Histoires de sexe lesbiennes Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe noir

Les rideaux opaques

Les rideaux opaques



Carine a trente-deux ans, la peau très blanche, rousse aux yeux verts, grande, sportive avec des fesses rondes et une très généreuse poitrine faisant le bonheur de Thierry, trente-cinq ans, brun au yeux marron d’une allure élégante, presque adolescente.

Nous sommes mariés depuis dix ans, un enfant, et, il faut bien l’avouer, la routine s’est installée dans notre couple malgré la passion que nous avons l’un pour l’autre.

Carine aime séduire, et moi j’apprécie les regards que les autres hommes peuvent poser sur elle sachant que cela n’ira jamais plus loin. Pour elle, l’amour et le sexe sont indissociables. Je lui avais évoqué un jour que l’idée qu’elle possède un amant m’avait effleurée. Elle avait souri et trouvé l’idée amusante, mais elle ne se voyait pas coucher avec quelqu’un en qui elle n’ait pas confiance. Puis elle redoutait l’obligation, dans ce cas, d’accepter également que j’aie une maîtresse. Et c’était hors de question… jusqu’au 19 mars.

Lors d’une soirée chez des amis, nous avons rencontré un jeune Antillais avec qui nous avons beaucoup discuté. Celui-ci semblait très attiré par ma femme. Nous nous sommes revus plusieurs fois : le courant passait bien entre nous. Il faut dire qu’il ne laissait pas non plus ma femme indifférente. Assez grand, les épaules larges, il avait une allure de sportif de haut niveau. Jérôme, c’est son prénom, possédait, en plus de son magnifique sourire, un déhanché incroyable pour cet art qu’est le zouk. Ma femme se laissait aller dans ses bras, et c’était un véritable bonheur des les regarder danser tous les deux.

Puis le 19 mars est arrivé, comme je le disais précédemment. Ce jour-là, nous avions invité Jérôme à la maison pour dîner. Il nous avait demandé s’il pouvait venir accompagné de son cousin, actuellement en vacances en Métropole. Nous avons accepté bien naturellement.

Ils sont arrivés vers 19h00, accompagnés d’un très joli bouquet de fleurs pour Carine et d’une bonne bouteille de vin pour moi. J’étais presque déçu, m’attendant à une bouteille de rhum. Enfin, ce n’était pas grave, j’avais le nécessaire à la maison. Nous nous sommes installés dans le salon pour prendre l’apéritif.

Carine était vêtue d’un ensemble composé d’une petite jupe portefeuille maintenue par une épingle à nourrice sur le côté des hanches, et en haut, elle inaugurait un dos nu, lacé autour du cou et noué autour de la taille. Il ne fallut pas longtemps pour que j’intercepte les regards passionnés de nos deux invités. En effet chaque fois que Carine se penchait en avant pour poser un verre ou tout autre chose sur la table basse, le tissu qui couvrait à peine sa poitrine s’ouvrait sur le côté, laissant apparaître la naissance du galbe de ses seins. Elle me rendait folle, j’avais envie de la prendre immédiatement. Alors, j’imaginais à quoi pouvait penser les deux autres. Et cela m’excitait encore plus.

Carine, une fois le service terminé, vint s’installer auprès de moi sur l’accoudoir du fauteuil en croisant les jambes de manière à ce que sa jupe s’ouvre naturellement sur le côté. Sa jambe gauche était entièrement découverte. Elle dominait cette soirée, elle était simplement belle. Carine possède plusieurs tatouages, une rose sur l’épaule et un iris sur le haut de la cuisse gauche, juste sous la hanche. À priori, au vu des regards de Jérôme et de son cousin Alain, le tatouage devait être bien visible. Ils commencèrent à l’évoquer. Carine devint rouge de confusion, mais bien sûr, elle jubilait.

La discussion suivait son cours lorsque je prétextai un coup de fil à passer et je sortis de la pièce. Une idée venait de germer. Que ferait Carine si je n’étais pas là ?

Je fis semblant d’avoir une conversation m’obligeant à intervenir urgemment pour le travail. Je revins dans la pièce en rouspétant, puis, m’excusant, je leur expliquai que je devais les abandonner en espérant rentrer rapidement. Je saluai nos invités, Carine se leva, m’embrassa avec un sourire plein de doute puis, se retournant vers nos deux convives, se plaça devant eux en me disant :

— Ne t’inquiète pas, je vais bien m’en occuper…

Elle finit sa phrase en prenant place sur le canapé entre eux deux. Je sortis de la pièce en tirant sur la porte, puis fis semblant d’ouvrir et fermer celle de l’entrée. Je retournai me positionner le long du mur du salon. Je me dis qu’on avait bien fait d’installer ces rideaux opaques sur la porte vitrée de cette pièce. Je pouvais voir à mon aise sans être vu… Royal !

Je les avais donc tous les trois face à moi, sans qu’ils se doutent que je les observais. J’étais impatient de voir l’attitude de Carine étant donné que nous n’avions pas évoqué les dérives potentielles de la soirée. Avait-elle compris que je lui laissais carte blanche ?

La discussion prit assez rapidement une tournure plus ou moins équivoque. Tatouages, lingerie fine, tout y passait. Au fur et à mesure, je voyais les pans de la jupe de Carine glisser naturellement sur ses cuisses au rythme de ses croisements et décroisements de jambes. Elle ne portait pas de culotte… Elle avait donc pensé à cette soirée bien avant moi.

Jérôme, assis à droite de Carine, effleura de sa main droite la cuisse de ma femme en lui précisant qu’elle avait la peau vraiment très douce. Je vis que son autre bras était dans le dos de Carine. Elle se pencha en avant pour prendre sa coupe de champagne et je distinguai en effet que la main gauche de Jérôme lui caressait le dos. Elle se redressa en lui signalant qu’il avait lui aussi la main très douce. Puis, se tournant vers Alain, elle entreprit de déboutonner la chemise du garçon sous prétexte d’observer le tatouage qu’il avait sur le torse.

Carine lui tournant à présent le dos, Jérôme y plaça ses deux mains. Par de lents mouvements, il partait des épaules et de la nuque pour descendre le long de la colonne, tout en passant négligemment sur les côtés, juste sous les aisselles, tentative d’approche pour effleurer la poitrine de Carine.

De son côté, elle finissait de déboutonner la chemise d’Alain qui arborait, en effet, un tatouage tribal au-dessus du sein gauche. Carine passa la main dessus, se pencha vers Alain, lui susurra quelque chose à l’oreille, puis se pencha un peu plus pour déposer un baiser sur le téton de l’Antillais. J’étais stupéfait ! Cela faisait que trente minutes que j’étais parti… Je bandais.

Jérôme s’était légèrement reculé vers la droite sur le canapé. Du coup, Carine s’était mise à genoux, les fesses sur les talons. Elle embrassait maintenant à pleine bouche celle d’Alain tout en lui passant la main sur le torse, le nombril et le bas du ventre… Elle s’arrêta un instant et lui demanda du regard si elle pouvait aller plus loin. Le sourire qu’elle afficha semblait correspondre à une réponse positive d’Alain. Elle sortit délicatement le sexe de son étui en jean’s et commença à le caresser doucement de haut en bas, jouant de son index sur le gland. Le sexe d’Alain gonflait à vue d’œil et je vous laisse imaginer sa taille compte tenu des origines de nos invités.

J’entendais très peu de choses car tout ceci se passait sans paroles. Mais quand Carine prononça la petite phrase suivante, je l’ai très bien comprise :

— Est ce que je peux la prendre dans ma bouche ?

Le hochement de tête d’Alain semblait répondre :

— Mais bien sûr, qu’est ce que tu attends ?

Carine approcha son visage, se passa la langue sur ses lèvres puis entrouvris la bouche lentement, tandis qu’elle avalait le gland puis le reste. Elle remonta pour redescendre à nouveau engloutissant une grande partie du membre d’Alain. Ses mouvements étaient très attentionnés. Elle le suçait avec une sensualité incroyable.

Alain avait posé sa main sous le ventre de Carine. Mon regard passait de l’un à l’autre, je n’étais pas sûr de qui faisait quoi et j’étais de plus en plus excité. Le corps blanc de ma femme au milieu de ces corps sombres donnait à la scène un aspect irréel. La suite allait m’obliger à déboutonner, moi aussi, mon pantalon.

Jérôme de son côté, avait descendu son pantalon à mi-cuisse mais conservait son caleçon. Il vint se placer derrière Carine. À genoux également, comme pour une levrette, il reprit son massage du dos, dénoua le lacet en bas de celui-ci, ce qui libera le tissu et dévoila une partie de la poitrine de ma femme. Il poursuivit ses caresses le long des cuisses, puis glissa ses mains sous la jupe pour les poser de chaque côté des hanches. Le derrière de Carine ondulait doucement contre le caleçon de Jérôme. Ce mouvement était accentué par la fellation en cours. La jupe se relevait doucement suivant le rythme, découvrant les fesses de ma femme et le caleçon de Jérôme déformé par une bosse suspecte.

La situation devenait insoutenable. Je commençai à me masturber.

Le dessus de Carine glissa, découvrant une partie de ses seins. Je remarquai qu’Alain avait la main posée dessus. Il les caressait. Ma femme commença à gémir doucement. Jérôme dénoua le lacet autour du cou de ma femme pour laisser apparaître complètement sa poitrine. Carine se redressa tout en caressant la verge encore humide de son traitement buccal. Alain s’empressa de déposer sa bouche sur les seins fraîchement dénudés afin d’engloutir les tétons tendus aux extrêmes. Entre temps, le sexe de Jérôme s’était échappé de son caleçon et il le frottait entre les fesses de ma femme tout en lui caressant les seins dès que la bouche d’Alain lui en laissait la place.

Carine tourna la tête et embrassa à son tour Jérôme. Ils se figèrent tous les deux un instant puis reprirent leur baiser. Jérôme plaça ses mains sur les hanches de Carine, poussa un soupir, et je compris qu’il venait d’entrer dans le ventre de ma femme.

Les gémissements de Carine furent instantanés. Elle se cambra au maximum pour recevoir les assauts de ce visiteur, les mains posées sur les épaules d’Alain qui de son côté avait trouvé le chemin de son entrejambe. Prise et doigtée, ses seins se balançaient au rythme des Antillais, du bruit caractéristique du claquement des fesses à chaque pénétration, au son des râles et autres bruits de bouches. Tout était beau. La scène dura un petit moment pendant lequel Carine sembla prendre son pied. Puis Alain se plaça debout devant sa bouche pour un nouveau plaisir buccal, ce qui fit taire temporairement ma femme.

Après un regard, les cousins changèrent de place. Jérôme s’assit devant Carine. Son sexe avait les mêmes proportions que celui de son cousin. Elle le prit immédiatement en bouche pendant qu’Alain découvrait à son tour la chaleur humide du ventre de ma femme.

À nouveau des gémissements… Elle se donnait littéralement à ces deux hommes. Je n’avais aucune jalousie. Au contraire, j’étais émerveillé de la voir se faire prendre devant moi.

Les râles d’Alain se firent plus soutenus puis il se crispa pour éviter l’éjaculation. Mais Carine pris le relais en projetant ses fesses d’avant en arrière. Elle en voulait plus. Ne pouvant plus se retenir Alain reprit son pilonnage en poussant son sexe au plus profond de Carine. Elle avait lâché sa fellation pour profiter pleinement de son orgasme. Leurs deux corps s’agitaient puis ils jouirent bruyamment tous les deux. Moi aussi d’ailleurs… sur les rideaux.

Carine pivota pour venir se positionner à cheval au-dessus de Jérôme dont le sexe était tendu. Dressée sur les genoux, elle s’empala dessus puis commença un doux va-et-vient en bougeant les fesses pour accentuer la pénétration. Ses seins étaient à la disposition de Jérôme qui ne se lassait pas de les embrasser goulûment.

Alain, le sexe en berne, était assis à côté d’eux. Penché en avant, il passait la main sur les fesses de Carine comme pour l’aider dans son mouvement. Jérôme aussi, avait les mains sur les fesses de ma femme et les maintenait pour garder le rythme.

Les fesses de Carine étaient ainsi martelées à chaque retombée, s’écartant lorsque Jérôme l’attirait vers lui. Alain glissa un doigt dans sa fente charnue pour venir titiller son petit trou. À chaque fois que Carine s’enfonçait sur le glaive de Jérôme, l’index d’Alain semblait pénétrer cet accès restreint. Elle devait être dans un état d’excitation incroyable pour ne pas se rendre compte de se qui se passait. Ou bien elle le souhaitait et, dans ce cas, cela me rendait fou. Au vu du travail d’Alain, il était évident qu’il la préparait à une sodomie dans les règles de l’art. Nous avions essayé plusieurs fois mais je n’arrivais pas à bander assez fort pour maintenir la pénétration. Mes doigts étaient donc officiellement restés les seuls visiteurs efficaces jusqu’à aujourd’hui.

Je transpirais abondement, la sueur me piquait les yeux, j’avais du mal à les garder ouverts. Désormais, je ne serais plus le seul !

Alain bandait à nouveau maintenant. Ses doigts ne quittaient plus le cul de Carine. Il lui dit quelque chose à l’oreille. Je ne pus entendre mais je savais ce qu’il lui demandait. Il se leva et se positionna derrière elle. J’étais fou, elle avait accepté. Je ne voyais plus grand-chose : juste un homme de dos, les dessous de pieds blancs de ma femme sur le canapé, les deux jambes de Jérôme pieds au sol et c’est tout. La pénétration fut lente car plus personne ne bougeait à part Alain qui faisait de légers mouvements d’introduction.

Puis il accéléra et l’ensemble recommença à bouger. Carine subissait sa première double pénétration. Ils soufflaient, j’entendais des gémissements plus ou moins soutenus qui montèrent jusqu’à un orgasme d’une intensité incroyable. Carine hurlait. Je pensais aux voisins… Le sexe de Jérôme venait d’apparaître pendouillant entre ses jambes, gluant. Il avait jouit. Carine libérée de son empalement redressait le bassin pour cambrer ses hanches un peu plus. Alain s’empara de la place laissée vaquante par Jérôme. La sodomie était terminée mais il n’en avait pas fini avec Carine. Il la martelait avec une v******e inouïe. Carine le supplia de jouir. Elle suffoquait. J’entendais le claquement des hanches d’Alain sur ses fesses. Les plaintes de Carine furent entendues après quelques minutes de ce régime. Alain se vida une seconde fois dans le ventre de ma femme qui, de son côté, récoltait sa troisième moisson. Puis ce fut l’accalmie.

Pour ma part, je venais de jouir pour la seconde fois dans les rideaux…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire