Chaque été, mes cousins et moi avions la chance de nous retrouver au « Château » de mes grands-parents.
J’appartiens à une famille dite « noble » et j’appréciais particulièrement cet endroit familial. Tennis, lac privé, grand Parc… Rien ne manquait dans cet endroit privilégié, lieu de réunion familiale.
Cet été là ne faisait pas exception à la règle. Nous étions à la mi-août mais la chaleur ne nous avait pas empêché de disputer le traditionnel tournoi de tennis familial. Ma tante Constance était la dernière arrivée dans la famille. Pas vraiment jolie mais elle me plaisait car elle avait pour elle un corps et des formes qui ne me laissaient pas indifférent ! Il faut dire que si j’étais encore puceau, ma tante avait à peine 8 ans de plus que moi.
J’avoue m’être souvent masturber le soir en pensant à elle.
Cet après-midi là donc, j’attendais mon tour pour le tennis allongé dans un transat. Je vis alors arriver ma tante en tenue de tennis ultra-courte. Tout de blanc vêtue, cette petite jupette blanche tranchait radicalement avec le bronzage de ses jambes. C’était la première fois que je la voyais habillée aussi court. Et c’était surtout la première fois que je pu admirer la ciselure de ses jambes. Longues et fines, bien bronzées voilà qui allait nourrir mes songes à venir.
Elle se mît avec mon Oncle pour le double qui débutait. Je n’eu d’yeux que pour elle lors de cette partie. À ma grande surprise, elle se débrouillait plutôt bien et ne ménageait pas ses efforts sur le terrain. La chaleur eut raison d’elle et c’est dégoulinante de sueur qu’elle arrêta à la fin du premier set. Alors qu’une de mes cousines la remplaçait sur le cour, ma tante vint s’affaler sur le transat à côté de moi.
Du coin de l’œil, j’admirais la texture de sa peau qui ne souffrait d’aucune imperfection. La sueur faisait briller ses jambes mais avait également pour effet de mouler son polo blanc à son corps. Cela m’excita à un point que je dû croiser les jambes pour masquer mon trouble.
Toute la famille était au tour du tennis en train de jouer ou de papoter, quand ma grand-mère me demandât d’aller chercher les glaces dans le congélateur. Ma tante se proposât de m’accompagner pour m’aider à tout porter. Mais avant de se lever de son transat, elle me tapotât une cuisse en se moquant de ma pilosité déjà importante pour mon âge. Ce geste de familiarité me surpris et j’aurais adoré pouvoir en faire autant sur ses jambes. Mais bonne éducation et bien séance oblige, je me contenta de lui répondre par un sourire gêné.
Le congélateur se trouvait dans ce que l’on appelait le « fruitier ». Une pièce au sous-sol du château qui avait pour elle de rester toujours fraîche. Les murs épais permettait de garder une température constante, été comme hiver.
Ma tante me précédait et voir ainsi dégoulinante de sueur m’excitait au plus haut point.
Contraint de me calmer, je proposais d’aller chercher les paniers pendant que ma tante allait choisir les glaces dans le congélateur. Ce dernier était imposant et l’ouverture se faisait par le haut, comme pour un coffre.
Relativement profond, il fallait vraiment se pencher pour pouvoir att****r les boîtes qui reposaient au tout au fond.
Aussi, qu’elle ne fut pas ma surprise à mon retour, de voir ma tante penchée pour essayer d’atteindre les boîtes du fond. De taille moyenne, ses pieds décollaient du sol tant elle devait se pencher pour atteindre les glaces.
Plutôt que de lui proposer mon aide, j’étais bouche bée devant le spectacle qui s’offrait à moi: la jupe trop courte laissait apparaître sa petite culotte blanche que je devinais trempée par la sueur. Aucun doute non plus sur le fait que si ma tante s’épilait les jambes à merveille, il n’en était pas de même de son intimité.
Je restais là, figé et bandant comme un âne. Je ne savais que faire car il m’était impossible de masquer mon trouble.
Était-ce la chaleur ou le fait de voir ma tante se trémousser pour tenter d’att****r ces boîtes mais je me sentis pris d’une pulsion que je ne pu restreindre.
Je m’approcha de ma tante et me colla à elle.
– « Attention, tu vas tomber ! » Lui dis-je en l’attrapant par la taille.
– » Aide moi plutôt à att****r ces foutues boîtes, je suis trop petite » me répondit-elle.
Le fait qu’elle ne me demanda pas de reculer où d’ôter mes mains me donna encore plus de fougue. Il était impossible qu’elle n’ai pas remarqué le trouble qui était mien. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je sortis mon sexe trop à l’étroit dans mon caleçon et le cala entre ses cuisses.
– » Mais qu’est-ce que tu fais Pierre, ça ne va pas ?! » Me lança ma tante.
Je ne sus quoi répondre mais étant déjà aller trop loin et encouragé par le fait que ma tante ne faisait rien pour se redresser, je m’en hardis de plus belle.
Non content de me frotter à elle, j’écartais de deux doigts sa petite culotte trempée de sueur et lui planta mon sexe au plus profond de son intimité.
Ma tante poussa un petit gémissement et la facilité avec laquelle je pu m’introduire, me fit comprendre que ma tante partageait le même désir que moi.
– » Non, Pierre arrête ! Il ne faut pas ! » Murmurât-elle entre deux gémissement.
Mais la moiteur et la chaleur de son intimité alliait à ses gémissement de plaisir rendait toute marche-arrière impossible.
J’étais là, dans le fruitier, en train de prendre ma tante en levrette !
Je la pilonnais comme je pouvais mais avec toute la fougue de mon âge.
Je ne mis pas longtemps à exploser en elle quand je la vis prise de tremblements.
Ma tante se mît alors à gémir plus fort et alors que je nais de me retirer d’elle, je vis des flots de ce liquide sortir par saccade de sa chatte !
C’était la première fois que je voyais une femme fontaine et j’en ignorais même l’existence !
Les tremblements cessèrent et ma tante de redressa enfin.
Elle me regarda haletante et laissa échapper un » Ben mon salaud ! ».
Je ne savais que dire ni que faire. Elle ne m’en laissât pas le temps, puis tout en réajustant sa culotte, me fit jurer de ne jamais rien dire ni de recommencer.
« Faute de quoi, je raconterai tout à ta mère ! » me dit elle.
Puis prenant les paniers par terre, elle finit par les remplir avec les glaces qui étaient à sa portée.
« – Vient grand couillon ! » Me dit-elle en quittant la pièce.
Nous n’avons plus jamais parlé de cela et j’admire sa capacité à faire comme si rien ne s’était passé.
Je n’eut jamais l’occasion de retourner au fruitier avec ma tante.
Mais j’y suis souvent retourner seul pour admirer ses traces de cyprine sur le sol, qui à elles seules témoignaient de ce qui s’était passé ici…
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