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La consulation

La consulation



1976. J’habitais un petit village du style ou tout le monde se connait ou plutôt, tout le monde se voit.

Ce jour là, pour la énième fois, mon freesbee atterri dans le jardin du voisin, docteur de son état et comme à chaque fois, j’enjambe les fils de fer barbelés qui faisaient office de clôture et là, je me casse la figure côté voisin en m’éraflant l’intérieur de la cuisse. Je râle, plus par dépit que de douleur et en me relevant, je vois le voisin, André, arriver vers moi.

Je pensais me faire engueuler, bien qu’il avait l’habitude, depuis son cabinet de consultation, de me voir dans son jardin pour venir récupérer ballon ou autre mais ce jour là, il se prélassait au soleil en slip de bain et t-shirt quand il m’a entendu tomber et rouspéter.
Il arrive donc, me demande si ça va et voyant l’estafilade, me dis de le suivre pour qu’il nettoie un peu ce bobo.

Je le suis, il me fait assoir sur sa table de consultation, récupère le nécessaire de soin et s’assoit sur un tabouret face à moi. Tout en désinfectant ma petite plaie, il me questionne très rapidement sur ma mère, me demande si elle est à la maison, si elle profite du soleil aujourd’hui, si elle est en maillot, avec un haut ou les seins nus et moi je suis très surpris de ces questions mais je ne sais toujours pas pourquoi mais mon sexe se met à durcir dans mon short, lui continuait à me masser, caresser l’intérieur de ma cuisse, effleurer mon sexe tendu maintenant tout en me parlant de ma mère.

Ce que j’ai compris plus tard, c’était l’impact qu’elle avait sur la gente masculine. Pas tout à fait la quarantaine à cette époque là, c’était une femme très féminine, brune, pas très grande mais pulpeuse qui osait les décolletés, les jupes, la lingerie, les talons, bref, elle ne laissait pas indifférent. Dans ce village, il y avait deux médecins et André, mon voisin n’avait pas la chance de « s’occuper » de ma mère. Elle le faisait fantasmer et il avait bien l’intention de passer par moi assouvir ses désirs.

Nous étions donc là, assit face à face, moi dans un état d’excitation que je ne connaissais pas et lui, tout aussi excité que moi. Sa voix tranquille me berçait et m’a délicatement baissé mon short pour libérer mon sexe puis a baissé son maillot, me dévoilant un engin énorme comparé au mien. Il me disait que c’était naturel d’être excité, de bander et de se caresser pour se soulager(je le savais déjà depuis peu). Tout en me demandant si j’avais déjà vu les seins de ma mère, si je l’avais surprise nue ou entendu faire l’amour, il me caressait et guidait également ma main sur son engin dur comme du bois et d’une odeur enivrante.

Tout ça m’excitait énormément, j’étais bien, c’était bon et tout naturellement, j’ai fini par éjaculer. André lui, guidait ma main sur sa queue, l’autre sur ses couilles délicatement jusque, à son tour, il jouisse d’une purée qui n’en finissait pas.

Ca s’est terminé naturellement, moi j’étais bien, lui m’a dit : »Au revoir Christophe » et je suis sorti sans qu’il sache si j’allais à nouveau égarer quelque chose dans son jardin…

Seneo64.