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megane , la fille de cité

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– WHOOOoooooo ‘Gane! Wooohoué!
Quand les racailles sifflent Mégane à sa fenêtre, toujours comme une chienne, elle arrive.
Ils viennent siffler dans la demi-heure qui suit le dépars de sa mère sur son scooter, ils sonnent chez les Bensoussa du second, ou chez les Sliman du sixième pour leur ouvrir.
Des cousins toujours près à rendre service.
Ils viennent dans la cage d’escalier et l’attendent. Mégane ferme à clé la porte de chez elle, et les rejoint dans la cage d’escalier.
La douceur de ses seize ans.
Ils n’allument jamais la lumière, juste éclairés par les lumières des lampadaires de l’extérieure, leurs écrans de portable, leurs cigarettes incandescentes. Dans la pénombre, elle n’en reconnaît aucun. Il est arrivé plusieurs soirs où elle ne connaissait aucun des garçons venus.
Avant, le lycéen qui l’avait dragué à la sortie de son collège accompagnait ses «grands frères». Puis il avait trouvé une autre fille, une «pute», une blanche, et n’avait gardé que les photos prisent sur son portable. Des photos qui avaient tourné dans toute la cité. On savait comment siffler en bas de chez elle, à quel heure, pour se faire vider les couilles.
Là, pendant une durée variable suivant le nombre de personne et leurs envies, elle était abusée sans ménagement sur les marches glaciale de béton. Agenouillée, elle ouvrait la bouche et suçait chaque turgescence qu’on lui présentait, fermant les yeux, obéissant jusqu’à sentir le liquide salé remplir sa bouche.
Elle a vite pris l’habitude d’avaler sans réfléchir, tant cette pratique était courante chez eux. Elle reçut pourtant une ou deux fois une gifle pour ne pas avoir sortie et exhibée sa langue pleine de sperme quand on la filmait avec un portable. Elle avalait par réflexe.
Pendant ce temps, ceux qui attendaient leur tour discutait entre eux, rigolaient, multipliaient les remarques salaces, les insultes.
– Sale pute, t’aimes ça hein!
– Whoooo, comment il la nique, téma!
– SUCE BITE! Hahaha!
– …Bonne ptite pute, hein mon frère.
– Whoo su’le Coran, la salope! »
Ils fumaient beaucoup. Parfois un flash brillait, et on insultait celui qui avait prit une photo sans prévenir. Durant l’éclair de lumière, on pouvait deviner la silhouette de Mégane agenouillée contre le mur, l’arrière du crane coincé contre la paroi, avec la joue déformée par une queue insistante, le menton brillant de salive et de sperme mêlé.
Quand un garçon, après d’épuisants moulinets, éjaculait enfin dans la bouche de Mégane, avec un râle exagéré de plaisir, rauque et guttural, entrecoupés de « sale pute, avales, avales je t’ai dis, salope! », les autres applaudissaient.
Certains le serraient dans les bras, dans une accolade virile, toute à la fierté d’être des hommes, de s’être vidé les couilles comme un vrai boss, et d’avoir bien baisé cette chienne impure qui n’attendait que ça. Ensuite, le purgé allait uriner dans un coin, et un autre homme prenait sa place dans la bouche de Mégane.
Certains la prenait debout contre le mur froid, ses cuisses écartées posés sur les coudes. On entendait la chair claquer contre la pierre. L’homme se vidait, et lâchait ensuite brusquement Mégane pour aller se faire féliciter.
Elle tombait lourdement, encore ankylosée de la position, son vagin dégorgeant l’excédent de semence. On se moquait alors d’elle, de tomber comme un vrai sac a foutre. Puis on la collait à quatre patte, les mains sur les marches du haut, et on la sodomisait violemment.
Ses genoux meurtries sur les arêtes du béton. Parfois un autre s’installait sur les marches devant sa bouche et l’étouffais de sa queue dans la gorge; Il fumait tranquillement, avec un air ostensiblement dégagé qui faisait hurler de rire ses potes, pendant qu’elle s’asphyxiait. Il secouait les cendres de sa cigarette dans ses cheveux.
L’autre derrière elle multipliait les claques sur les fesses. Il prenait des élans extravagants pour faire le plus de bruit possible. On entendait les rotules de Mégane résonner sur le sol.
– Vazy gueule là, salope! »
Mais Mégane ne criait pas. Elle retenait jusqu’à ses gémissements; le seul cadeau qu’elle se refuserait toujours à leur donner. Alors ils se vengeait en la giflant, en éteignant leur cigarettes sur ses seins, ses fesses.
On lui faisait prendre des poses humiliantes et la prenait en photo. On lui faisait lécher le sperme sur le sol, mêlé aux cendres des cigarettes, et aspirer le contenu des capotes que des frileux, des «tapette»s avaient mit avant de la baiser. D’autres fois, on lui urinait dessus, et dans la bouche.
Un soir, un esprit inventif avait son rottweiler avec lui. Le chien avait hurlé à la mort, excité par les cris des maîtres. On lui avait fait sucer le sexe de ce chien. On lui avait fait porter le collier de ce chien. Le chien avait fini par la mordre à la cuisse.
L’odeur des cigarettes, du chien crasseux, de l’urine, dans l’espace confiné de la cage d’escalier surchauffée. Les mecs finissaient le plus souvent torse nue, le bas du tshirt passé derrière la nuque. Les seins menus de Mégane dérapaient sur les torses musclés et en sueur, sentant l’Adidas et le déodorant en excès.
Quand les hommes s’en allait, il l’abandonnait exténuée sur le sol, au milieu des préservatifs, des mégots de cigarettes et des flaques de pisse.
Elle remontait alors, non chez elle, mais chez moi.
Je la déshabillais et la lavait. Son corps était parsemé de bleus, de traces de morsure de griffures, de brûlure. Ses yeux étaient gonflés et rougies des larmes provoqués par les sexes qui s’insinuaient dans sa gorge.
Je la faisait s’accroupir dans la baignoire et purger ses entrailles. Je regardait avec fascination ces longs fils jaunâtres, ces paquets de sperme s’échapper de son vagin traumatisé et de son anus meurtri tourbillonner dans l’eau avant de évacuer dans la bonde.
Le premier soir je lui avait fait prendre un bain, mais l’eau perdit rapidement toute sa mousse et vira au gris cendre parsemé d’ilot graisseux de sperme.
Depuis je la douchais moi même, avec abondance de gel douche à la pêche, son favori. Une fois qu’elle avait vidé son anus et son sexe, et que je lui avait fait vomir les différents ejaculats de la soirée, je la lavais doucement, mes mains soyeuses de mousse sur son corps, la caressant avec volupté.
Mes doigts passaient et repassaient sur ses seins, les deux bourgeons rose auréolées de morsures de dents désaccordées, sur ses cuisses, qu’elle encartait doucement, avec pudeur.
Entre ses fesses, dans son vagin, mes doigts la récurant consciencieusement. Elle m’avait dit les premières fois que le savon la piquait. Maintenant elle ne s’en plains plus. Elle s’abandonnait à mes caresses, et là, elle se mettait à pleurer.
Je la prenait dans mes bras, frissonnante. Je défaisait une à une ses tresses, lavait la cendre et la semence qui s’y était logé, et les lui tressais à nouveau avec une patience infinie.
Je mettait sa robe blanche dans un sac. Elle serait lavée, séchée et repassée pour le lendemain soir. Je lui passait de la pommade sur les marques de ses coups, désinfectait ses blessures. Elle enfilait son peignoir, que j’avais acheté exprès pour elle. Je lui mettais du sent-bon derrière ses oreilles. Je l’asseyais sur le canapé et lui préparait sa boisson favorite, un cacao très fort, et quelques tranches de pain beurrée. Elle mangeait et buvait dans mes bras tandis que je caressait ses cheveux et l’embrassait sur ses joues fraîches et parfumées.
Quand elle était reposée, Je la laissait poser sa tête contre mon épaule, et je la berçais., elle les yeux fermés, moi le nez dans ses cheveux propres.
Puis elle s’écartait de moi, se penchait, et m’offrait la plus amoureuse, la plus tendre des fellations.
Elle me dégustait consciencieusement pendant une vingtaine de minute. Enfin, je la prévenais, elle immobilisait ses lèvres hermétiquement autour de mon gland, me masturbait de sa main. je jouissais en elle, et elle recueillait chaque jet sans en perdre une goutte, avant de déglutir, yeux fermés.
– Je t’aime, ma belle.
– Moi aussi maître.
Elle remontait chez elle, mon goût sur la langue. Son dernier homme de la soirée.
Mais C’est avec la chaleur de ma seule semence au creux du ventre qu’elle s’endormait, lovée dans ses draps roses. Avec ma présence en elle, qui la réchauffera jusqu’au matin.
Je suis son seul homme.

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