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Première journée avec Mamadou

Première journée avec Mamadou



Sans un mot nous rejoignons ma voiture. Mon chauffeur nous ouvre la porte avec un regard interrogateur devant ma mine blême et en voyant ce grand black qui m’accompagne. Je me justifie maladroitement en prétextant :
« J’avais besoin d’un garde du corps durant les absences de mon mari. Une femme seule n’est pas en sécurité dans ce pays. » 
A peine assise à l’arrière de la voiture que Mamadou commence à imposer ses volontés :
« Soulève ta jupe ! Tu dois t’asseoir le cul à même le cuir du siège et je veux voir le haut de tes cuisses ! »
Je me rebiffe en lui lançant :
« Mais mon standing ? Les gens vont me voir ? Et le chauffeur que va-t-il ….. »
Il m’interrompt sèchement :
« J’m’en fou des gens et de ton chauffeur ! T’obéis point ! »
Sous son autorité, soumise, j’obéis troussant ma jupe et laissant mes jambes découvertes jusqu’au compas de mes cuisses.

N’ayant plus ma culotte, mon chauffeur doit se rincer l’œil dans le rétro. Conscient qu’il mate dans le rétro, Mamadou passe ostensiblement son doigt dans ma fente humide. Je rougie de honte et me raidis en fermant les yeux de honte. Pour m’humilier un peu plus, il enfonce deux doigts dans ma chatte. Tout le long du parcour vers notre villa, il s’est amuser à me fouiller le minou. Malgré un e honte intense, je suis au bord de l’orgasme en arrivant. Arrêté devant le perron, le chauffeur avec un sourire malsain m’ouvre la porte. J’ai le rouge au joues suite au traitement subit dans la voiture et c’est les jambes flageolantes que Mamadou m’aide à monter les marches pour entrer dans la villa.
« Fait moi visiter salope ! » Me  murmure-t-il avec autorité, sûr de son pouvoir.
Arrivés à l’étage des chambres je lui désigne celles qu’il occupera :
«  Ici c’est notre chambre. Enfin, je veux dire celle de mon mari et moi. Celle-ci est la votre. »
Je lui montre sa chambre qui est en fait séparée juste par mon dressing et une salle de bain communicante. Il me dit :
« Se sera bien pratique pour m’occuper de toi cette salle de bain communicante ! Fais monter ta femme de chambre, qu’elle me prépare ma chambre ! »
Je suis très gênée devant mes employés de maison de la façon dont il me traite. Mais j’ai une urgence encore plus importante. Je sens que du sperme me coule le long de cuisses suite à la saillie en règle que j’ai subit au palais par Zarky et Mamadou. Je dit à mon nouveau garde du corps :
« Je vous laisse vous installer pendant que je vais prendre une douche ! »
Je vais dans ma chambre et me déshabille sans me soucier de Mamadou. Je sursaute en voyant qu’il m’a suivie et qu’il se régale de ma nudité.
Marie, ma femme de chambre entre à ce moment et reste figée en me voyant nue devant ce grand black. Calmement en se disant qu’il se fera plus tard Marie, il lui dit fermement :
«  J’ai quelques dispositions à prendre avec Madame ! Je suis son nouveau garde du corps ! Occupes-toi de ma chambre ! »
La bonniche obtempère et quitte ma chambre. Ma réputation maintenant est faite entre les employés, me dis-je. Résignée, anéantie par le risque du probe et du chantage, je vais sous la douche. Je suis devenue une proie qui ne peut lui échapper.
Radieux, il me regarde faire. Je m’efforce de l’ignorer. Mais sont regard est si intrusif que j’ai la sensation presque physique que de multiples mains se posent sur mon corps, appréciant les volumes de ma féminité, la souplesse de mes seins et de mes fesses ainsi que l’accessibilité de mes orifices. 

Alors que je m’apprête à me vêtir, il me stop :
« Pas si vite ma grande ! Tu dois me demander l’autorisation de t’habiller ! Désormais, plus de culotte ni de soutif ! Tu sera toujours nue sous tes robes pour être accessible à tout moment comme on le souhaite ! »
Sans mot dire, une boule au ventre, j’enfile une robe de lin du Nil qu’il me tend. Je lui fais remarquer :
« Mais c’est très transparent et surtout en contre jour ? »
Il rigole et me répond :
« Oui ! Et alors ? C’est comme ça que je te veux ! »
Anéantie, je me sens comme nue lorsque je franchis la porte de ma chambre suivi de Mamadou qui me pelote les fesses tout sourire, heureux de l’effet qu’il produit sur moi et affirmant ainsi son emprise.
Le soir, les domestique prennent congé et me voilà seule avec mon garde du corps dans la grande demeure. Toute la journée, j’avais craint ce moment. Il m’entraîne dans ma chambre. Je reste figée au milieu de la pièce, ne sachant pas trop comment me comporter. Il se met à tourner autour de moi. L’ atmosphére est pesante. Je me dis à ce moment :
« Si Alain pouvait être là pour me sauver de cette déchéance ! »
Dans mes pensée, je frissonne malgré la chaleur ambiante quand je le sens prendre le bas de ma robe et me l’ôter d’un tour de main. Je suis nue devant ce rustre. Installé confortablement au bord du lit, il m’observe un long moment. Puis, il me fait signe de m ‘approcher. Il me prend par les cheveux et me couche sur ses genoux. Je m’attend avec appréhension à ce moment à me prendre une fessée magistrale.
Mais il n’en est rien. Il me caresse langoureusement mon corps. Je me détends sous ses caresses si agréables. Puis, progressivement, il s’attardent sur ma fente en remontant dans ma raie des fesses. Il revient vers mon abricot, écarte mes lèvres et agace mon clito. Malgré moi je ronronne comme une chatte sous ses attouchement intimes. Il sait comment enflammer mes sens. Navigant entre mon clito et ma rosette, ses doigtages deviennent plus précis et quand il entre plusieurs doigts dans mon vagin dégoulinant de cyprine, je suis prise de tremblements de plaisir. Ma respiration se fait plus forte et rapide bientôt, sous ces vagues de plaisir, un soupir rauque sort de ma gorge avouant un orgasme que je ne peux dissimuler. Soumise par ce plaisir, sans qu’il m’en donne l’ordre, j’ouvre sa braguette et sort son majestueux engin. Mamadou confiant et heureux de son pouvoir sur cette bourgeoise qu’il domine à souhait me laisse m’occuper de sa verge et de ses couille avec complaisance. J’embouche son gland volumineux. La bouche distendue, il guide mes allées et venus dans ma gorge. Je fais de mon mieux pour l’accueillir à fond. D’une langue habile, je me délecte des gouttes suintant de son méat. Ma fellation semble efficace car aux spasmes de sa tige, je sais qu’il va bientôt jouir. Heureuse, je sais que je vais récolter le fruit de mes efforts.

Lorsque dans un grognement de vainqueur sur sa femelle, ses jets glaireux jaillissent, j’avale comme je peux le sperme épais qu’il répand en salves dans ma bouche. La quantité de sperme est si importante que quelques filets blanchâtre suinte à la commissure de mes lèvres. En bonne salope soumise, je lui nettoie d’une langue agile son généreux braquemart turgescent. Comme on le ferait d’une chienne, il me tapote la tête pour marquer sa satisfaction en me disant :
« T’es une bonne chienne blanche toi ! »
Encore abasourdie par ce que je viens de faire, je sursaute quand le téléphone sonne. Je décroche maladroitement et d’une voix enrouée par tout le sperme que je viens d’avaler, je réponds :
« Qui es-ce ? »
« C’est moi ma chérie ! Tu vas bien ? Je te sens bizarre ? »
«Je me racle la gorge pour le rassurer :
« Non non tout va bien mon amour ! »
D’une tape sur les fesses, Mamadou me susurre à l’oreille : 
« N’oublie pas de lui dire que tu as un garde du corps ! »
« Tu rentre quand chéri ? »
« Ca me gêne de te laissée toute seule la bas ! Mais je dois encore prolonger mon séjour sur les hauts plateaux. »
Nue sur les genoux de Mamadou, avec le goût très présent de son sperme dans la bouche, rougissante de l’énorme mensonge, je l’informe :
« Bien… bien Mais oui au fait… Comme je ne me sens pas en sécurité avec les mouvements anti-occidentaux qu’il y a en ce moment, j’ai pris un garde du corps que l’émir m’a aimablement proposé durant ton absence. »
Mamadou est aux ange en entendant mon explication et pour me mettre encore plus mal-alaise alors que je parle à mon mari, il me caresse m’enfonce son majeur dans la rosette. Je suis obligée de me mordre les lévres pour ne pas couiner sous cette intrusion surprise.
« Comme je te le disais, je pense en avoir encore pour une bonne semaine. Je te tiendrai au courant. Mais toi ? Que fais-tu de tes journées ? »
Là j’ai un blanc. Je ne sais quoi lui répondre. Avec se doigt qui m’astique le trou du cul, mes idées ne sont pas claires.
« Rien.. Heu… Rien de particulier… Heu… Des truc de bonnes femmes qui ne t’intéressent pas. »
Je ne peux réprimer un gémissement lorsque mMamadou me claque une fesse de ses larges paluches.
« Mais que t-arrive-t-il ma chérie ? »
« Non.. Heu c’est rien ! Tu sais, mes petites douleurs menstruelles. C’est tout. »
« Ok repose-toi bien mon amour. Je te téléphone demain. »
Dès le téléphone reposé, il me retourne et, infatigable, il me prend par les hanche et me perfore le cul de son énorme mandrin.
« T’es vraiment une grosse salope ! Mentir honteusement à ton homme comme ça§ Sale chienne ! »
Après la douleur de cette pénétration et la dilatation exagérée de mon anus, je prend presque du plaisir à cette chevauchée sauvage. Il me laboure le cul avec une force incroyable. Je suis une poupée de chiffon entre ses mains.

La bourgeoise proute-proute que j’étais était devenue une grosse salope perverse. Ce noir sculptural, lui ouvrait, certes à ce moment le cul, mais surtout un monde de stupre enivrant. Jamais avant cette épopée, je n’aurait sucé autant de bites sur demande, avalé tant de sperme et été prise par tout les bout en y prenant du plaisir. Au moment d’exploser, il me retourne et m’asperge de sa liqueur le visage. Nous sommes tout les deux réjouis et épuisés.
Nous prenons un e bonne douche et passons la nuit enlacée comme deux amants.

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