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mon expérience de serveuse dans un sexshop 2ème pa

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Mes deux premières journées en tant que serveuse ont été bien remplies. Je ne les décris pas en détail car la plupart des clients ne viennent finalement que pour se rincer l’oeil. Mon patron était content de moi, et le bouche à oreille commençait déjà à se faire sentir sur l’affluence.
C’est en fin d’après-midi du troisième jour qu’un monsieur est entré avec une petite valise et s’est dirigé vers moi. Il était grand, bien habillé et m’a tout de suite demandé si j’étais disposée à lui obéir pendant une heure en tout point contre une rémunération substantielle.
J’avais l’accord du patron pour ce genre de transaction, mais je suis pas du genre à accepter n’importe quoi. Il me fallait savoir ce qu’il entendait vraiment par obéir. Il a ouvert sa valise et j’ai compris en voyant la poire, le plug et les bouteilles d’eau ce qu’il avait dans la tête.
Bon, je suis pas contre un lavement de temps en temps et les deux billets qu’il me tendait ont conclu l’affaire. Une heure, c’est pas trop long. Nous voilà donc en route vers une cabine. Je vois avec plaisir que la plus grande est disponible, nous entrons et je ferme la porte.
Le fauteuil est un peu plus grand, surtout il laisse la place pour ce genre d’activité. Déshabille-toi m’ordonne-t-il aussitôt, et mets-toi à quatre pattes sur le fauteuil. Comme en plus je n’ai pas envie de salir ma jolie tenue, je m’exécute. Je me retrouve nue le cul en l’air, les genoux posés sur un coussin.
Il me fait reculer légèrement, ce qui me permet de trouver une position confortable, les bras sur le haut du fauteuil et les seins posés sur le dossier. Il commence son affaire, me plantant le long flexible de la poire dans l’anus pour me lubrifier et vérifier que ‘tout est en ordre’ me dit-il.
Il me caresse le ventre, en me disant qu’il va le remplir petit à petit, que je ne dois pas m’étonner qu’il gonfle. Il me demande également de boire la bouteille qu’il me tend, ce que je fais sans discuter. J’ai soif. Il me tripote ensuite un peu les seins et joue doucement avec mes tétons. Je remarque qu’il est toujours habillé et n’a visiblement pas l’intention d’enlever son pantalon.
Bon, c’est son problème. Tout en caressant à nouveau mon ventre, il remplit sa poire avec l’eau d’une des bouteilles, et introduit l’embout entre mes fesses. L’embout est assez long, je le sens s’insinuer en moi profondément. Il presse doucement la poire et me remplit d’une eau tiède qui coule dans mes intestins.
La sensation est agréable, et les caresses sur mon ventre n’y sont pas étrangères. Il retire la poire et la remplace par un plug qu’il enfonce sans ménagement dans mon anus. Heureusement, il est lubrifié et je comprends qu’il ne veut pas que je me vide sur lui mais tout de même. J’ai eu presque mal.
Je le lui fais savoir en poussant un petit cri. Il me répond en me tapant violemment sur les fesses. Ok. Compris. Il remplit à nouveau la poire et retire le plug, pour la deuxième injection. L’embout en place, il presse et j’avale l’eau. Il me masse encore, l’eau commence à circuler avec des bruits amusants.
Au bout de cinq poires, mon ventre a pris une forme de chapeau boule. Et ma vessie bien remplie commence à se trouver de plus en plus à l’étroit. Au final, il m’injecte le contenu de sept poires avant de me demander de me relever. J’estime à deux litres la quantité d’eau qu’il m’a fait ingérer.
Je me mets donc debout, le ventre bien proéminent et le plug heureusement bien en place. Je sens mon corps me demander d’aller en urgence aux toilettes, mais j’attends la suite des événements tandis qu’il range son matériel. Sa valise refermée, il me demande de me rhabiller. Je remets donc ma robe et mes bottes.
La robe est évidemment bien serrée sur mon ventre, faisant remonter la minijupe d’une dizaine de centimètres. Ma chatte est désormais bien visible sous mon joli bedon bien rond. Il ouvre la porte de la cabine, me demandant de marcher dans le magasin pour répartir les fluides.
Il me prend la main, et nous marchons entre les allées, relativement vides à cette heure avancée. Nous passons devant une glace, où je peux admirer ma chatte bien visible et constater qu’ne outre le plug est légèrement apparent. Nous apercevons finalement un client au rayon DVD, et il m’entraine vers lui.
Lorsqu’il nous voit arriver, son regard se pose immédiatement sur mes formes rebondies, puis sur ma chatte. Nous nous arrêtons, mon guide faisant mine de choisir un DVD. Elle est enceinte ? demande le client. Non, juste remplie d’eau répond mon guide. Je vais la vider aux toilettes.
Enfin me dis-je. Ca commence vraiment à urger. Je peux assister ? demande le client. Bien sûr. Nous nous dirigeons vers le fond du magasin, et je découvre les toilettes hommes. Deux urinoirs s’alignent en face d’une porte qui donne sur un wc dont la propreté douteuse me fait hésiter.
Mon guide m’enlève mes bottes et ma robe sous les yeux du client avant de m’entrainer vers l’un des urinoirs. Commence par pisser m’ordonne-t-il. Je me soulage enfin les jambes bien écartées. Le premier filet d’or qui sort d’entre mes cuisses éclabousse surtout le mur. Désolée je leur dit, mais pas évident de viser dans ces conditions. Posés chacun d’un côté, ils ne manquent pas une miette du spectacle que je leur offre.
Je finis par atteindre l’urinoir en m’appliquant un peu. Puis ma vessie se tarit et mes dernières gouttes viennent s’ajouter à la flaque jaune qui coule vers l’évacuation. J’attends la suite, et ça ne dure pas. Mon guide me mets la main aux fesses, et enlève très doucement le plug qui faisait barrage. Lorsque celui-ci se retire, il me force à garder les jambes serrées.
Puis il me fait coucher par terre. Je suis assez contente de ne pas avoir à utiliser le wc mais je ne peux m’empêcher de lâcher un premier jet d’eau bien transparente alors que je me mets dans la position demandée. Je me retiens encore. Enfin il m’autorise à me vider. Ils prennent position en face de moi et je me lâche. Le second jet d’eau part en l’air avec une telle pression qu’il retombe un mètre plus loin, tout près d’eux.
L’eau vire au brun petit à petit, et se mêle ensuite de matière plus ou moins solide. Je devrais avoir honte mais j’ai plutôt un sentiment d’excitation à l’idée d’être ainsi complètement soumise à deux inconnus. Le contenu de mes intestins se répand entièrement à leurs pieds, et je finis par expulser un peu d’air en pets sonores et odorants.
Mon guide vient me nettoyer l’anus avec des mouchoirs qu’il sort de sa valise et commence à nettoyer le sol avec du petit matériel. Il a tout prévu. Moi je récupère et je profite de la fraîcheur du sol. Quand je me relève, le client est parti et les traces de mes ablutions ont disparu.
Mon guide me rhabille et me remercie du spectacle. La suite au prochain épisode…

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