histoire vu sur le net
Comme je l’avais prévue, Xavier après ce qui c’est passé hier a complètement changé de comportement. Quand je rentre dans sa chambre je le découvre étendu sur son lit à m’attendre, la queue déjà raide.
Bonjour mon petit poney, tu veux que je te fasse une petite gâterie ?
Je m’approche du lit et me saisis de sa barre d’acier, je fais coulisser ma main sur la peau de cette hampe magnifique et de l’autre je palpe les énormes bourses. La mâchoire écartelée j’avale le gland entre mes lèvres et lui prodigue une fellation mais n’insiste pas ne voulant pas l’amener trop vite jusqu’à la jouissance.
Oufff ça fait du bien de pouvoir refermer la bouche mais je veux connaître d’autres plaisirs, je veux que ta queue aille visiter ma grotte.
J ‘espère que je n’ai pas les yeux plus gros que le ventre et il ne me faut que quelques secondes pour me retrouver en tenue d’Eve. Je monte sur le lit, l’enjambe et met un genou de chaque coté de son corps.
Ecarte ma chatte avec tes mains pendant que je me charge de ta bite.
Pendant qu’il m’obéit comme il peut, gêné par ses plâtres, j’approche son gland de mon abricot.
Tu as déjà baisé une fille ?
Euuh, non Martine, j’ai essayé plusieurs fois mais quand les filles ont vu ma queue, aucune n’a voulu aller plus loin.
Humm, je les comprends, ton sexe n’est pas pour des néophytes. Pour un tel poney, il faut une jument et non de petites pouliches !
Je tiens son sceptre d’une main et appuie ma matrice sur l’arrondi de sa queue pour commencer la pénétration… Mes lèvres s’écartent et s’arrondissent pour mouler son membre,
OUIIIIIIIII ! Ça y est ! La tête de ton nœud est rentrée !
Je soulève mon bassin pour m’empaler un peu plus.
AAAAAAAHHHHH… Tu va m’exploser le vagin ! C’est comme vouloir faire entrer un boulon de 20 dans un écrou de dix !
Centimètres par centimètres sa verge repousse mes chairs, je remonte et redescend sur son nœud, progressant toujours, mes sécrétions intimes forment un bourrelet mousseux autour de sa pine noueuse, l’élasticité de mes chairs intimes atteint son maximum, mes muqueuses sollicitées a outrance m’amène doucement mais sûrement à l’orgasme.
Oui, je jooouuuiiis ! Je n’ai jamais connu une telle sensation. Oooooh mon dieu mon ventre va éclater sous de diamètre de ton engin.
Sa verge est entrée quasiment en entier mais j’ai beau faire, je ne peux en absorber plus.
Vas-y mon poney, ma moule a pris maintenant les dimensions de ton vit, bourre moi à fond !
Martine, je fais ce que je peux mais ce n’est pas facile avec mes plâtres.
Ses mains sur mes fesses il me lime à toute vitesse. Son énorme queue déclenche dans mon corps orgasmes sur orgasmes, je lui broie tellement sa pine qu’il ne peut plus se retenir est me remplit de son foutre. J’hurle de plaisir.
Christophe doit bouillir derrière la porte à attendre mon signal. Mes cris lui donnent le top, il entre comme un fou dans la chambre et se met à gueuler.
Martine, ce n’est pas vraie, comment tu peux me tromper et en plus sous mon propre toit ?
Et toi Xavier, c’est comme ça que tu me remercies de t’accueillir à la maison, tu n’as pas honte ?
Je me retire de son pieu et un véritable torrent de foutre gicle sur les draps, Xavier est complètement paniqué à la vue de mon mari, sa queue débande vitesse grand V et traine sur les draps dans sa semence.
Je te demande pardon Christophe mais quand je suis entrée et que j’ai vu sa formidable érection, je n’ai pas pu me retenir.
Pour nous faire pardonner, nous ferons tout ce que tu voudras, n’est ce pas Xavier que tu feras tout ce qu’il te demande ?
Bien sur Christophe, je ne sais pas ce qui m’a pris mais si tu ne dis rien à mes parents, demande moi n’importe quoi, j’obéirai.
Christophe retire son short et s’approche de nous, mon mari se masturbe en me regardant.
Je vous prends aux mots tous les deux, pour vous faire pardonner je veux vous voir sucer ma bite, allez au boulot et plus vite que ça !
Je me mets à genoux devant lui. Je le prends en bouche et suce lentement sa verge, Xavier pendant ce temps ne bouge pas n’osant pas sucer la bite d’un autre homme.
Récit de Xavier.
Je suis complètement paniqué et abasourdi par les paroles de mon oncle.
Alors, ordonne Christophe, tu attends quoi ?
Je viens m’agenouiller à Coté de Martine tout penaud, elle prend ma main droite, la pose sur la verge tendue et la fait coulisser sur sa queue.
C’est la première fois que je touche une autre bite que la mienne, la sensation est bizarre mais je me force, c’est chaud et doux. Je m’enhardi et le branle un peu plus vite mais il bloque ma main et s’emporte.
J’ai dis que je voulais être sucé, pas que branlé, allez, avale !
Au point ou j’en suis, je ravale le peu de fierté qu’il me reste et prend en bouche sa verge. Ce n’est pas aussi désagréable que ça et je comprends ce que ressent Martine quand elle me prend en bouche. Il me maintient la tête m’empêchant de l’expulser de ma bouche. Je le suce doucement d’abord ne prenant que le gland entre mes lèvres, je le lèche, puis je m’enhardi le prenant le plus loin possible dans ma bouche. Il me lâche la tête et m’ordonne :
Maintenant lèche- moi les couilles !
Pendant ce temps là, Martine qui a vu que je rebandais de nouveau s’est jeté à pleine bouche sur ma queue.
La scène doit être torride, je suis en train de gober ses couilles tout en me faisant traire par sa femme.
Maintenant, je veux que tu me fasses jouir !
J’ai lâché ses couilles et le branle pour le faire jouir mais il bloque ma main et s’exclame :
Pas de cette façon, petit merdeux, avec ta bouche !
Je lui obéis et me remets à le sucer avec applications. Il se met à gémir, posant ses deux mains derrière ma tête. Je sens son gland gonfler et il se met à gicler de longs jets de sperme qui remplissent ma bouche. Il continue de me maintenir la tête bien qu’il se soit vidé entièrement.
Je t’interdis de cracher, avale tout !
J’avale son sperme, le gout est assez âcre mais pas aussi mauvais que je croyais. Il se retire et m’annonce.
Maintenant je veux que tu donnes du plaisir à ma femme mais interdiction de te servir de ta queue !
Je relève Martine qui telle une sangsue ne veux plus libérer ma verge de sa bouche et la couche sur mon lit. J’obéis à Christophe qui me donne des ordres que je dois exécuter. Je lèche doucement les bords de son abricot, je sens ses poils doux et délicats contre ma langue et découvre les parfums de la chatte de Martine. J’enfouis mon visage entre ses jambes m’enivrant de ses effluves de musc exotique et de mouille mélangées à l’odeur de mon foutre. Elle projette son bassin en avant pour améliorer mon accès à son intimité. Les lèvres de sa chatte sont délicieuses, et j’étanche ma soif à son puits dégustant le miel qui suinte de sa grotte.
Sers-toi de ta langue bon Dieu !
J’ouvre ma bouche et ma langue s’aventure aussi loin que je le peux entre les lèvres pour plonger dans les profondeurs sans fond de son vagin, jusqu’à que ma bouche grande ouverte s’écrase sur son pubis.
OOOhhhh mon chéri ! … Ouiiiii comme çà… Remue ta langue, oh, elle est si grande que l’on dirait un serpent. Explore tout l’intérieur, met la partout. ouiiiiii… Ooh oui, fait la tourner, continueeeeee !
J’agrippe ses fesses de mes doigts handicapés par les plâtres et suce fougueusement les lèvres de sa chatte. Je l’ai complètement dans ma bouche tellement elle presse mon visage dans son entrecuisse et des vagues de plaisir la secouent. Elle serre tellement les jambes que je ne peux retirer ma tête.
Ouiiiii… Mon clito, suce moi le clito ! Oohh… Ouiiiii, làààà… , tire dessus, chatouille le, mordille le… OOOoohhh, ouiiiii !
Je mâchouille cette excroissance qui tel un petit pénis, s’allonge sous les attaques sans fin de ma langue. Elle est tendue comme un arc et éjecte une lave en fusion qui m’inonde la bouche et coule sur mon visage. Je bois sa liqueur et en redemande encore et encore.
Je Jouiiis… Oooh que c’est bonnn… AAAAHHHHhhhhh…
Martine retombe sur le lit encore tremblante, ses cuisses libèrent enfin ma tête. Ma queue me fait mal, elle n’a jamais été aussi dure et mes couilles aussi pleines. Christophe regarde ma queue et déclare.
Vu l’état où tu te trouve, il faut que ton engin trouve un trou sinon il va exploser !
Martine, relève-toi, on va te prendre en sandwichs, Xavier par devant et moi par la porte des artistes.
Nous sommes tous les trois debout, Martine s’approche de moi et prend mon chibre pour lui faire baisser la tête et le frotte plusieurs fois sur la foufoune avant de l’introduire dans sa grotte humide. Christophe la prise par les hanches et sans aucun préparatif l’encule à sec. La douleur de l’intromission entraîne un geste réflexe de Martine qui propulse son bassin en avant s’empalant plus que de raison sur ma verge turgescente. La bouche grande ouverte, elle n’ose plus bouger, elle est sur la pointe des pieds pour ne pas que le poids de son corps soit uniquement supporté par nos sexes qui la transpercent. A chacune de mes pénétrations, ma queue rencontre la pine de Christophe uniquement séparée par une fine paroi de chair.
Récit de Martine
Sa bite me déchire les parois vaginales en entrant. Il me défonce complètement le vagin et je crie sous les coups de boutoirs de mes deux amants. Je suis complètement déconnectée du temps, je hurle à la mort. Mon mari m’encule de plus belle et je sens qu’il ne va pas tarder à jouir. Je lui demande de se retenir encore un peu pour moi. Xavier m’explose le vagin avec son pieu. Je crie, je gémis, sentant l’orgasme monter et je tourne la tête pour regarder mon mari droit dans les yeux et le remercier de ce qu’il accepte pour mon propre plaisir. Il vient d’exploser dans un râle puissant me remplissant les boyaux. Je donne aussitôt libre cours à ma jouissance. Xavier me pilonne de plus belle et me rejoint dans l’orgasme m’inondant d’un flot de sperme. On a besoin de souffler un peu après cette joute inhabituelle et nous allons enfin prendre un copieux petit déjeuner.
Après cet intermède bien venu Christophe revient à la charge.
Maintenant je veux me venger à ma façon, Martine tu vas connaître son monstrueux pal dans le cul et toi Xavier, c’est le mien que tu vas sentir ! Aller, ce n’est qu’un mauvais moment à passer sans jeu de mots !
Je ne l’ai jamais vu ainsi, il en profite pour assouvir ses bas instincts, mais je me doutais que j’y aurais droit, et ce n’est pas pour me déplaire.
Hein chérie que tu attends que ça… Encule-là Xavier, elle en meurt d’envie, fais la hurler !
Je m’y attendais plus ou moins mais je redoute l’intromission de cette énorme cheville dans ma petite mortaise. Xavier n’a plus aucun tabou maintenant et j’ai moi aussi envie d’être sodomisée comme une chienne. Christophe a quand même pitié de moi et fait subir à mon petit trou un bon travail préparatoire avant de me présenter le manche de pioche de Xavier. Il m’écarte les fesses et prenant la pine de Xavier qui a retrouvé toute sa prestance l’approche de mon cul. Je sens l’énorme gland appuyer contre mon anus. Je sais que je vais déguster… Il se met à pousser lentement, sans brutalité, inéluctablement, son gland mafflu essaie de perforer mon anneau. Mon sphincter cède… Arrive la douleur, elle irradie dans mon corps, me tirant presque une larme, je pousse un cri. Il ne bouge plus laissant l’étroit conduit s’habituer à cette présence incongrue mais supportable, heureusement que mon mari a alésé le trou. Une fois la tête entrée le reste devrait suivre sans trop de casse.
Xavier me questionne :
Ca va Martine, tu n’as pas trop mal ?
Mes muqueuses se détendent lentement s’habituant à l’impressionnant diamètre.
Non, c’est supportable mais vas-y doucement quand même !
Tu sais Martine, rigole Christophe, tu n’as goûté que les hors-d’œuvre, attend de déguster le plat de résistance !
Et il se place derrière Xavier et comme pour moi, l’encule du seule poussée à sec. Xavier hurle de douleur et essaie d’échapper à sa pénétration en se projetant en avant propulsant l’énormité de sa pine dans mon petit cul, je manque m’évanouir et hurle à mon tour, c’est horrible…
Christophe reprend la parole :
Xavier, je vais me retirer un peu et c’est à toi de bouger, tu vas voir au bout d’un moment tu vas y prendre goût !
Xavier doucement commence à me besogner en grimaçant, il se met à aller et venir progressivement. Au bout d’un moment il glisse deux doigts dans ma chatte et me caresse au rythme de ses enculages puissants.
Il fait coulisser son membre en moi et à chaque fois qu’il se retire c’est lui qui se fait sodomiser par Christophe. Je commence à apprécier cette sodomie très particulière, son calibre a élargit mon anneau et déclenche des vagues de plaisir en moi. Peu être pas aussi fort que tout à l’heure quand ils me prenaient tous les deux et que je sentais leurs sexes se frotter sous l’action de leur coup de piston l’un contre l’autre contre la muqueuse séparant mes deux orifices. Je m’avoue vaincue et sous une incroyable jouissance, j’inonde ses doigts et sa main de mon jus d’amour.
Oh oui mon petit poney, je parts… , encore… , oui… , encore… , plus fort, défonce-moi ! …
Christophe est en train de prendre son pied et se vide dans Xavier en me le faisant savoir bruyamment. On dirait que Xavier a apprécié car il s’est tellement collé à Christophe que sa queue s’est éjectée de mon cul. Son obélisque libéré reprend son ascension et vient frapper son ventre avant de se mettre à éjaculer par longues saccades et déverser des jets chauds qui m’inondent les reins et le dos, je sens sa semence couler entre mes épaules. Chéri, regarde, il m’a complètement inondé le dos !
Après ce dernier baroud d’honneur, nous avons enfin repris nos esprits. Ce fut le début de deux semaines d’orgies sexuelles.
Le séjour de Xavier fut pour moi le plus intense épisode de baise de ma vie, il y avait toujours l’un ou l’autre près à m’honorer mais ça finissait le plus souvent à trois dans toutes les combinaisons possibles. A la fin de son séjour, le puceau était devenu un vrai amant qui savait tout ce qu’il fallait savoir sur les femmes et leur libido. Il va en faire monter plus d’une aux rideaux !
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