…je me faufile discrètement sur la pointe des pieds jusqu’à la cuisine… Béa dort au salon avec sa conquête de la nuit passée, une brune aux formes très généreuses…. Elles ont baisé toute la nuit comme des folles sur les canapés et ne se sont pas gênées de jouir bruyamment plusieurs fois… Le salon est jonché de soutifs et de strings délicieusement tachés. Elles dorment les deux, impudiques, jambes ouvertes sur les deux canapés… le spectacle est très sensuel et mon sexe n’y est pas insensible…
Je me glisse dans la cuisine pour me faire un café… le bruit de la machine… j’entends bouger au salon puis des pas et Béa apparaît dans l’entrebâillement de la porte, la chevelure en bataille, les seins pleins, l’œil amusé et lubrique….un regard que j’adore.
– Salut, toi ! me dit-elle en posant ses lèvres sur les miennes. Bien dormi, on t’a pas trop embêté ?
– Non ça va…. J’aime bien entendre que vous prenez votre pied….Ton visage sent la chatte, ma princesse de sexe
– Ça ne m’étonne pas, répond-elle, j’ai passé la moitié de la nuit entre ses cuisses et elle sent fort la femelle, tu adorerais… à propos, tu aimes ? me demande-t-elle, l’œil malicieux en me glissant son index sous le nez…
– Hmmm, oui j’aime bien lui dis-je, ça sent le cul…le tien ou le sien ?
– Un peu des deux, mais surtout le sien… tu aimes ?
– Oui beaucoup…
Je sens ma bite durcir en reniflant le doigt de Béa. Mon gland la frôle… elle regarde ma bite puis mes yeux et me souffle à l’oreille : encule-moi, fort, et inonde-moi…
J’adore quand elle est vulgaire et directe. Elle le sait… je m’agenouille derrière elle et j’approche mon visage de sa croupe large et pleine, avec juste ce qu’il faut de cellulite… elle se cambre vers moi, j’écarte ses fesses, elle sent fort, un mélange de femelle et de cul… elle ne s’est pas encore douchée, elle sait que ça ne me dérange pas…. Ma langue et mon nez s’insinuent dans sa raie, je passe doucement sur les bords du trou, puis je descends vers le vagin, puis je remonte en m’attardant longuement sur le trou que j’enduis, lèche et mordille… elle ondule et cambre sa croupe encore davantage. J’ai le gland en feu
Je me relève et lui presse ma queue dans la raie du cul, je pose mon gland sur le trou et je pousse tout doucement…. Elle se détend et je sens mon gland s’introduire tout doucement… elle se masturbe avec sa main droite et se cambre encore plus….ses doigts viennent chercher mes couilles qui sont dures et pleines, malgré mes giclées de la nuit… elle me caresse sous les couilles avec ses ongles puis ses doigts repartent vers sa chatte en effleurant ma bite – putain, t’as une bite de taureau, j’adore ta gaule dans mon cul…
Je continue à pousser doucement, j’humecte les bords du trou et ma bite avec ma salive sur ma main… son trou est en train d’éclore doucement, elle pousse et se détend juste ce qu’il faut, elle sait faire…. La partie la plus épaisse de ma bite est entrée, je marque une petite pause, je bouge doucement en avant et en arrière, j’humecte à nouveau…. Béa respire fort et ses hanches bougent vulgairement. Je passe une main entre ses cuisses, à la rencontre des ses doigts trempées qui fouillent sa chatte…
– Tu encules trop bien, tu me rends folle du cul, féconde-moi le cul, inonde moi de foutre…
J’enfonce ma queue au fond de sa large croupe qui vibre à chaque coup, ses doigts sont déchaînés dans sa chatte, je pistonne sans ménagement dans ce cul majestueux… ses doigts agrippent mes couilles et les serrent en même temps qu’elle contracte son cul autour de ma bite….elle sait que je ne résiste pas longtemps et c’est sa façon de me signaler qu’elle veut que je jouisse… remplis moi lâche-t-elle dans un souffle
Je m’enfonce le plus loin possible dans son trou qui m’enserre sauvagement, et je lâche mes jets qui n’en finissent plus. Béa hurle sa jouissance en inondant le sol.
Je reste longuement au fond d’elle pour ramollir un peu….je retire enfin ma bite dans une senteur magique… elle porte, luisantes et parfumées, les traces discrètes de cet écrin divin…une goutte de sperme pendouille de son cul encore légèrement ouvert
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