Transcription d’un manuscrit daté du 3 mars 1968.
Retrouvé dans mes archives personnelles au cours de destruction d’archives de Wislez sprl.
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03.03.1968
Hier 2 mars 1968, nous attendions Pierre et Malou pour fêter nos anniversaires respectifs.
J’étais très excité, car j’avais décidé, avec l’accord de mon épouse, que je passerais la soirée à poil.
Quant à elle, elle serait vêtue très sexy, c’est a dire, en jupe blanche, pull vert très ajouré et très décolleté sur son soutien gorge à seins nus.
J’avais pour la circonstance acheté un film pour ma petite camera.
J’avais aussi demandé à Odette d’acheter deux ballotins de pralines.
A l’idée de la soirée qui s’annonçait, nous étions tous les deux très excités
Donc, Pierre et Malou arrivent, vers 8 heures. Bisous de tous à tous.
Les enfants mis au lit, nous jouons un peu aux cartes, et comme d’habitude Pierre enrage pour annoncer des petites misères, qu’il perd souvent.
La soirée est calme, enfin, pas pour tout le monde.
J’attends 11 heures, et je quitte la pièce. Odette me rejoint très vite dans la salle de bains. je me déshabille totalement. Odette prend un des ballotins de praline et me l’attache à la bite avec force rubans et noeuds.
Je bande comme un taureau. Pour renforcer le tableau, Odette me couvre la bite par un bonnet de fourrure.
Pour sa part, elle prend le second ballotin, trousse sa jupe et glisse les pralines dans sa culotte. Cela fait elle rabat sa jupe, prend la camera et retourne dans le living ou elle entre la première, moi sur ses talons.
Je pénêtre à mon tour dans le living, me dirige vers Malou et lui souhaite un bon anniversaire. Me voir à poil avec un bonnet de fourrure sur le bas ventre fait beaucoup rire Malou, puis elle comprend ce qu’elle doit faire, c’est a dire, enlever le bonnet, et alors elle découvre les pralines.
Elle rit de plus belle en défaisant les noeuds très compliqués que mon épouse a fait autour, sur et au dessous de ma bite, ainsi qu’autour de mes couilles. Odette filme, pendant que Pierre reste assis sur sa chaise de l’autre côté de la table, l’air ennuyé, mais attentif aux agisements de Malou
Débarrassé de mon fardeau, mais toujours bandant, je prends la camera et la braque sur Odette. C’est le signal, elle trousse sa jupe, découvrant ses cuisses et sa culotte blanche et la bosse qui gonfle son entre jambes. Malou comprend, et toujours riant, écarte l’élastique de la culotte, glisse sa main dans l’espace ainsi créé, et en ressort le second ballotin de pralines. Echange de bisous, tant avec moi qu’avec Odette.
Mais Pierre comprend le parti à tirer de la situation. Il se lève et s’approche de ma femme, qui a toujours sa jupe troussée. Il est très interressé par la culotte de ma femme et la regarde avec insistance
J’interviens en disant à Odette de remettre les pralines dans sa culotte et de permettre à Pierre d’aller les récupérer. Odette reprend les pralines des mains de Malou et les replace là ou elles se trouvaient quelques instants plus tôt, et cela avec des gestes explicites. Elle se place alors devant Pierre, trousse tatalement sa jupe, découvrant ainsi ses cuisses et sa culotte. Elle s’offre ainsi à Pierre, qui ne fait ni une ni deux , écarte l’élastique, laissant le champ libre à l’introduction de ses mains dans l’espace créé.
Mais, autant Malou a très délicatement glissé sa main dans la culotte de ma femme, autant Pierre y va à la hussarde. Il plonge ses mains, s’empare du ballotin de pralines, mais ne retire pas immédiatement ses mains. Je commprends, c’est trop tentant. Je filme la scène. Odette ne réagit pas, elle sourit timidement.
Nous nous calmons difficilement, je bande toujours et je regarde les seins de ma femme qui sont visibles au travers des ajours de son pull.
Nous nous rasseyons et tentons de reprendre la partie de cartes, mais sans succès. Pierre, assis à droite de ma femme commence à lui carresser les genoux. Aucune réaction de refus de sa part. Je filme. Maintenant Pierre tente une intrusion sous sa jupe, légère réaction de ma femme, mais elle laisse faire. Je filme toujours. Pierre y va hardiment,non pas sur sa cuisse, mais entre ses cuisses. Réction, elle croise les janbes. Cela signifie en clair que c’est trop. Trop tôt?
Alors Pierre se tourne vers ses seins. Il se met à lui presser le sein droit. Elle laisse faire. Enhardi par ce fait, il se lève se place derrière elle et lui prend les deux seins, qu’il presse, triture, tord, ecxite les tétons et finit par glisser ses deux mains dans son corsage. Je filme.
Après un certain temps, Pierre découvre totalement la poitrine de mon épouse, et puis lui ôte son corsage. Je filme toujours. En fin de compte, ma femme est seulement vêtue de sa culotte et de sa jupe. Le temps passe.
Voyant cela, Malou décide de faire comme ma femme, elle enlève son chemisier, fait glisser les bretelles de sa combinaison, et enfin, enlève son soutien gorge. Elle a de tout petits seins, avec de petits tétons.
Pierre se lève, fait le tour de la table et se jette sur les seins de sa femme. Je filme. Au bout de quelques minutes, Pierre en revient à ma femme. Il recommence à peloter les seins de ma femme. Profitant de ce fait je commence à peloter les seins de Malou, avec ardeur mais délicatement. Pas de cris ni de refus. C’est très doux de carresser des seins inconnus. Je les embrasse, les palpe, les taquine, j’insiste sur les tétons qui durcissent sous l’effet de mes carresses. Je suis au bord de l’orgasme, je dois arrêter sous peine d’éjaculation. Je regarde autour de moi et constate que pendant que je pelote les seins de Malou, ni Pierre ni Odette n’ont perdu leur temps
Pierre a invité Odette à danser.Ils dansent, elle est collée contre lui, ses mains sur la poitrine de Pierre. Il en profite pour trousser sa jupe et glisser sa main droite dans sa culotte. Il doit lui carresser le sexe, c’est sûr, et elle a l’air d’aimer cela. Le temps de quitter les seins de Malou, de prendre ma camera et de filmer le scène, Odette toujours collée contre Pierre, sa jupe totalement relevée jusqu’aux épaules la main gauche de Pierre dans sa cuilotte lui pelotant les fesses. Elle semble vraiment aimer.
Malheur, le film est fini. Plus de péllicule.
Mais l’heure n’est plus au cinéma, il est à la baise.
Je m’approche du couple, je me saisis de la culotte de mon épouse et la fait glisser jusqu’à ses pieds. Odette se détourne et je peux voir la main de mon ami sur le sexe de ma femme.
Tant que j’y suis, je fais glisser sa jupe, et elle se retrouve à poil dans les bras de Pierre. Je me colle contre elle, glisse ma bite entre ses fesses en la tenant par les hanches. Je ne tiens plus, je dois glisser ma bite dans une mijole, celle de ma femme ou encore, et ce serait mieux, dans celle de Malou. On peut rêver.
J’entraine Odette vers le divan, à l’autre bout de la pièce, elle se couche sur le dos, je m’agenouille et je glisse ma tête entre ses cuisses qu’elle écarte. Je léche et je suce. Pierre s’approche et regarde avec envie. Je lève la tête, découvrant ainsi le minou de ma femme grand ouvert. Pierre se régale. Je fais un signe de la main, à Pierre, l’invitant à sauter Odette. Il accepte et s’approche. Il bande à mort, je vois sa bite qui fait une bosse dans son pantalon. Il est prêt à baiser Odette, et elle est d’accord, car elle ne referme pas les cuisses, elle aurait plutôt tendance à les écarter davantage.
Pendant ce temps, Malou, toujours les seins nus, se prépare à recevoir Pierre et voyant la scène, dit à son mari, « PIERRE VIENT ICI ». Pierre obtempère à regret, et rejoint Malou.
Mais, et c’est ce qui est triste, alors que nous étions si bien engagés, Malou éteint la lumière. Il fait très sombre dans la pièce, et bien que nous soyons très près les uns des autres, rien de ce qui ce passe entre Pierre et Malou n’est visible. J’étais presqu’arrivé au but qui tentait Pierre, me faisait très envie, ne semblait pas rebuter Odette, c’est à dire, échanger nos épouses pour un soir. J’aurais vraiment aimé baiser Malou et voir Pierre sauter ma femme. Il aurait ainsi été le neuvième homme à baiser Odette, étant moi-même le huitième.
L’acte terminé, la lumière revient, Odette et moi, nus, sans aucune pudeur nous rendons dans la salle de bains, moi pour y reprendre mes vêtements et Odette pour une rapide toilette, car je lui ai tout mis.
Redevenus d’honorables et pudiques citoyens, nos amis décident de regagner leurs pénates, en n’oubliant pas de reprendre leurs rejetons.
Nous nous couchons, et je demande à Odette si Pierre lui a bien touché le clitoris et mis les doigts, elle me répond que oui et que c’était très agréable, que c’était différent d’avec moi, qu’elle ne regrettait rien et qu’il était temps de dormir.
Après une bonne nuit, je suis descendu à mon bureau, ou je me suis attelé à consignerpar écrit les fait et gestes de cette nuit exceptionnelle.
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NB. Commentaires de notre époque.
Je ne regrette absolument pas ce qui c’est passé cette nuit là.
Seuls bémols: Pas assez péllicule dans ma camera.
Pas assez de lumière, donc prises de vues très moches.
Le fait d’avoir détruit ce film, à la demande de Malou.
J’avais heureusement sauvé une photo de ce film, que je vous adresse comme souvenir de notre folle jeunesse.
Le neuvième amant à baiser Odette est arrivé bien des années plus tard. Ce soir là, j’ai vu mon épouse, couchée sur le tapis d’une maison qui n’était pas la nôtre, avec le maitre de cette maison couché sur son ventre, à poils tous les deux. Pour ma part, j’étais dans la même tenue et couché sur le ventre de la femme du gars qui baisait ma femme.
Le gars en question est celui qui m’a enculé et dont j’ai sucé la bite, qui m’a tout mis dans la bouche et que j’ai tout avalé. Tout cela était très agréable. Je recommencerais volontier, si j’en avais les capacités sexuelles.
Nous avions des tas de photos de ces évènements, et même une cassette vidéo, mais j’ai tout détruit, à la demande de mon épouse. Je le regrette.
A l’heure actuelle, je suis juste bon à me faire sucer par une bonne femme de 70 ans, qui trouve cela très bien.
Nous étions jeunes et beaux et c’était le bon temps..
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