Mercredi soir, nous nous sommes rendu à l’auto école, j’ai fait la connaissance de Stéphane, bel homme portant bien ses quarante ans. Rapidement je constate qu’entre lui et Virginie, une certaine complicité existe.
Là aussi je remplis une fiche, il me donne le livre de code à potasser et nous passons dans la salle où il me projette des diapos, je dois répondre A ou B suivant la question posée sur un carton réponse.
La séance finie, il le corrige.
— Recalée, j’ai fait presque une faute sur deux.
— C’est normal, d’ici trois semaines si vous travaillez bien votre bouquin et si vous allez sur des sites de diapos identiques à celles que je vous ai présentées, vous passerez l’examen avec succès.
— Le code en poche nous attaquerons la conduite.
Jeudi, je suis allée chez l’avocat pour le divorce. La secrétaire me reçoit, même si elle a été une très belle femme, elle doit être proche de la retraite.
Elle me fait entrer dans son bureau.
Il se lève pour me saluer, plus vieux que sa secrétaire, en costard, chemise blanche, nœud pape, une vraie gravure du musée Grévin.
Je lui tends la main, il la saisit et me fait un baisemain dans la pure tradition. Il se penche et effleure le dos de ma main. Une fraction de seconde, je pense « attention pépé tu vas resté bloqué ».
Je manque d’éclater de rire, je me contiens et je prends place dans le fauteuil faisant face à son bureau.
Virginie m’a bien recommandé avant de partir de surtout ne pas craquer sur mon interlocuteur.
Qu’elle se rassure, vu le personnage, il n’y a aucun risque.
— Ma petite dame, votre mari est venu me voir désirant divorcer, il ma demandé d’engager la procédure entièrement à ses torts. Il prend tout à sa charge. Vous n’avez qu’un bien commun tous les deux, votre appartement, il l’a mis en vente et je crois savoir que plusieurs acheteurs sont intéressés. A ce titre si vous êtes d’accord je vous fais signer une autorisation pour votre mari d’engager au nom du couple la vente du bien ?
Je signe sans regret.
Afin de faciliter la vente, il me demande d’enlever tout ce que je souhaite conserver ainsi que mes effets personnels.
— Dès que ce bien sera réalisé, j’optiendrai un rendez-vous au palais afin qu’un juge engage la procédure de conciliation.
— Si vous signez le constat de désaccord, il prononcera le divorce.
— Acceptez-vous la procédure telle qu’elle vous est proposée dite « à l’amiable », ou voulez-vous que je prenne contact avec un de mes confrères qui se chargera de vos intérêts.
Je lui confirme mon choix pour la première formule espérant que tout soit terminé rapidement.
— Merci de votre confiance, vous pouvez être sûre que j’aurais à cœur de vous apporter tout mon soutien dans cette difficile épreuve.
Il se lève, me raccompagne jusqu’au seuil de son bureau, je lui tends la main, il avance la sienne commence à se pencher, je la saisis prestement et la serre évitant les risques de blocages de dos.
Samedi, la semaine terminée, nous retrouvons nos charentaises.
Ce soir, ma grande a décidé après manger de m’initier à l’amour avec les hommes.
A cette effet, elle a apporté un DVD porno qu’elle a acheté dans un sex- shop voisin de l’institut.
Comme d’habitude, en deux temps trois mouvements, nous sommes nues.
Nous avalons notre repas rapidement, puis nous nous installons dans le canapé, elle lance le film. Après les recommandations concernant la protection des mineurs, les premières images apparaissent.
Un couple est dans une cuisine, madame est devant son évier et lave des légumes, elle ne porte qu’un tablier, ses fesses sont nues, son mari passe derrière elle et la remercie d’avoir enfin accepté d’être nue chez eux.
Il enserre sa femme de ses bras, elle se retourne et l’embrasse amoureusement.
Il lui enlève son tablier, elle est nue.
Virginie me prend dans ses bras et à cette vue me sert plus fortement.
La femme s’agenouille devant son homme défait sa ceinture et fait sortir de son pantalon une verge d’une bonne dimension.
Elle la frotte sur son visage avec des yeux d’envie. Prestement, elle ouvre la bouche et commence à sucer cette belle queue méticuleusement.
Virginie fait un arrêt sur image.
— Ces images ne te choquent pas ?
— Non, mais je n’ai jamais eu de bite dans la bouche.
Elle a apporté près d’elle un gode que je ne connais pas, elle le saisit et commence à le prendre en bouche. Faisant tourner sa langue sur le prépuce du sexe. Elle fait courir ses lèvres tout le long de la verge allant et venant, le reprenant dans la bouche l’enfonçant même au plus profond de sa gorge.
Au bout de quelques minutes elle me passe la verge. — A toi, fais moi voir comment tu suces, ma belle salope. Tu dois savoir qu’une « pipe » c’est comme ça qu’on l’appelle, est l’une des choses que les femmes peuvent faire aux hommes et qu’ils adorent. Il n’y a rien de dégradant à faire des pipes aux mecs. Je peux te dire que c’est une des pratiques en amour que j’aime leur faire. J’aime sentir cette verge, que je malaxe et suce, se gonfler dans ma bouche jusqu’à devenir une barre très dure et qui va pouvoir me pénétrer.
En bonne élève je prends l’objet, le fait pénétrer entre mes lèvres.
Je fais aller ma langue sur le bout et d’un coup je l’avale le plus loin possible comme je l’ai vue faire par ma grande.
La tête du vit me touche la glotte et un haut le cœur me saisit.
— Oh ! Ma belle, du calme, prends ton temps. Elle ne va pas s’envoler, reprends ton souffle.
Je recrache la tige, et quelques minutes après je recommence à manier l’engin.
— Bravo, tu viens d’apprendre quelque chose de nouveau, tu vas devenir la reine des tailleuses de pipes.
Elle relance le DVD.
Avant de se relever, madame prend le capuchon de latex que son homme lui passe et avec sa bouche le fait glisser tout le long de la verge jusqu’aux testicules.
Arrêt du DVD.
Virginie prend sur une table derrière le canapé un sac en velours, l’ouvre et sort devant moi un sexe hors nature en ébène.
La base de ce gode extraordinaire de forme et de volume est plate . Elle le place sur la table et sort du sac une capote.
— A toi de jouer, mets lui son capuchon .
Attention, chaque fois que dans les temps prochains tu auras des rapports avec des hommes, tu n’oublieras jamais de le capuchonner. Les maladies sexuelles, dont le sida, ont tendance à courir les rues de notre temps. Même si ton futur partenaire te semble bien mis, tu ne peux jamais savoir où il a préalablement trempé son pinceau. Si tu oublies cette précaution tu n’auras plus qu’à pleurer jusqu’à la fin de tes jours.
– Maintenant essaye .
Je prends en main la magnifique verge en ébène, la capote de l’autre et en faisant glisser l’ensemble en deux coup de langue et de bouche je la déplie correctement le long de la colonne.
— Bravo, ma cochonne me dit ma sœur de sexe, moi, la première fois je n’y suis pas arrivé, encore quelques leçons et tu seras bientôt plus experte que moi.
Elle relance le DVD.
La femme se redresse, s’appuie sur la table, lève une jambe qu’elle place à quatre vingt dix degrés sur cette dernière, son homme arrive par derrière et plonge sa verge dans la chatte béante. Il la pilonne vigoureusement, jusqu’à ce qu’elle pousse des petits cris de plaisir.
De nouveau arrêt du DVD.
— Tu vois, ma belle, pour une femme, toute position peut être pratiquée. Tu vois donc que quand ton homme se contentait de te couvrir et te pénétrer, il manquait d’imagination. De plus, tu remarqueras lorsque je relance les images, que le mari n’a qu’une couille, il est pourtant l’un des plus célèbres hardeurs du cinéma porno avec sa couille, ça ne l’empêche pas de faire jouir ses partenaires. Il s’appelle « Tof ».
Elle allait relancer le DVD.
— Peux-tu m’enfoncer ton joli gode d’ébène dans le con. J’en ai envie, regarde comme ma petite chatte mouille.
Saisissant l’objet de ma convoitise, elle écarte d’une main mes lèvres intimes, me l’enfile directement jusqu’à fond de ma grotte.
Ce mouvement violent aurait dû m’arracher un cri de douleur, mais c’est un cri strident de plaisir que je lance.
Mon dieu ! Que ma chatte est bien remplie ! j’espère que cette protubérance noir qui sort de mon sexe va y rester le plus longtemps possible distendant mes chairs à vif afin de continuer à me procurer ces plaisirs violents qui déferlent par vagues.
A ce moment un téléphone sonne.
Virginie prend son sac et sort un portable que je ne lui connaissais pas, elle prend le stylo et le bloc sur la table et note, « Eurotunnel , départ gare du nord, seize heures, dimanche. Londres, Rubens Palace près de Westminster , chambre cinq cent soixante, vingt heures, bar de l’hôtel.
Je suis très étonnée de ces renseignements transcrits sur son bloc par mon amie. Voyant ma surprise, elle me reprend dans ses bras, me fait un gros câlin et commence à m’expliquer.
— Je ne t’ai pas tout dit sur ma vie, depuis mes dix huit ans, je suis une femme qui plaît énormément aux hommes et aux femmes. Aussi, j’ai été introduite par une amie dans un réseau d’escort-girls. Mes premiers rendez-vous, je les ai fait avec elle lorsque des contrats pour deux femmes lui ont été proposés.
Depuis, je continue à faire régulièrement des voyages à travers le monde lorsque des monsieurs, quelquefois des femmes, ont besoin d’une compagnie féminine de grande qualité esthétique et intellectuelle.
Nous devons toujours être tirées à quatre épingles.
Ils aiment que nous soyons érudites, cela les met en valeur devant leurs amis.
Ce monsieur ou ces messieurs nous emmènent presque chaque fois dans des restaurants de haut standing, fiers de se montrer avec de jolies femmes à leurs bras.
Je me déplace tous frais payés et perçois une indemnité rarement inférieure de mille à cinq mille euros la soirée, suivant les servitudes.
Depuis huit ans, je vais plusieurs fois par mois à ces rendez-vous.
J’ai amassé une jolie somme.
J’ai pu me payer l’institut, ainsi que le pavillon où nous sommes.
Je pars demain pour Londres où je vais rencontrer un homme qui souhaite avoir ma compagnie.
— Est ce que, tu n’auras pas peur seule ici ?
Je reviens lundi après midi gare du nord.
— J’ai l’habitude de rester seule dans mon appartement mais là, je ne suis pas rassurée à l’idée de rester dans ta maison isolée.
— J’ai une idée , je vais demander à Anne si elle est disponible pour venir passer la soirée et la nuit avec toi.
Aussitôt, elle décroche son téléphone et l’appelle . Aucun problème, la petite peut venir, il lui suffit d’appeler ses parents pour qu’il garde sa fille pendant les deux jours.
La grand mère sera au ange.
Virginie m’entraîne dans la chambre pour prendre un repos mérité, la journée du lendemain sera très prenante pour elle.
Le lendemain, nous passons la matinée à bronzer et à lézarder à la piscine. Nous mangeons rapidement à midi, elle prend un bain moussant, se coiffe, se maquille et s’habille avec des vêtements sortis de ses armoires que je ne lui ai jamais vus. Elle prépare un sac dans lequel elle n’a qu’à placer le téléphone de travail et un petit sac de sport d’une marque bien connu pour ses prix exorbitant. Elle sort aussi une valise de la même marque.
Elle m’explique que quelquefois, le temps pour honorer un contrat est très court et il lui faut toujours être prête. Lorsqu’elle revient d’un rendez-vous, avant de les ranger, elle les contrôle intégralement.
A quatorze heures quinze, nous sortons. Un taxi attend, nous prenons la direction de la gare du Nord que nous atteignons à quinze heures. Une heure d’avance. Nous-nous installons à la terrasse du bar de la gare, dix minutes plus tard, un homme casqué arrive à notre hauteur et dépose une enveloppe près de Virginie, tourne les talons et s’éloigne prestement.
Discrètement elle l’escamote et se rend aux toilettes.
Lorsqu’elle revient, nous buvons un café et nous prenons la direction du train.
En chemin, elle m’explique que le coursier que nous avons vu, fait partie de l’organisation et lui a apporté, les billets de train aller-retour, la réservation pour la chambre et une partie de la somme d’argent.
Je l’accompagne jusqu’à son wagon, nous restons main dans la main, nos yeux sont rivés et l’envie de nous embrasser nous submerge. La bienséance nous empêche de franchir le pas, elle entre dans le sas, je saute sur la marche, elle se retourne nos bouches se trouvent brièvement. Je rejoins le quai et j’attends la fermeture des portes pour remonter vers les taxis.
Une heure après, j’arrive au pavillon. Anne vient me recevoir et m’entraîne à l’intérieur. Elle a préparé le couvert, je n’ose pas me mettre nue, ne voulant pas qu’elle se sente obligée d’en faire autant.
Le repas terminé, la cuisine rangée, elle me demande si elle peut aller faire un sauna. Elle adore cette atmosphère chaude et très sec.
Aucun problème, je vais te donner un peignoir et une serviette pour que tu en profites sans te brûler.
Je vais dans le garage mettre sous tension l’appareil comme j’ai appris à le faire, pendant qu’elle se déshabille dans la chambre.
Virevoltante et sautillante comme une petite puce qu’elle est, elle part vers le jardin.
Je me déshabille, me démaquille et passe moi aussi un peignoir. Je me dirige vers le sauna, entrouvre la porte et lui demande si je peux entrer.
— Bien sûr, la banquette inférieure est libre.
La porte fermée, je m’installe. Nous sommes assises face à face. Anne a enlevé son peignoir et a posé la serviette sur son ventre. Je peux admirer ses tous petits seins nus avec la framboise que j’ai aperçue au travers de son débardeur.
La chaleur commence à me faire suer, j’enlève le peignoir et le place sous moi.
Ma main droite se trouve à quelques centimètres de ses jambes allongées. Je m’enhardis et lui prends la cheville, pas de réaction, je fais aller ma main de la cheville à son genou, elle ne dit toujours rien.
Sa peau mouillée permet à ma main d’aller et venir. Elle glisse merveilleusement.
Elle m’att**** la main, fait tomber la serviette et la place sur sa fourche.
Moi qui ai eu peur de la choquer tout à l’heure, je me trouve prise dans un tourbillon de sensations. Sa fente est recouverte d’une toison très fournie et noire comme le jais. Placer face à elle, je vois les lèvres de sa chatte. J’avance et je fais pénétrer un, puis deux, trois de mes doigts, dans son sexe bien humidifié.
Elle écarte les jambes, un quatrième doigt, puis le cinquième se rejoignent. Ils font comme une flèche positionnée dans l’axe de sa grotte. Elle me prend le poignet et tout en le tournant de droite à gauche, puis de gauche à droite, le fait pénétrer à l’intérieur de son sexe. Quand on voit cette petite femme, il est impensable qu’un aussi petit sexe, un si petit ventre soit en mesure d’engloutir mes cinq doigts. Et pourtant le mouvement de rotation fait pénétrer une phalange, deux phalanges, les troisièmes sont passées, la partie la plus large du poignet franchit ses parois intimes et quelques secondes après toute ma main est à l’intérieur.
Son ventre m’apparaît comme distendu et j’ai peur de lui avoir fait mal, de lui faire mal, ses yeux presque intégralement révulsés attestent qu’il en est rien, elle semble prendre un plaisir gigantesque à cette pénétration. Emergeant, elle me demande d’ouvrir ma main.
Je commence à écarter les doigts, son ventre augmente de volume, ses sécrétions vaginale inondent mes doigts mais d’une façon différente de celle de Virginie. Je sens un liquide épais couler dessus. Petit à petit j’arrive à ouvrir la main.
Elle est entièrement à plat au fond de son sexe.
A partir de ce moment, elle crie sa jouissance comme jamais je n’ai entendu les deux autres femmes avec qui j’ai fait l’amour crier.
J’ose faire manœuvrer ma main d’avant en arrière.
Cette poupée est si petite que j’ai l’impression que le bout de mes doigts dans son ventre sont à la hauteur de son cœur.
J’ai l’impression de le sentir battre au bout de mes doigts.
Je reste de nombreuses minutes la main entièrement entrée dans son intimité.
Je la sors enfin, son sexe émet un bruit de ventouse comme s’il regrettait d’être abandonné.
Nous sortons du sauna et plongeons dans la piscine.
La nuit est tombée, nous rejoignons ma chambre toujours nues.
Tiens ! c’est la première fois que je vais me coucher dans ce lit ayant depuis le début partager la couche de mon aimée.
Nous rejoignons la salle de bain et prenons un bain face à face. J’ai placé mes jambes de chaque côté de ma puce, ses doigts de pied sont placés à l’entrée de ma grotte. Insidieusement ils me touchent, me caressent, elle leur fait faire un mouvement de bas en haut qui enflamme rapidement ma vulve. Je jouis en poussant des petits bruits fort sympathiques.
Sortie de la baignoire, je l’essuie, la serre dans mes bras et lui pose un baiser sur le bout de son nez. Bizarrement, j’hésite à lui prendre les lèvres, étant certainement impressionnée par ses airs de petite fille.
Nous-nous allongeons, elle se blottit contre moi, je lui demande comment et depuis quand elle pratique la pénétration d’une main dans son sexe.
Après la naissance de sa fille, lorsque son père l’a abandonnée, elle s’est juré de ne plus avoir d’hommes dans sa vie.
Un soir sa petite chatoune la démangeait tellement que pour éteindre ce feu qui la brûlait, elle s’est elle-même introduit, comme je l’avais fait un, deux puis ses cinq doigts dans le vagin.
Jusqu’à ce jour sa seule main est allée au fond d’elle.
Comme elle me l’a demander dans le sauna, elle a appris à ouvrir sa main et ainsi à avoir des jouissances jamais atteintes avec le seul mâle qui lui a fait l’amour, lui faisant un enfant dès la première fois.
Au moment de nous endormir, je prends conscience que pour la première fois de ma vie, j’ai pris l’initiative de provoquer une action entraînant une partenaire à atteindre sa jouissance.
Mon initiatrice sera fière de sa salope d’élève quand elle reviendra et que je lui narrerais toute cette aventure.
Dormons, maintenant, après ce que je viens de vivre et d’apprendre sur mon amie concernant sa vie secrète, une nuit de repos ne peut que nous être bénéfique. Sans oublié une pensée pour Virginie qui doit honorer son contrat à Londres.
Vivement demain que je la retrouve…..
Et oui à demain, bonne nuit à tous.
J’ai bien aimé cet épisode, j’ai même bandé en transcrivant ces mots.
J’ai hâte qu’elle se réveille.
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