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Ma Maîtresse m’impose des séances de milking,

Ma Maîtresse m’impose des séances de milking,



Ma maîtresse m’impose des séances de milking.

Passant la journée à la maison, je m’installe devant ma coiffeuse pour me maquiller et ajuster ma perruque devant mon miroir.

Malgré mes nombreuses années de travesti, c’est toujours avec la même émotion que j’enfile mes dessous: guêpière, nuisette, culotte fendue, bas et talons aiguilles, sans oublier mes seins siliconés que je place dans mes bonnets 105/D.

J’éprouve une grande excitation lorsque je me vois devant la glace porter ces symboles de la féminité ainsi que ma cage de chasteté.

M’interdisant toute érection, elle me permet d’être davantage concentrée sur mon plaisir anal en m’interdisant toute érection.
Elle m’aide aussi à me sentir plus femme.

Depuis plus d’un mois, Natacha en détient la clé.
Elle m’oblige à la porter en permanence pour me rendre plus docile et me garder chaste.

Elle a un sourire de satisfaction lorsqu’elle me voit m’asseoir comme une fille sur la cuvette des toilettes en faisant glisser ma culotte sur mes cuisses sans retirer mes jarretelles.

En me féminisant, elle sait qu’elle renforce un peu plus chaque jour son pouvoir sur moi.

Quant à moi, je me suis habituée à l’étroitesse de ma cage à l’exception de mes érections matinales.

Afin qu’elle soit plus confortable, Natacha m’a rasé la queue pour que mes poils ne soient pas pris à l’intérieur.
Aujourd’hui, elle entoure mes bourses d’un parachute sur lequel elle suspend deux poids de 300gr.
Pendant plusieurs minutes, elle m’oblige à rester debout et à remuer mes hanches pour les faire bouger et amplifier leur poids.

L’étirement de mes bourses me fait découvrir de nouvelles sensations.

Natacha majore ma frustration en m’imposant des séances de masturbations quotidiennes qui restent toujours inachevées.

Le soir avant mon coucher, elle prend soin de me vider les bourses d’une manière mécanique pour m’interdire d’avoir des éjaculations nocturnes.
Je ressens une terrible frustration en voyant couler ma queue sans avoir de plaisir.

Ma perfide maîtresse a une imagination débordante pour me soumettre à ses caprices et accroître mon désir.

Elle me maintient dans un état de pré jouissance permanent qui laisse tous mes sens en éveil en exacerbant ma libido.

Jour après jour, elle me fait renoncer à ma sexualité de mâle en me castrant psychologiquement et physiquement.
Ayant des penchants lesbiens, elle veut me transformer en lesbienne soumise dans son lit.

Il lui arrive de temps en temps de me faire jouir pour me récompenser de ma soumission.

Elle utilise alors son vibro en le posant habilement sur mon frein.
Elle n’attend pas longtemps pour voir une coulée de sève recouvrir ma cage.

A d’autres moments, voulant me récompenser, elle m’allonge sur le ventre en me clouant au lit avec son gode ceinture jusqu’à ce qu’un orgasme m’emporte en me faisant exploser la tête.

Je réalise que ma jouissance anale est devenue beaucoup plus intense que mon orgasme pénien qui ne me satisfait plus.

Dans la journée, Natacha me fait porter une robe ultra courte gonflée par deux jupons superposés qu’elle peut soulever rapidement lorsqu’elle souhaite s’occuper de ma queue.

Le soir venu, elle me fait asseoir dans le divan du salon pour ma traite quotidienne.

– Écarte bien les cuisses, me dit-t-elle en s’agenouillant entre mes jambes tout en abaissant ma culotte fendue.
– Je t’envie de porter une si belle lingerie, me dit-t-elle en remontant lentement ses mains à la lisière de mes bas.

J’entends le clic métallique du cadenas lorsqu’elle me retire ma cage en libérant ma queue flasque qui a la taille d’un sexe d’enfant.

Puis, elle pose un sac rempli de glaçons sur mon sexe et mes bourses pour m’empêcher de bander et d’avoir du plaisir lors de ma traite.

Sans me quitter des yeux, elle m’enfonce trois doigts dans l’anus en massant habilement ma prostate d’avant en arrière pour me traire.

Sous les pressions expertes de ma maîtresse, je ne tarde pas à ressentir d’agréables sensations dans le bas ventre.
Je cambre les reins pour m’offrir à ses caresses.

Je vois dans son regard qu’elle n’apprécie pas de me voir prendre du plaisir.
Elle se voit malgré tout contrainte de poursuivre son massage pour m’empêcher d’avoir une éjaculation durant la nuit.

C’est donc plus brutalement en formant un crochet avec ses doigts qu’elle continue à stimuler mon point G jusqu’à ce que ma sève se répande lentement sans saccade sur ma guêpière.

Je n’ai aucun orgasme lorsque ma semence ruisselle sur mes cuisses gainées de nylon et s’accroche comme des guirlandes à mes bas.
Ma Maîtresse me presse ensuite la queue avec application pour extraire mes dernières gouttes de sève.

Parfois, ne voulant pas perdre de temps à me mettre des glaçons, elle m’oblige à garder ma cage pour que je ne bande pas lors de ma traite.

En dehors de ma traite du soir et afin d’amplifier ma frustration, elle me masturbe également trois fois par jour mais cette fois sans me faire éjaculer.
Je suis devenue pour elle un véritable sexe sur pattes.

Ces séances répétitives me mettent dans un état d’excitation extrême.
– N’oublie pas de lever la main quand tu es sur le point de jouir pour que je puisse m’arrêter à temps, me dit-t-elle.
– Si par malheur tu as un orgasme, je t’obligerai à garder ta cage un mois supplémentaire.

M’ayant encagée depuis plusieurs mois, elle s’aperçoit que ma queue a perdu 2 cm.
Natacha me la change pour une cage plus petite contenant un plug urétral soudé à l’intérieur.
C’est une tige épaisse de 7mm et longue de 6 cm qu’elle doit m’enfoncer à fond dans l’urètre pour pouvoir verrouiller ma cage.
– Ce tuteur évitera que ta queue ne sorte de ta cage en métal en stimulant ta prostate.
– Sa tige creuse te permettra de soulager ta vessie le moment venu, me souffle-t-elle à l’oreille.

Puis, elle prend un plaisir sadique à exacerber mon désir par de subtiles caresses sans jamais dépasser le point de non retour.
N’en pouvant plus, je la supplie de m’achever.

Sans me répondre, elle m’écarte les cuisses en faisant glisser sa nuisette satinée sur mon anus, mon périnée et mes bourses.

Le contact des fibres satinées m’enflamme les sens et je dois souvent lui faire un signe de la main pour éviter de jouir.

Voulant me récompenser de mon obéissance, elle retrousse sa robe pour me laisser lui lécher la chatte.

Avec le temps, je suis devenue une véritable experte du cunnilingus en y prenant de plus en plus de plaisir car c’est la seule récompense qu’elle m’offre quotidiennement.
Je fais aller et venir sans trêve ma langue de sa chatte à son anus jusqu’à ce qu’elle jouisse.

Puis, elle se déshabille en ne gardant que son corset et ses bas avant de s’allonger sur son lit en me faisant face.
– Maintenant, regarde moi, me dit-t-elle d’une voix autoritaire.

Elle saisit un gode de gros calibre qu’elle enfonce lentement dans sa chatte en écartant les jambes.

Je la vois sortir un vibro de dessous l’oreiller qu’elle pose sur son bouton d’amour en me fixant d’un regard torride.

C’est le fairy, un des plus puissants des vibro qui la fait gémir longuement jusqu’à ce qu’une vague déferlante de plaisir ne l’emporte.

Quelques instants plus tard, elle m’enlève ma cage pour me masturber en plaquant ses lèvres sur ma bouche pour étouffer mes gémissements.

Puis, elle fait glisser son ongle sur mon frein tout en massant mon périnée.
Je deviens fou de désir en subissant ses caresses qui n’aboutissent jamais à l’orgasme.

Natacha ne peut retenir un sourire en me voyant dans cet état.

– Dans quelques semaines, je te mettrai une cage de chasteté électrifiée jusqu’à ce que tu me demandes de te castrer pour ne plus souffrir.

– Je me servirai alors de la pince élastrator.
– Ses puissantes élastiques serreront tes bourses en empêchant le sang de les irriguer.
– Tu deviendras impuissant en quelques heures en devenant la lesbienne soumise que je veux avoir dans mon lit.

En attendant ce moment, ma Maîtresse continue à me masturber matin, midi et soir sans oublier de me traire avant le coucher.

A la nuit tombante, j’attends avec impatience ma séance de milking qui va m’apaiser les sens et me permettre de m’endormir.

Dites moi si vous aimeriez vivre cette expérience.
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