Encore une fois, je ne relate ici que des expériences passées assez lointaines (plus de 20 ans), à l’époque ou internet n’existait pas vraiment, nous en étions encore au minitel…
J’ai fait énormément de plans et de rencontres durant cette période, mais je ne raconterais que celles qui m’ont laissé un souvenir très fort (je vous rassure, j’ai aussi eu des plans foireux comme vous).
Durant un peu plus d’un an, j’ai eu la possibilité de réellement me travestir. Rasage complet, pas mal de kilos en moins, de jolies tenues, maquillage ultra soigné, je faisais très très bien illusion vous pouvez me croire.
Jusqu’alors, j’avais essentiellement fait des rencontres chez moi ou en extérieur (forêt) ou chez les autres. D’ailleurs à ce jour je ne suis encore jamais allée dans des boîtes spécialisées dans les soirées de travestis.
Intrépide, je voulais me mesurer à la vraie vie. Je me promenais sans problème dans la rue en fille, j’avais d’ailleurs du succès, mais je voulais plus. J’étais toutefois un peu trouillarde, je décidais donc de sortir avec l’un de mes soumis (Boris, un ex-légionnaire avec qui j’étais certaine d’éviter les fâcheux (lire : domination en forêt).
Vendredi 18h, j’attaque les grands travaux.
Un rasage en règle pour que plus un poil ne subsiste sur mon corps. Une crème apaisante magique pour rendre ma peau plus douce, un maquillage de haute volée (1 heure et demie de travail…), reste à emballer tout cela dans une tenue sexy, mais sans exagérer non plus.
C’est là que le bât blesse. Ma garde-robe ne contient quasiment que des tenues de vraie pute. J’ai bien des vestes ou manteaux pour couvrir ça, mais une fois retiré j’ai plus ma place dans une vitrine à Amsterdam qu’au milieu d’une boîte de nuit, même si des extravagances sont permises en boite.
Je finis donc par jeter mon dévolu sur une robe rouge très moulante. Avec les accessoires appropriés, je pourrais même passer pour une femme du monde, même si elle est un peu courte.
Et puis j’ai un autre souci. Habituellement il ne gène pas, bien au contraire, mais avec cette robe, mon anatomie va faire une petite bosse que je dois cacher. À toutes, je vais donc donner un petit conseil pour ce cas. Prendre une large bande (10 cm) d’un sparadrap du type micropore (il a l’avantage de se retirer sans faire trop mal ni laisser de colle), glissez votre queue entre vos cuisses bien en arrière, les couilles avec, et plaquez le tout avec le sparadrap. Lissez bien.
Ce truc a quand même une grosse limite, prévoir du sparadrap d’avance, car pour aller faire un pipi on doit tout défaire…
Je décide de mettre une culotte haute ultra galbante, du type de celles qui permettent de garder un ventre plat. Elle rehausse les fesses et maintient bien mon sexe à sa place, c’est parfait.
Je choisis par ailleurs mon soutien-gorge le plus fin et discret (justement fait pour ne pas se voir sous des tenues moulantes). Je mets mes jolis faux seins dedans. Ils me font vraiment une poitrine magnifique, pas trop grosse, juste ce qu’il faut pour donner envie.
J’opte pour des collants couleur chair avec un petit nœud discret noir derrière la cheville (je me dis que je ne vais pas me faire tringler dans les toilettes vite fait, quoi que…), de très jolis escarpins rouges à très hauts talons aiguilles. Ma perruque préférée (assez courte, c’est bien plus pratique que les longues et ça tient un peu moins chaud), bracelets, bagues, collier, boucles d’oreilles, montre féminine, et de jolis faux ongles rouges. Je vernis aussi mes pieds de rouge, j’aime fignoler.
Je m’inspecte dans la glace sous toutes les coutures, je suis satisfaite. En clair, j’ai plutôt l’air d’une jolie femme du monde de 30 ans qui se serait juste laissée un peu aller au sexy avec sa robe un peu courte et ses talons vertigineux. Vu à un mètre, je suis une vraie petite bombe. Heureusement, il est 22h. Eh oui, une transformation comme ça ne se fait pas en 5 minutes.
Par-dessus tout cela, une veste courte très cintrée noire, un joli sac à main qui va me permettre de prendre tout le nécessaire aux réparations de maquillage, et toujours du gel et des capotes…)
Un dernier pipi ( et application du sparadrap magique) et mon chevalier servant qui est arrivé va pouvoir m’emmener faire la belle.
J’ai jeté mon dévolu sur la boîte de nuit du palais des congrès porte Maillot Celle de l’hôtel Concorde Lafayette. Il est dit que certaines jeunes femmes y proposent leurs charmes aux messieurs et surtout que quelques trans y vont parfois. Le tout dans une atmosphère très chic qui me convient très bien.
Nous y entrons sans souci mon légionnaire et moi. Je rappelle qu’il m’est totalement soumis, une vraie larve pour moi, tous mes désirs sont des ordres pour lui, et au moindre signe qui pourrait me contrarier, mes punitions sont cinglantes et font très mal… (il adore ça). Cette sortie est pour moi, pour me faire plaisir, il n’en attend rien, le simple fait de sortir avec moi est déjà un bonheur pour lui.
Dans la boîte, je repère vite deux jeunes femmes qui sont sans aucun doute des professionnelles. Elles font très chic, très à la mode, sexy, jolies, mais des filles comme ça seules au bar seraient déjà envahies de prétendants si elles ne faisaient pas payer leur compagnie. Par principe, je me fais discrète vis-à-vis d’elles, pas la peine de prendre de risque. Une troisième est sans doute une transsexuelle. C’est surtout sa taille qui me fait dire ça. En tout cas c’est une vraie bombe !
Le reste de l’assistance est composée de pas mal d’hommes d’affaires, en costume, la cinquantaine, et d’une variété de jeunes gens et jeunes femmes venus s’amuser.
Me voici dans la cage aux lions, moi qui voulais me tester pour faire la fille devant tout le monde, j’y suis. Après quelques minutes passées au bar avec mon légionnaire, je me lance. La piste n’est pas très grande, une vingtaine de personnes y dansent déjà.
Je vais danser, sans trop bouger, juste à me déhancher lascivement. Je regarde discrètement autour de moi. C’est bien simple, la plupart des mecs me matent discrètement, un vrai plaisir. J’ai droit à de gentils sourires. J’y réponds très discrètement, car pas fan de ceux qui me les font, même si je suis ravie de leur plaire. Je suis venue pour ça, faire ma fille sexy en plein milieu de nombreux hommes, et ça marche, je vois clairement que je plais ! Parfois, je traverse la boîte sans raison, juste pour me faire mater, et ça marche, très bien même, je jubile.
La soirée avance, mes danses se font plus rythmées. J’ai donc droit au passage aux toilettes des filles, car avec la perruque et la chaleur, je pense avoir un grand besoin de me repoudrer le nez.
J’en profite pour me faire une bonne pause pipi/sparadrap. Et je vous confirme, les toilettes des filles sont une vraie basse cour. Ça piaille et ça se remaquille en faisant des blagues au moins aussi lourdingues que celle des toilettes d’à côté.
Je choisis d’aller trémousser mes fesses en bordure de piste, près d’une table ou trois hommes en costumes discutent et surtout matent tous les culs, seins et jambes qui passent dans leur champ de vision. De loin, l’un d’eux m’a d’ailleurs fait un grand sourire, c’est ce qui m’a poussée à aller près d’eux.
Je suis dos à eux, et par bonheur, un poteau flanqué de miroir me permet de voir vaguement l’homme qui m’avait souri. Pas question de partir sur des danses enflammées, je m’applique avant tout à rouler doucement des hanches, à faire chalouper mon cul, à faire doucement bouger mes jambes perchées sur mes hauts talons. Le miroir me sert aussi à me voir danser, je suis parfaite donc contente de moi. Je me fais l’effet d’une petite bombe sexy, mais un peu timide. Pas mieux à mon avis pour attirer les mecs.
Pas de chance, c’est un jeune mec de 30 ans environ qui vient me voir, me sort un truc débile censé être drôle pour m’inviter à danser. Moi qui aime les mecs mûrs, c’est raté. Je fais mine de ne pas parler le français, montre mon légionnaire du doigt, et me retourne… face aux mecs attablés.
Ils ne sont plus que deux, et celui qui m’avait souri (de nombreuses fois en me reluquant sous toutes les coutures) me fait ce coup-ci un vrai sourire carnassier, dans le genre gros charmeur. Je vous jure que c’est très amusant de se faire draguer comme une fille. Il me plaît bien. Il a entre 55 et 60 ans, un peu grassouillet comme j’aime, paraît entretenu. Si je pouvais me le faire…
Il se lève, me fait un signe respectueux pour m’inviter à danser alors que la musique est un peu moins funky, parfait pour moi. J’accepte. Avec mes talons, il fait à peine ma taille. Il me prend la mienne, me serre un peu contre lui (le cochon). On se frotte quelques minutes, je m’arrange pour que l’une de mes cuisses aille bien se frotter à son entrejambe. Je ne tarde pas à sentir que je lui fais de l’effet.
Il a un accent de l’Est, et n’y va pas par quatre chemins.
– Je vous regarde depuis le début de la soirée. Je suis encore à Paris jusqu’à demain soir, j’ai une chambre à l’hôtel au-dessus. Je voudrais vous y inviter.
D’une part Monsieur a les moyens (je ne sais pas à quel prix exact sont les chambres, mais ce n’est pas donné). Il me paraît suffisamment éduqué. Et il correspond tout à fait au profil de pervers par qui j’ai très envie de me faire baiser ce soir. Le temps de me ressaisir, j’y vais franc-jeu.
– Je n’ai rien contre, mais mon ami au bar là-bas aime regarder. S’il vient, je suis d’accord.
Il me serre les fesses des deux mains, me fait un clin d’oeil, se penche pour me faire un bisou sous l’oreille et me dit « J’aime les xxxxx vicieuses comme toi). Désolée, moi non plus je n’ai pas compris le mot, mais à mon avis il devait avoir comme signification quelque chose entre coquine et salope.
Il me plante au milieu de la piste, va voir Boris, ils échangent quelques secondes et reviennent tous les deux. Boris me demande discrètement à l’oreille « On va avec lui ? », je lui réponds oui, nous sortons de la boîte.
Je vous avoue qu’à ce moment, je suis dans un état de surexcitation incroyable. J’ai aussi une énorme angoisse, ce mec me prend-il pour une femme ? Que va-t-il se passer si c’est le cas lorsqu’il va découvrir mon petit paquet de couilles et de queue entre les cuisses ? Dans tous les cas, j’ai Boris avec moi (c’est pour ce genre de situation que je l’ai emmené), et je sais qu’il ne m’arrivera rien, mais j’ai quand même un peu peur d’un esclandre dans tout l’hôtel et surtout de l’arrivée éventuelle de la police.
Dès l’ascenseur, mon prétendant se fait très entreprenant. Il se colle à moi, me glisse une main entre les fesses, s’attarde sur ma raie avec un doigt, me tripote fermement le cul. Il prend une de mes mains et la pose sur sa queue à travers son pantalon. Mon dieu, il est raide comme un bout de bois. Il regarde Boris de temps en temps. « Elle va aimer » lui dit-il, et me tripote toujours plus fermement.
Arrivé à sa chambre, je prétexte un besoin de salle de bain. Je vais me remaquiller à fond, et je décide de retirer le sparadrap, de toute façon il ne fera pas illusion longtemps. Ma culotte gainante me maintient toutefois bien la queue, et ma petite angoisse fait que je ne bande pas du tout. Allons-y une 2e fois dans la fosse au lion.
Je ressors toute pimpante de la salle de bain. Mon coquin a sorti le champagne (au moins je vaux ça, c’est élégant). Nous trinquons, Boris s’assoit sur une chaise contre un mur, je prends les devants pour faire durer le plaisir.
Je pose mon verre, lui fait un sourire ravageur et un regard lubrique en le poussant dos au mur en le tenant par la queue à travers son pantalon. Je le plaque au mur et m’accroupis doucement en le regardant dans les yeux j’ai le visage à hauteur de sa braguette. Je la baisse doucement, la bosse dans le slip est énorme. J’extirpe sa queue de son slip. Mon Dieu !
J’ai déjà vu de gros godes, mais une bite comme ça jamais. Elle est énorme. D’abord épaisse, large, et en plus assez longue. Je n’en ai jamais prise de comme ça. J’avoue que ça me fait un peu peur.
Je la branle, je regarde son propriétaire en lui faisant signe que son engin est très volumineux.
– Tu vas aimer me dit-il.
Je ne sais pas si je vais aimer, j’angoisse encore, car je ne sais toujours pas s’il me prend pour une fille, mais surtout j’angoisse de me faire baiser par ce truc, si c’est le cas il va me déchirer !
En fille coquine, j’entreprends cette énorme queue, je lui lèche le gland en le regardant dans les yeux d’en bas. Il est ravi, il me laisse faire en me regardant en souriant. Je tente alors de la mettre dans ma bouche. Je n’arrive même pas à la moitié. C’est la largeur qui m’impressionne le plus, quand je la mets dans la bouche elle me remplit totalement.
Mon coquin décide alors de se mettre à l’aise, et se met directement à poil. Il plaisante, me complimente en me disant que je lui plais beaucoup. Qu’il est très excité de voir que mon mec regarde. Il se ressert du champagne, et mine de rien, de quoi se faire des lignes qu’il se met de deux traits dans les narines. Je suis super anxieuse, me prend-il pour une fille ? Va-t-il péter les plombs en voyant que je n’en suis pas une ? Je vais être renseignée de suite.
Il me prend et me plaque a son tour face au mur, m’écarte les jambes, il s’agenouille derrière moi, remonte ma robe, baisse mes collants et ma culotte d’un coup, il est plutôt brusque, limite brutal.
Il écarte mes fesses, je sens un temps d’arrêt, je prends deux méchantes claques sur le cul. Cette fois, mes couilles et ma queue n’ont pu lui échapper…
Mon angoisse est à son comble, je regarde Boris inquiète et fébrile, quand je sens les deux mains m’écarter le petit trou à fond et une langue venir s’y glisser et me le lécher longuement, avec des bruits de succion pervers. Je l’entends cracher dans ses mains, il me tartine le trou de sa salive, et je sens un doigt me pénétrer direct sans ménagement. Moi qui flippais, je ne suis pas du tout mouillée, c’est un peu hard.
Il se redresse derrière moi, me prend devant par un de mes (faux) seins, recrache dans sa main plusieurs fois, me tartine à nouveau le trou.
Je ne sais pas combien de doigts il me met à ce moment-là, mais il m’arrache un cri. Si sa salive a quand même bien lubrifié, c’est la largeur de ce qu’il vient de me mettre qui m’a surprise. Et le voilà qui se colle à moi en me plaquant au mur (je sais que Boris est là pour me défendre si quelque chose tourne mal, mais je n’en mène pas large). Il me sort des tas de trucs dans sa langue que je ne comprends pas et il me doigte comme une vraie chienne. Il me fouille l’anus, me dilate, il crache régulièrement dans sa main pour lubrifier, et me pénètre toujours plus profond. Il me tient maintenant courbée devant lui par l’arrière du cou, il a de la poigne, je sens qu’il est brutal dans ses gestes, et il me fouille le cul comme un dingue. Je suis à la fois ravie, mais un peu inquiète de ce qui va suivre. Il me raconte des tas de trucs que je ne comprends pas, mais qui ressemblent à des insultes vu le ton utilisé. Il s’adresse aussi à Boris en lui disant que je suis une sacrée salope.
Il me retourne face à lui, finit de me retirer mes collants et ma culotte, me regarde, prend un de mes escarpins et lèche un de mes talons (c’est bête, mais ça me rassure, c’est le premier geste non brutal qu’il fait depuis tout à l’heure). Il m’assoit sur le lit et me remet délicatement mes escarpins, puis se dresse devant moi et me montre sa queue.
– fais-moi du plaisir ! Me dit-il.
Je sens que j’ai intérêt à être efficace. Malgré la présence de Boris, je me dis même que le faire gicler en le suçant et repartir de suite ne serait déjà pas si mal, je m’applique donc. Et je vous jure que lorsque je m’applique, je fais de très bonnes pipes, ma bouche est celle d’une sangsue, ma langue se balade partout, du gland aux couilles que je lèche avec avidité. Je caresse les couilles, j’appuie un peu entre les couilles et l’anus, j’approche mon doigt et caresse le petit trou, une bonne suceuse quoi…
Après un bon quart d’heure de ce petit jeu, il semble très satisfait. Et il repart se refaire un rail…
De mon côté, j’ai juste le temps de sortir les capotes et le gel de mon sac à main.
Il revient, il me retourne en levrette, je lui montre mon petit matériel, il s’enfile une capote, me tartine le cul avec la moitié du tube de gel, me prend par le haut de ma robe dans le cou pour me tenir, et en à peine trois coups il me pine comme une chienne en poussant tellement fort que je m’écroule à plat ventre en poussant un cri qui doit réveiller tout l’étage.
Il pèse sur mon dos, je serre mes jambes pour tenter de limiter la progression de son engin dans mon ventre, mais sa queue est tellement épaisse et longue que j’ai l’impression de m’empaler sur un pieu en faisant le grand écart. Et je me fais piner, piner, et repiner comme une chiennasse. Il n’a aucun égard pour moi. Je pense que mes cris et gémissements bien réels à chaque coup de queue qu’il me met brutalement l’excitent au plus haut point.
Il est littéralement en train de me vi0ler, il me défonce, il me maintient quand j’essaie de limiter la profondeur de ses coups de bites.
Tant que je ne crie pas « STOP », Boris ne bougera pas. Je décide de me laisser aller, d’en profiter plutôt que de me contracter, car sinon je vais plus avoir mal qu’autre chose.
Et au fur et à mesure cette énorme queue me donne du plaisir, ce gros vicieux me fait même jouir comme une vraie salope. Rien que l’idée de me prendre une aussi grosse queue m’excite, même si je ne vois rien.
Et voilà que mon gros vicieux me retourne, me prend par les chevilles et me les colle à côté des oreilles et se met à me tringler de face, le cul complètement relevé. J’ai bien fait de me détendre. Ce n’est plus la largeur de sa queue que je sens, c’est la longueur, j’ai l’impression qu’il va m’exploser, mais je suis tellement excitée que je continue à jouir du cul comme la pire des salopes, et comme souvent je mouille tellement que ça glisse tout seul. Cette fois en plus je vois son énorme membre entrer au plus profond de moi et ressortir. Il doit continuer à m’insulter, car son visage est rouge et qu’il éructe tous ces mots incompréhensibles pour moi, mais je sens de la v******e dans ces propos.
Durant les deux heures qui suivent, je passe par toutes les positions, debout face au mur, à plat ventre sur la table, de dos sur la table, sur lui sur le lit. Tout ceci entrecoupé de mini pauses le temps qu’il aille se faire un petit rail et moi boire un grand verre d’eau. À chaque fois j’ai l’impression de me faire vi0ler comme une chienne, et à chaque fois je jouis comme une malade. Il me claque les cul sans arrêt, je dois avoir les fesses toutes rouges. Parfois il m’étrangle à moitié, il me fourre sa langue dans la bouche, il pétrit mes faux seins. La seule chose à laquelle il n’a jamais touché c’est ma queue, ça me change, moi qui ai l’habitude de la fourrer dans toutes les bouches qui passent.
Deux heures plus tard passées à me démonter dans tous les sens, il considère que c’est terminé. Après m’avoir tringlée comme la pire des putes, il redevient jovial et presque prévenant et galant.
Je vais me refaire une beauté (il y a du boulot, je fais le minimum), je me rhabille et nous repartons Boris et moi.
Dans la voiture, je dis à Boris que je pense qu’il m’insultait en me baisant, mais que je n’ai rien compris. Boris me répond juste « Hongrois ». Bien sûr, quand je demande à Boris s’il est hongrois, comme d’habitude j’ai droit à un mur. Jamais il ne m’a dit un mot sur son passé, la légende des légionnaires est bien réelle. Il me dit juste que les insultes étaient « très sales ».
Retour chez moi. Pour une fois je laisse dormir Boris dans mon lit (j’ai besoin de lui le lendemain pour me monter des meubles de cuisine, et je lui ai aussi prévu une belle séance SM comme il aime). Je mets une petite nuisette et m’endors dans ses bras en lui caressant la queue (sacrément raide aussi), mais vu l’état de mon cul je vais attendre demain avant d’y insérer quoi que ce soit.
Je m’endors ravie. Je suis sortie en boîte comme une vraie fille, mais surtout je me suis faite emballer comme une femelle et magistralement tringlée comme telle.
À ce jour, je ne me suis jamais fait baiser à nouveau par une aussi grosse queue.
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