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Rencontre avec une Mature de Meetic aux gros seins

Rencontre avec une Mature de Meetic aux gros seins



Voici l’histoire d’une de mes rencontres avec une femme mature rencontrée sur Meetic.
Je l’avais repéré et tenté la discussion après avoir regarder ces photos. Elle avait un regard très coquin sur ses clichés et nous avons commencé à parler. Elle s’appelle Leila, elle a 40ans, vie séparée avec sa fille. Je me rappelle que la conversation avait vite tournée au vinaigre, elle s’était sentie quelque peu harcelée visiblement… mais elle avait du répondant et je suis revenu à la charge plusieurs jours de suite. Elle a fini par me jeter avec des mots assez cru, je me souviens qu’elle m’avait écrit d’aller me faire sodomiser avec un god. Charmant …
Mais devant mon insistance elle a fini par se détendre et nos conversations sont redevenues assez torrides sans qu’elle s’en offusque, au contraire, elle me chauffait beaucoup.
Je suis parti en voyage en Autriche pour mon travail et le soir à l’hôtel, je l’ai contacté de nouveau. Je pensais beaucoup à elle et j’avais très envie de la voir en chair et en os et la baiser. Nous avons commencé à nous exciter doucement et je lui ai demandé de prendre ses seins en photos et de m’envoyer la photo. Elle s’est exécutée et j’ai reçu un superbe cliché de son décollette. Elle m’avait dit qu’elle avait une grosse poitrine mais sans photo difficile d’imaginer. J’avais déjà commencé à me masturber en dialoguant avec elle mais cette photo m’a raidit encore plus. Elle montrait ses gros seins rebondis, le sillon entre ses grosses mamelles semblait très profond, laissant présager d’une belle grosse poitrine. Nous réprimes notre discussion sur le chat et très vite elle a demandé à entendre ma voix. Elle m’a donné son numéro et je l’ai appelé (avec le portable de ma boite ). Nous nous sommes dit bonjour, je l’ai flatté sur son décolleté éblouissant et elle m’a dit que j’avais une voix très suave et sexy. C’est là que notre conversation a dérapé pour se terminer en orgie … Elle m’a demandé de lui décrire ce que je ferai d’elle si nous nous trouvions aussi et j’ai commencé à lui faire l’amour au téléphone. Je lui ai dit que je voulais prendre ses gros seins entre mes mains pour les lécher longuement, elle répondait par des Oui lascifs. Je me branlais énergiquement tout en continuant à lui parler de mes mains qui parcourent son cœur, de ma bouche qui lui gobe les tétons, qui descend le long de son ventre et qui aspire sa chatte avec délectation. Leila soufflait de plus en plus dans son téléphone et elle n’était pas en reste pour me décrire notre scène de baise virtuelle. Elle m’a demandé de la prendre, elle est venue à califourchon sur moi et s’est empalée sur ma queue. J’étais comme un fou le téléphone dans une main, ma bite toute raide dans l’autre. Notre conversation s’emballait de plus en plus, je lui disais que je la baisais, que je la sentais bien s’empaler, que sa chatte m’inondait de plaisir. Je me suis levé , je me branlais debout, n’en pouvait plus, j’avais envie de jouir, je me suis dirigé vers la salle de bain tout en continuant à écouter Leila qui me demandait de la baiser plus fort, de lui caresser les seins. Elle devait se toucher aussi, je lui demandais, mais elle ne me répondit, me demandant de la prendre en levrette. Au bout d’un moment, je n’ai pas pus me retenir et j’ai joui au dessus de la baignoire, mon sperme a giclé très forts par grandes rasades épaisses, j’ai gémis longuement et Leila poussait des cris et soupirait très fort au bout du fil, je ne sais pas si elle jouissait également. J’ai vidé tout mon foutre jusqu’à la dernière goutte, finissant de me répandre dans son vagin pour mettre une fin sur notre partie de jambes en l’air téléphonique.. Nous nous sommes dit bonne nuit et avons raccroché. Quel moment inoubliable, j’ai pris une douche, mon sexe s’est remis à gonfler rapidement. Je me suis mis au lit avec une érection d’enfer, pensant à Leila, à sa voix sensuelle, à son corps que j’avais possédé l’espace d’un instant, comme irréel. J’échafaudais déjà les plans de notre prochaine rencontre en vrai cette fois …

Et elle arriva le week-end suivant. Notre délire téléphonique avait été si intense que je brulais de passer à la vitesse supérieure et de rencontrer Leila pour la baiser en vrai. Et visiblement c’était réciproque car elle m’invita chez elle le samedi soir, sa fille étant en vacances chez son père. Lors de cette discussion, on évoque clairement la possibilité de faire l’amour intensément et je lui demande une chose. Ne porte pas de culotte. Elle accepte. Hummm quelle belle chienne. Elle me prévint qu’une ami à elle serait aussi de la partie. Jusqu’au samedi mon excitation n’a cessé d’augmenter, j’imaginais des scénarios tous plus chauds les uns que les autres. Imaginait-elle un plan à 3 ? Je me voyais déjà la baisant elle et sa copine, une première pour moi ? J’étais excité au plus au point quand je me mis en route pour chez elle le samedi soir, un bouteille de champagne avec moi. Elle habite juste à côté de la bibliothèque François Mitterrand et me gare juste ne bas de son immeuble. Je bande déjà lorsque je mets sur la sonnette, excité de cette aventure. J’entends la voix de Leila je lui dis bonjour et elle m’ouvre la porte, m’indiquant l’ascenseur au fond à droite du hall d’entrée. La montée est rapide et je me retrouve devant sa porte à sonner. La porte s’ouvre très vite, Leila l’ouvre en grand, gardant une main sur la poignée et de l’autre tendant son bras pour m’inviter à entrer. J’ai un instant furtif pour la découvrir et mon regard doit en dire long à ce moment. Elle ferme la porte derrière moi et me précède pour entrer au salon. Elle est exquise, une robe noire d’été assez moulante, un très large décolleté laissant apparaitre le haut rebondi de ses gros seins, des bas et des hauts talons qui l’a font se déhancher superbement devant moi lorsque nous pénétrons dans le salon. Son ami est là et elle me présente. Nous passons sur son balcon et ouvrons la bouteille de champagne que j’ai apporté. Elle me font face toutes les deux et tout en entamant la discussion, je reluque Leila à chaque fois que je le peux, pas facile avec sa copine présente également. Mais je suis suffisamment habile pour admirer longuement le décolleté de Leila, il me semble qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge cette garce. Elle ne fait aucun effort pour me cacher ses gros seins et nous finissons la première bouteille de champagne alors que je bande comme un fou. Sa copine, Sandrine, est assez bizarre, elle semble atteint d’une maladie génétique qui lui a déformé un peu son corps, notamment ses mains avec des doigts très épais. Elle a aussi un discours assez dur à suivre. Je comprends que Leila l’a prise sous son aile et joue le rôle de la grande sœur. Elles discutent ouvertement des conquêtes masculines de Sandrine qui rencontrent des hommes sur le net mais elle ne relate que des plans sordides où les mecs profitent d’elle et la baisent comme un vulgaire jouet. Leila lui demande de faire attention, de se méfier. Elle raconte que la veille au soir, un type lui a donné rendez vous dans un parking. Elle s’est fait prendre sur la banquette arrière d’une voiture et le mec s’est fini en lui éjaculant sur le visage. Glauque. L’alcool aidant, la conversation prend un tour joyeux alors que ce que raconte Sandrine est assez scabreux.
Je me remets à bander aussitôt quand je découvre avec un immense plaisir que Leila a suivi mon souhait : elle n’a pas mis de culotte. Je le découvre quand elle se lève pour aller à la cuisine. Je vois clairement ses fesses à travers le tissu très transparent de sa jupe, je peux nettement admirer sa raie et ses deux belles fesses onduler au rythme de ses pas.
Nous commençons à diner les trois autour de la petite table qui tient sur son balcon. Leila est à ma droite et nos genoux se touchent tout au long du repas. Je glisse ma main très souvent sous la table et lui caresse la cuisse. Je suis discret pour que Sandrine ne nous voit pas. Je sens sa jambe pousser vers moi lorsque ma main saisi sa cuisse plus fermement. L’excitation monte beaucoup, elle grandit encore plus lorsque mon regard plonge entre ses gros seins, quand elle se lève pour aller à la cuisine et que j’admire son cul nu sous sa robe.
A la fin du repas, je l’aide à débarrasser. Sa copine est perdue dans ses pensées regardant loin au dessus de la rambarde du balcon. Les assiettes à la main je me dirige à la cuisine et viens les déposer dans l’évier. Leila est juste à côté de moi et je m’empresse de lui passer une main autour des hanches et de la presser contre moi. Ma bouche va à la rencontre de la sienne et nos langues se mélangent avidement. Ma main gauche descend sur ses fesses pendant qu’elle se tourne vers moi me faisant face. Je ne résiste pas très longtemps et de ma main droite, je tire sur le haut de sa jupe pour faire sortir son sain gauche de son carcan. Il jailli devant moi et m’empresse de le saisir, de le presser et de le prendre en bouche, le suçant et le léchant avidement. Ses seins sont énormes, elle doit faire du 95D je pense. Je bande comme un fou, j’avais raison elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge cette salope. Je la pelote à deux mains, je lui malaxe les fesses tout en continuant à sucer son sein nu. Sa copine m’est sortie de l’esprit rapidement pourtant la porte de la cuisine est grande ouverte sur le balcon, elle ne peut que nous voir, il suffit qu’elle tourne la tête. Leila n’arrête pas de me dire d’arrêter, elle se retourne, semble gêné que sa copine puisse nous mater. Mais elle est très excitée aussi et se laisse faire complètement. Je tombe à genoux aux pieds de Leila et soulève sa jupe. Je découvre sa chatte parfaitement rasée, ses grosses lèvres sont charnues et pulpeuses. Ma bouche se pose directement sur son con serré et je commence à lui introduire ma langue entre les lèvres, à creuser un sillon qui est déjà très humide. Je l’entraine vers moi et m’assois sur le sol, je tombe en arrière l’attirant vers moi et m’allonge sur le sol alors qu’elle s’accroupit au dessus de moi. Elle se positionne pile poil la chatte au dessus de ma bouche et je commence à la dévorer goulument … Elle n’arrête pas de gémir ‘arrête, arrête…’ elle veut qu’on soit discret. On se redresse, on continue à s’embrasser sauvagement, je l’attire tant bien que mal vers l’arrière hors de la cuisine pour nous cacher de sa copine et nous nous retrouvons dans l’entrée de son appartement, à 2 mètres de la porte vitrée, à demi ouverte qui donne sur le salon. Leila est face à moi, la jupe relevé sur ses hanches, les cuisses écartées, sa chatte est luisante, béante, mes quelques coups de langues l’ont déjà dilaté merveilleusement. Elle a les deux seins qui pendent en dehors de sa jupe, ils sont gros, lourds, ma bite me fait mal dans mon jean quand je me penche pour venir la lécher encore et encore. Nous glissons sur le carrelage nous rapprochant de l’entré du séjour qui est dans la pénombre. Il y a un canapé juste à l’entrée à droite que l’on voit à travers les vitres de la porte. Leila gémit de plus en plus entre ses lèvres alors que je lui bouffe la chatte avec ardeur. Ma langue glisse sur sa vulve rose, plonge dans son vagin alors que mon nez s’écrase sur son clito. Je lui lape la chatte avec entrain, ma langue fouettant délicieusement son clito que je fais pointer entre mes doigts. Leila est aux anges mais toujours sur ses gardes, elle se relève se penche pour regarder vers le salon. Je me redresse aussi et nous nous relevons, pour apercevoir Sandrine, tranquillement assise sur le canapé. Depuis combien de temps est-elle là, nous regardait-elle ? Leila remet comme elle peut sa jupe en place, j’ai le jean déformé par ma bite en feu. Nous échangeons quelques mots. Le regard de Sandrine en dit long, il est évident qu’elle nous matait. Veut-elle participer, je les laisse s’organiser mais Sandrine annoncer qu’elle va se coucher. Leila l’accompagne pour la coucher dans sa chambre et revient quelques instants plus tard, fermant la porte du couloir qui mène aux chambres.

Nous nous sommes installés sur le canapé et nous nous sommes enlacés. J’ai sans tardé refait jaillir ses gros seins hors de sa jupe et les ai malaxé doucement entre mes paumes… Je l’ai fais se lever afin de lui ôter sa jupe entièrement. Debout devant moi, nue, sa chatte pincée entre ses cuisses, ses grosses loches pendant devant mon visage. Je l’ai attiré vers moi et ai embrassé ses seins avec tellement d’envie, j’ai plongé mon visage entre ses gros nibards, remonté avec ma langue le long de l’étroit sillon entre ses deux monts, gobé ses tétons et les ai suçoté bruyamment. Elle s’est assise de nouveau à mes côtés et j’ai continué à lui pétrir les seins avec passion la flattant sur sa grosse poitrine qui me ravissait. Leila m’a encouragé à continuer et m’a dit qu’elle adorait que je lui caresse les seins ainsi. J’ai un faible pour les gros seins, surtout de femme mature comme Leila. J’adore les lécher pendant des heures, les sentir caresser mon visage, les prendre et les serrer très fort l’un contre l’autre afin de faire pointer les deux tétons vers l’avant et les prendre les deux en bouche. Leila m’avoue que son ex-mari ne lui caressait jamais les nichons, qu’il n’aimait pas. Je m’étonne et reste incrédule. Je lui dis que je comprends pas comme on ne peut pas vouloir lui caresser sa grosse poitrine merveilleuse, comment on peut résister à prendre ses gros seins entre les mains, à les sentir contre son sexe … A ces mots, Leila me repousse vers l’arrière et commence à déboutonner mon jean. En effet, ma queue est en érection depuis 30 minutes, je suis raide, j’ai même limite mal. Mais Leila ne traine pas et fais vite glisser mon jean et mon slip sur mes chevilles. Ma queue se dresse, droite comme un i, épaisse et noueuse. Il ne faut peu de temps à Leila pour s’en emparer, me branler un instant, avant de l’engouffrer dans sa bouche. Elle se redresse et se penche sur ma queue afin d’enfoncer loin dans sa gorge,, c’est tellement bon. Ma main lui caresse le dos, descend vers ses fesses, mes doigts glissent sur sa raie mais ne peuvent aller plus loin.. Elle se redresse et se met carrément à genou à côté de moi sur le canapé et continue sa longue et profonde fellation. Ses seins pendent à merveille sous ses bras, je les soupèse l’un est l’autre en mettant ma paume dessous en cloche. Je tire sur ses mamelons et étire ses tétons. Elle commence à gémir, des ‘hummm’ sortent de sa bouche empli de mon pieu dure comme de la pierre. Elle ondule ses hanches, je regarde son cul et lui tripote les fesses. Je peux glisser ma main sur sa chatte et lui écarte les lèvres de deux doigts et commence à lui lustrer la vulve de haut en bas. Elle se cambre, écarte les cuisses un peu plus. Elle sors ma queue de sa bouche, me lèche le gland, la pine de haut en bas. Elle se penche plus en avant et la tête entre mes cuisses me lèche les boules. Quelle gourmandise, je sens ses lèvres tenter d’aspirer mes couilles alors que j’enfonce mon index loin dans sa chatte sentant l’entrée enflammée de son vagin se contracter. Elle continue à me lécher les boules et la queue un long moment mais je n’en peux plus et je lui dit que j’ai envie de la prendre.

Leila se redresse et m’enjambe pour venir se mettre à califourchon au dessus de moi. Elle me caresse un moment le visage avec ses gros seins. Elle se penche et appuye ses deux grosses loches contre mes joues, ma bouche, mes yeux. Je me laisse faire avec délectation tout en glissant ma main droite entre ses cuisses vers sa chatte. Je lui glisse directement un doigt puis deux dans la chatte, bien à la verticale et commence à la doigter à toute vitesse, les deux doigts bien au fond dans sa chatte. Elle s’agrippe sur mes épaules alors qu’elle se cambre très en avant. Elle écrase ses seins sur mon visage et se laisse doigter fougueusement… Elle se redresse et fait sortir mes doigts de sa chatte pour venir rapidement s’agenouiller sur ma queue. Elle prend mon dard très gonflé en main et le guide jusqu’à sa chatte en feu. Je vois son sexe grand ouvert sous les longs et profonds va-et-vient de mes doigts. Leila place mon gland à l’entrée de sa chatte et me regarde intensément. Voila vas-y prends moi Nico. Elle lâche ma queue qui force sans difficulté ses lèvres et s’enfonce puissamment dans sa chatte. Elle se laisse choir sur moi, ma queue frappe le fond de son vagin, elle crie, s’effondre sur moi, ses deux seins s’écrasent sur ma poitrine. Elle remonte son cul, ma queue se révèle doucement entre ses cuisses , elle la maintient en elle, juste le gland prisonnier de sa chatte. J’ai mes mains sur ses nichons, je les presse pour les lécher goulument. Leila ne tarde pas à s’empaler fortement à nouveau sur ma queue et commence à monter et descendre sur mon pieu comme une folle. Elle a les deux mains accrochées derrière mon cou et se lâche comme une chienne, s’empalant frénétiquement sur ma queue. Oh oui Nicolas, vas-y, baise moi. Ses mots crus me rendent fous et je lui agrippe les hanches de mes mains pour la maintenir en position sur ma bite à moitié sorti de sa chatte dégoulinante. D’un coup de rein, je m’enfonce de nouveau au plus profond de son ventre et commence à la pilonner avec force. Elle crie, gémit comme une folle. Sandrine ne doit pas en perdre une miette je suis sur, même avec 2 portes nous séparant d’elle. Si ça se trouve, elle est juste derrière la porte en train de se toucher en nous écoutant baiser. J’ai un flash et je me vois soudain en train de lui cracher mon sperme sur le visage à cette dévergondée. Je reprends mes esprits très vite car je sens que je peux éjaculer ainsi tout de suite dans le con Leila.

Je la redresse et lui dit que j’ai envie de la prendre en levrette. Ma bite sors de sa chatte dans un bruit de succion lorsqu’elle se lève. Je me lève aussi, l’enlace, passe derrière elle, je cale ma queue entre ses fesses et commence à me branler. Je lui pelote les nichons en l’embrassant dans le cou. Elle se cambre très fort pour faire glisser ma queue entre ses cuisses. Elle veut ma bite tout de suite, elle est chaude comme de la braise, je prends ma queue à pleine main et il ne m’est pas difficile de trouver l’entrée de son antre en feu. Je me cambre d’un coup pour l’enfiler sans ménagement. Ma queue cogne au fond de sa chatte et Leila laisse échapper un long râle de plaisir. Je la bourre ainsi violemment, les mains accrochés à ses deux gros seins qui pendent. Elle a du mal à garder son équilibre donc nous nous affalons par terre, elle en levrette devant moi, son beau cul cambré et sa chatte entre ouverte offerts à merveille. Je me mets au dessus de son cul légèrement les cuisses fléchis et guide mon sexe droit dans sa chatte. Quand il est bien profond, j’att**** ses deux fesses à pleines mains et me met à la prendre avec ardeur. Je la défonce sans ménagement, Leila gémit de plus en plus fort, me dit de continuer à la baiser ainsi. Je mets toute mon ardeur à lui pilonner le cul, je vois d’ailleurs avec envie son petit trou du cul dilaté réclamant son du. Je me remets à genoux derrière elle et continue mes va et vient dans sa chatte. Mes pouces glissent sur son anus et tournent autour. Je me suce un doigt pour le lubrifier et entreprend de l’enfoncer doucement dans son cul étroit. Leila semble apprécier si j’en crois ses gémissements et ses hanches qui se cabrent. J’ai un doigt à moitié enfoncé dans son anus alors que ma queue tape fort au fond de son ventre. Je me retire et me prépare à l’enculer. Elle m’offre son cul bien cambré, prête à se laisser faire. Mon gland épouse parfaitement le creux de son cul et je le pousse plus avant. Il disparait dans son cul, Leila laisse échapper un cri puissant qui se transforme en long râle alors que ma queue s’enfonce loin dans son cul.

Humm quel plaisir immense de l’enculer ainsi, j’accélère mes mouvements et fini par la défoncer aussi fort que sa chatte. Nos corps sont de braise. Mes mains parcourent ses fesses, glissent entre ses jambes pour caresser sa chatte, j’arrive même à la doigter, je sens ma queue à travers l’étroite membrane de sa chatte. Leila jouit bruyamment, m’implorant de continuer. J’ai ma queue dans son cul, un doigt dans sa chatte et une main qui tire sur ses nichons. Leila se contracte de partout, sa jouissance semble ne jamais s’arrêter. Je sens son cul se contracter sur ma queue, de même que sa chatte est parcourue de vibrations intenses. Leila s’empale comme une folle, prenant un pied immense, ses gémissements se font plus longs, elle jouit encore.

J’ai encore envie de la baiser et nous retournons sur le canapé où elle s’allonge devant moi, les jambes écartées et je la prends aussitôt. Ses seins sautent sous mes yeux, au rythme de mes coups de bite dans sa chatte. Ses jambes m’enlacent et elle m’attire vers elle afin que ma queue glisse encore plus profond en elle. Leila gémit à nouveau bruyamment et très rapidement joui à nouveau. Je ne suis pas très loin d’exploser moi aussi, je me retire de sa chatte et me met debout devant elle, le sexe érigé et humide. Elle s’approche et prend ses deux seins entre ses mains pour venir poser ma bite dessus, à plat sur le sillon noir qui les séparent, elle relâche la pression de ses mains afin que ma queue se love parfaitement entre ses gros seins et commencent à me branler doucement puis plus vite. Je vois ma queue prisonnière de ses nichons, l’image me ravit, me transporte aux 7ème ciel. Je repense à la photo de son décolleté qu’elle m’avait envoyé … maintenant c’est bien réel, je suis là debout devant Leila qui me branle la queue entre ses deux grosses magnifiques mamelles. Je ne pouvais rêver mieux. Elle me branle longuement ainsi, me suçant aussi, ma queue passe de sa bouche à entre ses gros nichons. Je ne vais pas tarder à exploser alors Leila s’engouffre ma pine au fond de la gorge et me pompe très vite. J’explose immédiatement dans sa bouche alors qu’elle continue à monter et descendre sur ma bite. Je déverse en elle des flots de sperme chaud elle qu’elle continue à me pomper, quelle admirable chienne. Elle avale par gorgées entière mon foutre, je sens sa langue d’agiter autour de ma pine, lustrer mon gland qui crache ses derniers flots de semence épaisse. Elle me lèche la queue jusqu’à la dernière goutte, avalant tout avec délectation. Je retire ma queue de sa bouche longtemps après, sa raideur diminue, mon gland est rouge et en feu. Elle passe sa langue sur ses lèvres brillantes, je me penche pour l’embrasser et nous nous allongeons sur le canapé, enlacé. J’ai ma queue encore chaude et épaisse sur son ventre, ses seins qui me caressent la poitrine, nos corps se calment.
Nous avons baiser à nouveau plus tard et j’ai dormi avec elle sur le canapé du salon. En se réveillant Leila m’a sucé. Je voulais la prendre mais elle m’en a empêché. Elle me maintenait allongé tout en me suçant, j’essayais vainement de tenter de la retourner pour la baiser mais elle voulait à tout prix me sucer visiblement. Je me suis laissé faire et elle m’a fait cracher de nouveau dans sa bouche. Elle s’est délecté de mon foutre chaud et ma sucer le gland jusqu’à la dernière goutte.

Sandrine est apparue au salon alors que Leila venait juste de terminer sa pipe. Au peu plus tôt et elle aurait pu nous mater de nouveau… J’ai quitté Leila le midi et suis rentré chez moi avec plein d’images dans les yeux. Ses gros seins et sa chatte délicieuse n’ont pas quitté mes pensées de l’après-midi. J’avais déjà hâte de la revoir.

Si cette histoire vous a plus, commentez ! Si une charmante femme mature avait envie de vivre une expérience de ce type, je suis ouvert à toutes propositions  je peux même changer l’histoire et me soumettre au desiderata de Madame … Les demoiselles plus jeunes sont aussi également bien évidemment acceptées.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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