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4 Une expérience nouvelle

4 Une expérience nouvelle



« J’ai une expérience nouvelle à te proposer. » Me déclara Jean-Charles. « Je pense que tu vas apprécier. »
Jean-Charles a un ami dans le genre soixantaine sèche et autoritaire. Il a lui-même une amie qui a de gros besoins. J.C. ne l’a jamais rencontré, mais il m’a dit que c’était une femme mûre, d’une cinquantaine d’années et qui aime beaucoup les petits jeunes endurants. Évidemment, l’idée d’une femme âgée m’excita terriblement. J’ai toujours été attiré par les messieurs dans la force de l’âge, mais une femme, je n’y avais pas pensé. En imaginant la chose, je me dis que c’était une très bonne idée.

Jean-Charles nous arrangea un dîner dans une célèbre brasserie où Jacques avait ses habitudes. J.C. et lui se connaissaient bien et la conversation était libérée. J’appris que Jacques appréciait les jeunes hommes aussi. Après deux bouteilles de vin, ils en vinrent à parler de cul et de ma poitrine et cela émoustilla Jacques, qui insistait pour que je déboutonne ma chemise, comme ça, en plein restaurant. Quand un homme le fait subrepticement et qu’il est dos à la salle, c’est assez facile. Égayé par le bon vin, je m’exécutais. Son regard lubrique n’en perdit rien, et il me passa rapidement le revers de sa main sur un mamelon. C’était excitant, mais quand même gênant. À la fin du repas, Jacques lança à Jean-Charles : « Tu me le prêtes 5 minutes à la voiture ? » Sans me demander mon avis, J.C. lui répondit : « D’accord. Je surveillerai les alentours ».

Nous descendîmes tous les trois au parking vers la grosse Mercedes de Jacques. Jean-Charles resta à l’extérieur de la voiture tandis que nous prenions place aux places arrière. « Enlève ta chemise », m’ordonna Jacques en gros vicieux qui a de la suite dans les idées. Il entreprit alors de me caresser les seins, puis ouvrit sa braguette : « Suce ». Terriblement excité par cette domination et prêt à jouer le jeu de la soumission, je m’exécutais sans rien dire. Sa demie molle devint vite dure. Je me mis à le branler. Il me força rapidement à le reprendre en bouche en me tenant la tête. Très peu de temps après, tout en me tripotant les seins et sans rien dire, il m’éjacula dans la bouche en poussant un râle. Il me qualifia de bonne petite pute. J’avoue que cette situation m’excitait énormément. Je m’étais retrouvé le jouet sexuel d’un vieux pervers.

Je me rassis sur la banquette et ce fut Jean-Charles qui prit place. Je compris qu’il voulait lui aussi profiter de ma bouche. Il bandait déjà dur et me dit : « Je t’ai vu à l’œuvre, tu sembles apprécier les grosses berlines. » Je le pris dans ma bouche et il ne tarda pas lui non plus à me jouir sur la langue. Jacques s’était installé au volant et n’avait rien perdu du spectacle. Une fois Jean-Charles rebraguetté, il me dit : « J.C. ta parlé de mon amie Monique. » C’est une gourmande qui aime les petits jeunes comme toi. Elle devrait te plaire.

« Viens manger samedi midi. Je la convierai. D’ici là, pas de branlette. Elle aime la sève »
Quelques jours passèrent, je pris soin de ne pas me caresser et l’envie de sexe devenait de plus en plus forte. Le samedi matin, je me rendis chez Jacques, dans un bel appartement ancien du centre-ville. Monique était déjà arrivée. C’était une femme mûre, raffinée et qui avait dû être très belle. Elle portait une petite robe fine rouge qui laissait voir de jolies formes bien féminines, des bas coutures couleur chair plutôt élégants et des escarpins noirs. Quelques bijoux en or convenaient parfaitement à son teint mat et légèrement bronzé. Sa coupe de cheveux châtains était du plus pur style années 80. Elle était très excitante.

Je m’assis dans le canapé à côté d’elle pendant que Jacques partit chercher une nouvelle bouteille de Banyuls. Elle me dit alors : il paraît que tu préfères les hommes. Aimes-tu aussi les femmes ? »
« Oui » lui répondis-je un peu gêné. « Et vous êtes superbe ». Elle croisa ses jambes sous mon regard. « Vraiment ? » Elle me prit la main. Jacques revint avec une nouvelle bouteille et déclara : « Allez-y, je vais vous regarder. » Puis il s’assit dans un fauteuil. La situation était inconfortable, mais excitante. De ses mains manucurées aux ongles parfaits, elle m’ouvrit la chemise puis la sienne. « Jacques m’avait parlé de ta petite poitrine » : elle me pinça un téton puis demandât de me dénuder intégralement. Ce que je fis en commençant à bander.

Monique fit de même. Elle était très excitante en soutien-gorge, en culotte et en bas, toujours sur ses escarpins. Elle s’accroupit et me retira mon caleçon. Je bandais et je mouillais. « Très bien, tu es très mignon. J’ai l’air de te faire de l’effet » C’est le moins que l’on pouvait dire. Elle nettoya mon sexe avec sa main et me mit ses doigts dans la bouche. Le goût de ma propre mouille était enivrant. Je lui baissais sa culotte qui dévoila une chatte superbement taillée. Surtout, ses lèvres étaient rasées. Elle y mit ma main et je sentais qu’elle mouillait. Lui ayant totalement retiré sa culotte, elle me tourna le dos pour s’agenouiller sur le canapé. « Prends-moi » me dit-elle. Jacques n’en perdait pas une miette, la main dans sa poche…

Je la pénétrai lentement avant de poser mes mains sur ses généreuses hanches bardées du plus excitant des porte-jarretelles. Elle était vraiment féminine et sa tenue la rendait encore plus attirante. Je commençais quelques aller-retours lents. Monique ondulait de plaisir et se cambrait. SA vulve était grande ouverte. Jacques s’était rapprochait et se branlait tout en gardant ses distances.

Après quelques râles, Monique se retourna et s’assit au bord du canapé, retira son soutien-gorge puis écarta ses cuisses. « Viens me caresser les seins » : elle me les présentait pour que lje les prenne en bouche. Je pompais ses tétons et la pénétrais à nouveau. Nos souffles s’accéléraient. Jacques se colla à moi et m’ordonna de le sucer alors que je travaillais Monique qui se caressait les tétons. Il jouit dans ma bouche en très peu de temps. Je me retenais douloureusement, en évitant de penser à cette scène de libertinage vraiment excitante. Monique mit un doigt sur son clito et ne tarda pas à jouir. Ma verge était inondée. « Jouis sur mes seins ! » me cria-t-elle. Je sortais mon pénis turgescent et prêt à exploser pour lui arroser généreusement sa merveilleuse poitrine. Aussitôt soulagé, Jacques m’ordonna : « Nettoie-la. » Quand j’eus presque terminé, Monique me susurra : « Embrasse-moi ».

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