Cette histoire date de mes années lycée: elle est un mélange de réalité de fantasmes et de fiction. Elle se passe lorsque jnetait en terminale, dans le nord de la France, a tout juste 18 ans…
tout d’abord je me presente, pour cette histoire on m’appellera Antoine, jeune homme brun aux yeux verts un peu réservé, grand, (1m86) au physique fin et athlétique (je fait beaucoup de sport) mais surtout, avec la particularité d’avoir quelques prédispositions naturelles en terme d’équipement.. (aussi bien en taille qu’en quantités d’ejaculation…) mais que je n’aime pas exposer pour des raisons de discretion, c’est pourquoi j’ai toujours un gros portefeuille dans ma poche pour masquer le relief de mon sexe au repos, et surtout en erection, où il est particulièrement voyant… (pour les plus curieuses d’entre vous, des photos de moi sont disponibles ci dessous…)
Tout commence en début de terminale, fin septembre, lors du cross du lycée…
ce cross se passait autour du lycée au bord de la rivière, et durais quelques kilomètres. Cette année-là, lorsque nous marchions pour rejoindre le point de départ de la course, dans une ambiance de fête, certains était costumés, etc, un de mes « amis » de ma classe a trouvé très amusant de s’approcher de moi par derrière, avant de dire « eh antoine attention, tu a quelque chose qui dépasse » et de me baisser mon pantalon devant tout les terminales de mon lycée et une partie de l’équipe enseignante… mais si seulement ça s’en arrêtait là, mon pantalon de sport étant assez ancien et usé, il se déchira sur une grande partie, m’empêchant de le remettre efficacement. De plus il m’entailla sur une binne vingtaine de centimètres avec ses faux ongles de salope, qu’il avais mis pour se déguiser a l’occasion.
forcement, tout le monde se mis à rire, et je dit un sprint sur une grosse centaine de mètres, mon sexe a l’air, à peine caché par ma main, pour le ratt****r et me venger. Finalement au terme d’une lutte rapide, on finit tout deux dans la rivière. Sur le coup, Ça m’avais fichu une sacrée honte…
Julie, la CPE, une jeune femme d’environ 25-27ans, est ensuite arrivée pour nous arrêter. « Non mais c’est pas bientôt fini, il est vraiment temps que vous grandissiez! Sortez de là tout de suite! Et je veux vous voir dans mon bureau demain Donovan à 8 heures tapantes, et toi antoine, à 11heures tapantes. Est-ce que c’est bien compris! »
Elle est assez séduisante…
je suis sorti de l’eau nu, mon sexe à moitié couvert de boue, que je tentais maladroitement de dissimuler.
elle tout à fait mon type de femmes. Une petite brune pleine de charme, fine avec une très grosse poitrine et une superbe paire de fesses, elle cachait en général ses atouts sous des vêtements ou une veste ample.
quand elle me vis sortir de l’eau, elle me la tendit en disant « tiens enroule ça autour de ta taille… et retourne au vestiaire prendre une bonne douche, le cross est terminé pour toi. »
je sortit de l’eau prendre sa veste avec une bonne mi molle… elle était vraiment très à mon goût sans ses vêtements amples. Je suis ensuite allé me changer, doucher, et je rentris chez moi en avance, avec ce bel enfoire de donovan, qui, très sympathique en général, avait parfois le don de m’exaspérer profondément.
le lendemain, tout propre, de retour en cours, les remarques ne se firent pas attendre… je sentait que tout le monde me regardais avec le sourire… Mes potes me chambraient :« eh bien antoine, ça te gêne quand tu cours? Ça te prend souvent de courrir après les mecs en bandant? » et ce genre de remarque qui me faisait moyennement rire… je n’y ai donc pas prêté attention.
j’ai cependant remarqué que certaines filles de ma classe me regardait autrement… en particulier Lily, une fille de ma classe, très mignonne et un peu réservée, me regardais beaucoup car j’ai surpris plusieurs fois son regard… aussitôt détourné pour faire comme si elle ne me regardais pas.
Je n’y ai pas prette plus attention que ça.
a 11 heures, je quittais la classe pour rejoindre le bureau de la CPE, pour le rendez vous et accessoirement lui remettre sa veste.
tant mieux, ça sera toujours plus intéressant que le cours d’histoire, me disais-je.
une fois arrivé devant son bureau, je toquât à la porte. « Une petite minute »
j’attendis donc, sa veste dans la main. Que je n’avais pas pensé à laver de la vase que j’avais laissé dessus.
une minute après elle m’accueillat. « Entre antoine, excuse moi de t’avoir fait attendre. Assied toi je te prie. »
on s’asseyat à son bureau côté à côté.
toujours sans sa veste, mon sang ne fit s’un un tour… dans une superbe tenue blanche et courte, avec un décolleté qui mettait parfaitement en valeur sa poitrine qui devais être au moins du bonnet F…
On parlait ensuite de la veille. Que ce que jnavais fait est assez grave, mais que ce n’était pas de ma faute, et si je voulais « porter plainte » pour ce que m’avais fait donovan, etc.
mais je ne l’écoutait pas… j’etait comme hypnotisé par son décolleté, qu’elle semblait volontairement ecarter pour que j’y regarde mieux… la mimolle ne se fit pas attendre…
puis d’un coup, elle remarquât que j’avais apporté sa veste. « Oh merci antoine, tu y a pensé. C’est très gentil. Mais, tu ne l’as pas rincée? »
en disant cela, elle ouvra la veste, et la, il y eu un blanc…. sur sa veste blanche, vase de la rivière avait séchée imprimais presque parfaitement l’image de mes cuisses et de mon sexe en demi érection, testicules pouls et veines, on voyait tout…
je rougis, je voulait disparaître dans la chaise…
elle semblat choquée un instant puis ria.
« Oh antoine… décidément, c’est gros. » elle posa la veste et me regardat, avec une grosse mimolle, en train de mourrir de honte…
elle souria d’un sourire très coquin… puis balançât en silence mais cash, en posant la main sur la bosse de mon jean,et en sortant les seins bien en vue:
« dit moi antoine, tu preferes que je te suces, ou que je te branle? »
Choqué, sur le coup je ne dit rien, complètement bouche bée, pendant qu’elle palpait mon sexe au travers mon jean avec un grand sourrire.
Elle ajoutat: « suis-je bête, pourquoi choisir quand on peux faire les deux »
ma mimolle était désormais totalement eveillee. Ne demandant qu’à faire exploser ce jean qui l’entravait… j’aquiessat d’un oui toujours choqué, pendant qu’on quittât le bureau pour ne pas être surpris par sa secrétaire au loin tout au fond, puis tout en me tenant par la bite au travers mon jean, elle me traîna dans les couloirs déserts d’un lycée à 11h15, jusqu’aux toilettes handicapé du dernier étage. Elle me fit entrer puis verrouilla derriere elle, toujours avec son grand sourire coquin.
elle me dit « putain depuis le temps que j’avais envie de ca… » en palpant ma jeune mais néanmoins grosse queue.
( en effet, julie la CPE était en couple depuis un ou 2 ans me semble il, avec le prof d’eps, boubakar, un renoi très sympathique.)
elle s’agenouilla devant moi, et embrassa ma queue au travers mon jean… j’avais l’impression que j’allais exploser.
elle ria, et déboutonna doucement ma braguette, tout en respirant mon odeur, puis elle fit glisser lentement mon jean sur mes cuisses, un peu comme donovan la veille, mais avec beaucoup plus de délicatesse et de sensualité… mon érection était presque à son apogée…
au fur à meusure des centimètres qui se dévoilaient elle grandissait en sourire… j’adorais ça. Puis tout à coup, au bout du vingt deuxieme centimetre, mon jean libéra ma queue qui lui sautit au visage et lui percuta violemment le nez…
choquée, elle reculât et dit en se frottant le nez: « mais c’est un moooooonstre! »
elle se rapprochat toujours curieuse, puis elle attrapât mon sexe avec sa main, ses doigts loins d’en faire le tour, et repetat « c’est un monstre… »
Très excité par la situation et sa réaction, mon « monstre » grandissait…soudain dans un mouvement d’excitation, je fit un coup de bassin pour lui catapulter de nouveau une biffle sur le visage… une fois de plus, l’air choquée par mon initiative, elle ria. Me saisis la bite, donnât un coup de langue au bout, elle entrepris avec ses doigts d’en meusurer la taille, puis souria et dit: bien plus grosse que celle de mon maris… 23cm au lieu de seulement 18.
je ne faisait que 22,,25 cm pour plus d’une quinzaine de centimetres de circonference, mzis je ne dit rien.
voyant cette superbe creature aux seins énormes jouer avec ma queue, je ne put resister a la tentation de lui planter entre ses deux gros seins qui était à hauteur decolleté beant devant moi.
c’était extrêmement agréable. Doux chauds et énormes.
elle resta à nouveau bouche bée un instant et ria.
»oh toi… ils te plaisent. Ne t’en fait pas ils vont te gâter. »
à ces mots, mon érection devint maximale: de puissants veines parcourait ma queue de pzrt en part. Ce soudain gain de durete l’a surprit, et l’excitat beaucoup… elle mouillait à fond.
« Oh putain antoine je suis ta chienne… » dit elle avant de baisser mon jean a mes genoux pour se placer bien en dessous de moi et mettre un loooong coup de langue du dessous de mes couilles, remontant lentement jusqu’au bout de mes 22 centimetres… beaucoup trop bon.
elle le fit plusieurs fois, voyant que j’appréciais et elle aussi, pour bien lubrifier ma queue et le rendre bien baveuse… sa bave coulait en long filets de mes couilles, et de ma queue a sa langue. Hmmm. Quelle grosse chienne…
Le tout en ayant une vue plongeante monumentale sur ses seins si parfaits qu’ils ne me donnaient envie que de les souiller…
« C’est du combien, » lui dis-je ?
« Du 80 H. » dit elle avec un sourire coquin…
je n’en pouvais plus, je voulais la baiser.
Mon ex ne faisait que du 90G… l’idée de passer encore à plus gros m’excitait plus que tout.
j’arrachat son haut, pour laisser apparaître son soutif noir profond, avec ses énormes seins qui en débordent. J’etait fou. Je la soulevât pour la mettte à ma hauteur puis lui bouffât les seins tout en lui dégrafant le soutien gorge… et en retirant chaussures et pantalon en secouant les jambes.
je lui ai devoré les seins. Sucer les tetons mordus pinces palpés malaxés….
je lui ai laissé de nombreux suçons bien visibles pour « marquer mon territoire » et lui laisser un petit souvenir… jz bandait comme un fou…
pendant tout ce temps elle avais ma bite à la main et me branlant et la palpait avec un grand sourire.
on avais des fétichismes compatibles. Moi les très grosses poitrines, et elle les très gros sexes.
Elle crachait régulièrement dans sa main pour maintenir ma queue lubrifiée pendant que je la dévorait.
une dizaine de suçons plus tard, ne voyant pas ses seins car ma tête était dedans, elle vit avec effroi dans quel état je laissait ses seins… « oh putain antoine… oh putain tu l’es a defonces… petit salaud… et mon mari dans tout ça… »
ça semblait l’exciter comme jamais, car elle en voulut plus et me remis la tête dans ses nichons. J’etait au paradis.
Une trentaine de suçons plus tard, et un dessin de mon sexe en suçons sur elle, elle se précipitat à mes pieds pour sucer ma bite qu’elle branlais depuis 10 bonnes minutes.
elle eut beaucoup de mal à me sucer, sa petite bouche et mon gros sexe était assez peu compatibles en taille. Mais, surprenament, elle progressait très vite… et avec beaucoup d’envie.
elle suçais mon sexe comme une reine en passant bien sa langue autour de mon gland, en me gobant les couilles, coups de langue, se servant de ses mains, etc. Un pur bonheur. pendant tout ce temps, le la doigtait de mes longs doigts habiles, la main dans son jean. Elle essayât de toutes ses forces de me sucer en gorge profonde, mais la pauvre n’y arrivait pas du tout, elle eu un relent violent et manquât de laisser repartir son petit dejeuner, et dit « antoine désolée aujourd’hui j’en suis bien incapable… mais je te jure que tu ne m’échappera pas.
lais ça n’avais aucune importance, j’avais beaucoup trop envie d’elle.
je sortit ma queue couverte d’une épaisse bave du fond de sa gorge, et je finit de la deshabiller… elle finit de me déshabiller également: Je la mis au sol et lui défit le jean, avant de la tirer par les jambes pour la debarasser. nous étions enfin nus.
son visage d’ange et de chienne à la fois, ses énormes seins sa taille de guêpe et son cul de fitness qui squat, m’ont fait oublier tout bon sens, j’en reste bouche bée, la queue plus bandée que jamais.
ma queue étant très bien lubrifiée, Et sa petite chatte bien doigtée. je lui dit que le voulais la baiser. Elle me répondit avoir peur d’avoir mal, mais vouloir essayer quand même, mais au dessus piur gerer elle même la maniere dont mon sexe là penetre.
avec plaisir.
je m’allongeat sur sa nouvelle veste propre, qu’elle avais prise aujourd’hui, car j’avais lnautre. Je lui saisis les fesses, et la plaçat presque de force au dessus de mon sexe, ce qui semblait beaucoup l’exciter.
elle me fit jurer de ne pas lui donner de coups de reins et de la laisser y aller à son allure. J’acceptat.
je plaçât mon gland à l’entrée de sa chatte, puis je m’installai confortablement les bras derrière la tête.. lui confiant entièrement ma queue.
elle semblait hésiter puis sortit preservatifs de la poche de son manteau, un de ces préservatifs gratuits de lycée, d’une taille ridicule et dont personne ne se sert… elle le déballât et entrepris de me le mettre… elle se sentir bien ridicule quand le préservatif beaucoup trop serré et trop court couvrait à peine la moitié de mon penis et craquât quand elle tentât de le tendre pour qu’il me couvre davantage le sexe.
Ce n’est pas bien conseillé… mais sachant que j’étais clean, qu’elle me disait qu’elle aussi, et qu’elle prenais la pillule, nous décidions de faire sans. Ciao la capote ridicule, tu nous manquera pas.
Elle se mis ensuite en face de mon gland et poussa…. poussa… jusqu’à que *plop* mon gland rentre en un coup.
elle poussa un cri de plaisir et d’excitation beaucoup trop sonore pour ne pas être entendus…
par miracle pile en même temps que la sonnerie de midi. bien conscient de cela, elle me dit: « antoine, il faut qu’on aille faire ça ailleurs…
Le dernier étage est un lieu quasiment inocuppé, surtout à l’heure du midi. On se rend donc en attrapant nos vêtements à l’a mains, en sprintant, à l’aile est qui est totalement innocupee et dont on peux accéder à des toilettes dans la salle des chaudières… le bruit et la distance couvreront nos cris.
on se précipitât nus dans les couloirs, elle,derrière moi à me suivre en me tenant par le sexe , sachant qu’on avais environ 30 secondes avant que les premières classes d’élèves ne sortent et nous surprennent nus dans les couloirs. Heureusement tout s’est bien passé. Juste à temps, on entendait les chaises dans les classes des élèves qui se lèvent pour aller manger.
c’etait diablement excitant. Meme si elle m’avais fait un peu mal au sexe à le presser comme ça en me courrant derrière.
elle jura de se faire pardonner…
on repris nos petites affaires. Elle se mis en position et engluait mon gland… premier cri.
elle fit ensuite des petits vas et viens progressifs pour rentrer millimètres at milimetres sur mon sexe, et habituer et élargir son vagin aux dimensions de mon sexe.
c’était indispensable, mais diablement frustrant. Je n’avais qu’une envie, mettre un énorme coup de rein pour sentir mon gland 22centimetres plus loin dans sa ceinture abdominale… bien serrée sur ma queue.
petit à petit, elle reussit a rentrer 20 centimetres. Avec grand mal, et grand maximum. Son vagin était tendu et plein à craquer. Quel plaisir pour nous deux. Elle adorais ce mélange de douleur et de plaisir. Et moi j’adorais la façon dont son vagin me serrait la queue tant la tension etait grande en elle.
quel plaisir. 20 centimetres plus loin en elle, je sentait mon gland derrière son nombril de sa taille fine. Je voyais la bosse de mon sexe sous mon passage. Terriblement excitant.
suatre ou 5 minutes plus tard, une fois qu’elle se sentit capable de bouger sur mon sexe, elle commençât a faire des vas être viens terriblement sexy. Avec un coup de bassin et une grace incroyable. Je lui choppait les fesses et les seins en même temps et je me faisait plaisir.
elle hurlais et je gémissait de plaisir…
»putain Julie t’es tellement bonne, vas y plus fort, empale toi sur ma putain de queue… » elle hurlait de plaisir tout en touchant ma queue au travers son ventre qui déformait son nombril… elle en crevait d’excitation.
elle eu son premier orgasme extremement vite; en sentant ma queue commencer à bouger en elle,
puis son deuxième un peu plus tard au moment exact où elle touchât son ventre pour sentir ma queue la déformer de l’intérieur.
J’etait en train de lui défoncer la chatte et de l’élargir.
je VOULAIS l’élargir. Je voulais la remodeler à mes dimensions, en faire ma chienne attitrée. Je lui ai dit. A mes mots, Elle a jouis une troisième fois.
Elle a la jouissance facile et presque illimitée. Quel bonheur.
une fois sa pauvre petite chatte bien limée, j’ai craqué et lnai retournée pour la prendre en levrette. Son cul de fitnes girl et ses gros seins me faisait trop envie.
Elle fut surprise mais très excitée que je la retourne comme une chienne sans lui demander son avis… elle me présentât son cul en levrette et cambrât comme jamais. « Antoine enfonce là moi toute… féconde moi!!! »
face à cette invitation tres osee je regretta un instant de ne pas avoir mis de préservatif. Un instant seulement car je pensait qu’elle disais ça sous le biais de l’excitation, c’était plausible.(Et puis elle prenait la pillule)
et son cul me rappellat immédiatement à mon rôle de mâle.
la penetrer et là féconder comme jamais.
J’attrapis ses fesses à pleine main et la defoncat littéralement… de grands coups de queue de 22cm de longs de la base au sommet. Un pur plaisir. Je lui explosait la chatte avec un plaisir immense que je n’avais jamais ressenti auparavant… mes couilles pleines à craquer de sperme claquaient sur sa chatte à chaque vas être viens… c’était bestial.
Tantôt je lui maintenais un bras dans le dos, tantôt je l’attrapais par les cheveux. Je me défoulait sur cette nana de 9ans de plus que moi, et pour laquelle je ressentait une attirance physique extreme.
(petote precison: je suis hyperspermique. ( voir videos sur ma galerie) ce qui signifie que j’ejacule environ 5fois plus que la moyenne. Mes ejaculations comprennent en moyenne 10 a 12 jets de sperme, mais cela peux monter sans problèmes jusqu’à 16 à 18 jets de sperme.) j’ai donc la particularité de faire des faciales explosives ou de remplir une chatte avec des quantités de sperme assez bientôt…
Soudain, à force de défoncer son corp parfait, sous ses cris et ses commentaires qui m’excitait au plus haut point, du type « oh putain antoine salaud, defoncé moi avec ta jeune queue de monstre. Je veux tout ton sperme je veux tes enfants je veux ta queue immence au plus profond de ma chatte, je veux boiter toute la semaine grâce à toi, et je veux que tu revienne tout les midis t’occuper de ma chatte… »
je me sentir partir, alors je lui mis une grosse fessée e lui tira bien les cheveux pour bien enfoncer sa chatte sur ma queue et lui ejaculer bien au fond du vagin,
elle hurlat et moi aussi…
des spasmes ejacularoires monstrueux dirent leur apparition et nous firent jouir ensembles, en hurlant, lui déversant une quinzaine de jets de mon sperme sous pression, a 22centimetres au fond de la chatte, et l’inondait complètement de ma semance.
elle hurlat en sentant se déverser ma jouissance en elle. Puis on s’ecoulat, l’un sur l’autre, toujours ma queue bien profondément enfoncée dans sa chatte, qui dégoulinait abondamment.
Je m’allongeat sur le dos, complètement épuisé par l’effort, la queue en 3/4 d’erection, zncore assommé par le plaisir de l’orgasme, quand elle vint avec un grand sourire sur moi coincee mon sexe entre ses seins énormes… pour me faire une branlette espagnole du tonnerre tout en ayant mon speme dégoulinant abondamment de sa chatte jusque sur son blouson tout propre…
quel bonheur. J’ai complètement oublié les cours, je profite juste de l’instant présent.
en attendant la suite, qui ne saurait tarder!
fin de la première partie.
n’hésitez pas à commenter, à encourager à partager, à faire des suggestions… je lirais tout.
Si ça vous a plu, La suite arrivera bientôt…
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