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Week-end de baise

Week-end de baise



J’avais rencontré Philippe sur un site gay. Nous avions fait 3 plans ensemble, où je m’étais bien fait baiser. Philippe est plutôt bien monté, en tout cas son pseudo de TBM75 n’était pas usurpé. Un bon 19, et surtout une queue très large. Un peu moins que celle de JM, aux circonférences hors normes ! Je n’en ai jamais vu d’aussi large depuis. Impossible de mettre le gland en entier dans ma bouche. Heureusement que mon cul est plus gourmand, et qu’il a réussi à l’ingurgiter jusqu’à la garde. Mais la bite de Philippe reste une belle bête de compétition. Et le bougre sait bien s’en servir. Un vrai mâle dominant qui sait vous mettre au service de son chibre, très endurant, et sodomisateur de premier ordre. Bref, nos trois plans furent excellents, et je m’y fis démonter dans les règles de l’art.
Profitant d’un déplacement professionnel de ma nana pour quelques jours, je reprends contact avec lui pour une nouvelle baise, mon cul frétillant d’avance de ce qu’il savait déjà. Mais P me propose plutôt de m’emmener en week-end. Pas vraiment un week-end touristique, mais un week-end de baise. Départ en voiture ce vendredi soir de Paris, direction un hôtel Angers, retour dimanche. Techniquement je peux, étant célibataire jusqu’à lundi. Mais j’hésite. J’ai la trouille. Même si j’ai senti assez vite que je pouvais faire confiance à P, faire un plan une heure l’après-midi et partir en week-end, ça fait quand même une sacrée différence. J’ai besoin d’en savoir un peu plus, mais il préfère que je garde la surprise. Ce que je peux, et dois savoir, c’est que ces 2 jours seront dédiés à le satisfaire. Lui, et peut être un ami qui nous rejoindrait samedi. De la baise, de la baise, de la baise, mais bien sûr, rien que je ne veuille pas. Même si devrais être un bon passif bien obéissant. A la lecture de ses messages, ma queue durcit, l’excitation monte. J’hésite encore. Mais déjà mes doigts tapent sur le clavier, mus par ma libido plus que part la raison, « ok, ça marche ». Je dois être vendredi à 17h en bas de chez lui. Week-end validé…

A l’heure dite, je suis en bas de chez lui, un petit sac de voyage à la main. Il fait bon en ce début du mois de mai. Comme pour un week-end classique, j’ai regardé la météo : soleil à Angers. Je ne sais pas si je le verrais beaucoup, mais je prends ça comme une bonne nouvelle. Soudain, j’entends un klaxon. Une volvo breack qui vient de sortir du parking de l’immeuble de P semble m’appeler. Je m’y précipite, avec peut-être un peu plus d’enthousiasme que j’aurais dû en montrer. Ce qui n’échappe pas à P.
« Ben dis donc, un vrai p’tit chien qui court vers son maitre ! Ca promet un bon week-end ça ! ».
Je rougis, souris, et monte à son invitation dans la voiture.
« Tu as apporté ton test ? »
Je lui tend le papier qui prouve ma séronégativité. Il fait de même.
« Parfait ! On va vraiment pouvoir s’amuser à fond ! ».
Il enclenche la première et prend la direction du périphérique. Je remarque alors que l’arrière de la voiture est positionné en mode break. Le volume dégagé est assez important, comme l’arrière d’une petit camionnette. Au sol, une couverture y est déposé.
« C’est pratique un break, on peut faire plein de choses dedans…au cas où on en aurait besoin ! »
Je ris, et confirme, en nuançant « Ca veut dire que je vais peut-être visiter l’arrière ? »
« C’est pas impossible, on verra… »
Il est habillé d’un pantalon de toile beige, assez léger, et d’une chemisette. Pour ma part, je porte un jean et un tee-shirt.
« Prêt pour ces quelques jours ? ».
« Oui, bien sûr », je souris et lui jette un œil. Je le vois me reluquer.
« T’es un peu trop habillé, mais on corrigera ça plus tard. Tu t’es rasé les jambes comme je te l’ai demandé ? ». J’acquiesce. « C’est bien, bon garçon ça… Tu te demandes ce qui t’attend, hein ? A part l’arrière du break »
« Oui, j’avoue… »
« Ca t’excite ? »
« Et oui, j’avoue aussi… », je rougis un peu de nouveau.
Il rit, « je m’en doutais ! Une belle petite salope comme toi… Tu vas voir, on va bien s’amuser, tu vas te faire baiser comme jamais, j’espère que tu es en forme ».
Il jette un œil à mon entrejambe. Ma queue qui durcit sous mon jean doit être légèrement visible. Il ajoute « A ce que je vois, oui, tu es en forme ! Vas-y, frotte ta queue à travers ton jean… Ecarte bien les jambes et frotte toi, comme une salope en chaleur… ».
Ca démarre donc très fort ! Je m’exécute et commence à frotter ma main sur ma bite.
« Enlève tes chaussures et tes chaussettes. Tu pourras poser tes pieds au-dessus de la boite à gants, tu seras plus à l’aise… ». Et surtout plus chienne, et plus exposé dans cette posture indécente aux regards des autres automobilistes.
« Voilà c’est bien… Et tu sais comment j’aime une petite salope, offerte et pieds nus. »
Je me frotte comme ça quelques minutes, je sens le plaisir commencer à me chauffer le bas du ventre, et instinctivement je cambre mes reins.
P se met à rire en me voyant : « T’es chaude dis donc ! Moi aussi tu commences à me chauffer… Viens me palper un peu la queue ».
Je me rassois et viens poser ma main sur la bosse de son pantalon de toile. Je sens tout de suite le contact avec son chibre.
« Je n’ai pas de slip. Pour te faciliter la tâche. Je te demanderais la même chose tout à l’heure. Pas de dessous ce week-end ».
Je m’applique à pétrir et malaxer sa bite à travers la fine étoffe du pantalon. Elle se met à vraiment durcir, la bosse est impressionnante.
Il m’encourage « ouvre la braguette et sort la… ». Je descends précautionneusement la fermeture éclair et délivre le gland bien gonflé qui jaillit de sa cage. Un filet de mouille a commencé à se former. Je sers sa queue, et le liquide coule un peu plus.
« Prend ma mouille sur ton doigt et bouffe là… ». Je ramasse tout ce que je peux, un filet se forme entre le bout de son gland et mon doigt que je porte à ma bouche. La saveur de ce délicieux nectar m’envahit.
« Penche toi et lèche ». Il dégage son bras droit du volant pour me laisser passer, et je plonge vers sa bite comme une mouche sur du miel ! Je commence par donner des petits coups de langue pour laper le reste de mouille, puis me met à plaquer ma langue sur son gland en la faisant tourner autour. Je sais que voitures qui nous doublent, et surtout les camions que nous doublons peuvent me voir à l’ouvrage… P m’arrête : « Tu m’excites beaucoup trop !! On va s’arrêter à la prochaine aire, j’en peux plus… ».
Moi, qui commence à m’inquiéter : « C’est un peu risqué non ? Il fait encore bien jour en plus ».
Il me répond : « Le risque fait partie du jeu. C’est excitant, non ? »
« Oui, c’est vrai, mais… »
« T’inquiètes pas… ».
Une aire d’autoroute se présente à nous, il s’y engage. Nous passons les pompes à essence, puis un premier parking quasi plein devant une grande boutique, pour aller se garer dans un second parking un peu plus loin, avec moins de voitures stationnées, juste avant le parking des camions.
P coupe le contact et me dit : « passe à l’arrière et fous toi à poil ! ».
Mon cœur se met à battre plus fort. « T’es sûr ? ».
« Certain » me répond -il sans appel. Je sors de la voiture et ouvre la portière arrière, et entre dans la partie break. Je suis obligé de m’asseoir pour enlever mon jean. Je regarde autour de moi, anxieux. D’un côté, à trois places d’écart, il y a une voiture stationnée et vide. De l’autre côté, la vue est protégée par la remorque d’un camion garé à quelques mètres. J’enlève mon tee-shirt. Je suis en boxer short, et j’hésite avant de l’enlever.
P qui m’observait depuis la place du conducteur descend de la voiture, ouvre la porte arrière côté de l’autre voiture garée, et se met devant pour faire écran. « Complètement à poil j’ai dit ». Je finis par enlever mon boxer short. Et me voilà intégralement nu au milieu d’un parking d’autoroute à l’arrière d’une voiture. Il me regarde, et sort son téléphone portable et commence à me filmer sous toutes les coutures. « Très bien tes jambes, bien rasées. Assis toi et écarte les jambes que je vérifie que ton pubis et tes couilles sont bien rasés aussi ». Il me contemple, satisfait. Je suis glabre du pubis aux pieds. « Et maintenant met toi à 4 pattes que je vérifie ton trou ». Je me positionne. « Cambre bien, et écarte les pattes ». Je sens ma queue jusqu’à présent demi molle se mettre à durcir devant l’indécence de la situation, et de ma position. « Parfait. Tourne toi vers moi ». Je me tourne et voit qu’il est en train de sortir sa grosse bite de son fute. « Suce moi ». A genoux, je m’approche et commence à téter le gland de nouveau brillant de mouille. Mais il m’agrippe la tête et force ma bouche en m’enfonçant sa queue. « Pas le temps de faire dans la dentelle, suce à fond ». Il m’impose son rythme assez soutenu. Je m’étouffe un peu, n’ayant jamais été très doué pour les gorges profondes, mais il est obligé de s’interrompre assez vite. Les occupants de la voiture garée derrière regagnent leur véhicule. C’est une famille, avec 3 enfants. Il range sa teub, et me dit de m’allonger. Il referme la portière. Sort son téléphone et fait semblant de consulter ses mails ou internet. De là où je suis je ne peux pas voir. J’entends juste des voix, les portières claquer, et un moteur démarrer. Il rouvre la portière : « Ouvre le sac bleu là. Prend le short en jean et enfile le. Et remet ton tee-shirt. On va aller prendre un café ».
Soulagé de pouvoir me rhabiller, même si la situation m’excitait beaucoup, j’ouvre le sac. Mon soulagement s’arrête net dès que je vois le short en jean : vraiment très très court ! « Je peux pas mettre ça !… ».
« Si tu peux. Et surtout tu dois. Tu vas être hyper sexy la dedans. Et pas de boxer dessous ! ».
J’enfile le short en jean et le boutonne. Bon point, il comprime bien ma queue. Une érection devrait ne pas trop se voir. Par contre, il s’arrête juste sous mes fesses. J’enfile le tee shirt, et sort de la voiture.
« C’est vraiment très court… »
« C’est parfait ! Une vraie tenue de pétasse aguicheuse ! Penche toi en avant pour voir »
Je me penche, et je sens le tissu se tendre et me rentrer dans la raie, et surtout dévoiler le bas de mon cul. « Superbe !! Attend, je prends une photo. Penche toi encore ! ».
Je me remets en position. « Cambre toi plus ! Voilà, parfait. Met toi à 4 pattes par terre maintenant ». Je regarde autour de moi. Je ne vois personne. Je me mets à 4 pattes sur le bitume chaud, la pointe de mes pieds bien plantée dans le sol, pour bien laisser visible le dessous de mes pieds. Ca m’a toujours excité, je ne sais pas pourquoi. Là, pendant qu’il prend des photos, je vois passer une voiture à quelques mètres, et j’ai l’impression que le conducteur m’a vu. Il ralentit et me regarde. Je me redresse, la voiture s’engage sur l’accès à l’autoroute.
« Je crois que le mec m’a vu ! ».
« On s’en fout ! Tu l’auras surement excité ! Allez viens, on y va ».
J’ouvre la portière passager pour mettre mes chaussures, mais P m’arrête. « Non, pas de chaussures. Tu vas rester pieds nus pour cette petite ballade. Ca attirera encore plus les regards sur toi. Et ça affirmera ton côté de petite soumise… Fais pas cette tête-là, je sais que ça t’excite ! ».
Il a vu juste. Ma queue se remet à gonfler, et je m’aperçois alors que j’avais tort : la forme qui se créée sous le short en jean est assez explicite. Il va falloir que je me concentre pour ne pas bander.
Les quelques mètres que nous arpentons pour accéder jusqu’à la boutique et l’anxiété qui monte, suffisent à me faire assez débander. Se succède sous mes pieds le bitume chaud au carrelage froid. Nous entrons dans la boutique, et allons du côté des rayons d’alimentation. Je sens les regards se poser sur moi. Certain étonnés, d’autres plutôt railleurs. Seul un homme dans la soixantaine, un peu gros, semble apprécier ce qu’il voit. Il mate mon cul, et mes pieds nus. Il se met à nous suivre, un peu en arrière.
P prend une bouteille d’eau, et devant le rayon des biscuits, il me demande de prendre un paquet, celui qui est tout en bas évidemment. Et interdiction de m’accroupir, je dois me pencher en avant pour aller le récupérer… Je sens le tissu se tendre dans ma raie, et mes fesses se dévoiler… Je balance entre peur et excitation. Le gros me reluque autant qu’il peut, plus ou moins discrètement. P le voit, et me demande de répéter plusieurs fois l’opération dans différents rayons peu fréquentés. Mon excitation prend le dessus sur la trouille. Je me remets à bander. Je tente de cacher la protubérance qui se forme en tenant le paquet de Granola devant mon entre jambe. Mais P s’en rend compte et me le prend des mains. Je dois donc avancer avec lui jusqu’à la caisse pour payer, mon érection visible pour ceux qui y prêteraient attention. La caissière me jette un sale œil. Possible qu’elle ait remarqué notre petit manège. Je ne sais pas. P paye, je pense qu’on se dirige vers la sortie mais en réalité non. P met les courses dans son sac, et me dit :
« On va aller faire un petit tour aux toilettes, qu’est-ce que t’en penses ? »
« Heu, je ne sais pas… T’as besoin d’y aller ? »
« Je pense qu’on a besoin d’y aller tous les deux ». Et il m’adresse un clin d’œil en guise de conclusion.
On traverse le hall des distributeurs de café, avec le super marché à gauche, et un petit restaurant à droite, en direction des toilettes. Le gros homme nous suit des yeux. Il hésite à nous suivre, et finit par nous emboîter le pas.
Je me retrouve dans les toilettes. P m’invite à le suivre vers les pissotières. Je le suis. Il s’installe devant un urinoir, me montre celui du fond, à une place du sien. Je m’y avance et me retrouve devant l’urinoir, dans mon short bien trop court, mes pieds nus baignant dans un mélange de carrelage froid et de liquide indéterminé. P sort sa queue et commence à pisser. Le gros homme qui nous suit depuis le début de mon exhibition s’avance et vient occuper la place entre P et moi. Il regarde autour de lui, descend la fermeture éclair de son pantalon en toile, et sort sa queue. Mais pas pour pisser. Elle est raide, petite mais râblée, et bien rouge. Il me jette un œil, comme pour m’inviter à m’occuper de lui. Je regarde P qui me fait un signe de la tête qui signifie clairement « vas-y ». J’avance ma main vers cette queue gonflée, la saisit doucement, palpe sa raideur, et commence à la branler doucement. Je vois un sourire se dessiner sur le visage de P. Qui surveille malgré tout les alentours. Ca me rassure. Je tire sur la queue de l’homme dégageant son gland dodu et brillant. Il gémit doucement en fermant les yeux. Visiblement, je lui fais du bien. Après l’appréhension du début, la situation m’excite. Je commence à le branler. Il ouvre les yeux et regarde ma main aller et venir sur son chibre. Doucement. Je vois un filet de mouille se former au bout de son gland. Il aime ce que lui fais. J’accélère un peu le mouvement, il gémit de plus belle. De mon autre main, je dégage ses couilles de son slip et les malaxe entre mes doigts. P continue de faire semblant de pisser, sans perdre une miette du spectacle. Je vois sa queue grossir à vue d’œil. Il commence à s’astiquer. Autour de nous, des hommes entrent et sortent, on est loin d’être seuls. Mais installés au fond des toilettes, on est malgré tout un peu à l’écart. Philippe fait comme une sorte d’écran sur la branlette que je prodigue à mon inconnu. Mon gros homme se laisse aller au plaisir que je lui procure. Je sens son corps trembler, et soudain il gicle sans prévenir, en étouffant un râle. Il gicle une première salve qui atterrit sur la céramique de la pissotière, puis une seconde qui finit sa course sur ma main remontée sur son gland, et sur mon bras qui malaxait ses couilles. Les suivantes aussi. C’est un gros gicleur. Il déverse une belle quantité de sperme, j’en ai jusqu’au coude. Il rouvre les yeux, remballe son attirail, et s’en va précipitamment sans même me jeter un coup d’œil. Ma main et mon bras sont couverts de sa semence. P semble ravi, et moi je ne sais pas quoi faire ! Il profite d’un petit moment d’accalmi de va et vient pour ouvrir la porte d’un wc fermé à proximité, et m’y entraine avec lui. Il referme derrière nous, et me regarde.
« T’as aimé branler le monsieur ? »
« Oui… Mais faut que je m’enlève tout ça ». Je montre ma main et mon bras.
« Avant je veux que tu le goutes… »
Je regarde P, sans savoir s’il plaisante ou pas… Mais je réalise à son regard qu’il est sérieux. Alors, j’avance ma main vers ma bouche, et lèche un peu de sperme. Je sens le gout âcre et salé sur ma langue.
« Tu aimes ? »
Je fais signe de la tête que oui. Et c’est vrai, j’aime, et je suis très excité. Je sens ma queue tendue dans mon short en jean.
« T’es vraiment une belle salope » me chuchote t’il. Il prend ma main, et l’essuie sur mon visage. Je sens le foutre venir couler et se coller sur ma joue. Il me regarde en souriant. « Ca te va bien le sperme sur la gueule… Essuie le reste avec ton short ». Je fis ce qu’il me dit, maculant de semence le seul habit qui devra tout à l’heure couvrir mon cul…
Alors P sort sa queue, en érection complète.
« A poil, et monte sur les chiottes, qu’on voit pas tes jambes sous la porte, et suce moi. »
J’enlève le bas et mon tee shirt. Je ne sais pas quoi faire de mes fringues. P me le prend des mains et les met par terre, dans la crasse des toilettes. Je monte et pose mes pieds sur les bords des wc assez sales. Ce qui m’excite au plus haut point. Je m’accroupis pour être à la hauteur de sa bite. La position est assez inconfortable, mais P s’en fout. Il m’engouffre sa queue dans la bouche, et je suis obligé de suivre son rythme assez soutenu. Je le pompe, et me délecte, à la fois excité et la peur au ventre. Il me baise littéralement la bouche ! Je ne peux pas empêcher les bruits de gorges que je suis obligé de lâcher.
« Tourne toi ! ».
Toujours accroupi sur le bord des chiottes, je me tourne, en présentant ma croupe, assez conscient de ce qui allait forcément se passer. Je l’entend cracher, puis sent ses doigts mouillés venir frotter mon rondelle. Son gland vient se caler contre mon anus, avant de forcer l’entrée. Je retiens tant bien que mal un gémissement, le manque de préparation de mon trou se fait sentir, ça brule. P le sent bien, alors il s’enfonce doucement, jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mon périnée. Bien calé, bien au fond, il ne bouge plus. Comme une bonne chienne, je contracte ma rondelle par intermittence, pour comprimer sa queue.
« C’est bien ça, tu sais t’y prendre… ».
Il ressort sa queue presque entièrement, crache dessus, avant de le renfoncer de nouveau. Ca coulisse mieux. Alors il se met à renouveler le mouvement, un peu plus rapidement, me chauffant les entrailles et m’ouvrant un peu plus à chaque passage. Mais soudain, quelqu’un essaie d’ouvrir la porte. Bien calé au fond de mon cul, il s’immobilise. On entend la porte d’à côté s’ouvrir puis se refermer. Quelqu’un est juste à côté de nous. P approche sa tête près de mon oreille, et me chuchote :
« Bouge pas, contracte juste ton trou de salope… ». Je masse sa queue à l’intérieur de mon cul en contractant, relâchant, contractant.
« J’adore ça… », me susurre-t-il à l’oreille. A côté, on entend la chasse se tirer, puis l’homme sortir. P n’attend pas plus longtemps pour se mettre brutalement à me pilonner ! Je suis obligé de prendre appui sur le mur en face de moi pour garder mon équilibre. Je sens le plaisir monter en moi comme une vague brûlante. Je regarde entre mes jambes et voit ma bite molle (comme toujours quand je me fais enculer) se balancer au rythme de ses coup de boutoirs, et un filet de mouille couler de mon gland.
Mais aussi soudainement qu’il s’est mis à me défoncer, il s’arrête, et ressort sa queue.
« Retourne toi ». Je lui fais face, et il voit mon visage surpris.
« T’es déçu hein ? Tu croyais que j’allais te remplir ? ». Je fais oui de la tête. C’est vrai que je suis déçu. « Je veux garder mon foutre pour tout à l’heure. T’inquiètes pas, t’auras ta récompense ». Son gland est à quelques centimètres de mon visage. Je ne peux pas résister, la tentation est trop forte, et je le prend en bouche ! Cette fois c’est lui qui est surpris ! Je tête goulument, j’aspire sa queue, je ventouse jusqu’à ses couilles ! Je suis dans un état d’excitation absolu ! Sucer une queue qui sort de ma chatte, je ne l’avais encore jamais fait, c’était jusque-là resté au stade du fantasme. Je ne veux pas laisser partir sa bite, il est obligé de se dégager. Elle ruisselle de bave devant mon nez. P sort son appareil photo et immortalise cet instant : moi, rouge d’excitation, du foutre d’un inconnu sur la joue, devant sa queue baveuse, accroupi à poil sur un chiotte.
« Sacré tableau ! Rhabille toi on se casse. On va finir par s’attirer des emmerdes si on reste trop longtemps ».
Je descends des chiottes les jambes endoloris, ramasse mon short en jean maculé de traces de sperme, et de crasse du sol. Je renfile mon tee shirt. P me regarde :
« On dirait une vraie pute d’autoroute ! Allez, sort en premier. Et interdit de te laver le visage. Même si le jus a séché, ça te laisse de jolies traces. On va les garder jusqu’à la voiture. »
Je sors, il referme derrière moi. Je me retrouve seul, au milieu d’autres hommes qui entrent et qui sortent. Les regards se posent sur moi. Je m’avance, toujours pieds nus, vers un lavabo et me lave les mains. Après un temps qui me semble infiniment long, P sort à son tour et me rejoins au lavabo. Puis nous sortons des toilettes.
Il y a encore le chemin jusqu’à la voiture à endurer, avant de pouvoir me changer et m’abriter. Mais P a décidé de ne pas me le simplifier. Il s’arrête à une des machines à café automatique. Pendant que le café se prépare, il veut faire la causette.
« C’est la première fois que tu suces une queue qui te sort du cul ? »
Je manque de m’étouffer ! Je regarde autour de moi, il y a des gens partout ! Et il me semble qu’il a parlé beaucoup trop fort… Je baisse le regard, et contemple mes pieds nus et sales, affreusement gêné et honteux.
« Répond moi ».
« Oui… »
« Tu as aimé ? »
J’acquiesce de la tête.
« J’ai pas entendu ! »
Je le regarde, et croise son regard insistant. « Oui, j’ai aimé ».
« Tu as aimé quoi ? Dis le »
« J’ai aimé sucer une queue qui sort de mon cul… »
A côté de nous, un couple s’éloigne en nous fusillant du regard.
« Tu sais que c’est vraiment un truc de salope ça ? »
« Oui, je sais »
« T’inquiète pas, si t’aime ça, on jouera encore. »
Il finit son café. Je le suis à travers le hall, je sens ma queue qui se dresse de nouveau, sûrement trop visible sous le tissu.
Enfin, on arrive à la voiture et je peux y monter.
« Prochaine étape de baise, à l’hôtel ! Je sens qu’on va passer un très bon week-end ! ».
Il démarre, et nous quittons l’air d’autoroute.

A suivre.

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