L’ESCLAVE SEXUELLE DU CENTURION
Comme toutes les semaines je me rend aux bains publiques …comment j’aime bien aller là bas!..
C’est mon petit moment préféré hebdomadaire ,presque sacré!
Je ne raterais ça pour rien au monde et ce pour plusieurs raisons…
Juste pour commencer, la décoration des lieus est vraiment magnifique avec toutes ces jolies mosaiques.
La couleur bleue domine mais elle est déclinée sur tout les tons.
On peut y voir des poissons , des scénes maritimes, des paysages Grecs de couleur azur, bleu marine, bleu pastel et bleu foncé qui recouvrent les murs de cet endroit fantastique.
Il y a aussi des baignoires carrelées de tailles differentes et de temperature d’eau diverse allant de la plus froide a la plus chaude.
L’odeur mélangée des cosmetiques et des huiles embaument l’endroit dès qu’on franchi la porte d’entrée.
Il y a une grande piéce principale au milieu du batiment ou nous sommes toutes réunies et des petites piéces individuelles a part pour celles qui auraient besoin d’un peu plus d’intimité…
Dans une de ces piéces je rejoins mon amante… tout le monde savait ce qu’on allait faire , mais tout le monde s’en fichait aussi.
Ce n’était pas une gloire , mais ce n’etait pas non plus dramatique que de faire l’amour entre deux femmes.
On ne se cachait pas , mais on ne s’exhibait pas , c’était normal sans vraiment l’être…
Vu l’ambiance mysogine qui régnait , le manque de respect notoire que subissaient les femmes de mon île, bon nombre d’entre nous se sont tournées vers le lesbiennisme, moi la premiére.
Mon amante était pour moi la plus belle de toute…
Elle avait des yeux noisettes avec de légers reflet jaune/or et une longue chevelure brune ondulée.
Son corps avait la forme d’un sablier avec son ventre plat, sa taille fine et ses grosses cuisses bien charnues.
Elles avaient de longues jambes , un gros cul en forme de coeur et une poitrine abondante…
Elle me prend par la main pour que je la suive jusqu’a ce que l’on arrive dans une petite salle privée.
J’adore coller ma poitrine contre la sienne quand je l’embrasse , me frotter a elle pour bien sentir ses formes douces et confortables sur mon corps.
Malgrés la chaleur casi étouffante et humide qui régnait dans la piéce , je mettais ma tête dans sa poitrine pour bien téter et ressentir a quel point elle est grosse.
Elle miaule et mes carresses les cheveux …
Soudain, on entends des cris de panique de femmes provenant de la grande salle principale, paf ça casse tout ^^
Nous sommes effectivement en guerre contre l’armée Romaine et aux derniéres nouvelles , notre île serait en danger car nous serions trés mal barrés pour une victoire triomphante.
(Même une simple victoire tout court, on y était encore bien loin! plus le temps passait, plus elle reculait!…)
Mais a la vue des circonstances , nous avions vite compris que cette fois ci la guerre était bel et bien perdue.
L’armée adverse avait pris l’île ce matin même!
Le chef des centurions ainsi que son bras droit n’ont pas perdu de temps car ils avaient deja debarqué dans les thermes pour se prendre une voire plusieurs femmes…d’ou les cris de panique quand ils ont débarqué de maniére violente avec leur armes.
Les deux soldats haut gradés de l’armée Romaine entre « enfin » dans notre piéce.
Mon amante prise de panique me prend la main par reflexe , on recule toute les deux alors qu’ils avancent vers nous avec un regard lubrique.
Le mur stoppe net nos pas à reculons, elle crie; me prend dans ces bras pour ne pas qu’on nous sépare.
Les deux hommes comprennent qu’on ne peut pas se défendre contre eux, ce qui leur donne un sourire sur le coin des lévres.
Le chef prend la parole et dis à son camarade :
« Regarde les deux vaches bien grasses qu’on a en face de nous, j’ai vraiment envie de traire la brune aux yeux bleus. »
Il me dit ouvertement, avec un accent latin :
« Hey la grosse, ça te dirais que je tripote ton ventre gonflé comme de la gelée?
Que je te pince tes grosses mamelles et tes tétons bien rose en te foutant des claques sur ta croupe de mon autre main! »
Je le regardais les yeux écarquillés complétement tétanisée… et il ajoute :
« Je jouerais à te taper le cul et à faire durer la vague le plus longtemps possible! »
« Plus tu seras grasse mieux ça ira »
« Je vais te prendre en levrette et te traire comme la pire des grosses vache »
« Je te ferais jouer avec tes mamelles devant moi… puis avec ton cul..puis ça sera à mon tour de jouer! »
« Fais moi tater ta croupe ouais!..aller retourne toi que je vois ta face B »
Il me faisait bien comprendre qu’il allait mettre a excécution tout ce qu’il me disait et que je n’avais pas le choix , que je ne pouvait pas me refuser a lui…mon armée a perdu et n’a su défendre les habitants de lîle.
Il me met a genoux pour que je le suce mais surtout pour affirmer sa place de dominant qu’il avait sur moi.
Jamais de ma vie je n’avais reçut le sexe d’un homme dans ma bouche mais ça ne l’empechait pas de gemir de plaisir malgrés mon manque d’experience.
Il me dit
« Tu seras mon esclave sexuelle , c’est toi que j’ai choisi, allez , viens on part d’ici…. »
Il me tire par le bras vers l’exterieur mais je resiste , j’ai peur ,trés peur même… Je ne sais pas si je reverrai ma douce amie un jour ni même ou il comptait m’emmenée…
Je crie en la regardant , je tend mon bras vide vers elle , de son coté elle pleure sentant que c’est probablement la derniére fois que l’on se voyait.
Il me dit
« Ca suffit votre cirque les lesbiennes? vous me cassez les oreilles !! »
Avant de sortir, le bras droit du chef s’est pris une femme aussi, mais il n’avait pas choisi mon amie, malheureusement…
Nous marchions trés longtemps , nous avions pris par la suite une barque pour que nous quittons notre île… c’etait leur projet que de nous emmenées sur une autre…
Ce qui me mettait dans une angoisse des plus totale , j’en avais des nausées de stress, carrement !
Nous sommes donc arrivées sur cette autre île , qui ressemblait dés lors a un vrai campemant militaire avec toutes ses tentes de tissus dressées , ses armes posées a même le sol, ce feu de camps , des soldats habillés de rouge sous une armure métalisée qui ne cessaient de faire des allées et venues… ce qui ne me rassurait absolument pas.
Il m’emméne dans sa tente qui etait d’ailleurs la plus grande de toutes.
Il dit a son medecin :
« J’aurais besoin que vous examinez ma trouvaille du jour , pour m’assurer de sa bonne santé »
Je me suis retrouvée par la suite seule avec lui ,il regardais le fond de ma bouche, les dents, testais mes reflexes , mais ne s’est pas géné pour me faire des attouchement non conventionnés telle que de soupeser ma poitrine, me tater les seins , et il a même fouillé ma chatte ,ce qui me faisait hyper mal …
Lorsqu’il est reparti , le centurion est venu me revoir dans la tente aprés avoir discuter avec lui.
« Alors comme ça tu es encore vierge?… décidemment, je ne vais que de bonne surprise en bonne surpise avec toi »
« Tu perdras ta virginité ce soir mon esclave. «
« Je veux aussi qu’on te nourrice bien, que tu prennes encore quelques kilos…
Mais comprends moi bien, je ne te fais pas gonfler juste pour te faire gonfler, c’est pour avoir le plaisir sensuel d’avoir une bonne grosse au lit avec tout les avantages »
« Je trouve qu’il faudra en faire quelquechose de toute cette graisse.
Il faudra que je la touche, que je la tate ;que je la morde,que je la secoue… bref c’est pas juste te faire grossir pour te faire grossir… »
Il demandait a quelques uns de ses soldats de protéger sa tente afin que personne d’autre n’entre, ni en ressorte hormis le cuisinier.
Qu’auncun autre homme ne m’approche, surtout pas!… sous peine de se faire excécuter sur le champs…telles étaient ses directives.
Quand vint ce fameux soir , je l’attendais allongée sur le lit , completement nue.
Seule deux patites torches brulaient pour avoir un minimum d’eclairage tamisé.
J’étais trés caline avec lui pour mieux l’amadouer… j’avais tellement peur qu’il devienne violent avec moi sexuellement parlant , que j’avais decider de faire la douce avec lui pour que se soit « contagieux » .
Je lui caressait le torse, je le couvrais de bisous , je lui faisait des massages du crane quand il me suçait les seins…
Ses carresses qui me faisait en retour n’etais pas aussi bonnes que celles de mon amante à qui je pensais particuliérement ce soir la… elle me manquait deja beaucoup.
Quand il a commencé a vraiment me pénétrer j’ai eu trés mal , dans ma vie rarement une douleur a été semblable avec celle ci .
Mon ventre s’empalait a cause de son sexe en erection trés bien monté, je grimaçait de douleur, j’hurlais…
Sexuellement parlant j’etais vierge , mon hymen etait intact mais j’avais deja connu les « plaisirs d’Aphrodites » seulement avec des femmes.
A ce moment la, je detestais les hommes encore plus car jamais mon amante ne m’avait fait souffrir de la sorte…
Quand il a fini, je me suis mise a pleurer, ayant conscience qu’il m’avait pris une grande chose ce soir la …
En pleine nuit, j’ai voulu m’echapper pour retourner chez moi coute que coute…
Bien sur, je me suis fait prendre, et les deux soldats a qui je n’ai pas réussi a faire baisser la garde , m’ont reconduite dans la grand tente du chef centurion qui venait de me prendre ma virginité.
» Desolés de vous deranger, mais la femelle a essayer de s’echapper en nous volant une barque en plus !
Il reponds
« Oh… je vois, merci de me l’avoir ramenée »
Il me giffla, me fessa , me donna des coups de bite sur le visage et tout le corps.
M’attacha au sol avec des chaines afin qu’il puisse se rendormir tranquillement sans que j’ essaie de m’achapper de nouveau.
Le lendemain, il m’emmena dans un temple et m’attacha solidement avec une corde a une grande colonne blanche en guise de punition pour toute la journée.
J’avais soif, j’avais faim et le soleil commençait à me bruler la peau et surtout une grosse envie d’uriner me faisait souffrir.
Je me retenais tant bien que mal , mais plus les heures passaient , plus c’etait douloureux de garder ma vessie pleine.
J’étais en sueur tant mon effort etait intense , mais j’ai fini par me lacher , c’était trop dur.
Même si je contractais au plus possible ma chatte , des gouttelettes d’urine s’echappait de mon corps, il était trop tard…
Des timides gouttes ont commencés a couler, puis des jets incontrolables se sont échappés de mon entre cuisses.
Ca me soulageait, c’etait limite jouissif de ressentir une telle liberation.
Pour la premiére fois je ressentais deux sensations trés contradictoires qui se sont melés : la honte et en même le soulagement.
En fin de journée, le centurion me détache et m’annonce qu’il me ramenera a Rome dés demain, chez lui même , pour commencer mon education d’esclave sexuelle entiérement soumise a ses desirs et a ses besoins…
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