Ma rencontre avec Maîtresse T ch2
– Alors Salope, on se dandine à poile dans les chiottes de son travaille !!!!!
J’ai reçu ton rapport ce matin, et j’ai reçu ta lettre d’excuses,
J’ai remarqué que tes couilles n’étaient pas très gonflées, juste un peu rouge,
Je pense que tu n’as pas du taper très fort, si tu t’étais infligé les 800 coups sérieusement, elles auraient du êtres
bien bleu.
Mais ne t’inquiète pas on va régler çà !!!!!
Concernant ta lettre d’excuses,
Je veux un mois d’abstinence totale, et si jamais tu jouis, on repart pour un nouveau mois, je te veux en sting,
bas noir et surtout bien encagé.
Je veux un soumis frustré avec des couilles pleine à craquer.
Maintenant, tu vas bien plaquer tes couilles sur la cuvette des chiottes, tu rabats la lunette, de façon à bien les
écraser, et JE VEUX 30 COUPS DE POINGS SUR LA LUNETTE.
ET JE VEUX DES RÉSULTATS,
Tu m’envoie la vidéo dans 30 min et attention je veux voir des gros coups,
tu ne te retiens pas, je veux beaucoup d’élan, des coups puissants, et n’hésite pas à appuyer très fort
pour bien les écrasée.
ET T’AS INTÉRÊT A COUINER, SUR LA VIDÉO JE VEUX T’ENTENDRE GÉMIR.
Je me suis immédiatement exécuté, car j’avais peu de temps pour ma punition,
Avec la cage, ce n’était vraiment pas évident de coincé mes couilles entre la cuvette et la lunette des toilettes, surtout que la cage est en métal, et faisait du bruit en tapant sur les toilettes et j’avais peur que quelqu’un entende.
Enfin mes couilles bien en place, j’ai mis une dizaine de coups sans filmer afin de bien me préparer.
Puis j’ai commencé la punition, j’ai envoyé une dizaine de boulets de canon, sans m’arrêter, le plus fort que je pouvais, la lunette m’a déchiré les couilles, et j’ai lâché un cri de douleurs,
J’ai attendu 5 bonnes minutes que la douleur, se calme un peu, pour lancer la deuxième salve de coups.
Enfin mes coups infligé, j’ai commencé mon travail d’écrasement en appuyant bien fort sur la lunette,
Mais quelqu’un est entré dans les WC,
visiblement pour allé uriner, moi j’étais entrain de filmé, je ne pouvais pas arrêter la vidéo, et je ne pouvais pas non plus relâcher la pression sur mes couilles, car si maîtresse s’en était rendu compte, aurait été fâché, et m’aurais fait recommencer, sans doute en doublant la punition.
Une fois à nouveau seul, je terminais mon travail d’écrasement, en gémissant assez fort pour que maîtresse soit satisfaite.
Une rapide inspection des mes couilles afin de vérifier leurs état, et surtout vérifier qu’elles soient bien bousillée, ce qui est le cas, je vois de petit hématomes bleu, et la lunette les à un peu lacéré.
J’envoie immédiatement la vidéo à maîtresse avec 7 min d’avance.
– Ouhaou c’est bien !!!!!
C’est même très bien mon soumis !!!!
Je suis très satisfaite, muhmmmm rhabille toi et retourne travailler,
Moi je vais me caresser en regardant ta vidéo, muhmmm j’aime t’entendre gémir,
C’est bien salope, tu fais mouiller ta maîtresse, je vais me mettre des doigts et bien me faire jouir.
En temps normal tu aurais eu une récompense, je t’aurais laissé regarder un peu de porno,
et t’aurais autorisé à bien jouir avec ta femme, voir même une petite branlette,
MAIS LA, C’ EST FICHU, mdr, allez on verra ça le mois prochain.
Ça faisais déjà près de 15 jours que j’étais puni, je portais ma cage tout les jours, toujours en string, et bas noirs,
Cela demandait beaucoup d’organisation afin que ma femme ne me surprenne pas,
J’imagine même pas sa réaction en me surprenant en sous-vêtements féminin, avec une cage de chasteté métallique, je ne suis même pas sur qu’elle en connait l’existence.
Bref depuis 15 jours pas de porno, pas de masturbation, obligé de simuler avec ma femme, c’est difficile, mais je me suis assez bien habituer à ma place de soumis.
Même si je dois avoué que durant ses 15 jours, mes couilles étaient tellement pleine, tellement sous pression que l’hors d’une partie de jambes en l’air avec ma femme, j’ai eu du mal à me contrôler, et au moment de simuler un peu de sperme est sorti de ma bite, pas grand chose, mais quand même une bonne giclé.
Ça, je me suis bien gardé de l’avoué à maîtresse, je n’avais pas la force, de recommencer un mois de plus.
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