Pour la troisième, on a essayé le sauna.
Lorsque j’ai appelé François pour lui demander quand il était libre pour venir baiser ma femme, ce dernier m’a appris qu’il ne pourrait plus venir du tout. Sa boîte lui donnait du galon et le mutait loin d’Avignon où nous habitions à l’époque.
J’annonçais la mauvaise nouvelle à Carole et j’avais peur qu’elle me dise qu’on arrêtait tout si François n’était pas là.
C’est à ce moment que je m’aperçus que la cochonne y avait pris goût à la baise à trois. Au lieu de se plaindre, bien qu’elle m’ait dit que c’était dommage, elle me demanda comment on allait faire ? Est-ce que j’allais rechercher un nouveau partenaire ? Etc. …
J’en profitais pour lui faire remarquer qu’elle était devenue une belle petite salope avide de queues. Que son impatience témoignait bien de sa gourmandise grandissante et que peut-être deux hommes ne lui suffisaient plus.
Bien sur elle me dit que j’exagérais. Que certes elle me remerciait de l’avoir décidée à passer le pas mais qu’elle n’était pas la salope que je pensais.
Néanmoins je lui suggérais une proposition que j’avais en tête depuis un moment, à savoir aller faire un tour dans un sauna libertin. En réponse à ses questions je lui expliquais ce qu’était un sauna de ce style. J’insistais sur la correction qui régnait en général dans ces établissements. Je précisais que tout était possible mais que rien n’était obligatoire comme le dit la formule consacrée.
Finalement mes explications l’ont convaincue et le W-E suivant nous testions le sauna coquin.
Elle fut excitée dès l’entrée. Déjà par l’idée qu’elle s’en faisait. Entre mes explications et son imagination et peut-être ses désirs, elle avait dû se faire son petit film. Ensuite après le sas d’entrée, se retrouver dans un vestiaire pour se déshabiller à peine arrivée. Bref, je la voyais toute émoustillée. C’était bon signe.
Puis, revêtus de nos pagnes, nous sommes entrés dans une pièce faisant office de bar avec un comptoir. Il y avait aussi quelques canapés et tables basses. Le tout sous un éclairage disons « modeste » et dans une ambiance musicale très douce. Bien entendu à notre arrivée toutes les paires d’yeux présentes se sont tournées vers nous. Carole s’est faite détaillée des pieds à la tête par les quelques hommes vraisemblablement seuls qui se demandaient si cette nouvelle créature serait à leur disposition. Et à voir certaines serviettes se soulever, j’ai supposé que les jolis nibards de Carole faisaient déjà de l’effet.
Lucie, la maîtresse des lieux vint à notre rencontre. Elle nous fit la bise et nous proposa de nous faire visiter l’endroit. J’avais précisé en arrivant que c’était notre première dans ce lieu de perdition.
A notre retour elle nous proposa de boire un verre de bienvenue et nous présenta Laurent, son mari qui s’affairait derrière le comptoir. Elle nous demanda quelle était notre recherche. Si l’un de nous ou les deux était bi. Puis elle nous vanta les soirées à thème qu’elle organisait régulièrement et nous souhaita de bien nous amuser mais surtout, de lui signaler tout écart d’un homme seul.
Un fois nos consommations terminées, nous avons repris la direction du petit couloir sombre menant aux diverses activités. Carole s’éclipsa un instant aux toilettes et alors que je l’attendais à la porte, deux hommes sont venus vers moi et l’un d ‘eux m’a demandé s’ils pouvaient se joindre à nous. Je calmais leur ardeur en précisant que c’était notre première dans un sauna comme celui-ci et que de toute façon je laissais ma femme décider de qui pourrait l’approcher. Nous voulions tester les différentes salles, goûter au sauna, au hammam et bien sur au jacuzzi. D’ailleurs à sa sortie des toilettes Carole choisit cette direction. On ne voyait pas grand chose. Lumière tamisée et vapeur nimbaient l’environnement.
Une fois dans le jacuzzi, on distinguait mieux le couple déjà installé et les trois hommes seuls qui tournaient autour. Notre arrivée dût les soulager car deux des hommes se sont intéressés à nous. Carole savait de quoi il retournait, aussi j’avais décidé de ne rien faire ni dans un sens ni dans l’autre. Je voyais bien que les mecs cherchaient à accrocher mon regard, y cherchant une approbation ou un refus. Mais je restais assis à côté de Carole, profitant des bulles massantes qui me passaient entre les cuisses, me chatouillant les couilles.
Je faisais part à Carole de ce qu’il m’arrivait et elle me dit que c’était pareil pour elle. Que sa chatte était ouverte par le jet de bulles et que c’était très excitant. Puis elle vint s’asseoir à califourchon sur mes genoux, face à moi et me roula une pelle d’anthologie. Elle me dit qu’elle m’aimait, qu’elle me remerciait de lui faire connaître tous ces plaisirs différents, qu’elle avait envie de moi, de ma queue et peut-être ajouta-t-elle, d’une queue supplémentaire. Tout ça avec un petit sourire en coin.
La salope……….
Je replongeais dans sa bouche lui voler un nouveau baiser. Elle me tenait serré contre elle, ses bras autour de mon cou. Mes mains lui caressaient le dos, les fesses sous l’eau et c’est là que j’ai croisé d’autres visiteurs. Étaient-ils là avant ? Bonne question dont je ne cherchais pas la réponse. Loin de les repousser, j’écartais les deux globes fessiers afin de leur donner un meilleur accès. J’ai su, aux gémissements de Carole, que les caresses se faisaient plus précises. Je lui faisais tout de même remarquer qu’il y avait deux hommes qui la pelotaient et que, comme il ne fallait pas baiser dans le jacuzzi, ils allaient sans doute nous suivre lorsqu’on allait quitter les lieux.
« Qu’ils viennent !!!! J’ai trop envie de bites !!! »
« Tu ne vas pas le regretter ? »
« Non, non ! Je suis trop excitée. J’ai vraiment envie de me sentir remplie ! Tu ne m’en veux pas mon chéri ? »
« Mais non, pas du tout, au contraire, je veux que tu t’évanouisses de plaisir, tu es tellement belle dans l’orgasme »
« Merci mon amour, je t’aime. »
Et nous voilà parti. Alors que nous sortons du jacuzzi les deux hommes m’interrogent du regard. Je leur fais signe de nous suivre. Il ne se font pas prier vous vous en doutez. Après un passage par la douche nous cherchons la direction des coins câlins. Nous en trouvons un qui ferme à clé car nous ne voulons pas d’autre participant.
Nous étalons paréos et serviettes sur le matelas. Carole est quasiment au milieu, sur les genoux alors que nos deux lascars hésitent à la toucher. Je sens qu’ils ont besoin d’encouragements alors je la rejoins dans la même position et je l’embrasse. Son corps est chaud, humide. Sa respiration est déjà saccadée. Je pétris ses fesses, lui embrasse le cou et descend sur sa poitrine opulente dont les pointes jaillissent fièrement. J’accroche le regard d’un des mecs et lui fais signe d’approcher du coup, l’autre se décide aussi. Ce sont six mains qui parcourent maintenant le corps de Carole. Mine de rien je me détache du groupe. Je vais pouvoir assouvir mon fantasme : voir ma femme faire l’amour avec deux hommes sans que j’y participe.
Sur le coup et un bref instant je me sens égoïste. Je ressens un tel plaisir à ce moment là que je m’en veux presque. Mais les gémissements de ma princesse me ramènent à une réalité bien palpable : La petite salope prend son pied !
Les deux hommes sont eux aussi sur les genoux, côte à côte et Carole les suce à tour de rôle, le cul tendu vers un hypothétique troisième larron. Ils lui caressent le dos, les épaules, les cheveux, parfois une main disparaît dessous afin de pétrir un sein ou triturer un téton. Puis ils la couchent sur le dos et se mettent de concert à lui lécher le ventre, les seins qui ont gonflés. L’un d’eux descend entre ses cuisses qu’il écarte et plonge dans cet antre mouillé ruisselant. Carole a les yeux fermés, elle halète. Son ventre ondule sous les caresses et l’envie qui enfle d’avoir une queue dans les entrailles.
Moi je reste dans mon coin. Ne perdant pas une miette de tous ces gémissements, ces bruits de frictions lorsqu’un ou plusieurs doigts s’infiltrent dans les chairs moites. L’un des hommes est au dessus d’elle. Il lui lèche le clitoris pendant que l’autre fait des va-et-vient avec deux doigts dans sa jolie fente. Carole qui un court instant a ouvert les yeux, voit une paire de couilles au dessus de son visage, passe une main entre les cuisses ainsi offertes et vient titiller l’anus comme elle me le ferait. De l’autre main elle att**** la queue tendue et la gobe d’un coup. Le mec profitant de l’aubaine s’enfonce à coups réguliers dans la gorge accueillante.
Je suis aux anges devant se spectacle. Tout ce plaisir donné et reçu. Ces trois corps excités qui se mélangent sans restriction, sans arrière pensée. Prendre et donner du plaisir. C’est ce qui ressort de ces trois corps emmêlés. Du sexe à l’état pur. Je me nourris de cette expérience. J’accumule les images au fond de mon cerveau. Mes sentiments sont indescriptibles à ce moment. Je ne trouve pas les mots. C’est trop fort. Mon cœur bat à l’unisson des trois autres mais ma bite est molle. Pourtant dans ma tête, je bande.
Et Carole qui feule de plus en plus fort. Qui engloutit la bite de plus en plus loin. Qui écarte ses cuisses pour être encore plus fouillée. Qui, dans un sursaut crie : « Baisez-moi !!! Vite, baisez-moi !!! Foutez-moi vos grosses queues !!! »
….. Ils ont beau avoir baisé et enculé ma femme, ils sont tout penauds dans ce bar où on est revenu afin de se rafraîchir en buvant un coup. C’est amusant, ils n’osent pas la regarder. Ils sont tout timides. Bien que les serviettes recouvrent de nouveau les intimités, Carole a toujours les seins à l’air. Ils sont toujours gonflés d’excitation et montent et descendent encore au rythme de sa respiration. Elle est radieuse. Certes ses traits sont un peu tirés. Mais elle transpire le bonheur. Il faut dire que nos deux gaillards étaient de bonne consistance. Tous deux bien montés et résistants, ils lui ont donnée de nombreux orgasmes.
Nous nous excusons en nous levant, les remercions de leur participation et nous retournons dans le jacuzzi apaiser nos sens et retrouver un rythme cardiaque moins élevé. Mais l’eau, surtout avec des bulles, a des vertus aphrodisiaques. Nous ne tardons pas à ressortir pour nous isoler dans un des coins câlins. Mais cette fois, rien que nous deux.
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