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Un petit cochon (humiliation)

Un petit cochon (humiliation)



Elle est belle. Grande, brune, les cheveux longs. Une poitrine généreuse, qu’elle dévoile toujours dans d’incroyables décolettés. Je la rejoins à l’heure du dîner, elle m’attends en buvant un verre, habillé d’une robe noire moulante, déjà un peu ivre. Ce soir, elle veut épicer les choses. Les rendres plus bestiales. Toujours avide de nouvelles expériences, je décide de jouer le jeu. Je m’attends à des menottes, à un jeu de rôle, mais pas à ça… Après des préliminaires torrides, me voilà déjà nu quand elle m’explique son projet.
– Tu vas être mon a****l ce soir. Ma bête de sexe.
– Intéressant…
– N’est ce pas ? Hmmm… Je te verrais bien… en petit cochon !
Je la regarde surpris, et je me mets à rougir. Un petit cochon ? Elle me regarde en souriant, avec un air malicieux.
– Ce serait amusant, non ?
– Tu crois ?
– J’en suis certaine ! Allez à 4 pattes petit cochon !
– D’accord.
Je m’exécute et me penche pour me mettre à quatre pattes, comme un a****l.
– Tu es sûre que…
– Désormais, tu ne peux plus parler comme un humain, tu dois parler comme un cochon !
– C’est-à-dire ?
– Couine, grogne, agis comme un cochon.
– Euh…
– Allez !
Je suis un peu gêné mais comme c’est elle qui commande… Je commence à pousser des petits grognements avec le nez, avant de lâcher des couinements aigus.
– Oiiiiiiiink ! Oiiiiiiiiiiiiink ! Grrrrrrr !
– C’est bien mon cochon. Maintenant, il faudrait rendre les choses un peu plus réalistes.
Elle s’éloigne un moment, puis revient avec quelque chose caché derrière son dos. J’aimerais la questionner mais je ne peux que grogner ou couiner. Elle me montre alors un nez de cochon en latex, qu’elle pose sur mon visage. J’arbore désormais un grouin. Elle se met à rire en me regardant, puis me met une claque sur les fesses.
– Allez viens petit cochon, viens !
– Oiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiink !

Me voilà seul, à 4 pattes, avec un nez de cochon, au milieu de son appartement. Je me sens vraiment ridicule et en même temps, je commence bizarrement à être excité. Je ne sais pas où elle est.

Soudain, j’entends sa voix venir de la chambre :
– Petit cochon, mon petit cochon, viens par ici…

Intrigué, je m’avance, toujours à quatre pattes, et entre dans la pièce. Elle est allongée au bord du lit, portant un vieux T-shirt, et rien en dessous. Rien du tout. Les jambes écartés, son sexe offert.

– Tu as faim ? Viens manger… Viens me lécher, mon cochon !

Elle sourit. Je m’éxécute. J’avance vers son sexe, et je me mets à le renifler avec mon grouin, en poussant de petits grognements d’excitation.

– Hmmm oui tu as faim, fais toi plaisir petit goret !

Je me mets alors à la lécher avec appétit, en couinant de plus belle. Elle prend du plaisir, à se faire lécher ainsi, et en me regardant agir comme un a****l affamé.

Elle se relève pour me donner une caresse sur le front.
– Tu es un bon petit cochon… À ton tour d’être mangé maintenant !

Quoi ???

À mon tour d’être mangé ?
Sans prévenir, elle me repousse par terre et me mets une claque sur les fesses.
– Allez, suis moi cochon…
Je commence à être de plus en plus excité et grogne joyeusement en la suivant.

Nous voilà dans le jardin. Hier il a plu, et l’herbe est boueuse. Elle me pousse dans la boue en riant.
– Te voilà à ton aise, petit cochon, dans ton milieu naturel. Allez, roule toi dans la boue, mon goret !
Je suis un peu répugné et puis je décide de jouer le jeu, en me roulant dans la boue, et en couinant comme jamais.

Alors que je suis recouvert de boue, elle me rejoint, s’empare de mon sexe, et commence à le secouer. Le contact de sa main sur ma queue recouverte de boue me fait un drôle d’effet. J’adore ça !

– Tu aimes, cochon ? Je t’avais dit que je te mangerais…

Elle approche alors sa bouche de mon membre dressé avec un sourire..

e couine de plus en plus fort alors qu’elle pratique sur moi une fellation. Vautré dans la boue, je me laisse aller au plaisir. Elle s’attarde sur mon gland, le mordille, et puis lèche mon membre dressée qui gonfle de plus belle. Je suis aux anges et commence vraiment apprécier notre petit jeu, mon nouveau rôle de cochon.

Elle sent que ça me plaît, et commence à me branler énergiquement. Je couine, je couine et elle continue en me regardant, la bouche pleine de boue.
– Tu aimes sale cochon, hein ?
– Weeeeeeeeeeeee, weeeeeeeeeee !!!

Elle m’achève de quelques coups de lèvres et j’éjacule dans sa gorge. Elle sourit et me colle une nouvelle fessée.
– Vilain cochon !
– Oink oink !

e suis sur ses genoux. Je n’ai pas eu le choix, elle m’a forcé, la coquine ! Et elle me donne d’énergiques fessés, qui me font couiner à la fois de douleur et d’excitation.
– Vilain cochon, vilain cochon !
Oui je suis vilain. Oui je suis cochon ! Continue ! Bon, comme je ne peux pas parler humainement, je couine de plus belle !
– Weeeeeeeeeeeeee, weeeeeeeeeeeee !

On s’amuse bien, mais j’aimerais beaucoup passer à la vitesse supérieur. Maintenant que je suis recouvert de boue et qu’elle aussi, je me sens tout excité et je me remets à bander. J’aimerais lui parler mais je ne peux pas. Comment faire ? Sera-t-elle ma fermière ou bien ma truie ?

– Tu m’a l’air bien pensif mon petit cochon tout sale ? Ne bouge pas, je reviens…

Elle me repose par terre, à quatre pattes, et s’engouffre dans la salle de bains. Je grogne comme pour la questionner mais elle ne répond pas.

Et bien mon cochon, je sens que les choses vont devenir encore plus excitantes…!

J’attends sagement dans le jardin son retour. La boue sur mon visage me fait un drôle d’effet. Je me sens libre, je ne suis plus moi-même. Je rentre complètement dans mon rôle, laissant tout complexes derrière moi. Et je découvre avec surprise qu’il en est de même pour elle.

Lentement, à quatre pattes, affublé d’un petit nez de cochon et d’une queue en tire bouchon au dessus des fesses, elle avance vers moi en se léchant les babines. Elle me rejoint dans la boue et me tourne autour, en grognant de la plus adorable des façons. Voir une aussi jolie fille transformée de la sorte est étrangement excitant.

Nous voilà vautrés dans la boue, comme un beau couple de cochon. Je suis son goret, elle est ma truie. Plus rien n’importe que faire l’amour dans la plus pure bestialité.

Son corps m’est offert, et lorsqu’elle remue sa croupe devant moi, je n’ai qu’une envie : la monter…

Elle est à quatre pattes. Dans la boue. Avec son petit nez de cochon et son adorable queue en tire-bouchon. Elle remue ses hanches et me regarde avec un sourire gourmand. Elle est tout à moi, cette petite truie soumise.

Je me frotte la queue avec un peu de boue, j’insère quelques doigts dans son sexe pour l’humidifier et je la pénètre en poussant un couinement de plaisir. Son sexe est chaud, humide. Je pose mes mains sur ses hanches, et me voilà monté sur elle, lui donnant d’énergiques coups de queues. Elle grogne, elle couine, elle adore ça. Je continue, de plus en plus fort. Elle mérite une fessée. Je lui met une claque sur les fesses et elle émet un petit cri aiguë qui m’excite encore plus.

– Prends moi mon cochon, je suis ta sale truie…
– Et tu aimes ça, petite truie, hein ?
– Oui…….!

Elle remue ses hanches, je remue les miennes, et c’est la plus jouissante levrette du monde. Dans la boue. Comme des cochons. En toute bestialité. Sauvage.

J’ai rarement autant pris mon pied avec elle. J’avais peur au début, j’avais peur d’être ridicule. Je trouvais ça étrange son fantasme. Mais elle a su trouver les mots et maintenant, je bande plus fort que jamais et je me sens vraiment dans la peau d’un a****l. Mon corps frêle de jeune homme mince et timide est désormais celui d’un porc virile et avide de sexe primitif.

Après des heures à se sauter dessus dans la boue, nous étions épuisés. Son groin en plastique dégoulinait de mon sperme chaud et elle se léchait les lèvres, satisfaite, grognant doucement, toujours dans son rôle de truie en chaleur. Elle me caressa le ventre et m’embrasse dans le cou.
– Merci.
– Merci pour quoi ?
– Merci de m’avoir sauté comme jamais personne ne l’avait fait avant. Merci d’avoir réalisé mon fantasme. Merci d’avoir été un bon petit cochon, je savais que tu avais ça en toi.
– Tout le plaisir était pour moi.
Je lui dis ça en poussant un petit grognement qui l’amusa. Elle me promit de recommencer très prochainement et de continuer à vivre notre sexualité comme deux cochons affamés et avides d’expériences.

A suivre pour d’autres aventures de nos cochons ….

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