Préambule: Histoire vraie avec une ex, qui j’espère, ne découvrira jamais ceci ;p
Nous étions dans le lit elle et moi, et nos ébats commençaient à peine…
Nous échangions de tendres baisers et de douces caresses, comme nous aimions le faire.
Au fur et à mesure que l’atmosphère se réchauffait, les vêtements disparaissaient petit à petit, et nos mains passaient sous ceux qui s’attardaient encore.
Elle me dit soudain, un sourire espiègle au coin des lèvres : « J’ai envie de continuer sous la douche »
Je perçus l’éclat familier du désir dans ses yeux et suivi ses hanches qui ondulaient, totalement hypnotisé…
J’avais déjà une forte érection au moment de nous libérer de nos sous-vêtements, ce qu’elle ne manqua pas de remarquer alors que nous mettions un pied dans la douche.
Elle était suffisamment spacieuse pour nous deux, et le sol était plat.
Afin de me calmer un peu et pour lui faire plaisir, je la mis dos à moi et fis couler abondamment le gel douche sur ses épaules.
Mon sexe trouva naturellement sa place entre ses cuisses, alors que je massais ses épaules et son dos.
Quelques minutes plus tard, mes mains descendaient le long de sa colonne, et j’entrepris de masser de mes pouces la base de ses reins.
J’entendais de temps à autres ses soupirs, qui me guidaient sur la zone sur laquelle insister.
La mousse coulait abondamment le long de son dos pour former un petit delta blanc entre ses fesses, et inconsciemment ou pas, un léger mouvement de va et viens de nos hanches naquit.
Mon sexe frottait contre le sien, et malgré l’eau chaude et la mousse, je senti sur mon sexe un autre genre d’humidité, légèrement moins glissante, mais plus douce que l’eau et la mousse réunie.
Alors que je décalais ses cheveux par-dessus son épaule et la ramenais contre moi sous le jet pour chasser le savon restant, j’attrapais le pommeau de douche pour le diriger vers ses seins, et finalement descendre vers son entrejambe.
Elle laissa échapper un gémissement à mon oreille et je permis à sa main de guider la mienne afin que le jet stimule son clitoris.
Mon sexe frottait toujours contre le sien, et mon érection étant au meilleur de sa forme, je le senti déjà courbé, cherchant à s’introduire.
Ses soupirs se transformèrent en halètements, puis elle s’arrêta net et fit volte-face en me disant dans un soupir : « Prends-moi! »
Je dois dire qu’en dépit de tous mes efforts et à mon grand dam, elle n’exprimait verbalement que très rarement ce qu’elle souhaitait, préférant me guider de ses mains ou de son corps ;
Aussi cette simple phrase, banale pour certains peut-être, additionné au fait de la voir nue et ruisselante en haut comme en bas, les cheveux collés négligemment sur le visage, la bouche entrouverte et un désir sauvage dans le regard, me rendit fou.
Je la plaquais contre le mur de la douche, relevant une de ses cuisses, et la pénétra sans ménagement.
Elle laissa échapper un cri de plaisir, mais m’attelais déjà à recommencer.
Chaque claquement humide était suivi d’un cri, et résonnait dans l’appartement heureusement désert ce soir-là ; même si je ne doute pas que les voisins aient mis très peu de temps avant de comprendre ce qui devais se passer.
Son plaisir et le mien n’en finissaient pas de monter, et je la pris de nouveau dos à moi, puis la poussa du plat de la main afin qu’elle se penche et prenne appui sur le mur carrelé.
Son cul était maintenant tendu vers moi, je lui mis une fessée cinglante et je chassais son pied avec le mien sans avertissement, afin qu’elle écarte un peu plus les cuisses. Elle laissa échapper un cri mêlé d’indignation douloureuse et de plaisir.
Une fois de plus je la pénétrais d’un seul coup, et elle lâcha un cri un peu plus fort. Son dos était cambré vers l’arrière et le petit delta d’eau entre ses fesses jaillissait sur moi à chaque coup de rein.
Elle tourna sa tête vers moi et me dis cette fois-ci « Plus fort ! Baise-moi ! »
Son regard était déformé par le désir, les pupilles dilatées et sa bouche grande ouverte. J’étais fasciné par son expression obscène, ou tout en elle sentait le sexe. Je ne l’avais vu jamais comme cela auparavant.
Je sentais une pression à l’extrémité mon gland à chaque fois que je la pénétrais à fond, et à chaque coup elle me demandait d’y aller plus fort, à tel point que je finis par en avoir mal.
Mais j’étais tellement absorbé par son expression perverse et tellement excité, que je la baisais avec plaisir, toujours plus fort, sans m’arrêter.
Tantôt mes mains empoignaient ses hanches pour pouvoir mettre plus de force dans mes coups de reins, tantôt elles écartaient ses fesses, afin que je puisse me régaler du spectacle de mon sexe qui la pénétrais si sauvagement, et de son anus, dilaté sous l’effet du plaisir. Je m’arrêtais de temps à autre pour reprendre mon souffle, mon torse collé à son dos et ma joue collée à la sienne, mes mains empoignant ses seins, et je forçais tellement mon sexe en elle, que je le sentais se tordre sous l’effort au fond du sien.
Son orgasme arriva comme une tempête, et le mien presque en même temps. Je l’entendis hurler pour la première fois et je vis ses jambes trembler comme une feuille alors qu’elle tentait de s’agripper tant bien que mal au carrelage glissant, et je forçais sur les miennes pour la soutenir, alors que j’éjaculais en elle.
Nous restâmes prostrés comme des animaux, l’un dans l’autre et à bout de souffle, sans parler pendant un moment.
Une dizaine minutes plus tard, après s’être couchés elle m’avoua, un peu honteuse comme une enfant pris la main dans un paquet de bonbons, n’avoir jamais ressenti quelque chose d’aussi intense.
J’étais hilare et étonné pour ma part, comme un gamin qui découvre le meilleur jouet du monde sous le sapin de noël…
FIN
(J’ai gagné aussi un bleu au bout du gland et mal au sexe pendant quelques jours pour ma part, et un mal de ventre pour la sienne. ;D)
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