Suite à ce gangbang débridé avec Sofia sous la houlette de Guillaume et de Christian, je reste presque une semaine en abstinence pour me remettre. Mais le goût du sexe est le plus fort et revient à grand pas.
Comme vous le savez déjà, j’ai une poitrine généreuse qui attire beaucoup la gente masculine et aussi quelques filles gourmandes. Même si ce n’était pas toujours évident à l’adolescence, j’ai vite compris que c’était un atout primordiale dans ma féminité et j’ai assumé fièrement mes grosses mamelles comme certains aiment en parler.
Dés mon mariage avec Alain, nous avons décidé d’une totale liberté sexuelle, sans la moindre contrainte. En épouse parfaite j’aime être à sa disposition quelque soit sa demande ou ses désirs. Certaines de ses affaires sont parfois concluent grâce à l’utilisation de mes talents cachés qui débouchent sur des aventures les plus torrides et cocasses.
Je ne dirai pas que je suis nymphomane mais j’’ai un appétit sexuel débordant et invasif. Je suis bi et je n’ai pas de tabous, enfin je pense. Dans une telle atmosphère Alain m’utilise comme il le veut. C’est ainsi qu’il a eu l’idée de m’offrir en cadeau d’anniversaire à l’un de ses ami d’enfance.
Alain et JP sont se connaissent depuis très longtemps. Il me dit :
« Réaliser ce fantasme candauliste me plairait tellement, es-tu partante ? »
C’est pas la première fois qu’il me jette avec mon consentement dans la fosse au lion mais à chaque fois, je joue l’oie blanche effarouchée malgré moi. J’avoue que ses idées tordues me plaisent énormément. Alain me parle de son pote depuis si longtemps que j’ai l’impression de le connaître sans l’avoir jamais vu. Et puis me faire sauter par un inconnu devant mon mari pour son plaisir personnel ne me déplaît pas tant que ça. Avec un regard de petite fille après quelques instant de réflexion, je lui réponds :
« Si ça peut te faire plaisir chéri. »
Il craque que je joue à la petite fille contrainte sous son pouvoir et il me sourit en disant :
« Il faut qu’on décide de ta tenue pur l’accueillir. Je te verrai bien avec ta robe rouge ultra provocante, et en escarpin à talon aiguilles. »
Le soir, avant que sont ami arrive, Alain m’habille comme une poupée. Il m’enfile mes dessous sexy rouge, des dimup et ma robe rouge si craquante. Je me maquille en conséquence et me présente à mon mari qui tourne autour de moi comme pour apprécier le produit qu’il va offrir à son amis en me disant :
« Tu es parfaite ma chérie. Je ne sais pas se qui me retient de te baiser sur le champs. JP va adorer son cadeau. »
Je rougie et déjà des fourmillement bien connu parcourt mon ventre. Alain reprend :
« Comme c’est un cadeau, Je doit t’ emballer en paquet cadeau. »
Il noue un bandeau noir sur mes yeux et m’entoure d’un gros ruban cadeau en attendant que JP arrive. Le temps dans cette position inconfortable me semble interminable. Mais la délicieuse angoisse dans laquelle cette situation me place me met dans un état d’excitation incroyable. Plein d’idées et d’image se bouscule dans ma tête. Je sursaute lorsque la sonnette de la porte retentit. J’entends les deux hommes discuter et rigoler ensemble. Parlent-il de moi ? De son cadeau ? Des frissons parcourent mon corps. Je les entends entrer dans le salon et son ami a un sifflet d’admiration, en lui disant :
« Quel joli présent Alain. C’est trop, il ne fallait pas ! »
« Il n’y a rien de trop beau pour un ami comme toi JP. »
J’ai honte mais je suis aussi ravie de me retrouver dans la position de femme objet offerte aux désir de cet inconnu pour le grand plaisir de mon homme.
Je sens Jp s’approcher de moi et dénouer lentement le ruban cadeau. Ses main qui m’effleure me font mouiller et je suis certaine que mon string doit-être trempé. Puis, il défait mon bandeau et je découvre ébahie un beau quinqua sportif qui me dévore des yeux.
Alain s’est assis dans un fauteuil pour se repaître du spectacle. Il m’a appuyé sur la tête en ouvrant la braguette de son pantalon sans dire un mot. Pas besoin de parler pour savoir ce que je dois faire. Je regarde avant de m’y mettre mon mari qui me dit gentillement :
« S’il te demande de le sucer, suces le mon ange. Tu es à lui ce soir ! Tu dois faire tout ce qu’il veut ! »
Trempée d’excitation, je l’ai pris dans ma bouche. J’ai toujours un peu peur de l’inconnu. Mais sentir son calibre dans ma gorge, c’est vraiment trop très excitant. Je me lance dans une fellation gourmande effrénée. JP semble apprécier et gémit de plaisir. Je suis hyper fière de lui faire ce petit effet devant mon mari. Ca me plaît tant que je prends un pied d’enfer. Mais soudain, JP s’exclame :
« Stop ! Arrête ! Tu vas me faire jouir salope ! J’ai bien envie de profiter plus longtemps de mon cadeau. Et puis je crois que ton mari mérite un spectacle plus extrême, non ? ».
Alain d’un petit geste vif me fait comprendre à cet instant que je me doit de faire un strip-tease pour calmer l’effervescence du moment.Dans un lancinant ondulement érotique, j’ôte ma robe devant les deux hommes admiratif. Juste une musique de fond comble le silence qui règne dans la pièce. Une fois nue,je m’assoie entre mes deux mâles dans le divan et pose mes cuisses sur les jambes de mes deux admirateurs, offrant sans pudeur ma vulve détrempée Aussitôt, vient butiner mon bouton. Pendant que PJ me broute le minous, mon mari me tripote les nichons sans perdre une miette des actions de son ami qui explore les recoins les plus intimes de ma féminité.
Il me glisse à l’oreille :
« Je vois que ça te plaît bien ma chérie. Il te fait du bien mon ami ? »
En rejetant ma tête en arrière, je ne lui réponds pas mais affiche un sourire béat en émettant de petits glapissements jouissif. Il ne peut douter du pied d’enfer que je suis entrain de prendre. Soudain, JP arrête ses léchouilles pensant à juste titre que je suis prête pour la suite. Il me retourne et les yeux brillants de désir, il me prend par les hanches pour me pourfendre d’un coup de rein. Sa verge me pénètre sans difficulté et se fraye un passage dans mon vagin accueillant et débordant de cyprine. Mon mari posté juste à côté s’amuse avec mes mamelles pendantes se balançant dans tout les sens sous les assaut de JP. Docile, je me laisse agréablement abuser par mes deux mâles. Je me lâche sous ses coups de boutoirs. Mes cris aigus témoigne du plaisir que je prends à me faire mettre sauvagement devant mon mari qui me tripote de plus bel les seins et tire mes tétons à m’en faire mal. Ses mots ne font que transcender un orgasme qui va se faire rageur.
« Elle est bonne la bite de mon pote, non ? Elle te ramone bien ma petit salope chérie ! »
Pour être bonne, oui, elle était bonne sa bite. Plus JP entend mes cris et sens mon orgasme monter, plus il me bourre brutalement. La cadence devient infernale et je me demande quand lui aussi va se libérer. Je suis secouée durement et Alain me tient par les seins pour m’empêcher de tomber du canapé. En transe, mon orgasme explose en criant :
« Plus fort ! Encore ! Encore ! défonces moi !».
Mon mari est ravi de m’entendre m’exprimer avec une tel v******e. Il est fière que je sois sa bonne grosse salope. J’en bave d’excitation comme une vrai chienne en chaleur. Je veux que sa queue me fasse mal. JP ne ralentit pas le rythme, bien au contraire. Alain bande comme un âne et j’ai une envie folle de le sucer. Il doit avoir une vue trop érotique de me voir les joues embrasées de plaisir, avec ma bouche grande ouverte cherchant l’air, les yeux révulsés. Je ne suis plus la femme rangée, BCBG de la vie quotidienne mais une chienne avide de bites comme les pire putes des film porno. Jp entre deux grognement demande à Alain :
« Qu’est-ce qu’elle est bonne ta femelle Alain. Puis-je me terminer dans son cul ? »
Alain esquisse un petit sourire et acquiesce en disant :
« Mais mon ami, c’est ton anniversaire et tu as le droit de faire ce que tu veux de ton cadeaux ! »
Alain est aux anges de me voir dans cette situation en femme objet. Alors que je me prépare à la douleur d’une sodomie brutale, mon mari en me pétrissant les seins me roule une grosse pelle pour me montrer combien il m’aime. JP ressort de mon vagin et je sens son gros gland appuyer sur ma rosette. Il y reste un instant comme pour tester son élasticité et se met à poussé. Une poussée puissante et continue où son braquemart élargit péniblement mon conduit étroit. Je veux crier mais la bouche de mon mari m’en empêche. Une fois au fond, il s’immobilise quelques seconde profitant de l’étroitesse de l’endroit qui l’accueille. La douleur s’estompe pour faire place à un plaisir très particulier. Je me sens femme comblée et chienne soumise à la fois. Quand il commence ses va et viens, je me pâme et un nouvel orgasme monte en moi. Je sens que celui là va m’anéantir comme une vague scélérate. La chevauchée devient diabolique. Alain demande à son ami :
« Tu me prête ton cadeau ? J’ai envie qu’elle me suce. »
« Bien sûre Alain, c’est ta femme quand même ! »
« C’est gentil mais ce soir, elle n’est qu’une grosse salope à ton service. »
Aussitôt, pour mon plus grand bonheur, Alain investit ma bouche. Embrochée par mes deux mâle en ruts, mon plaisir mon à vitesse grand V..
JP se met en me bourrant le cul à me claquer les fesses. Mes deux baiseurs sont comme fou et rentre dans un délire où je deviens leurs victime en ne leurs servant que de défouloir pour leurs bites insatiables. A ce rythme effréné, je pars dans un orgasme si violent qu’il en est douloureux et je m’en évanouie. Mais ça ne les arrêtent pas car il continuent à pilonner la poupée désarticulée que je suis après cet orgasme.
Mais tout à une fin. Alain se déverse à grand flot dans ma bouche et je tressaute en m’étouffant avec son sperme. Les spasmes involontaires de mon sphincter mettent à mal la queue de JP qui m’éjacule au fond de mon intestin malmené. Ils restent un instant dans mon cul et ma bouche. Je suis toujours à demie inconsciente et quand ils se retirent, du sperme s’écoule de mon cul et des commissures de mes lèvres.
Ils me laisse vautrée sur le divan et trinque ensemble de cette bonne partie de baise en attendant que je reprenne mes esprit et que nous terminions tous ensemble joyeusement cette soirée d’anniversaire.
Ajouter un commentaire