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Mes aventures avec Samantha et Marguerite (part.6)

Mes aventures avec Samantha et Marguerite (part.6)



Partie 6: Apothéose au camp de sport

L’extrême limite de mon voyage avait commencé: le camp de sport de fin d’année scolaire. Un village en montagne, un relais sportif perdu au milieu des bois, 40 étudiants avec leur propre représentation de la semaine parfaite. Une semaine avec Samantha et Marguerite pour moi seul.
Honnêtement: ce que j’attendais du camp était simple: coucher avec Samantha et Marguerite en même temps. Et si cela pouvait paraître bien partit, il était certain que rien n’était fait.
Quand nous arrivèrent au relais, c’était midi. Nous nous firent immédiatement attribuer des chambres. Les mecs étaient tous au premier, je partageais ma chambre avec deux potes que j’aimais bien. Les filles étaient toutes au deuxième avec les profs… Sauf 2 amies qui n’avaient pas trouvées leur place avec leur camarades et qui avaient dues être placées au troisième… Oui! Samantha et Marguerite. Si elles se plaignaient d’avoir été placée loin de tous les autres, ce n’était pas mon cas qui jubilait intérieurement!

Honnêtement encore, je n’aurais jamais imaginé que les choses démarreraient si chaudement.

A peine installé dans ma chambre, je monta directement au 3e étage rejoindre Samantha et Marguerite. Elles étaient entrain de déballer leurs affaires et les ranger dans les petites armoires à disposition.
– Salut, leur lançais-je.
Marguerite m’accueillit avec un grand sourire et me serra dans ses bras.
– Elle est trop bien cette chambre non? On est peut-être plus loin, mais au moins la chambre est plus grande que les vôtres. Me dit-elle.
Je considérai la chambre. Il y avait deux grands lits une place qu’elles avaient déjà poussés l’un contre l’autre afin d’en faire un lit double. Je souris.
– Hehe, cochonnes, vous allez dormir l’unes contre l’autre?
Elles éclatèrent de rire.
– Peut-être, lança Samantha, ou peut-être que quelqu’un nous accompagnera, on en sait rien.
Elle me fit un clin d’oeil complice. Marguerite me prit la main et me tira vers la petite porte sur ma droite, la salle de bains. Et elle était grande putain. C’était les seules à avoir une baignoire ET une douche, alors que dans toutes les autres chambres nous n’avions que de petites douches de chambre.
– Grande hein? Me taquina Marguerite, assez grande pour deux en tout cas!
Je compris immédiatement ce qu’elle avait derrière la tête et elle me glissa doucement à l’oreille.
– Faudra qu’on prenne un bain toi et moi…
J’étais tout excité, je lui répondis simplement:
– Oh que oui!

Nous revinrent dans la pièce principale où Samantha rangeait ses habits. Je commençais à me sentir très excité des aventures à venir et qu’elles semblaient vouloir partager. Je n’avais pas lâché la main de Marguerite et très délicatement j’avais commencé à lui caressait tout d’abord son bras puis son dos et ma main commençait à descendre sur son magnifique cul rebondi. Sans aucune gêne pour Samantha, Marguerite glissa sa langue dans ma bouche en soufflant fort avec son nez, signe d’excitation certain. Alors que nous nous roulions des pelles comme des dégueulasses je sentis les bras de Samantha m’entourer, je décolla mes lèvres de celles de ma métisse et me tourna vers celles que Sam me tendait. Ma langue glissant sur celle de Samantha puis sur celle de Marguerite, il ne fallut que quelques secondes pour qu’une énorme bosse tendit mon pantalon. Je leur lança, cash:
– Ca vous dit de jouer un peu avec moi, ici et maintenant?
Samantha sourit.
– Plus tard, les profs ne vont pas tarder à nous appeler pour les infos voire même débarquer içi, ce serait embêtant de nous faire griller.
Imaginant la scène, je laissa passer mon tour, déçu, les embrassa et retourna à ma chambre.

Elles avaient vu juste cependant, il ne fallut pas 5 minutes pour que les profs fassent l’appel et nous nous retrouvèrent tous dans le hall principal du relais. L’après-midi fut chargée d’activités sportives dont je vous passerai les piètres détails. Je ne fus pas une seule fois dans ou contre l’équipe de Samantha ou de Marguerite. A 16h, lorsque les activités prirent fin, j’alla directement prendre une douche, m’habilla et fonça vers la chambre de mes 2 compères. Manque de chance, elles avaient invité des amies de la classe et je me fis discret pour leur faire coucou depuis le couloir et m’en aller discrètement.

Nous allèrent tous manger puis ce n’est qu’à 20h, dans le petit jardin devant le relais que je retrouva Marguerite apparemment entrain de me chercher. Elle me glissa à l’oreille:
– Viens dans notre chambre dans 5 minutes, on t’attend.
Et elle partit devant. J’attendis impatiemment 5 minutes et je rentra, grimpa les marches 4 à 4 et me retrouva devant leur porte qu’elles avaient volontairement fermée. Mon coeur frappait à tout rompre dans ma poitrine et pas seulement parce que j’avais couru. Je poussa la porte doucement et découvrit…rien. Etonné, j’entendis directement après:
– DarKei?
La voix de Marguerite venait de la salle de bain, dont la porte entrouverte laissait apercevoir un filet de lumière.
– C’est moi, répondis-je discrètement.
– Ferme la porte à clé et viens là!
Je m’exécuta, tourna le loquet de la porte d’entrée et poussa la porte de la salle de bain. J’entrevu Samantha totalement à poil mais les deux mains de Marguerite se plaquèrent sur mes yeux à peine la porte fut-elle ouverte.
– Surpriise! Lança-t-elle joyeusement. Donne Sam!
Je me mis à rire.
– Heeee!! C’est pas juste, moi j’veux voir!!
Marguerite me posa une sorte de bandeau noir sur les yeux, j’entrevu vite fait un de ses seins métisse mais ma vision redevint noire immédiatement.
– Non, ria Marguerite, tu verras rien cette fois-ci!
– Maiiiiieuuuuh, répliquais-je.
– Arrête, tu vas adorer ça, répondit doucement Samantha.

Quand elle eut terminé d’attacher le bandeau, elle me plaqua contre le mur. Je sentis leur quatre mains enlever mon t-shirt et détacher ma ceinture en même temps, il commençait à faire chaud… très chaud. Pour détendre l’atmosphère je lançais une petite vanne:
– Woaw, c’est un plan maléfique que vous préparez depuis longtemps?
Des lèvres que je ne pus définir si étant à Sam ou à Marguerite m’embrassèrent le torse et je compris que c’était Marguerite quand elle me répondit:
– Mmh, non… Depuis ce matin seulement!
Elles m’avaient retiré mon pantalon et mon t-shirt, ne me laissant que mon caleçon tendu par mon sexe au garde-à-vous. Une main attrapa ma queue à travers le tissu et serra légèrement pour commencer à me branler doucement. Alors que je commençais à me détendre et à me redresser, une autre main me plaqua à nouveau fortement contre le mur.
– Shhhhh… Siffla Samantha, tu es notre jouet maintenant. Ca te plait?
Sa langue vint se glisser dans ma bouche, je la suça et la caressa en l’embrassant pendant que la main qui m’avait attrapé le sexe me branlait à un rythme régulier. Le fait de ne rien voir me procurait un plaisir fou que je ne connaissais pas jusqu’alors et que je regrettais de n’avoir testé plus tôt. J’entrais dans leur jeu.
– Pourquoi un tel sort, mes chéries? leur dis-je sur un ton suppliant.
– Oh eh bien, me répondit Sam, tu t’es bien amusé avec nous jusque là. Un coup par-ci, un coup par là. C’est à notre tour de nous amuser c’est tout. Ca te dérange?
Une main fit descendre mon caleçon et je sentis mon sexe bondir hors de sa prison de tissu. Une bouche la prit délicatement entre ses lèvres. La sensation était terriblement intense et moi qui ai de la peine à me retenir parfois dut réellement serrer les dents pendant les premières secondes. J’écoutais attentivement pour essayer de deviner qui me faisais quoi, mais elles étaient bien discrètes et je ne pus m’y résoudre, j’aurais pu les chercher de mes mains, mais je considéra cela comme une triche inutile, je me laissa aller. Leur mains me caressait le bas-ventre, les jambes, les couilles… Ma queue passait d’une bouche à l’autre. Je soufflais et les entendait respirer fortement en me suçant. C’était l’extase, si je m’y attendais!

Lorsqu’elle eurent tant joué avec ma queue que je dus les avertir que si elles continuaient j’allais jouir, je les entendis se lever et une main me garda bien plaqué contre le mur froid, mon sexe à l’air froid de la salle de bain, sûrement recouvert de salive. Marguerite me chuchota très sensuellement:
– Laquelle de nous deux veux-tu prendre en premier?
– J’en sais rien, répondis-je, si j’avais deux bites, je vous prendrais les deux en même temps, mais je n’ai qu’à commencer par toi.
Marguerite ricana et je sentis quelque chose de chaud se frotter sur mon gland et l’engloutir doucement. Une sensation intense se répandit dans tout mon corps.
– Aaaah… gémis-je malgré moi.
– Perdu, me taquina Marguerite dans l’oreille, ce sera Sam!
Elle s’était empalée sur mon sexe à reculons et devait donc être en levrette debout. Je sentis les fesses de la jeune femme s’écraser sur mes couilles tandis que son sexe avait aspiré le mien au fond de son vagin trempé. La main de Marguerite me tira la tête vers le bas et me plaça un sein contre ma bouche que je mis à lécher et à sucer sans demander mon reste. C’était juste un truc de fou! Une soirée et nous étions déjà en plein plan à 3 super sexy. Ce moment précis reste mon meilleur souvenir de tout ce que j’ai pu vivre avec elles.

Embarqué par mon excitation, je fis tomber le bandeau et la lumière de la petite salle de bains m’éblouit. Samantha était pliée en deux, les bras tendus pour s’agripper au rebord du lavabo, ses deux gros seins se balançaient d’avant en arrière et m’excitaient autant que d’habitude, tandis que le téton clair de Marguerite me faisait face. Je posais ma main gauche sur ses hanches pour m’aider à la pilonner et enlaçais Marguerite de la droite pour appuyer ses seins contre mon visage déjà trempé de sueur. Je pris Samantha comme ça plusieurs minutes, l’entendant gémir et moi, bouffant les tétons de la jeune métisse. Puis Marguerite me quitta pour entrouvrir discrêtement la porte de la salle de bain et guêtter que leur chambre était toujours vide. Puis elle se mit à pousser une petite armoire en bois clair qu’elle n’avait pas encore remplie de vêtements contre la porte afin de fermer de manière sûre leur chambre.
– Viens… me lança-t-elle.
Je me retira de la chatte de Samantha, presque déçu et sortit de la salle de bain, Samantha me suivant. Mon excitation dédoubla lorsque je vis ma belle métisse se laisser tomber sur leur double-lit improvisé les jambes bien écartées. Attirée comme un aimant, ma queue encore luisante de mouille de la belle Samantha s’avança et entra d’une traite dans le sexe de Marguerite. Le bonheur quoi! C’est d’ailleurs là que je remarqua que la chatte de la jeune métisse était bien moins serrée que celle de Samantha. Je lui tint les jambes contre mes épaules et lui souleva son cul, l’attrapa par les seins et accéléra le mouvement. Un lourd claquement de mes couilles contre son entrejambe commença à se faire entendre et Marguerite me rappela d’un doigt devant sa bouche que nous avions beau être au troisième, nos camarades n’étaient pas sourds. Je me calma donc… En fait pas du tout mais j’évitais de faire du bruit.

Samantha s’était couchée à notre droite et regardait le spectacle, le visage rougit par la chaleur et l’excitation. Et là, j’ai dit simplement tout haut ce que j’aurais pensé tout bas si ce n’était pas elle:
– Léche ses seins, Sam!
La jeune femme me regarda comme si j’étais un alien.
– Ca va pas?!
Je me retira de Marguerite et sourit.
– Allez, allez, on continuera tout ça seulement si tu lui lèche ses seins!
Marguerite regardait son amie avec un regard mi-inquiet, mi-interressée. Samantha semblait répugnée.
– Alors t’as qu’à te la mettre dans l’cul ta queue, j’lui lécherai rien du tout! Cria-t-elle.
Marguerite semblait plus prise dans le jeu et répondit:
– Calme-toi, Sam. C’est pas si grave, c’est qu’un jeu après tout. Viens là.
Sam s’approcha doucement de la jeune métisse, ne sachant pas ce qu’elle devait faire. Mais c’est Marguerite qui colla ses lèvres sur le téton droit de la belle Samantha. Je les regardais faire en me touchant doucement. La jeune métisse suçota doucement le petit bout rose puis fit glisser sa langue autour en véritable experte, Samantha ne disait rien, retenait sa respiration, les yeux rivés sur sa camarade qui, elle, tenait un petit sourire au coin des lèvres qui en disait long. Samantha commença à se détendre gentiment, allant même jusqu’à commencer à respirer fort tandis que Marguerite passait d’un sein à l’autre d’une façon hyper sensuelle et ma queue était gonflée comme jamais. Pour finir ce tableau d’une splendeur incroyable, Marguerite déposa un léger baiser sur les lèvres de son amie et celle-ci sourit et rougit en me voyant exalter.

Fulminant, je m’approcha rapidement et glissa ma langue dans la bouche de Samantha, rejoint instantanément par Marguerite, nos trois langues fusionnèrent et je glissais mes deux mains entre les jambes de mes deux acolytes. Il était clairement temps de passer aux choses sérieuses, je fis basculer les jambes de Samantha afin qu’elle se retrouve à quatre pattes sur le lit et me plaça instinctivement derrière elle. Son cul était si supeeeerbe! Je glissa quelques instants ma verge contre sa fente chaude et finit par entrer en elle à nouveau. Sa chatte bien serrée était maintenant terriblement humide et c’était un pur bonheur. J’aurais pu sans autre jouir en elle directement si je ne m’était pas concentré pour retenir mon excitation: je vivais le rêve de tout homme, je n’allais en aucun cas gâcher ça! Marguerite, qui avait compris exactement ce à quoi je pensais, s’était mise à quatre pattes à la gauche de son amie, le cul bien en l’air et ma main gauche lui caressait le sexe tandis que j’allais et venais en Samantha. Je claquais le cul de Sam et enfonçais délicatement mon majeur dans le cul de Marguerite d’une main baladeuse. Lorsque je ne pu plus attendre, je me retira rapidement de la chatte de Samantha avec un râle de plaisir et, sans laisser de repos à ma pauvre queue, me décala sur la gauche et m’installa dans la chatte marron-clair de sa voisine. Le pied quoi!

Je me suis amusé comme ça plusieurs longues minutes. Juste faire des allers-retours de chatte en chatte, car je savais au fond de moi qu’une occasion pareille ne se reproduirai jamais. Je tapais au fond de Marguerite, puis je glissais dans la chatte serrée de Sam, revenait à la chaleur du cul de la métisse, retournais dans la chatte de sa voisine. Aaargh! Parfait! Puis, après lui avoir bien trifouillé le petit trou je demandais timidement à Marguerite:
– Ca te gêne si… je te prends par derrière?
Même si elle me sembla un peu tendue, elle me répondit:
– N..non c’est bon…
Très délicatement, j’enfonça mon gland dans l’ouverture bien huilée de salive et de mouille. Si elle se tendit au début, elle finit par découvrir lentement le plaisir anal sous les yeux intéressés de Samantha. Je commença des va-et-vient quand je la sentit plus en confiance, elle gémissait très fort. Les gémissements typiques de la sodomie, mi-plaisir, mi-douleur. Après quelques allers et retour, je voulu ponctuer ce moment intense par une fantaisie pornographique en m’éjectant du cul de la belle métisse et tendant ma bite devant la bouche de Sam, mais celle-ci recula vivement la tête, visiblement dégoûtée. Déçu, je n’insista pas et retourna doucement dans le cul de sa camarade. J’arrivais au bout de ma capacité à me retenir.
– Je vais jouir… soufflais-je.
– Pas dedans! S’exclama Marguerite.
Je ressortit donc ma queue et me finit à la main, tandis que Marguerite vint poser son visage rapidement sous mon sexe pour recevoir ma semence, accompagnée aussitôt par Samantha qui ne voulait pas être en reste. Mon sperme éclata littéralement dans tous les sens, les deux jeunes femmes en reçurent des gouttes partout sur le visage et beaucoup vinrent se coller contre ma main secouant lentement mon gland. Les deux jeunes femmes avalèrent beaucoup de ma semence qui avait giclé sur elles et seule Marguerite reprit ma queue en bouche pour me nettoyer la verge. C’était divin.

Je l’avais fait. Quelques 6 mois après notre première rencontre et en passant par plusieurs étapes pas toujours agréables, j’avais finalement couché avec ces 2 cochonnes. Pour dire vrai, j’étais carrément fier de moi. Maintenant que c’était fait, soyez sûr que nous avons passé 5 jours ultra torrides ensembles. Je ne vais que vous résumer les autres jours.

Jour 2: Après les activités sportives, j’ai pris une douche très sensuelle avec Samantha dans sa chambre, sans sexe étonnamment, uniquement des attouchements, tandis que Marguerite n’était pas là.

Jour 3: Nous avons remis notre partie à trois sur le grand lit-double improvisé à la fin de la journée. Elles me sont passées tour à tour à cheval sur moi. Elles m’ont suçé ensemble. J’ai pris Samantha en levrette et Marguerite me léchait les couilles couché à plat dos sous Samantha. Marguerite a même commencé à lécher la chatte de Sam, mais celle-ci a hurlé qu’elle refusait. Dommage. J’ai jouis sur le cul de Sam et ça a coulé sur Marguerite qui a bien avalé chaque goutte qu’elle a pu.

Jour 4: Avant la dernière nuit, tout le monde est allé boire des bières au village proche du centre. Et donc qui dit bière, dit alcool en général et qui dit alcool dit que quand on est rentré du village on était mais TOUS pété. J’ai personnellement flirté avec une autre miss de la classe parallèle mais avec qui il ne s’est rien passé et une fois rentrée dans sa chambre, je me suis dirigé en courant vers la chambre de ces 2 demoiselles si spéciales. Il se trouve que Marguerite avait ramené un flirt dans leur chambre et Samantha venait de se faire fermer la porte à la gueule. Je n’ai donc pas eu le choix et j’ai emmené Sam avec moi au deuxième dans ma chambre, vide à ce moment. Nous avons bloqué la porte avec une armoire également. Nous avions commencé notre petite affaire et elle était sur moi lorsque l’un de nos camarades a essayé d’entrer. Nous avons sauté sur nos habits et faits comme si de rien n’était… Ouais, enfin on était évidemment grillés. Nous avons fini dans les toilettes du troisième étage, ne trouvant nulle part de coin tranquille. Ce fut très chaud.

Le dernier jour nous n’avons pas eu le temps de faire quoi que ce soit car nous avons du ranger puis partir. Je me suis endormis dans le car contre Sam qui dormait contre moi également.

EPILOGUE:

Après cette sortie, nos rapports redevinrent « normaux ». Je suis sortis avec Sam 5 mois mais ça n’a pas tenu car nous n’étions de toute évidence pas réellement amoureux. Attirés certes, mais amoureux je ne sais toujours pas. Marguerite a quitté notre école. Je l’ai revue 1 an plus tard lors d’une soirée où nous avons flirté. J’ai passé la nuit chez elle à nouveau. J’ai étét séparé de Sam en troisième année pour des questions d’orientation. Mais nous ne couchions plus ensemble, disons que j’ai perdu une amie très fidèle. J’ai voulu remettre ça une fois avec elle il y a 2 ans lors d’une soirée étudiante, mais elle a refusé en me disant que c’était fini, qu’elle était casée, tout le bordel.

Une chose est sûre: je ne suis pas prêt d’oublier ces deux filles.

Merci d’avoir suivi mes aventures avec Samantha et Marguerite. J’ai encore d’autres histoires vécues, certaines tout autant folles, d’autre plus tassée, mais aucune du niveau de Sam et Marguerite, dans mon sac et je v m’y mettre sans tarder. Pour vous et aussi pour moi. J’adore partager mes expériences!

Pleins de bisous tout ça!

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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