sur mon lieu de travail, je dois me résigner à attendre le soir et rentrer chez moi pour les découvrir.
Cette journée fut longue et même, extrêmement longue, car j’étais excité à l’idée de les découvrir.
Le soir, en rentrant à la maison, j’ai pu, enfin, découvrir le contenu des MMS.
Ma Lola, toute aussi charmante que dans mon souvenir, a réalisé un strip-tease cosplay d’Ondine, la rouquine amie de Sacha dans le dessin animé.
Tout y est, le paysage en forêt, le costume, la couleur de cheveux. Ainsi, elle est d’une beauté totale. En plus, j’adorais le dessin animé étant enfant, alors forcément, cela ajoutait en émotion.
En plus, elle a un sourire ravageur. Moi, plus je la regarde et plus je kiffe ma cousine.
En tout cas, Nanard est un pro de la photographie et cela se voit. Lola est à tomber sur ces clichés !
Et ce short en jeans, il épouse les formes de ses fesses. Il faudrait être un idiot pour ne pas avoir envie de lui faire l’amour à ma cousine !
Je suis carrément sous le charme, je dois bien me l’avouer !
Ses seins d’un blanc laiteux avec de charmantes aréoles rose clair…, j’ai très envie de les sucer, les mordiller.
« Tu es fabuleuse, pensai-je, j’aimerais tant voir maintenant tes fesses magnifiques. J’aurais tellement aimé pouvoir les caresser lorsque tu marchais devant moi lors de la cousinade. Ton cul dansait au rythme de tes pas, cela était hypnotisant pour moi ».
« Allez, tourne-toi que je puisse voir ton petit cul encore mieux, ma chérie. Je pâme de plaisir à cet instant ».
Fabuleux, j’ent****rçois son petit abricot roux, celui que j’ai pris tant de plaisir à caresser et lécher, à déguster les liqueurs.
C’était si bon !!
Mon pénis, d’ailleurs, s’en souvient, il me fait tant souffrir, serré dans mon pantalon, mais peu importe, je ne peux baisser mon pantalon car mes parents et ma sœur ne vont pas tarder à rentrer à la maison.
Je continue de découvrir les derniers MMS que ma belle cousine que j’aime de plus en plus m’a envoyés.
Et voilà je redécouvre ma toute belle entièrement nue. Fière de sa toison pubienne rousse que j’aime tellement. Ma cousine est un appel à l’amour charnel.
Voilà le dernier MMS.
Sous la photo, je peux lire un petit message :
< Mimile, j'espère que cela va te faire plaisir de me découvrir ainsi.
.. Prends autant de plaisir que moi j’en ai pris lors du shooting.
.. Je t’imagine te caresser le sexe devant mes photos, cela me rend liquide !
.. Pleins de gros bisous ! >
« Oh oui, ma cousine, j’ai pris énormément de plaisir à te découvrir ainsi.
Le temps fut long à attendre, mais cela a valu le coup.
Je vais souvent me branler en pensant à toi avant le jour où je pourrais te rejoindre chez toi », pensai-je.
Les cliquetis dans la porte d’entrée, signe de l’arrivée de mes parents me sort de mes pensées, j’éteins mon Smartphone et vais les accueillir.
Chapitre 5
Ma nuit fut agitée, je pensais à Lola ma cousine, notre aventure à la cousinade, ses confidences au téléphone et à ses photos « cosplay ». Mon cerveau ruminait énormément. Et mon pénis ne me laissait pas en paix.
Après m’être réveillé ce samedi matin ensoleillé, j’ai trouvé Jenny ma grande sœur en bikini dans la cuisine qui prenait le petit déjeuner.
Elle et maman sont brunes et arborent des seins volumineux et des fesses rebondies.
Alors Jenny, ce matin, dans son bikini arc-en-ciel moulant ses formes généreuses, est tout simplement fabuleuse !
Jenny m’informe que les parents sont partis faire quelques courses et ne reviendraient que pour déjeuner. J’ai grommelé ma réponse sans lever les yeux en songeant à Lola ma rousse coquine.
Elle dit cela comme si elle voulait me demander quelque chose :
« Hé, Mimile…
.. Je peux te prendre un chargeur de CD ?
.. Je sors avec mes amies ce soir et j’ai oublié le mien à la fac !
– Bien sûr…, mais tu m’en devras un… ! »
Elle me demande alors si je veux me baigner avec elle.
J’acquiesce et la regarde partir vers la piscine.
Elle saute à l’eau et se délecte de cette eau rafraichissante. Alors que je la regarde avec une certaine envie physique, elle le remarque. D’un air hyper coquin, tout sourire, elle dégage ses seins de son haut de bikini.
Ayant envie de me faire plaisir en attendant de retrouver ma Lola, je me dirige vers elle pour mater ses magnifiques gros nichons.
Nous jouons dans l’eau pendant un petit moment.
Nous barbotons et nous nous éclaboussons l’un, l’autre comme des petits gosses.
Alors l’inconcevable arrive.
Je veux l’att****r par les épaules pour la pousser sous l’eau, mais tout ce que j’att****, ce sont ses seins lorsqu’elle se retourne.
Elle se redresse le buste hors de l’eau et me regarde, avec ses seins fièrement dressés.
Je reste bouche bée devant elle, j’espère qu’elle ne va pas mal le prendre.
Je lui dis que je suis désolé et que c’est un accident.
Elle répond que ce n’est pas un problème, elle part en nageant et entre dans la maison.
J’attends un peu et la suis pour m’assurer qu’elle n’est pas fâchée.
J’entre à mon tour dans la maison et je vois que la maman et papa sont revenus.
Ils font comme si rien d’incorrect ne s’était passé, si Jenny est fâchée elle n’a rien dit à maman et papa, ce qui me soulage.
Nous nous asseyons tous pour manger, Jenny est normale.
La seule chose qui n’est pas normalE, c’est mon sexe.
Je ne peux pas me sortir de la tête l’image de Lola, me dévorant le sexe déguisé en Ondine. Et des seins de Jenny que j’ai palpés. Elle me supplie de les lui sucer.
Je bande dur pendant tout le déjeuner.
J’annonce que je vais m’allonger pendant quelque temps pour dormir un peu, mais avant tout ce dont j’ai besoin, c’est de soulager la pression entre mes jambes.
Si je n’éjacule pas bientôt, je vais devenir fou du désir.
Je suis là sur mon lit, je sors mon Smartphone et j’ouvre l’appli pour visionner les photos de Lola.
Je me caresse la bite quand j’entends le bruit de l’eau dans la douche.
Jenny doit se préparer pour sa sortie, je pense et j’imagine être sous la douche avec elle et Lola.
Jenny et Lola en 69 dans une douche italienne spacieuse et moi je glisse ma tige dressée dans un con, puis dans l’autre.
Totalement pris dans le vertige de mes pensées, je me masturbe de plus en plus vite.
J’arrive presque au moment de jouir quand la porte à ma chambre s’ouvre subitement.
Jenny est debout dans l’entrée avec une robe rose moulante et un magnifique collier de perles.
Elle pose les yeux sur mon sexe en disant quelque chose sur l’emprunt de mon chargeur de CD.
Elle émet un petit cri aigu et reste là la bouche ouverte.
Je n’ai rien pour dissimuler mon érection, j’essaye d’en cacher le plus possible avec mes mains.
Jenny lève les yeux sur mon visage, mon Smartphone avec la photo de Lola entièrement nue, puis revient à ma bite.
« Est-ce que je te dérange ? » Dit-elle en chuchotant.
Je ne réponds pas, ne sachant que dire.
Je lui demande du tac au tac :
« Est-ce que tu ne sais pas que ton corps m’affole, tout comme celui de Lola ?
– Non évidemment, comment je le saurais ?
.. Savoir que j’ai cet effet sur toi me rend folle ! » Chuchote-t-elle.
Juste quand je commence à penser que les choses vont bien aller, il m’arrive une tuile, maman passe la tête par la porte et demande :
« Qui est en haut ? »
Elle s’arrête au milieu de sa phrase…, elle me voit, allongé sur mon lit, avec mon sexe en érection dans la main et ma sœur qui le fixe toujours…, et la photo de Lola, nue sur mon téléphone.
Elle ne dit rien, regardant d’abord ma bite, puis ma sœur et mon téléphone
« Chéri, peux-tu venir ici tout de suite ? »
Maman appelle Papa.
C’est ça, je vais mourir, je crois que ma vie est finie.
Comment vas-tu l’expliquer à papa ?
Il entre dans ma chambre et ne dit rien, je ne sais pas quoi faire, je voudrais sauter du lit et m’habiller, mais je suis tétanisé…
C’est un des plus mauvais jours de ma vie, je suis surveillé, mes parents et ma sœur m’observent…
Je suis le seul nu…
« Je ne suis pas certaine si nous devons te le dire ou non !
.. Mais comme c’est arrivé, je suppose que nous n’allons pas passer sur ça ! Dit Maman, sans perdre ma bite des yeux.
Elle se tourne pour faire face à Jenny.
Jenny la regarde et sans dire un mot, ma mère se met à genoux, soulève la robe rose de Jenny et commence à lui lécher le minou.
Je ne peux croire mes yeux ! ! ! !
Je vois enfin le minet de Jenny, mais alors, ma mère !
Je ne peux toujours pas en croire mes yeux ! ! !
Mon vit se dresse et maintenant, j’ai besoin de jouir.
Papa ne dit rien, il regarde seulement quand ma sœur écarte ses jambes pour permettre à maman d’aller plus profondément.
Jenny commence à respirer lourdement et ne peut bientôt plus se tenir debout toute seule.
Notre père se place derrière elle, lui retire complètement sa robe et la soutient alors que ma maman continue son assaut.
La main gauche de Jenny, lancée en arrière, commence à caresser papa à l’extérieur de son short.
Il est évident qu’il était aussi dur que moi.
Je mate tout, n’en perdant pas une miette, Jenny se tourne vers moi et sourit.
« Je voulais te permettre de sucer mes mamelons ce matin dans la piscine !
.. Mais j’ai eu peur que tu piques une crise !
.. Tu sais, nous aussi, on baise ensemble dans la famille et même avec la famille de Lola !
.. Je suis heureuse que tu nous rejoignes, enfin ! »
Incroyable!!
L’autre famille dont Lola parlait, c’était la mienne.
Je n’y aurais jamais pensé.
Mon père att**** le sein gauche de Jenny dans sa main, le caresse juste assez pour faire dresser le mamelon.
Encore une fois, Jenny regarde ma bite et dit :
« C’est de ma faute, je viens m’occuper de toi !
.. Agenouille-toi sur le lit et offre-moi ta bite, Mimile !! »
Elle laisse maman et papa, monte sur mon lit, s’agenouille, avance sa main et prend mon sexe.
J’observe maman et papa.
Papa avance sa bite.
Maman s’agenouille, le prend en bouche et le suce.
Je me tourne vers Jenny, juste à temps pour voir mon sexe disparaître dans sa bouche.
« Dieu que c’est bon ! » Ai-je dit.
Je déplace ma main jusqu’à ce qu’elle trouve un de ses magnifiques seins tant convoités et le lui caresse.
À ce moment, ma maman se redresse, se met en sous-vêtements et s’avance, grimpe sur mon lit, Jenny la laisse se mettre entre mes jambes. Maman me prend le gland en bouche et se met à le sucer violemment.
Oh, quel pied, je ne peux pas croire tout ça !
Jenny retire son collier qui la gêne, puis retire le soutien-gorge et le string de maman et lui cajole les seins avec ses mains. Elle commence à lui sucer le mamelon droit.
Je cherche papa.
Je le vois se mettre derrière Jenny, il lui soulève la jupe et plonge dans son sexe.
Maintenant, ma sœur suce mon vit, ma maman me lèche les couilles et regarde amoureusement papa qui prend ma sœur.
Je ne peux pas tenir plus longtemps.
J’annonce à Jenny que je commence à jouir et que je ne vais pas tarder à envoyer toute ma semence.
Elle enfonce mon sexe plus loin dans sa bouche, m’aspire plus fort et maman lui dit de pas avaler mon sperme. Avec v******e, j’envoie plusieurs jets de semence chaude et épaisse dans la bouche de Jenny.
Elle garde tout et le surplus coule sur ses seins.
Maman caresse ses seins, puis embrasse Jenny et partage avec elle mon sperme.
Et lui lèche, ensuite, les traces de ma semence sur ses nichons opulents.
Papa, lui aussi, est proche de jouir et éjacule longuement au plus profond de la chatte de ma sœur en poussant des cris de plaisir.
Il sort son vit et s’assied sur le sol.
Même si j’ai éjaculé, ma bite est toujours dressée, fièrement.
Son corps est magnifique, des seins énormes avec des mamelons dressés et un cul superbement rebondi.
« J’en veux un peu plus… ! » Dit Maman.
Elle se positionne au-dessus de mon sexe, descend doucement, s’y plante elle-même.
Elle commence des va-et-vient de plus en plus vite.
Ses seins se balancent devant mes yeux.
« Je vais annuler avec mes copines et passer la nuit à la maison, cela risque d’être beaucoup mieux ! Nous dit Jenny.
– Bien !
– Je veux baiser, je peux bander et éjaculer pendant assez longtemps, vu comment toi et Lola vous m’avez excité !
– Bien, à partir de maintenant, tu peux me baiser chaque fois et aussi souvent que tu le souhaites ! » Me lance Jenny.
Elle se lève remet sa robe rose et sort de la pièce en direction de sa voiture pour récupérer son téléphone.
« Comment est-il ? Demande papa à maman qui se trémousse sur ma bite.
– Merveilleusement bien ! » Répond-elle.
Jenny revient et retrousse sa robe rose au niveau de sa taille dans la chambre et annonce fièrement :
« Je suis à votre disposition pour la nuit… !
.. Tous mes trous vous seront ouverts ! »
Elle s’approche de nous, caresse mon torse, met le sein droit de maman dans sa bouche.
« Je vais jouir…, je pars…, oui, ça y est… ! »
C’est la seule chose que maman peut sortir de sa bouche.
Son corps tremble, se tétanise et se tend en un long orgasme, profond, intense.
Maman se remet de sa jouissance. Elle rejoint papa à côté de mon lit. Ils s’embrassent longuement, profondément. Maman annonce fièrement à papa, avec un sourire :
« Notre petit garçon s’est bien développé !
.. Il a une pine bien longue et bien grosse !
.. Elle donnera bien du plaisir et fera bien jouir les femmes !
.. Mimile, dès que tu en auras envie, tu pourras encore me donner du plaisir !
– Cela sera avec joie que je vous donnerai du plaisir à toi, Jenny, Lola et les autres !
– Petit pervers, tu vas bien t’amuser !
– Ohhh oui alors, maman ! »
Jenny bondit sur mon lit, se met sur le dos, ouvre largement ses jambes qui me montrent un petit minou humide, baveux même.
Elle m’interpelle :
« Est-ce que tu es prêt pour notre première baise ?
– Oh, tu es bête…, tu paries que… » Dis-je, en me lovant entre ses jambes.
Elle est tellement mouillée que j’y entre facilement sans aucun problème.
Jenny pousse un cri aigu quand je la remplis de mon sexe.
Je l’embrasse en la regardant dans les yeux.
Je ne peux pas m’empêcher de remarquer sa grâce et sa beauté.
Elle est maintenant une belle femme bien faite, dans laquelle je coulisse lentement.
Je prends le temps pour faire durer notre plaisir.
C’est un rêve qui se matérialise.
Maman vient au pied du lit où sont posées la tête Jenny et la mienne.
Elle se penche et nous offre un sein à chacun.
Nous nous plaçons de telle façon que j’aie le sein droit et Jenny le gauche.
C’est la baise la plus excitante que je n’aie jamais eue depuis que j’y ai goûté.
Papa s’approche.
Il caresse les seins de Jenny et ensuite joue avec son clitoris pendant que je lui baise sa chatte.
De temps en temps, je sens que sa main touche ma queue, chaque fois qu’il donne une petite tape à son clitoris.
Je ne peux pas me retenir plus longtemps et je pompe violemment mon pénis dans le minet de Jenny. Chacun sait ce qui va arriver.
Maman me dit de jouir dans son con.
Juste quand je libère mon sperme profondément à l’intérieur de son utérus, Papa se recule et serre mes bourses.
Je suis un peu choqué, il le remarque et arrête…
Il les a serrées pendant tout le temps de mon éjaculation dans le doux con de Jenny.
Jenny a reçu mon sperme dans sa bouche et dans son minet et ça, le même jour.
Je me couche contre le mur en haut de mon lit pour reprendre du souffle.
Maman, papa et Jenny ne sont pas prêts d’arrêter.
Jenny suce encore les seins de maman, maman se recroqueville et prend les seins de Jenny dans sa bouche.
Alors papa fait quelque chose à laquelle je n’ai jamais pensé !!! Il rampe entre les jambes de Jenny et lèche mon foutre. Il nettoie son minet, tout en lui enfonçant un doigt dans le petit trou de son cul.
Jenny se met sur le dos, jambes grandes ouvertes, Maman s’allonge, rampe sur elle et va lui manger la chatte, lui présentant la sienne.
Elles entament un soixante-neuf torride.
Papa se met derrière maman, lui malaxe les fesses, les écarte et rentre un doigt, deux puis trois dans son anus.
Maman introduit ses doigts dans la chatte et le cul de Jenny qui se tortille de plaisir.
« Vas-y, Chéri, tu peux y aller, je suis prête, encule-moi ! »
Maman, bouge dans tous les sens à cause du plaisir que lui procure Jenny et celui de Papa.
Papa la soulève, la fait mettre sur ses genoux, les fesses en l’air.
Papa présente sa queue à la bouche de Jenny qui l’enfourne à fond.
Il pénètre ensuite la vulve de maman, puis positionne son gland sur le petit trou.
Il force les sphincters et entre sa bite entière dans son anus.
Maman se recule contre lui.
Jenny les laisse et m’interpelle:
« Viens Mimile !
.. Viens m’enculer, toi aussi ! »
Je me lève, me mets à genoux derrière ma sœur, la soulève et enfonce mon gland gonflé dans son petit trou.
Il est plus étroit que sa chatte, j’ai toutes les peines du monde à m’y glisser.
Jenny se contracte et se met à jouir longuement.
De son côté, ma mère coule comme une fontaine, elle jouit énormément.
Papa sort du cul de maman et présente sa bite à Jenny qui la prend en bouche.
Rapidement, il se vide.
Voyant ça, au comble de l’excitation, j’envoie une première giclée dans le cul de Jenny.
Je sors ensuite rapidement et prends la tête de maman en lui présentant ma queue.
Elle la prend dans sa bouche et mon sperme arrose sa langue, son menton et coule même dans son cou. Puis me suce le gland à nouveau afin d’en extraire les dernières gouttes du divin nectar.
Nous nous écroulons les uns sur les autres, fatigués, vidés.
Pour une première fois en famille, j’ai eu les trois trous de ma sœur et deux de ma mère.
Chacun de nous est enchanté par cet après-midi.
Papa suggère que nous prenions une bonne douche, puis une baignade.
Je prends la douche avec ma sœur.
Nous en profitons pour encore nous caresser.
Quand nous sommes bien nettoyés, nous sortons pour aller à la piscine.
Je suis maman, Jenny et papa restent en arrière. Elle se met à toucher mon sexe qui se redresse immédiatement, et je caresse ses fesses, ce que je n’ai pas fait pendant notre partie de baise.
Nous nous baignons pendant un moment.
Nous en profitons pour nous toucher, nous caresser, nous sucer et jouer avec nos corps.
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