Bonjour,
après avoir lu tant d’histoires de première fois sur Xhamster (et pour certaines très excitantes !), je me décide à raconter la mienne, qui n’est pas mal non plus dans son genre, et qui m’a laissé un souvenir impérissable.
J’avais tout juste 16 ans et nous étions partis pendant les vacances d’été avec un groupe d’amis dans un camping d’Ardèche. C’étaient mes premières vacances sans mes parents, et je dois avouer que j’étais vraiment excité à l’idée d’être libre !
Après être descendu du train, avoir rejoint le camping et monté nos tentes, nous nous sommes tranquillement installés, assis sur les petites chaises pliantes qu’un de nous avait ramené, pour y déguster un petit apéro. Bon, déguster je ne sais pas si c’est le mot juste… A cet âge-là, on ne déguste pas vraiment l’alcool, on le boit pour se saouler et rigoler à en tomber par terre. Et autant vous dire que je n’avais pas l’habitude de boire de l’alcool à cette époque-là, vous vous imaginez donc les ravages que quelques verres de vodka ont pu m’occasioner !
La nuit commençait à tomber, et nous étions déjà tous saouls. Cinq marseillais prépubères bourrés, ça fait du bruit ! C’est ce moment-là que choisirent nos voisins pour venir se présenter, et nous demander de nous contenir quelque peu. Il s’agissait d’un couple d’une 40aine d’années, peut-être un peu plus. Lui était français, et vivait en Pologne, où il avait rencontré son épouse, Olga, et où il s’était installé.
Olga était une belle femme, pas un top model, mais une femme bien dans sa tête et bien dans son corps. L’alccol aidant, je ne pouvais m’empêcher de reluquer
ses jolies jambes fines, bien nues dans un petit short qui ne cachait pas grand chose. Je n’étais pas le seul de mes amis à l’avoir remarqué d’ailleurs !
Son tee-shirt sans forme, lui, ne laissait pas entrevoir ses seins, mais je les imaginait quand même bien imposants.
Elle était blonde aux cheveux longs, ses yeux bleus et son sourire me faisaient chavirer. Les 3 semaines déjà passées au soleil du sud de la France lui
avait donné une jolie couleur de peu, presque dorée.
Nous avons donc promis d’essayer de faire moins de bruit à l’avenir, et les avons invité à trinquer avec nous pour céébrer notre arrivée, pour célébrer les vacances. Pas rancunier, le mari, Alain, alla jusqu’à nous proposer de goûter à sa réserve personnelle de vodka, qu’il avait bien évidemment ramenée de Pologne.
Cet alcool me causa un sévère trouble et je ne tardai pas à m’endormir, alors que toute la bande continuait à rigoler et se moquait de moi et de mon « endurance zéro ».
Je me réveillais donc le lendemain matin, nu comme un ver dans ma tente. J’enfilai un caleçon et m’aventurai hors de ma tente. Mon ami Olivier était déjà
debout, et préparait un café bien noir sur le réchaud Butagaz qui trônait sur notre table de camping. La tête encore embuée par les effluves d’alcool, je lui
demandai si la soirée s’était bien terminée, et ce que je faisais à poil dans ma tente ; ce à quoi il répondit en rigolant :
– « Ah mon pauvre, t’en as raté une belle ! La Olga c’est une cochonne, elle nous a montré ses nibards ! Et on t’a foutu à poil pour délirer et surtout pour
la faire délirer », disait-il hilare.
je devenais soudain tout rouge… Auraient-ils osé ou me dit-il cela pour plaisanter ?
– « T’es trop con, tu mens c’est sûr ! genre elle vous a montré ses nèches et elle m’a foutu à poil… Tu me prends vraiment pour un con ! Et elle m’a sucé
aussi non ?
– Non, répondit-il, elle a dit qu’elle aimait pas les petites bites dans ton genre ! »
C’en était déjà trop pour cette matinée, je le laissai et récupérai quelques habits dans ma tente pour aller me doucher, et, je l’espérai, faire passer cette
gueule de bois qui m’habitait.
Les habits en main, je me dirigeai d’un pas plus ou moins sûr vers le coin sanitaire. En chemin, je vis Alain, frais comme un gardon, qui me salua :
– « Alors garçon, tu t’es remis ? Tu étais pas en forme hier soir ! T’as tout raté ! Enfin, presque tout ! »
Et il continua sa route, l’air de rien. Qu’avait-il voulu me dire ? Je priai pour qu’Olivier m’ait menti et que l’allusion de Alain ne concernait en rien
cette fable. Mais le doute s’ancrait en moi de plus en plus profondemment.
Ce qui me faisait le plus mal finalement, c’était cette histoire de « petite bite ». Non pas que je croyais posséder un micro-pénis, loin de là, mais de là à
savoir qu’une femme ait dit ne pas aimer « les petites bites dans mon genre », ça me faisait quelque chose !
Je me douchai longuement sous l’eau froide, ressassant ces pensées dans ma tête, essayant de les évacuer.
J’enfilai mon short de bain, mon tee-shirt et mes claquettes et m’avançai jusqu’au miroir pour me peigner.
Dans le reflet de la glace, je vis entrer Olga. Il ne manquait plus que ça ! ma gêne était à cet instant au sommet de son paroxysme. Que faire ? Je décidai
d’agir comme si je n’avais pas remarqué sa présence et continuai, le plus naturellement possible, à peigner mes cheveux.
C’était sans compter sur le naturel d’Olga, qui m’aperçut et s’approcha :
– « Mais qui voila ? Notre dormeur d’hier soir ! Elle m’attrapa par les hanches et me donna un baiser sur la joue. La prochaine fois, tu boiras moins, ça
t’apprendra à nous laisser seuls ! Enfin seuls, c’est une façon de parler ! On a bien rigolé quand même ! Et tu nous as bien fait rire aussi ! », me dit-elle en faisant claquer sa main sur mes fesses.
Rouge de honte, je ne savais que répondre.
– « Oui enfin bon, l’essentiel c’est que vous ayez rigolé.
– C’est sûr, me répondit-elle, mais la prochaine fois je préferai que tu sois là aussi, on a même pas pu faire connaissance. C’est dommage, il n’y a presque
que des personnes âgées ici, alors quand on a la chance d’avoir des jeunes pour voisins, j’ai envie d’en profiter ! », me dit-elle avec un grand sourire.
J’espérai juste qu’elle n’en ai tout de même pas trop profité. Ma « petite bite » est susceptible.
– « Alain m’a proposé de vous inviter à prendre l’apéro, toi et tes amis, demain soir. Dis le leur, et faites nous savoir si ça vous tente, ok ? »
J’acceptai et m’en allai rapidement, la honte et la gêne étant définitivement trop forte.
Nous avons passé la journée au bord de la rivière à nous baigner et à bronzer. Enfin je pensais à autre chose !
Nous nous sommes rendus le soir au petit bar du camping, où je suivis les conseils prodigués par Olga, et je ne bus donc pas de trop. Deux verres de pastis seraient suffisants, et même cette petite quantité me fit tourner la tête et me rendit très joyeux !
Je me rappelai alors de l’invitation de nos voisins et en touchaient un mot à mes camarades. Ils jubilaient tout simplement. Et c’est là que tout recommença :
– « A coup sûr elle veut baiser cette pute, elle veut tous nous voir à poil et se faire défoncer par la plus grosse bite du groupe ! »
C’était à celui qui serait le plus vulgaire apparemment, et tous, entre leurs rires gras et pervers, s’en donnaient à coeur joie :
– « Celle là elle veut mon jus sur ses gros seins de chienne ! »
– « Elle va goûter de ma grosse bite dans son cul de pute tu vas voir ! »
– « Non, elle veut que je lui viole la bouche à grands coup de butoir ! »
– « Mes couilles sur son nez ! »
– « Mon foutre dans ses yeux ! »
– « Elle va me lécher le trou du cul comme une salope ! »
Le moment était peut-être mal choisi, mais j’en profitai pour demander confirmation de ce que m’avait dit Olivier le matin-même.
– « Ben ouais c’est vrai ! On lui a parié qu’elle montrerait pas ses nibards, et cette salope elle a pas hésité une seule seconde elle a viré son tee-shirt ! Elle est trop bonne j’te jure !
– Bon ok, mais vous m’avez vraiment foutu à poil devant elle ? demandai-je.
– Ouais pardon, répondit Pierre, on était bourré… je sais que ça se fait pas, mais bon, c’est pas grave non ? »
J’explosai :
– « Comment ça pas grave ?!! Vous me foutez à poil devant n’importe qui et en plus cette pute elle dit que j’ai une petite bite !! Vous êtes des bâtards les
mecs !
Et là Olivier explosa de rire.
– « C’est pas vrai mec ! Elle a pas dit ça du tout, calme toi. Au contraire même. Elle a dit en rigolant que t’étais bien foutu et que ça faisait longtemps qu’elle avait pas vu une jolie jeune bite, disait-il mort de rire, on te l’a dit c’est trop une chienne cette fille ».
j’étais toujours aussi gêné, mais déjà beaucoup plus soulagé et moins complexé !
Bon, elle m’avait vu à poil, mais c’était quand même bien moins pire ! J’oserai au moins la regarder dans les yeux quand elle me parlera.
La soirée continua, animée de vieilles blagues potaches sur Olga ou nos camarades de lycée. J’osai même recommander un verre supplémentaire, dans le vent de l’euphorie et du soulagement.
Le lendemain, je suis parti au village le plus proche avec Pierre, qui était le plus proche de mes amis, pour acheter de quoi manger, mais aussi de quoi
boire. Comme quoi, à cet âge-là, on n’apprend guère de ses erreurs… Nous avions fait un pot-commun et la cagnotte avait atteint les 200 euros. Beaucoup
d’argent pour deux jeunes comme nous, pas habitués à gérer un budget.
Arrivés au supermarché, direction le rayon pâtes et sauces : le plus facile et le plus économique.
Quatres sachets et huit pots plus tard, nous nous sommes rendus au rayon alcool. Le frère de Pierre était barman, et mon ami jouait au connaisseur. je lui laissai donc le choix des bouteilles. Ce bougre nous fit une cargaison de rhum et jus d’orange, « de quoi nous rassasier jusqu’à plus soif », disait-il.
Notre bande, restée au camping à discuter, fit preuve d’un grand enthousiasme à nous voir arriver les mains pleines de tant de réjouissances !
Aussitôt installés, une bouteille fut ouverte et terminée en quelques minutes. il était encore tôt, pas plus de 13 heures, et j’étais déjà ivre.
Je me remémorai les paroles d’Olga et espérai qu’elle ne passerait pas par là et ne me verrait pas dans cet état. Mine de rien, tout ce que mes camarades m’avaient raconté m’avaient mis « l’eau à la bouche », et naissait en moi le fantasme de cette femme slave et libérée qui ferait de moi un homme.
Heureusement, deux de mes amis préparèrent rapidement de quoi déjeuner, et l’alcool redescendit un peu. J’y voyais déjà un peu plus clair.
C’était bien sûr sans compter sur Olivier, qui sans hésiter ouvrit une autre bouteille. Dans l’euphorie générale, je me voyais mal faire bande à part et rester à jeun. Je les accompagnai donc dans cette nouvelle beuveurie.
Heureusement pour mon foie, nous prîmes le temps de la terminer « en douceur ».
Alain, qui passait par là, nous fit gentiment remarquer qu’il serait peut-être plus sage de garder toutes nos forces, « parce qu’en Pologne, quand on invite à l’apéro, on ne fait pas les choses à moitié ! », dit-il.
Alcoolisés, nous n’avons pas vu passer l’après-midi et arrivèrent rapidement les 20 heures. Olga nous rendit visite pour nous faire signe de les rejoindre, elle et son époux. je voyais les yeux lubriques de mes amis, j’en avais un peu honte, mais j’imaginais que je ne devais pas être si différent. Elle portait un maillot de bain deux pièces blanc, et ses gros seins balançaient au rhytme de ses pas, ce que fit naître un début d’érection dans mon short, que je tentai de dissimuler.
Quelques minutes plus tard donc, nous étions confortablement installés avec Olga et Alain, à côté de leur mobil-home. Il devait sans doute être des habitués du camping, car ils possédaient tout ce dont un campeur peut rêver : grande table, nombreuses chaises, hamac, musique … De quoi passer une agréable soirée nous l’espérions.
Alain ne perdit pas de temps, nous servit notre première vodka et leva son verre :
– « A la santé de la jeunesse, aux vacances, et à l’amour », dit-il en fixant tendrement son épouse.
– « Santé ! », avons-nous répondu tous en choeur.
Un peu plus tard dans la soirée, Alain me fit remarquer que j’avais pris du galon depuis la dernière fois. Je lui répondis qu’après la honte que j’avais eu,
je ne laisserai plus personne se moquer de moi comme tous l’avaient fait ce soir-là.
– « Se moquer ?, s’étonna-t-il ? Tu étais tellement saoul que tu commençais à te vomir dessus, c’est pour ça qu’on t’a déshabillé, pas pour se moquer. »
je commençai à comprendre l’odeur nauséabonde qui flottait depuis dans ma tente.
– « Et puis ma femme est infirmière, elle en a vu d’autre tu sais ! », dit-il en plaisantant.
Aidé par l’ennivrement, j’osai soudain :
– « Et ça te dérange pas qu’elle montre ses seins à tout le monde ?
– Ma grand-mère me disait toujours qu’un cul vu n’est pas perdu, j’imagine qu’il en est de même pour les seins ! », s’amusa-t-il.
Il faisait chaud ce soir-là, et Olga avait gardé son maillot de bain si sexy. J’observai ses fesses bronzées et charnues, ses seins provocants qui manquaient à chaque mouvement de faire exploser leur prison de tissu.
– « Elle est belle hein, me dit Alain. Olga, viens par ici, note jeune ami est jaloux, il est le seul à n’avoir pas vu ta poitrine. Veux-tu lui donner ce plaisir ? »
Sans ajouter un mot, Olga quitta son soutien gorge et agita son énorme paire sous mes yeux. Ses tétons étaient si roses et imposants, et cette vision me fit immédiatement bander. Olga s’en aperçut :
– « Il est plus vaillant que la dernière fois, tu as vu ? demanda-t-elle à son mari en rigolant.
Et elle remit son soutien-gorge, l’air ravi de m’avoir fait tant d’effet.
J’étais sous le choc et mon érection ne retombait pas.
– « Tu vois, parfois les choses sont si simples dans la vie, me dit Alain. La gêne et la pudeur sont des choses que nous ne connaissons pas Olga et moi, et nous ne nous en portons que mieux ! Nous sommes un couple très libre, l’important c’est la communication. Tu es sans doute un peu jeune, mais j’espère que tu t’en souviendras. Dans un couple, tout est acceptable si l’un et l’autre sont conscients de ce qu’ils font, et conscient de ce que l’autre ressent ».
De son côté, Olga discutait avec mes amis. Elle les avait mis au défi de courir nus jusqu’à la rivière et de lui ramener un coquillage. Le premier à revenir aurait droit à une surprise.
– « Ca marche aussi pour toi », me dit Alain avec un clin d’oeil complice.
Les pensées se bousculèrent dans ma tête, mais je me levai et m’approchai d’Olga. Je quittai mon tee-shirt et m’apprêtai à retirer mon short, sous lequel je ne portai pas de caleçon. Après tout, elle m’avait déjà vu tout nu !
– « Enfin un qui a des couilles ! s’exclama Olga, et plutôt jolies d’ailleurs », ajouta-t-elle en rigolant.
J’étais maintenant nu et me mis à courir en direction de la rivière, qui se situait à l’autre extrémité du camping. Deux de mes camarades, moins vifs que moi, retirèrent aussi leurs vêtements, et se mirent à courir dans l’espoir de me ratt****r. C’était sans compter sur l’adrénaline qui m’envahissait : je courrai, que dis-je, je volais entre les tentes et les mobil-homes, fendant le vent telle une flèche. j’arrivai rapidement à la rivière, et dans l’obscurité, me mis à chercher un coquillage. Un groupe de personnes âgées était là, et m’observai incrédule. D’autant plus incrédule que me rejoirent mes deux amis, également nus comme des vers. Une chose est sûre, ils auront quelque chose à raconter à leur retour de vacances !
Ca y est, je mis la main sur un coquillage et entrepris le chemin en sens inverse. Quelle serait-donc la surprise promise ? J’imaginai déjà qu’Olga se déshabillerait pour moi, que je pourrais admirer son corps, son sexe que j’espérai imberbe, ses fesses si excitantes, tout ça à quelques centimères de moi, peut-être même me laisserait-elle la toucher, avec un peu de chance…
Et j’arrivai donc le premier. Olga, Marc et les deux amis qui ne nous avaient pas suivi m’applaudirent.
– « Chose promise, chose due, s’exclama Olga. Viens avec moi dans le mobil-home ».
Je regardai Alain, et il me fit signe de la tête. Je pouvais y aller, j’avais son accord.
Olga me fit m’assoir sur le lit, toujours nu.
– « Alors content ? » me demanda-t-elle ?
Et elle fit sauter son soutien gorge. Elle s’allongea à mes côtés.
– « Tu veux les toucher ? n’hésites pas, ils sont à toi ».
J’approchai ma main de cette lourde poitrine qui m’invitait. D’une main je soupesai l’un de ses seins, je sentais mon sexe dur comme l’acier, le gland tendu en direction du plafond.
Je carressai maintenant maladroitement ses tétons. Je les sentais si durs sous mes doigts, et si maléables à la fois. Je les pinçai alors plus durement, ce qui lui arracha un gémissement de douleur.
– « Je ne te savais pas si coquin », me souria-t-elle.
Enthousiasmé par cette remarque, je resserai ses deux globes, les attrapant fortement entre mes doigts. Je m’aventurai alors à embrasser ces tétons qui me faisaient tant envie. Ma langue inexperte tournait autour de ces excroissances et j’avais l’impression de les sentir durcir toujours plus fort. Olga m’attrapa par les cheveux et écrasa mon visage sur sa poitrine, je ne pouvais presque plus respirer mais j’étais aux anges. Je laissais aller ma bouche à toutes ses fantaisies, ma langue ne savait plus où donner de la tête, léchant et embrassant chaque centimère accessible de son énorme poitrine.
Elle me repoussa soudainement, me fit m’allonger et se leva. Elle retira sa culotte lentement, la laissant glisser le long de ses cuisses. Comme dans un rêve, je découvrai son sexe imberbe, aux lèvres charnues et au clitoris gonflé.
Elle s’approcha de moi et s’agenouilla sur mon visage, collant sa chatte sur
ma bouche. Je ne savais pas m’y prendre, mais l’instinct me fit aspirer ces lèvres gonflés, je dévorai avec gourmandise cette peau si douce qui m’était offerte et je sentais mon visage s’humidifier au contact de ce sexe.
Olga ondulait son bassin tantôt au rythme de mes coups de langue, tantôt au rythme de son désir. Je me sentais parfois dépassé de la sentir gesticuler si violemment sur mon visage, dépassé mais si excité. J’essayais tant bien que mal de me concentrer sur son clitoris, elle m’encourageai par ses gémissements de plus en plus bruyants et obscènes et je l’attrapai par les fesses pour tenter de la maintenir un peu plus calme. Je suçai ce petit bout de chair au goût de femme et je sentais sa mouille me dégouliner sur les joues. Ma langue rentrait soudain dans cette chatte qui définitivement était mienne à ce moment-là. Je la pénétrai au plus profond et tendai l’oreille à sa réaction :
– « Mmmh c’est si bon, continues mon chéri, bouffe moi la chatte, oui comme ça mmmmmmhhhh », gémissait-elle, et je continuai à la déguster comme si cette première chatte que je baisais serait aussi la dernière. Je mettais tant de fougue et d’énergie à dévorer chaque millimètre de son vagin que j’en perdais parfois la respiration. Elle le remarqua sûrement, et releva doucement son bassin, me laissant respirer.
Elle passa sa main sur mon visage détrempé :
– « Mmmmh tu vois comme tu me fais mouiller petit vicieux !, me disait-elle en suçant le bout de ses doigts qui venait de récolter sur mon visage ses propres sécrétions. A ton tour de recevoir maintenant ».
Olga me fit me lever et s’agenouilla devant moi. Elle attrapa mon sexe à la base et commença à le caresser sur son visage, ses joues, son nez et ses lèvres, tout en me regardant droit dans les yeux. J’étais littéralement dans un rêve éveillé et je sentais ma bite palpiter au rythme de mon pouls. Sa langue pleine de salive s’activait à humidifier ma bite de bas en haut et de haut en bas, lentement, sans jamais qu’Olga ne cesse de me regarder. Elle s’arrêta sur mon gland et de sa petite langue tendue en léchait tendrement la pointe.
– « Tu aimes ça mon cochon ? » me disait-elle pour faire monter encore mon excitation (était-ce vraiment nécessaire ?).
Elle avala mon gland et le suça avec force. Les bruits de succion qui se dégageaient de sa bouche me rendaient comme fou, je désirai tant qu’elle continue de plus belle, mais Olga, durant une longue minute, ne relacha pas un instant sa pression sur le bout de mon sexe gonflé de sang. Soudain elle me sourit et me fit un clin d’oeil. Elle ouvrit la bouche et engloutit mon sexe telle une avaleuse de sabre. Elle resta quelques secondes ainsi, ses lèvres collées à mon bas-ventre, ma bite entièrement dans sa bouche, bavant de manière indécente pour moi qui n’avait jamais été sucé.
Je n’ai d’ailleurs encore jamais recroisé de filles qui me firent le coup de la gorge profonde !
Elle m’attrapa par les fesses et se baisait la bouche avec ma queue, j’étais déjà sur le point d’exploser mais je faisais tout pour me retenir. Elle entamait de longs et profonds va-et-vient qui me faisaient trembler jusqu’aux chevilles, elle jouait en même temps avec mes couilles dures et gonflées par l’excitation, pleines de cette semence qui menaçaient d’exploser au fond de sa gorge. Dans un gloussement de plaisir presqu’inaudible, je lui disai :
– « Je vais venir… »
Elle arrêta ses mouvements, attrapa mon pénis à la base et le serra si fort que le jus qui allait s’en écouler resta logé en moi. J’avais été à deux doigts de venir, et elle me dit :
– « Pas tout de suite mon grand, je veux sentir ta queue en moi ! »
Elle me repoussa sur le lit et se mit à califourchon au dessus de ma bite. Elle l’attrapai dans sa main et se caressait doucement avec, je sentais la chaleur de sa chatte inonder mon bas-ventre, je savais que j’étais sur le point de gicler, et je le lui dis. Elle déplaça alors mon gland et frotta ma tige entre ses fesses. La pointe contre son oeillet, elle s’enfonça doucement, dans un long râle de plaisir et de satisfaction. Elle n’eut pas de mal à me laisser m’enfoncer au fond de son cul, et entama de lents mouvements. Je l’observai, elle avait la bouche ouverte, les yeux fermés, elle semblait apprécier sentir ma bite dans son petit trou. Elle accéléré soudain ses mouvements :
– « Je veux sentir ton sperme me couler au fond du cul ! » me disait-elle en se baisant de plus en plus fort.
Et moi je sentais son anus palpiter sur ma bite, chacun de ses mouvements étaient presqu’un orgasme pour moi, ses gémissements de plus en plus forts m’excitaient au plus haut point, quand soudain je ne puis plus me retenir et déchargeai mon foutre au fond de son trou dans un cri de plaisir que je ne pus contrôler. Elle ralentit alors ses mouvements pendant quelques instants, pour finalement rester immobile, ma bite bien ancrée au fond de son cul.
– « Alors ça t’a plu ? »
Je lui répondis même pas, j’étais dans un autre monde ; quelle expérience formidable elle m’avait offert !
Elle sortit doucement et vint poser un baiser sur mon gland, puis sur mes couilles, ce qui m’arracha un dernier frisson de plaisir. Elle se releva et enfila de nouveau son maillot de bain, sans même se nettoyer.
– « Il faut qu’on y retourne, Alain et tes amis doivent nous attendre avec impatience ! au fait, j’adore ta grosse bite… »
Je la regardai sortir du mobil-home, le sourire figé, si content de son compliment et du moment magique que nous avions passé ensemble. je me rhabillais lentement, profitant de chaque seconde et sortais à mon tour de la caravane, devant l’air jaloux de mes camarades et le sourire complice d’Alain.
Olga et son mari s’en allèrent le lendemain, et je n’eus plus jamais de nouvelles d’eux. Je suis allé en Pologne à quatre reprises, en espérant avoir la chance de la croiser, mais jusque là, le destin ne m’a plus été favorable.
Enfin, pas favorable… Aujourd’hui cette histoire est loin de moi, et je vis avec une petite latina des plus sexys et chaudes comme la braise, je n’ai donc
pas à me plaindre. Je vous raconterai à l’occasion…
Ajouter un commentaire