En 1976, j’avais quinze ans, j’habitais une ville nouvelle bétonnée et la canicule était très dure à supporter.
Quand ma marraine, la sœur de ma mère m’a invité à passer le mois de juillet chez elle et son mari, mes parents ont accepté, car, eux travaillaient, j’étais ravi de passer ce premier mois de vacances chez ma tante, car, en plus d’être au calme à la campagne, il y avait une piscine.
Nous étions arrivés un samedi, ma tante nous avait accueilli en maillot de bain, un paréo noué à la taille et des tongues, son mari, plombier finissait un chantier chez des clients. Je n’avais d’yeux que pour ma marraine, une très jolie femme de quarante ans, brune, grande, mince, une poitrine cachée dans un soutient gorge très sage, un postérieur bien pommé, des jambes musclées mais sans trop et des pieds bien entretenus aux ongles vernis de rouge, bref une déesse au corps pas déformé par une grossesse.
Le lundi matin au réveille mon petit déjeuner était prêt, j’étais seul, mon oncle était parti très tôt sur un nouveau chantier et ma tante en courses.
Ma tante rentra alors que je finissais mon petit déjeuner, elle était vêtue d’une robe légère, elle se retira dans sa chambre et en ressorti en paréo noué au dessus de la poitrine, l’ouverture me permis de voir le côté gauche de son anatomie, la jambe, la hanche, sans trace de bronzage, le torse et un peu du sein gauche, lui aussi sans marque, quand elle vint vers moi pour me faire la bise, j’étais très troublé.
Les courses rangées, elle vida la machine à laver moi je me dirigeais vers la salle de bain pour prendre une douche.
J’ouvris la fenêtre et là, à environ vingt cinq mètres, ma tante nue étendait le linge, j’était subjugué, elle était sublime, je ne pouvais cesser de la regarder, ma main droite enserrant mon sexe dressé, je me masturbais, elle vit que je la regardais, elle me fit un signe de la main et quitta les lieux. J’était assis sur le rebord de la baignoire prêt à jouir quand elle entra dans la pièce. J’eu beau prendre ma serviette pour faire mine de me sécher le sexe, elle eut le temps de voir la scène.
Elle me dit qu’elle était désolée de m’avoir interrompu, qu’elle me croyait sorti et elle m’expliqua qu’elle et mon oncle étaient naturistes, qu’ils vivaient nus, se baignaient nus, que j’allais m’habitué et que je pouvais moi aussi vivre nu.
Nus, nous sortîmes de la pièce, elle nous pris des serviettes, les posa sur nos transats, près de la piscine, après quelques longueurs elle sorti de l’eau, elle était magnifique, l’eau ruisselait sur sa peau ambrée, son postérieur grâce à sa démarche féline balançait de droite à gauche, elle se retourna et m’invita à venir bronzer et discuter auprès d’elle, sur le ton de l’humour je lui expliquais un petit problème physique mais sitôt passé je viendrai la rejoindre.
Elle me dit que c’était naturel, que je ne devais pas être gêné, que les femmes aussi pouvaient être troublées voir excitées mais que cela au contraire des hommes cela ne se voyait pas.
Je sorti de l’eau tentant de cacher mon sexe dressé, lève les mains me dit -elle
_ Mes félicitations mon filleul, quel corps d’athlète et quel appendice viril.
Etendu sur le transat, bandant mou, elle entrepris de m’enduire de crème, d’abord le dos, le derrière des cuisses puis le devant, le cou, les bras, le torse, les cuisses, les jambes, elle remonta sur les aines, je tressailli sous la caresse, sensible me demanda t-elle, je répondis par l’affirmative puis elle me caressa les couilles lentement, aussitôt ma queue se dressa.
Elle me regarda et dit
_ Je t’aie empêché de prendre ton plaisir tout à l’heure, je veux me faire pardonner.
Elle se mit à genoux et se pencha sur mon sexe, déposa un doux baiser, sa langue caressa, lécha le gland, descendit le long de la hampe puis elle le mit tout entier dans sa bouche, ses lèvres touchant les couilles, après quelques minutes de ses va et viens, de ses caresses, de ses léchouilles, elle sentit que je m’apprêtais à jouir, elle le pris en main, me branla et le sperme jaillit en plusieurs jets sur son visage, sa langue passa sur le gland pour récupérer les dernières gouttes.
_ Magnifique et délicieux ton sperme, très bon gout.
Elle récupéra de ses doigts le sperme sur le visage et suça ses doigts.
_ J’adore le sperme.
Ajouter un commentaire