Elle avait laissé ses bagues et colliers négligemment déposés sur la table de nuit comme si elle avait totale confiance en moi. Pourtant, elle ne me connaissait qu’à peine, voyant surtout en moi un étalon destiné à rajeunir ses chairs et à faire remonter dans son corps des jouissances déjà bien lointaines.
Un moment, j’ai eu envie de profiter de son léger assoupissement et de m’emparer de la petite fortune ainsi offerte à ma convoitise et de la laisser là, encore un peu pantelante de notre dernière étreinte.
Je ne l’ai pas fait car d’une part je ne suis pas un voleur mais un simple donneur de plaisir aux femmes matures, d’autre part qu’aurais-je fait de ces bijoux, ignorant tout des receleurs et, enfin, je me suis dit que je ne devais pas tuer la poule aux œufs d’or, celle-ci pouvant me rapporter à la longue bien plus qu’un fugitif larcin.
Nous nous sommes connu il y a quelques heures à peine.
Jobiste d’été, j’effectuais un court remplacement dans un car-wash. Dix huit ans, beau gosse, l’amour des femmes et besoin d’argent peuvent me caractériser !!
Je n’avais encore aucun plan de vacances et mon salaire fixe plus les pourboires suffisaient à mon bonheur immédiat.
Je l’ai vue arriver dans son coupé AUDI noir et j’ai immédiatement flashé sur ses yeux verts très lumineux. Nos yeux se sont croisés et, fin psychologue des femmes, j’ai tout de suite perçu comme un signal, comme un appel. Cette cliente allait être la bénédiction de ma journée, je le sentais.
Comme toujours pour ce travail ingrat au car-wash j’avais un T-shirt blanc qui épousait bien mes pectoraux développés. Mon jean serrant laissait prévoir entre mes jambes un bel édifice volumineux qui tendait le tissus. Mon sourire enjôleur, ma toison noire… faisait de moi un bel étalon fougueux qui ne pouvait que plaire.
Ma cliente, pour autant que j’en pouvais voir à travers le pare-brise de sa voiture devait être dans la cinquantaine bien conservée. Cheveux teint blonds à mèches, coiffée à la lionne, teint bronzé, maquillage de qualité et surtout, je l’ai remarqué de suite, une poitrine épanouie cachée par un chemisier de soie blanche et soutenue par un soutien-gorge de qualité qui mettait en valeur son opulence.
Elle faisait quelques manœuvres pour bien placer sa voiture sous le jet de ma lance haute pression ( NB… non, non n’imaginez encore rien… c’est la lance d’eau du car-wash !!) mais éprouvait visiblement des difficultés.
J’ai eu crainte qu’elle ne puisse bien orienter ses roues pour passer sur les rails de guidage de la machine et, comme je le fais parfois pour des personnes âgées ou maladroites, j’ai tapoté la vitre latérale en lui demandant si elle ne voulait pas mon aide.
Elle était assez désemparée et il y avait comme du désarroi en elle. Ses yeux, si beaux, laissaient percer son inquiétude.
Elle a ouvert sa portière et je lui ai redemandé si elle ne préférait pas que je conduise sa voiture pendant la manœuvre, il est vrai assez difficile, d’engagement sur les rails de guidage.
Elle m’a répondu par un grand OUI de soulagement. J’ai pensé qu’elle allait sortir de sa voiture, me laisser le volant et aller attendre la fin du lavage vers la caisse.
Mais, non, ne sachant pas comment bien faire elle s’est glissée du siège du conducteur vers celui du passager. Comme à quasi toute voiture c’est une gymnastique difficile compte tenu de la présence du levier des vitesses et de la poignée de frein à main.
J’ai alors constaté que ma jolie conductrice avait une jupe assez serrante d’un magnifique tissus genre Channel, dont j’ai d’ailleurs vu la veste déposée sur le siège arrière. Portière ouverte, j’avais une vue plongeante sur ses contorsions… elle n’avait pas de bas et ses jambes musclées et bronzées tentaient de s’élever pour passer l’obstacle de la boite à gants centrale et de leviers … cela faisait évidemment remonter agréablement (pour moi !) sa jupe. Elle était rouge de confusion de sa maladresse.
J’ai posé une fesse (à moi !) sur le siège conducteur et j’ai tenté, tant bien que mal, de l’aider à passer le cap !
Les deux boutons supérieurs de son chemisier s’étaient ouverts sous l’effort et dévoilaient ainsi deux globes qui, comme je le supposais étaient de belle taille. Sa jupe était maintenant remontée à mi cuisse et j’avais une vue plongeante sur un joli slip blanc .. J’ai mis une main sous sa cuisse gauche et l’autre sous son épaule droite et, comme une plume, je l’ai soulevée et déposée sur l’autre siège. Drôle de situation ! J’avais une main coincée sous sa cuisse nue et l’autre était au voisinage immédiat de sa poitrine, tandis que nos visages étaient bien proches !
Cette cliente était de plus en plus rouge et je me suis dit que le mieux était de prendre tout cela avec humour comme si c’était une manœuvre très naturelle.
Je lui ai dit :
« Eh bien, ma jolie dame, vous êtes toute légère et bien souple… bravo »
Tout était ainsi rentré dans l’ordre et j’ai fait avancer la voiture vers le rail.
Bien qu’elle avait tenté de se réajuster, ma passagère avait toujours son chemisier entre ouvert et la jupe légèrement remontée.
Pendant que nous passions sous les brosses et jets du car-wash, j’ai vu que la cliente regardait furtivement mon entre jambes… il est vrai que tous ces contact avec sa chair nue et les visions, avaient provoqué chez moi une belle érection au point que c’en était visible sous le jean tendu.
Que faire ? Rien. Si cela ne lui plaisait pas, elle n’avait qu’à pas regarder !!
Je me suis cependant dit que je devais tenter ma chance et profiter du moment.
Ma main droite, inoccupée puisque la voiture était sur les rails de guidage, s’en est allé se placer, comme par hasard, un peu au-dessus du genou dénudé et même un peu plus haut que la décence ne le permettait, sans réaction de la passagère.
Elle avait une peau bien agréable au toucher et les muscles me semblaient bien souple sans trop de flétrissures dues à l’âge.
Comme dans une conversation normale je lui dis :
« vous voyez, chère madame, qu’un beau jeune homme peut suppléer sans problème à vos petits écarts de conduite « ’
Cette phrase était d’une ambiguïté folle et je risquais soit une gifle, soit d’être mis à la porte par mon patron.
Je n’ai eu qu’un sourire en retour. Ouf ! c’est bien parti, me dis-je.
J’ai continué :
« si vous voulez des cours de conduite spéciale, je suis à votre disposition pour vous les donner. Nous ferons une évaluation de vos besoins et vous me direz la durée des prestations que vous souhaitez ainsi que le prix que vous voulez mettre » Aïe Aïe ..
Toujours pas de réponse, sauf un sourire mais cette fois ses yeux pétillaient….
A la fin du lavage, j’ai passé une peau de chamois pour sécher la voiture, m’attardant ostensiblement à la vitre de portière, comme cela mon entrejambe bien gonflé était juste à sa hauteur… elle ne le quittait pas des yeux et un petit bout de sa langue caressait ses lèvres. Il est vrai que j’avais déplacé ma verge bandée et que celle-ci devait être bien dessinée sous les tissus du jean.
Au moment de payer, ma cliente me glissa un billet de 50,00 € dans la main en me disant/ « Merci, c’est pour le service. ». Elle y avait mis un petit billet sur lequel figurait un prénom : LINA et un n° de portable.
Elle quitta la station avec un grand sourire à mon intention et ses yeux verts luisaient d’amusement (ou d’autre chose ..)
Mon collège me dit : « Eh bien, mon vieux, tu as là une sacré touche !!) S’il savait.
Je n’étais pas un gigolo de nature, mais je me dis que autant ne pas rater l’occasion. Ayant déjà eu l’expérience de brèves aventures avec des femmes matures je savais bien que, satisfaites, elles savaient se montrer généreuses.
Si ma mère savait cela !!
Je me suis dit autant battre le fer pendant qu’il est chaud et sans plus attendre j’ai appelé son n° de portable…..
Lorsque j’ai entendu son allo je me suis empressé de dire :
« bonjour, madame, c’est votre dévoué laveur ici… »
Je l’ai sentie interloquée par mon appel si rapide et elle ne répondit que : « Ah oui ! »
J’ai continué : « … vous avez oublié quelque chose en quittant le car-wash »
« Et quoi donc ? » dit-elle.
« Fixer rendez-vous pour votre première leçon de méconduite » dis-je en riant.
C’est par un éclat de rire qu’elle me répondit mais, soudain sérieuse elle dit :
« Je crains, jeune homme, que nous allons faire de bêtises. Vous avez l’âge de mon fils… mais on ne vit qu’une fois ! «
Elle me fixa rendez-vous pour le même soir à 18.00 chez elle dans une des belles communes vertes de la périphérie… pour « parler », me dit-elle !
Inutile de dire que j’étais au rendez-vous. J’avais rapidement pris une douche, un rasage soigné, un peu d’eau de toilette, une belle chemise col ouvert et un pantalon bleu bien repassé. J’étais prêt pour le service de madame !!
Arrivé devant la villa je n’ai pu retenir un sifflement admiratif ! Dans un clos huppé, il s’agissait d’une vaste villa de style normand, précédée d’une pelouse entretenue à la pince à épiler. Ce n’était pas la guinguette !!
A mon premier coup de sonnette, LINA ouvrit la porte. Elle ne s’était pas changée depuis la fin d’après midi sauf qu’elle avait enfile la veste de son tailleur Channel et semblait s’être remaquillée avec beaucoup de soin.
« Bonjour, mon prénom c’est Philippe » luis dis-je tout bêtement !
Entre me dit elle.
Je la suivis dans le vaste hall qui amenait vers le salon en légère dénivellation. Beaux meubles, toiles de maîtres, profonds canapés, cela sentait l’argent.
Un seau à champagne se trouvait sur la table basse, avec deux verres. Qui allait prendre l’initiative ? Elle avait le privilège de l’âge !
Je m’assis dans un des canapés et LINA se mit à ouvrir la bouteille de champagne. c’était une Roederer rosé…. et servit les verres. Toujours debout elle m’en passa un et me dit : « Buvons à nous ».
Je la sentais crispée et assez complexée de me voir là et de savoir pourquoi j’étais venu. Visiblement, ce n’était pas une habituée de ce genre de rencontre ! Tant mieux, ce n’en sera que meilleur.
Après quelques gorgées de cet excellent champagne, LINA, toujours debout comme si elle avait peu de s’asseoir auprès de moi me dit :
« Viens, je vais te faire visiter la maison.. »
Tout en circulant dans la bibliothèque, la salle à manger etc.. elle me raconta, et je la crus, qu’elle n’avait jamais eu d’aventure mais que notre petit intermède au car-wash lui avait donné des envies. Son mari est absent pour trois mois, en mission en Afrique, et ses deux grands enfants n’habitent plus chez elle. Quelque fois la solitude lui pèse mais, me dit-elle, sure d’elle, ce n’est pas pour cela qu’elle va céder à ses envies. Si elle a accepté que je vienne chez elle, c’est simplement pour parler à quelqu’un de gentil, sans plus.
In petto, je me dis : « cause toujours » !
La salle de bain était grandiose, avec une douche immense avec de multiples jets et des cloisons transparentes. La baignoire avait la taille d’un jacuzzi et était d’ailleurs équipée du système. Prestement, ma compagne s’empara d’un slip et d’un soutien noir qui traînaient à sécher sur le bord du lavabo et les déposa dans la corbeille, un peu gênée de m’avoir ainsi montrer des dessous.
Je ne sais pourquoi, mais rien que cette vue de lingerie intime noire me provoqua une belle érection…. Lorsque nous avons quitté cette salle de bain qui, j’en étais certain, abritera bientôt certains de nos ébats amoureux, j’ai frôlé la hanche de LINA de très près et elle n’a pu ignorer la dureté de mon bas ventre.
Après avoir, toujours très sérieux, admiré la vaste chambre à coucher aux multiples miroirs et penderies, nous sommes redescendu au salon où, la prenant galamment par la main, je l’ai fait asseoir sur le canapé. Pour ne rien brusquer, j’ai servi encore deux verres de champagne en restant debout et puis, comme si c’était tout naturel, je me suis assis à côté d’elle laissant peu de place entre-nous.
Je l’ai regardé dans les yeux et, très doucement, j’ai approché mon visage du sien. Elle ne pouvait ignorer mon intention ! Mes lèvres fermées ont rejoint les siennes et, j’ai tenté un petit bec, sortant un peu ma langue, tandis que ma main droite se posait sur son genou nu, un peu glissée sous le tissus. J’en ai profité pour glisser mon bras droit autour de ses épaules, ce qui l’obligeait à se blottir contre moi ! Habile, que je suis !!!
J’ai alors tenté un nouveau baiser mais cette fois bien plus profond puisque, ses lèvres entrouvertes ne me faisaient plus obstacle. Bien vite sa langue s’est mise en mouvement et c’est elle qui s’est mis à jouer avec la mienne. Nous étions encore loin d’un grand baiser d’amour passionné. C’était plus une approche douce et calme.
Sa main droite venait de se poser sur ma cuisse gauche, bien haut mais encore bien loin de ce qu’elle aurait voulu toucher ! Ne nous pressons pas ! Cela viendra.
Nos bouches se sont séparées et LINA s’est mise à me parler :
« Tu sais, Philippe, je ne suis pas une femme facile et je me demande bien ce que je fais, ici chez moi, dans tes bras. Je crois que je suis en train de faire une grosse bêtise »
Sans que je m’y attende, elle remit ses lèvres sur les miennes pour un rapide baiser assez chaste et continua :
« Arrêtons ici… cela vaut mieux ! Sinon on le regrettera, toi et moi.. laisse moi et part sans te retourner …. »
Je devais maintenant prendre l’initiative car LINA, visiblement n’osait pas. Ses paroles étaient d’ailleurs en contradiction avec ses gestes puisque sa main restait toujours posée sur ma cuisse et je crois même qu’elle était un peu remontée.
J’ai fait remonter doucement ma main sous sa jupe avec de petites palpations et de l’autre je lui coinçais la poitrine dans la paume de ma main gauche….
Vu la présence de sa veste de tailleur cela n’était pas très confortable et je fis mine de la lui enlever. Elle ne résista pas et se retrouva ainsi dans mes bras en jupe et chemisier avec ma main toujours bien avancée.
A nouveau nos lèvres se sont rejointes mais cette fois, je voulais vraiment lui faire rompre ses derniers remparts de conscience et ma langue se mit à danser un ballet sauvage dans sa bouche, tournant et retournant autour de sa langue et suçant celle-ci comme si c’était un petit sexe. Ma langue faisait vraiment l’amour à la sienne comme deux papillons se heurtant dans l’obscurité.
J’ai senti LINA s’animer dans mes bras et sa respiration s’accélérer. Ma main enfouie sous sa jupe malaxait sa cuisse… mais on aurait dit que ma compagne avançait son bassin comme pour une caresse encore plus précise…
De ma main libre, nos bouches toujours dans un cirque endiablé, j’ai ouvert doucement les boutons de son chemisier et j’en ai écarté les pans dévoilant un vaste soutien-gorge de dentelles ajourées… LINA haletait maintenant et sa main s’était carrément remontée et palpait sans vergogne mon entrejambes comme pour en faire un inventaire.
Elle s’enhardit et, avec un peu de difficultés elle parvient à ouvrir mon jean et, d’un coup elle y introduit sa main, empoignant mon sexe encore protégé par le fin tissus de mon petit slip…
De mon côté, sans rien brusquer j’avais doucement remonté sa jupe et mes doigts touchaient maintenant son slip juste entre ses cuisses. J’y ai senti une moiteur qui témoignait bien des désirs de ma compagne. Je ne m’y suis pas attardé comme pour l’énerver (vilain que je suis !!) me contentant d’effleurer son pubis de mes doigts. Son bassin était agité de soubresauts et visiblement elle attendait que je m’infiltre vers sa chair intime pour mieux la sentir.
LINA avait réussi à sortir ma verge et la regardait comme si c’était une apparition divine…. bouche bée. J’étais bien bâti, mais certes pas au point d’ainsi provoquer une adoration quasi mystique !
Elle dit : « tu es merveilleux… tu sais que c’est la seconde verge que je vois dans ma vie ! Je me suis mariée vierge et j’ai toujours cru que mon mari était normalement constitué, mais, à te voir, je crois que j’ai manqué beaucoup de chose…. »
Je lui ai glissé à l’oreille tout doucement, j’allais dire presque chastement :
« elle est à toi, prend là, mange là…. Elle est là pour toi …. Suce moi … »
Stupeur, elle me répondit qu’elle n’avait jamais fait cela, son mari ne le lui avait jamais demandé.
LINA était vraiment touchante de naïveté… c’est à plus de 50 ans qu’elle découvrait enfin certaines facettes de l’amour …
Curieuse, elle approcha son visage de mon sexe et, mutine, elle me dit :
« comme tu sens bon….. »
J’ai voulu pousser ma verge dans sa bouche mais j’ai compris que pour cela il me faudrait encore attendre un peu.*
Il fallait maintenant passer aux choses plus sérieuses et sentant ma compagne prête, je luis dis calmement à l’oreille tout en la caressant :
« Viens dans ta chambre, ma chatte, on sera plus à l’aise…. J’ai envie de toi »
Je vis encore dans ses yeux un signe comme de crainte ou d’hésitation mais elle se leva et me pris la main pour monter l’escalier….
Imaginez un peu la scène ! Elle, chemisier ouvert largement, jupe à moitié retroussée et moi sexe au vent….
Arrivé à l’étage elle me murmura comme gênée : « veux-tu passer à la salle de bain ? » C’était plein de délicatesse.
Nous y étions maintenant tous deux et, devant le grand miroir du lavabo, je me suis placé derrière elle, ma joue contre la sienne. J’ai défait la fermeture de sa jupe qui est tombée au sol et j’ai fait glisser son chemisier de ses épaules….. Je la regardais dans le miroir, mais elle avait détourné la tête comme offusquée ou troublée parce qu’elle voyait…
J’ai pris sa main et je l’ai posée sur mon sexe bien gonflé… elle y est restée mais sans mouvement, comme si ce qu’elle tenait en main lui faisait peur, comme si c’était un petit a****l dangereux…
J’ai remarqué qu’elle portait une gaine qui moulait ses hanches et son bassin… ce n’était pas du plus bel effet, bien qu’il s’agissait d’une lingerie visiblement de très haut niveau.. c’est donc qu’elle en avait besoin pour compenser les méfaits de l’âge !!! On verra cela plus tard… !
Elle était donc ainsi toujours collée à moi, son visage tourné vers le mien, pour ne pas se voir dans le miroir et tenant ma queue comme un objet inanimé. J’en ai profité pour recouvrir tout son visage de petits baisers doux en terminant par ses lèvres. Elle les a ouvertes spontanément et, cette fois, c’est elle qui a pris l’initiative des mouvements de nos langues. Ce n’était pas la grande fougue mais plutôt des mouvements très lascifs comme voulant profiter au plus du moment présent et voulant le faire durer. Cela devait lui faire de l’effet car sa main s’était mise en léger mouvement sur ma verge comme si elle l’avait apprivoisée …
J’ai alors profité de ces instants d’abandon pour défaire l’attache de son vaste soutien-gorge et libérer ses seins. Grandioses par la taille !! Je ne suis pas compétent mais ce devait être du 110 / 115 facilement. Evidemment, ce n’étaient pas des seins durs de jeune fille mais bien l’opulence ramollie de la cinquantaine.
Une large aréole et un téton long et dur augmentaient le caractère érotique de la vision. Un peu gamin, je me suis mis à faire balancer cette poitrine tout en en excitant les pointes sous mes pouces et en les malaxant…. Déjà je me disait qu’il serait agréable de caller ma queue entre ces deux douces mamelles et d’y jouir…
LINA se laissait faire mais elle reculait son bassin pour encore mieux se coller à moi.
Je l’ai retournée face à moi, toujours nos bouches soudées et, avec dextérité, je me suis débarrassé de ma chemise et de mon jean, conservant mon seul slip quasi inutile puisqu’elle en avait sorti mon sexe.
Pour vaincre ses dernières pudeurs, je l’ai doucement forcée à faire face au miroir et à nous regarder quasi nu… elle s’est détachée de ma bouche et s’est mise à nous regarder… je continuais à jouer avec sa poitrine somptueuse..
Ne connaissant pas le mode d’emploi de sa gaine ( !) je lui ai glissé : « je veux te voir nue…. »
D’elle-même, elle a franchit le pas et s’est dégagée de sa gaine, enlevant son slip d’un même mouvement… elle a essayé de cacher son sexe de sa main … c’était délicieux.
J’ai détaché sa main pour la découvrir totalement.
Bien sûr, elle avait des flétrissures et vergetures sur le ventre, son bassin et ses hanches étaient abîmées par la cellulite… elle présentait tous les stigmates de l’âge et de ses maternités mais cela restait cependant encore bien appétissant car la pratique certaine d’un sport d’entretien, lui avait laissé un ventre seulement un peu rebondit…
Sa toison était abondante et remontait bien haut sur son pubis. La gris des poils n’était pas vilain en soi car la qualité de la pilosité constituait un joli petit matelas.
LINA était maintenant accrochée à mes lèvres et, comme par une ventouse, y semblait soudée. Elle prenait vraiment son plaisir à mélanger nos salives, à jouer avec ma langue, à pousser la sienne bien loin au fond de mon palais, à me mordiller… vraiment là elle était douée quoique je sentais bien qu’elle découvrait en même temps un plaisir assez nouveau pour elle.
De nombreux mari, hélas, considèrent leur femme comme un objet de plaisir à domicile au lieu de s’en faire une maîtresse et de la faire participer à tous les plaisirs de la chair. Tant mieux, finalement, car cela permet à des gars comme moi de suppléer à cette carence d’affection et d’amour et d’apporter un « plus » à ces femmes mal b…..es !
J’ai été explorer sa toison, d’abord en la caressant globalement de la paume et puis en y allant vers la fente avec un doigt un peu fureteur … Deux surprises, la première c’est la présence d’une humidité très abondante, preuve que ma compagne n’est pas restée en reste de jouissance et que nos attouchements lui avaient déjà apporté une lubrification vaginale et la seconde, c’est la présence d’un clitoris assez impressionnant caché sous les poils. C’est un véritable petit sexe d’enfant qui se décapuchonnait sous mes doigts et s’épanouissait véritablement…
Je ne me suis pas privé de lui rendre hommage, le faisant rouler sous mes doigts, le titillant, le caressant tandis que, quelque fois je m’introduisais plus profondément dans cette cavité ombrée et chaude où je savais que je trouverais le plaisir….
LINA avait quitté ma bouche et avait le corps arqué sous ma caresse précise… elle-même jouait avec moi avec ses seins et sa respiration saccadée m’indiquait qu’elle allait conclure ainsi seule ….
J’ai redoublé de caresses précises sur son bouton d’amour et puis j’ai introduit trois doigts joints, très au fond d’elle-même dans un mouvement de va-et-vient tournant.
J’entendais distinctement le bruit de succion de son sexe mouillé autour de mes doigts car, malgré son âge, ma compagne avait un vagin peu distendu et maniait encore bien les muscles pelviens.
Elle se mit à dire, à haute voix, des mots assez incohérents, dont je comprenais surtout la montée de son désir, de sa jouissance totale. Je comprenais :
« Non, non… arrête… non, n’arrête pas, continue,.. oui oui continue comme cela… tu es doux… merci… oui oui, encore…..pas trop vite «
Et puis, presque dans un hurlement :
« Tu me fais jouir… pourquoi as-tu fais cela ? Non, continue encore… ouiIIIII… » j’en passe et des meilleurs !
J’ai senti qu’elle jouissait abondamment sur mes doigts et j’ai rejoins sa bouche comme pour lui dire un merci par un long baiser.
Ne voilà-t’il pas qu’elle s’est mise à pleurer, nue dans mes bras, mes doigts encore enfouis en elle…
« Pourquoi avons-nous fait cela… ce n’est pas bien. Je n’aurais pas du !! Je n’avais jamais trompé mon mari…. Et dans de gros sanglots dont les larmes coulaient sur ma poitrine : « mais, que c’était bon … comme tu es habile, doux et fort… j’ai jouis comme cela ne m’étais plus arrivé depuis longtemps…. «
A part cela, vous vous doutez bien que mon érection n’avait certes pas, diminué bien au contraire et que, à moins de lancer ma semence dans l’air, je devais trouver un réceptacle à ma jouissance.
Nous étions donc toujours nu devant le miroir du lavabo et ma compagne maintenant échevelée couinait de contentement comme un petit a****l. Son entrejambes dégoulinait… d’un doigt un peu inquisiteur, j’ai été promener dans sa raie fessière et me suis attardé autour se son œillet, un peu entouré de bourrelets sanguins et j’ai voulu doucement y faire une petite introduction. C’est un « NON » bref mais impératif que m’a lancé LINA. Je me suis dit que ce serait pour plus tard !!
Maintenant j’avais envie de jouir.. cela devenait impératif…. Je lui ai dit :
« Viens, allons sur le lit pour que je puisse entrer en toi… »
« Non, me répondit-elle, ce ne serait pas bien… c’est mon lit familial.. ce serait doublement tromper mon mari que de t’y accepter … »
Bon, comme elle voulait ! Nous avions toute la vie devant nous……
Doucement, je l’ai poussée vers un large tabouret qui meublait la salle de bain et je lui ai posé une jambe dessus…. Elle a compris de suite mon intention car elle a ouvert largement sa fourche des cuisses, me dévoilant ainsi bien toute sa chatte luxuriante….. et offrant ainsi son intimité ouverte, à mes regards et … à plus !
A genoux à ses pieds et je me suis mis à lécher toute sa zone pubienne, mordillant son clitoris, lapant ses sécrétions vaginales, rentrant ma langue bien en elle, la tournant, accentuant ces caresses avec mes doigts….. je sentais LINA prête à s’envoler au ciel une nouvelle fois, car elle avait mit sa main sur ma tête comme pour m’empêcher de cesser mon manège.
Je me suis cependant redressé et, malgré certaines dénégations que je sentais de pure forme, j’ai doucement introduit mon sexe en elle, avançant lentement pour ne rien busquer… Je la remplissais bien et, au fur et à mesure de mon intromission, ses muscles vaginaux se sont mis en mouvement, pour mon plus grand plaisir (et le sien probablement aussi !!!)… Je ne sais pas combien de temps nous sommes ainsi resté l’un dans l’autre… j’effectuais des va-et-vient a rythmes variés, entrant plus profondément, ressortant pour mieux encore rentrer… je la sentais toute à moi… son bassin épousait étroitement tous mes mouvements…
Mes mains ne restaient pas inactives et s’occupaient avec une certaine frénésie de sa somptueuse poitrine, la malaxant, jouant avec les pointes, relevant les globes, jouant avec eux… de temps en temps nos bouches se rejoignaient et nos baisers étaient maintenant d’une sensualité folle.
Lorsque pour moi je sentis le moment venir…. Je le luis dit. Elle me cria :
« Non, non, pas en moi s’il te plait…. Sors vite… « pour, peu après dire :
« Oui, reste… je vais jouir avec toi… nous allons partir à deux, ensemble… continue… »
Fort de cette demande, j’ai accéléré mes mouvements et je me suis laissé aller très longuement en elle à longs jets puissants. LINA hurlait de plaisir comme une louve en rut et agitait son bassin pour mieux encore me sentir… ses seins ballottaient, sa tête allait de droite à gauche… elle n’était que jouissance…
Nous avions oublié nos âges pour communier ensemble dans un acte d’amour total….irrémédiable et consenti….
Bien loin de moi toute idée mercantile ou de profit. Ce que je venais de faire là, c’était l’amour à une femme que j’avais désiré … et nous n’avions certes pas terminé.
Nous sommes restés pantelants dans les bras l’un de l’autre, sales de nos propres jouissances mélangées, nos bouches se cherchant toujours pour des étreintes profondes…
Pris d’un besoin pressant d’un pipi, j’ai entraîné LINA vers le w.c et là, je lui ai mis la verge entre les doigts pour qu’elle dirige mon jet.. Elle était interloquée, mais très vite elle a participé à ce qu’elle prenait pour un simple jeu et elle s’est amusée à faire faire des arabesques à mon jet jaune et abondant et odorant, tandis que je continuais à caresser toutes les parties de son corps à portée de ma main
La baignoire-jacuzzi nous tendait les bras…. et c’est vers là que nous avons été enlacés.
A près nos ébats tumultueux, ma compagne et moi, nus tous deux, nous sommes rendus vers le jacuzzi.
Lina semblait rayonner de bonheur et tressautait de joie mal contenue. Sa poitrine volumineuse et un peu tombante ballottait à chacun de ses pas.
Je l’a tenais enlacée contre moi, ma main largement ouverte posée sur sa bonne grosse fesse et je lui prodiguais une caresse de ma spécialité (je vous la recommande !!). elle ne vaut que pour des partenaires un peu boulottes et certes pas pour des adeptes des abdo-fessiers !
Ma main imprime à la surface de la fesse des mouvements doux et circulaires, en malaxant un peu les chairs. Ce mouvement mobilise toute une zone érogène passant par l’œillet anal, le scrotum et le vagin sans oublier le bouton d’amour … Bien souvent, la partenaire ne se rend pas compte que c’est ce simple mouvement sur sa fesse qui mobilise et excite tous ses sens. Ce sont ses propres rotondités qui, mises en mouvement, procurent un réel massage érotique…
Lina semblait apprécier car elle jouaient avec ma verge semi érigée, la caressant, la faisant tourner entre ses doigts, quittant pour caresser ma bourse, revenant à mon sexe.
Les quelques mètres qui nous séparaient du jacuzzi furent longs à parcourir car ma délicieuse compagne, tout à fait envoûtée s’était emparée de ma bouche et prolongeait un long baiser tout en continuant à s’occuper de ma verge comme d’un précieux oiseau blessé. Moi je continuais mon mouvement de légère agitation de sa fesse tout en, de l’autre main, m’occuper de sa poitrine. Curieux, allez-vous me dire, mais je préfère une somptueuse poitrine un peu tombante à des petits nénés de gamine. Au moins ici il y a à prendre en main….et l’on peut malaxer, palper, secouer gentiment, jouer avec les bouts, les tirailler sans entendre des glapissements du genre de « aïe.. tu me fais mal ». La somptuosité prime sur la consistance !
Tout cela m’a fait solidement rebander !
Et c’est ainsi, queue dressée, main sur la fesse de Lina, lui caressant la poitrine que j’ai enjambé le bord du jacuzzi non encore bouillonnant. Lina m’a suivi mais comme j’étais déjà dans l’eau, lorsque qu’elle a ouvert ses cuisses pour rentrer une jambe dans l’eau, j’ai eu sa chatte à portée de bouche et, la maintenant ainsi en bonne position, je me suis mis à saliver sur ce sexe charnu et poilu, à mordiller son bouton, à y enfoncer ma langue et à le manger avec fougue …
C’était un régal bien qu’il y avait là le mélange de nos deux semences. J’ai déjà remarquer que le minou des femmes matures est un délicieux réceptacle d’amour qui génère des odeurs et un goût bien plus agréable que celui des petites minettes un peu mijaurées. Ici on est dans la somptuosité, dans la grandeur, dans la magnificence.. tout est plus vaste, tout se laisse plus aller …. L’amour est l’objectif et comme à l’âge de Lina, il passe rarement, il faut en profiter !!
Sa chatte était abandonnée totalement à ma bouche et… je ne m’en privais pas.
Dans sa position, ses seins pendaient vers moi et je me suis empressé de m’en occuper comme si c’était ma seule préoccupation du moment… Elle aimait tout cela car, bien vite, je l’ai senti jouir et son humidité devenue soudainement plus abondante recouvrir mon menton.
J’ai profité de son abandon total pour caresser sa raie fessière et m’introduire un peu, d’un doigt, dans son œillet déjà bien préparé. Elle se laissait faire, restant même dans cette position inconfortable, cuisse ouverte sur le bord du jacuzzi, pour faciliter la caresse qu’elle avait refusé il y a peu.
Elle-même bougeait son bassin comme si elle voulait s’asseoir sur mon doigt, le mieux faire pénétrer en elle… plaisir nouveau car elle me murmura : « C’est la première fois que l’on me touche là…. J’aime… tu me fais du bien… oui. »
Elle supporta comme cela mon majeur bien en elle, lui massant le conduit anal, y tournant et retournant… tandis que ma bouche continuait à manger sa chatte….
Nous avons presque glissé dans le jacuzzi… je veillais à ce que ma compagne ne se fasse pas mal, car à son âge on n’a plus la souplesse de 20 ans et je me voyais mal expliqué au mari que sa femme s’était cassé la jambe pendant que je lui dévorais la chatte !!
Nous n’avions pas encore mis le système bouillonnant en marge et dans l’eau calme, le gland de mon sexe bandé dépassait de l’eau….comme un petit périscope de sous marin. Lina s’en empara de sa bouche mutine et commença une douce fellation très limitée à mon gland. Elle le tournait sous sa langue, le léchait, le mordillait tandis que de sa main, sous l’eau, elle masturbait la hampe au même rythme… c’était divin !
Mes mains s’aventuraient un peu partout sur elle et en elle et, tandis que je luis caressais le minou sous l’eau, j’ai senti l’arrivée d’un liquide plus chaud … ne voilà-t-il pas que Lina faisait pipi !! Là, elle m’étonnait !!
Je lui ai dit, sans respect : Eh bien, ma salope, voilà qu’on fait pipi sur mes doigts maintenant !!
Elle n’a rien répondu mais avec plein d’éclats lumineux dans les yeux, elle a quitté ma verge et sa bouche à rejoint la mienne comme pour demander pardon ou pour rire ensemble !!
Finalement, nous avons mis le bain bouillonnant en marche et nous avons continué à nous caresser sans fin, nos bouches, nos mains, nos sexes, nos corps se joignant en diverses étreintes…
Lina s’est coulée très contre moi et presque dans un murmure elle m’a dit, un peu gênée… Mon chéri, viens encore en moi …. Vite… j’ai envie de bien te sentir….
A vos ordres, madame !!! Lina est venue d’elle-même s’empaler sur ma verge tendue et c’est elle qui a choisi le rythme de sa jouissance, faisant clapoter l’eau par les larges mouvements de son bassin. J’étais resté assis dans le jacuzzi et elle me faisait ainsi face, ce qui m’a permis de lui baisotter les seins ou la bouche, de jouer avec ses bouts bien développés, de les tirailler, pendant qu’elle cherchait sa nième jouissance sur moi …. Cette chevauchée devint une cavalcade au fur et à mesure de l’augmentation de l’approche de son plaisir. Comme elle avait le bassin bien développé (eh ! oui, l’âge et les maternités n’arrangent rien à la ligne !!) l’eau du jacuzzi était bien agitée et on risquait le débordement ….
Finalement, y prenant moi-même un plaisir réel que je ne soupçonnais pas, j’ai aussi pris un mouvement de va-et-vient et Lina, me sentant venir, à joui dans un long feulement de tigresse. Le corps arqué en arrière, échevelée, la bouche ouverte, les seins pendants… elle était belle d’amour.
Notre jouissance a été longue ….. Lina m’a dit à l’oreille : « tu es un magicien… je n’ai jamais autant et aussi bien jouis qu’avec toi… tu es formidable !! Merci mon chéri… je t’adore. »
Cela fait plaisir à entendre !
Repus d’amour nous avons fait un long break, calme dans le jacuzzi dont nous avions arrêté le moteur… Rien que des caresses furtives de presque vieux amants, des petits bécots doux comme si nos étions des amants du même âge… que tout cela était bon ! Nos mains erraient sur nous comme pour encore mieux découvrir les secrets de nos corps…
Finalement, nous nous sommes levés, et nous nous sommes essuyés l’un l’autre avec un tas de petites privautés câlines…. Et puis, comme si c’était devenu naturel, Lina m’a entraîné vers la chambre conjugale et s’est étendue sur le lit, avec un seul mot : VIENS.
Là, à nouveau, nos corps se sont rejoints et notre désir l’un de l’autre est revenu avec v******e… nous devions à nouveau jouir, nous devions à nouveau profiter de nos sexes….
Presque sans la forcer, j’ai convaincu ma douce maîtresse de se mettre à quatre pattes sur le lit…. Cette vue était d’un érotisme fou…. Ses seins ballottaient sous-elle, sa raie fessière était largement ouverte et dans ses poils abondants de partout, son œillet frémissait comme s’il m’attendait…. Je l’ai d’abord un peu gâté de la langue pour ne pas effaroucher ma compagne. Celle-ci avait mis la main à sa chatte et se masturbait avec frénésie… il me restait à doucement m’introduire dans son conduit encore vierge…
Ma verge glissa sur le bord et doucement se mit à rentrer, centimètre après centimètre dans son fourreau serré…. Lina se trémoussait sous moi et tout son corps chavirait. Ses cris devaient ameuter tout le quartier !!!
En plus de mots sans suite ni sens, je l’entendais me dire … « Oui, oui, rentre là…. C’est pour toi seul…. Doucement, ne me fais pas mal …. »
Je m’étais solidement agrippé à ses larges hanches et, bien ancrée en elle, j’y allais d’un pilonnement profond, allant et venant dans ses entrailles ….. c’était dantesque de voir ce bon gros corps sous moi, agités de tous les mouvements de l’amour et moi, enfoui au plus profond d’elle.
Ses mains continuaient à fourrager entre ses cuisses et devaient tirer de sa chatte des orgasmes en série …. Finalement, j’ai lâché toute ma semence au plus profond d’elle, sans prendre aucune précaution… C’est à longs jets que j’ai jouis….
Ouf ! on est retombé sur le lit conjugal, repu d’amour, nos corps recouvert de nos transpirations et de nos autres secrétions…… un peu haletants ….
Lina est venue se blottir nue mes bras comme une amante adorée et à recouvert mon visage de petits bisous entrecoupés de merci… merci … ! et puis elle s’est assoupie un bref instant, épuisée….
A son réveil, vu l’heure avancée, je lui ai proposé de faire une rapide toilette et de pouvoir partir… elle semblait déçue mais comprenait bien
Au moment où nos bouches se sont jointe pour notre long baiser de départ, elle m’a dit à l’oreille : « Que puis-je te donner ? »
Je me suis souvenu alors qu’effectivement, lors de notre prise de rendez-vous, il avait été question d’une rencontre vénale dont les conditions n’avaient pas été précisées.
Ma réponse à été claire : Tu t’es donnée à moi… tu m’a abandonné ton corps… c’est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire… je ne veux rien d’autre. »
Elle m’a alors donné un nouveau baiser d’amour où j’ai senti qu’elle avait été heureuse.
Nous nous sommes revus souvent et chaque fois pour des moments d’intense sexualité. J’y ai pris goût à ma quinquagénaire !!
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