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Un mois sans mon Maître

Un mois sans mon Maître



Pendant l’été, mon Maître ou moi-même avons voyagé, séparément. La salope que je suis devenue, n’a pas pu le satisfaire. J’ai même été désobéissante, puisque je n’ai pas eu à portée de main, ou plutôt de chatte et de vulve, les outils que mon Maître m’ordonne de porter : la cage pour mon clitoris, Le rose-bud pour ma chatte et la manille pour étirer ma vulve.
D’un autre point de vue, cela m’empêche d’être trop exitée et je garde ma mouille. Pendant ce mois d’abstinence, j’ai quand même acheté une manille. Malheureusement, je n’ai pu la mettre qu’une fois. Elle est légèrement plus petite que celle offerte par mon Maître, et cela me force à plus étirer ma vulve pour pouvoir visser la sécurité sans pincer ma vulve.
Alors que je suis sur le site, je repère le profil d’un beau jeune homme, complètement épilé ou rasé. En bonne sissy, mon clito se tend tout de suite. Je le contacte par messagerie : il est en couple et désire s’initier à la partouze. Il a bien envie de sucer un gros clito, et de se faire pénétrer mais a peur de ne pas être assez excité pour cela. Je le convainc sans trop de difficulté qu’il n’a pas besoin de bander pour se faire sodomiser, et qu’il aura même l’anus plus ouvert s’il n’est pas en érection. Il m’invite chez lui.
Il est seul et très vite, nous nous retrouvons nus. Il caresse mon clito qui durcit, pendant je je lui caresse sa queue : il a du mal à bander. Je commencer à le sucer, et il durcit dans ma bouche. Quelle merveilleuse queue : petit gland, avec une queue en V, dont le diamètre augmente vers la base. J’aimerais l’avoir dans la chatte : ce doit être un plaisir que de sentir sa chatte s’élargir au fur et à mesure de la pénétration. Rien qu’à cette évocation, mon clito se raidit et mes tétons pointent ! Il me fait me relever et titille mon clito, qu’il met en partie dans sa bouche : sa langue de puceau est très caressante. Il pourrait être très doué avec un peu d’expérience. Nous faisons un 69. J’aime avaler son manche, tandis qu’il me bouffe le clito. Il me dit qu’il préfère me lécher, sans que je le suce : la nouveauté l’excite plus. Je décide de le branler pendant qu’il s’occupe de mon clito de petite pute affamée. Il éjacule très vite. J’aime voir son sperme sur son ventre, sentir ce liquide chaud entre mes doigts. Il veut que je le prenne par derrière, mais mon clito vacille. Nous en resterons là…Je rentre, satisfaite de moi : il en sucera d’autres !
Quelques jours plus tard, je contacte mon Maître. La salope de sissy est en manque : aucun outil pour m’encager, me faire étendre la vulve, m’élargir la chatte. Nous prenons rendez-vous pour la mi-août (je vous raconterai cela en temps et en heure). En attendant je dois porter les outils au maximum.
Dès mon retour, je m’attelle à la tâche : je porte la cage, les 2 manilles, le ring autour de la vulve et la boule dans la chatte, ou le rose-bud pendant 5 heures le premier samedi. Bien que j’ai la chatte un peu douloureuse,je remets cela le dimanche et j’en profite pour un rasage presque intégral : torse, ventre, aisselles, jambes, fesses, pubis, clito, vulve. Ma vulve lisse pend plus facilement et retient moins les manilles qui tombent après un moment de suspension. Pour étirer un peu plus la vulve je passe la goupille d’une manille dans le bout de la cage : en bonne chienne, je savoure ce plaisir de l’étirement maîtrisé, d’autant plus excitée que je me sens devenir la parfaite putain que mon Maître veut.
Jusqu’à notre prochaine rencontre, je compte porter chaque jour, en fonction des possibilités un maximum d’instruments pour satisfaire mon Maître. Je pense qu’il sera quand même mécontent. Il le sera d’autant plus que je n’ai pas encore acheté de cage plus petite, malgré ses ordres. Je viens d’en trouver une qui me convient. Je trouve aussi des dessous, des jupes courtes de sissy qui devraient plaire à mon Maître. Malgré cela, je ne pense pas que mes efforts satisferont pleinement mon Maître, et il devrait me fesser fort, avec un paddle, le martinet, voire la cravache. La sissy dévergondée n’attend que cela ; tout comme de pouvoir libérer la mouille que je garde depuis plus d’un mois …

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