Je me réveille, je suis seul. J’entends du bruit venant de la cuisine. Je me leve et arrivé a la cuisine, il est la a préparer le petit déjeuner,
– allo papa, tu as bien dormi ?
– oui merci et toi ?
– oui, assis-toi je te sers. Ok, je m’assieds, il me sert la café suivi d’une bonne assiette, oeufs, bacon, feves aux lards, roties. il passe sa main sur mes épaules et m’embrasse sur la bouche.
– bon appétit
– merci, mais toi ?
– oh j’ai déja mangé, je vais me préparer pour une belle matinée avec mon petit papa chéri
et il va vers ma chambre, il ferme la porte. Je déguste ce merveilleux repas. je termine, débarrasse et va au salon pour écouter les nouvelles. La porte s’ouvre et m’apparait une jolie étudiante sortant tout droit un pensionnat dirigé par des soeurs. Je la regarde de la tete aux pieds,
– papa, ne te fache pas, j’ai eu de mauvaise notes en mathématiques, j’aimerais que tu m’expliques
Moi j’embarque tout de suite dans son jeu.
– comment de mauvaises notes, petite sote, nous avions pourtant étudié hier pendant de longues heures, je ne suis vraiment pas content
Je la prends par la main et l’oblige a se coucher a plat ventre sur mes genoux. Par-dessus sa robe, je commence a la corriger, de bonnes tapes, elle s’anglote, pleurniche,
– papa, papa, tu me fais mal
– c’est pour ton bien, chérie, tu me remercieras plus tard
Je continue la correction pendant quelques minutes, j’arrete
– va chercher des devoirs
Elle revient avec les cahiers et je commence a lui expliquer les mathématiques et annonce une révision, elle a tout bon
– tu vois que tu comprends tout, je suis content de toi
– merci papa en se collant a moi, déposant sa main sur ma cuisse.
Moi j’aime son scénario, ma bite leve, je passe un bras sur ses épaules. Sa petite menotte glisse doucement sur ma queue et la frotte par-dessus mon boxer.
– papa, je ne comprends pas, je suis toute chaude dans mon corps, je sens ma zézette mouillée
– je pense que tu es contente davoir tout compris, alors,
– alors quoi ?
– alors, papa va te faire de petites caresses pour te féliciter, tu veux ?
– oh oui, mon papounet d’amour
– leve toi
Debout devant moi, je me leve a mon tour, je commence a défaire les boutons au derriere de sa robe, la ramene devant et baisse doucement. Apparait une camisole blanche, avec des petits seins qui pointent. La robe continue a descendre un slip blanc avec des petits oiseaux imprimés et des bas aux genoux, blanc aussi.
– leve la jambe droite
Je lui enleve le soulier plat noir, meme chose pour l’autre jambe. Je la prends par la main et l’amene a ma chambre, je l’enlace, la sert dans mes bras. Je colle sa bouche a la mienne, nos salives se melent, elle me tripote les fesses.
– coquine, met-toi a genoux
Elle se place, je colle le devant de mon boxer a quelques pouces de son visage, elle me regarde et me sourie,
– aller, déguste
Elle ne fait pas prier, elle baisse le boxer et prend dans ses mains ma bite a moitié bander. Elle me caresse les couilles et sa langue vient titiller mon gland, je dépose ma main sur sa tete et la force légerement a la prendre en bouche. Ma bite rentre doucement et va se coller au fond de sa gorge, je la tient fermement, elle de la difficulté a respirer, je la lache. Je la releve et la couche sur le dos, je lui enleve le slip. A mon tour je lui suce le cilto, je le sens durcir dans ma bouche, une main se promene sur son corps imberbe.
– papa, que c’est bon, n’oublie pas mon petit cul
– mets-toi a quatre pattes, mon petit lapin
Une fois bien installé, je mets ma figure sur son cul, mes doigts écartes ses fesses, ma langue s’occupe de sa rondelle, la mouille bien.
– oui papa, tu vas mettre ton zizi en moi, stp ?
– petite cochonne d’amour, oui je vais goutter a ton interieur, je vais glisser mon zizi en toi et vais laisser couler ma semence en toi
Je sors une capote la met colle mon gland a son entré et lentement pousse, je vois ses petites menottes serrées les draps, j’aime cela. Je pousse encore, je sens mes couilles se frotter a ses fesses, je la tiens ferment par les hanches, je ne bouge plus.
– chérie, tu m’appartiens, je t’aime, ta peau si douce, tes petits seins qui pointent vers le ciel, je te baiserais tous les jours
Je commence mes mouvements, je la fouille, la pilonne, la laboure, la pine, l’enfile, bref la baise. Je la retourne, releve ses jambes et m’encastre a nouveau en elle. Je releve sa camisole et lui pince les mamelons legerement, on se regarde, se sourit. Je la tringle allegrement, je lui leche les jambes, les mordilles.
– ma chérie, papa va exploser
– laisse couler ta seve dans ma petite bouche, papa chéri
Je me libere, enleve la capote, elle se releve et viens prendre ma bite, aussitot ma seve coule dans sa bouche, qu’elle se fait un plaisir d’avaler et me lecher la queue
– chérie, si tu ne réussis pas avec tes mathématiques, tu réussiras avec ton cul
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