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Rencontre cuisante

Rencontre cuisante



Je ne suis pas particulièrement masochiste et la douleur ne m’attire pas pour elle-même. Fraichement retraité, je vis seul et je suis bi, pas par conviction profonde mais parce qu’il est beaucoup plus facile d’entretenir des relations épisodiques avec un homme qu’avec une femme. Ne vous en faites pas, j’y trouve tout à fait mon compte comme passif ! Cela fait longtemps que je fantasme sur les rapports dominant-soumis et je me suis assez naturellement tourné vers un homme dominateur pour connaitre ce que ressent celui qui subit.

J’ai rencontré X qui possède un local équipé pour ce genre de pratique et qui m’a semblé équilibré, je ne voulais pas me retrouver entre les pattes d’un psychopathe et risquer ce qui me reste à vivre.

Après avoir discuté assez longuement, j’ai décidé de franchir le pas et d’aller chez lui. Il m’a reçu très gentiment, nous avons parlé de tout et de rien puis il m’a demandé si j’étais toujours d’accord, ce que j’ai confirmé. Je connaissais le déroulement de la séance dans les grandes lignes, je n’ai donc pas été surpris lorsqu’il m’a fait descendre au sous-sol et m’a emmené dans une petite pièce pour me mettre en tenue… d’Adam. Il y avait un petit cabinet de toilette et une douche pour effacer les inconvénients de la route. Je me suis déshabillé et me suis préparé pour être présentable. Je ne sais pas s’il m’a regardé faire mais il m’a rejoint, a placé un masque sur mes yeux et m’a pris le bras pour me guider jusqu’à une autre pièce.

Il m’a placé où il le souhaitait, a fixé des bracelets à mes poignets et à mes chevilles. Mon coeur battait très fort et mon souffle était court, ne sachant ce qui allait se passer. Il m’a levé un bras et attaché un mousqueton, puis a fait de même pour l’autre. J’étais donc entièrement nu, les bras levés et attachés, entièrement offert. Ses mains se sont posées sur mon sexe, non pour le caresser mais pour enrouler une cordelette autour de mon pénis et de mes couilles, serrant juste ce qu’il faut pour que ce ne soit pas trop douloureux. Je me suis alors senti soulevé jusqu’à me retrouver sur la pointe des pieds, la position n’était pas confortable mais la suite ne le sera pas non plus.

Je l’ai senti tourner autour de moi, posant parfois sa main sur mon corps, puis sa main s’est abattue sur les fesses en un claquement sonore. J’ai sursauté et ai instinctivement serré les fesses. Une autre a suivi, puis une autre et ainsi de suite. Je sentais la chaleur envahir le bas de mon dos, il frappait juste comme il faut, sans v******e extrême mais avec application. Jugeant sans doute que le résultat était satisfaisant il a arrêté les claques me laissant tremblant sous l’effet de l’excitation.

Je ne voyais rien mais je percevais les bruits, j’ai entendu divers objets qu’on déplace mais sans savoir ce qu’il me réservait. D’un coup j’ai senti une morsure sur le bas du dos, sans doute un fouet car la lanière s’est enroulée sur mon côté. Puis une autre morsure sur le haut de mes fesses, quelques secondes d’attente puis c’est cet emplacement si délicat à la base des fesses et au haut des cuisses. Je n’ai pu retenir un petit cri. Je ne sais plus le nombre de coups que j’ai reçu, peut-être une dizaine, mais toute la partie de mes épaules au milieu de mes cuisses a eu droit à cet hommage cuisant.

De nouveau des objets qu’on déplace, je respirais de plus en plus rapidement. Puis une autre sensation, une ceinture venait se s’abattre sur mes fesses. Cette fois, il n’attendait pas entre les coups ou si peu que j’avais l’impression d’une douleur ininterrompue. Là encore, mes fesses et mes cuisses ont été sa cible.

Il s’est arrêté pour me permettre de reprendre mes esprits et goûter cette chaleur qui envahissait le bas de mon dos et tout mon corps. J’étais toujours suspendu sur la pointe des pieds et la position commençait à être douloureuse, il a dû le sentir car il m’a ramené les pieds sur terre.

Le répit a été de courte durée, de nouveau du bruit et cette fois un sifflement et une douleur aigüe sur mes fesses, puis une douleur encore plus vive. J’avais dit que j’acceptais de recevoir la canne, j’étais servi. Après quelques instants c’est un nouveau sifflement et de nouveau cette douleur si particulière. Là non plus je ne sais pas combien j’en ai reçu mais mon postérieur devait être écarlate.

X est venu me détacher les mains en me soutenant car je titubais un peu. Il m’a pris par le bras et m’a amené dans un autre endroit de la pièce en me disant de m’allonger sur le ventre sur une sorte de table en bois. Il a attaché mes poignets puis mes chevilles me laissant jambes écartées en croix. Il a placé une sorte de coussin sous mon ventre, faisant ainsi ressortir mes fesses et a tiré sur la cordelette attachée à mon sexe afin de l’amener entre mes jambes. J’étais ainsi complètement offert à ses yeux et à son bon vouloir.

D’un coup j’ai senti plusieurs lanières sur mes fesses, le martinet ! C’est un instrument que j’aime me donner mais que je redoute dans les mains d’un autre. Il a frappé des épaules aux cuisses, n’oubliant pas l’intérieur de celles-ci qui est si sensible. Je n’ai pu m’empêcher de gémir et de pousser quelques cris et il arriva ce qu’il m’avait promis, il m’a mis un baillon pour ne plus m’entendre. Sans doute pour me punir il commença à me donner des coups de haut en bas, visant l’intérieur de mes fesses écartées, touchant mon anus et s’arrêtant sur mes couilles et ma bite. Un coup plus fort me fit me redresser autant que ma position le permettait et pousser un cri étouffé, il venant de toucher mon gland avec les lanières ! Deux ou trois autres coups ont suivi, visant clairement ma raie et mon petit trou.

Ce traitement me faisait prendre conscience du spectacle que je devais offrir, mes parties intimes ainsi exposées. Il revint vers moi et commença à tapoter mon anus avec ce qui devait être une cravache. Parfois le coup était plus fort me faisant me cambrer plus, il tapait alors plus bas, sur mes couilles offertes. Je reçus encore quelques coups sur les fesses et l’intérieur des cuisses, je me sentais en feu.

Il a glissé la claquette de cuir sur l’intérieur de mes jambes, arrivé aux pieds il a frappé la plante exposée. Même si le coup n’est pas fort, la douleur est très vive et mes deux pieds ont eu droit à ce traitement. Ses mains ont écarté mes fesses, j’ai senti quelque chose de froid sur mon anus et quelques choses qu’on posait dessus. Une poussée résolue et mes chairs se sont écartées pour laisser le passage à un plug.

Je l’ai entendu s’éloigner et je suis resté dans cette position quelques minutes. Il est revenu, a détaché mes poignets puis mes chevilles et m’a aidé à me relever. Il a ensuite retirer la cordelette afin de libérer mon sexe et m’a pris par le bras pour me soutenir et m’amener à un autre endroit. Il a enlevé le bandeau qui m’aveuglait, j’étais devant un jeu de glaces et j’ai pu découvrir mon corps rouge comme la braise, zébré par endroit par le fouet et la canne. Moi qui souhaitais une séance de découverte, j’avais été servi. Nous n’étions plus dans la pièce, lieu de mon plaisir et de mes souffrances, mais dans un couloir qui amenait à l’endroit où je m’étais préparé. Je n’ai donc pas pu voir quels tourments m’attendaient si je revenais.

La marche avec un plug enfoncé n’est pas aisée mais j’ai pu rejoindre la douche seul. Il m’a dit que je pouvais enlever le plug, je l’ai donc fait avant de me mettre sous l’eau afin d’essayer de faire baisser la température de mon corps. La serviette pour m’essuyer puis le contact de mes vêtements me ramenaient à ce que je venais de vivre et je redoutais de devoir m’assoir dans la voiture. Au moment de partir il me posa une question : « Tu n’as rien remarqué ? ». Absorbé par mes sensations corporelles je n’avais rien remarqué. « La prestation a plu ! ». Comment ça ? Il y avait donc un ou des voyeurs pour assister à la séance ? Après tout, j’avais précisé que j’acceptais d’être vu, donc…

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