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2 jeunes BAB (2eme partie): le chantier

2 jeunes BAB (2eme partie): le chantier



Une semaine s’était écoulée depuis la soirée mémorable que j’avais passée avec mes deux collègues blacks Malick et Issa et les deux jolies jeunes filles Jessica la brune et Manon sa cousine blonde.
Les deux queutards avaient continué à baiser les deux petites salopes toute la semaine, Issa s’occupant plus particulièrement de Manon et Malick de Jessica. La blonde était devenue particulièrement accro au gros sexe de son mâle africain, ne lui refusant rien et acceptant de lui toutes les pratiques, même les plus dégradantes.

Les deux amis avaient contacté Hakim, une de leurs connaissances, qui organisait des soirées très spéciales sur les chantiers dont il avait la garde. Hakim fut ravi à la description des deux jeunes filles. De la marchandise premier choix qui allaient attirer beaucoup de monde.

Quand les filles furent mises au courant du programme, Jessica pris son air blasé. Elle avait déjà été mise à l’abattage une fois sur un chantier et avait très envie de recommencer l’expérience. Elle rassura Manon en lui disant que c’était une super expérience. Celle-ci ne pouvait rien refuser à Issa de toute façon et se faisait une joie de lui obéir.

Le samedi soir, mes deux amis et moi passèrent chercher Jessica et Manon pour les emmener sur un chantier situé en banlieue parisienne. Elles s’étaient habillées comme deux vraies petites salopes pour l’occasion, encore plus court et décolleté que dans le bar la semaine passée. Les deux petites chiennes n’avaient pas mis de culotte et avaient la chatte fraichement épilée et parfumée. Les gros nichons de Jessica sortaient à moitié de sa petite robe. Manon portait un tee shirt moulant sa petite poitrine et une mini jupe ras la moule.
Je pris le volant, ce qui permis à Issa et Malick de se faire sucer pendant le trajet et de préparer les orifices avec quelques introductions digitales.
Hakim, le gardien, vint nous ouvrir le portail et nous accueillir. C’était un maghrébin d’une cinquantaine d’années, bedonnant. Il avait recruté toute la semaine et cela avait porté ces fruits. Une véritable armée d’hommes noirs et maghrébins s’était portée volontaire pour s’occuper des deux petites blanchettes. Ce n’était pas tous les jours qu’on avait de si jeunes et belles chiennes blanches à disposition.

Issa et Malick, qui voulaient faire la leçon à Jessica, avaient demandé à Hakim de lui préparer le traitement spécial, réservé aux salopes accomplies ayant déjà subi l’épreuve de l’abattage. Celle-ci fut assez surprise quand Hakim lui demanda de la suivre, pendant qu’un de ses amis amenait la blonde Manon vers les algeco. Elle ne s’attendait pas à être ainsi séparée de sa cousine. Hakim la mena vers le batiment en construction. Avant d’entrer dans l’immeuble, Hakim lui passa un collier de chien autour du cou et y attacha une laisse. Il fit mettre la brune à genou et il pénétrèrent ainsi dans le hall d’entrée. Cinq blacks et quatre arabes les attendaient, assis dans des chaises pliantes, une canette de bière à la main.
« Voilà la marchandise » dis Hakim en se dirigeant vers les neuf hommes. « Je vous ai pas menti hein, c’est du premier choix ». « Présentes toi sale chienne ».
-« Je m’appelle Jessica, j’ai 18 ans et je suis une salope ».
-« Humm, quelle chienne »
-« Ouais, une vraie petite pute blanche »
-« Fais voir tes trous de salope sale conne »

Jessica s’exécuta et, le dos tourné aux hommes qui la regardaient, remonta légèrement sa robe et écarta les deux globes de ses fesses avec ses deux mains.

-« Putain, elle a les trous déjà bien éclatés cette pute. »
-« Ouais, c’est de la salope à tournante ça »
-« Allez pétasse, montre nous tes nibards »

Jessica se releva et fit jaillir ses deux gros globes hors de sa petite robe, qui se retrouva réduite à l’état de ceinture autour de la taille fine et souple de la jeune brune.

-« Alors là Hakim bravo, c’est une vraie bombe cette salope. On va bien se régaler »
-« Faut remercier Issa et Malick les mecs, c’est eux qui ont déniché les deux blanches » dit Hakim.

-« Bon, assez causé. Viens nous sucer salope. Montres nous un peu ce que tu sais faire avec une grosse queue »

Jessica ne se le fit pas dire deux fois et se rendit immédiatement à genoux aux pieds du premier homme, un black d’une cinquantaine d’années. Le mec avait déjà sorti une queue gigantesque de son pantalon. La brune la prit immédiatement en bouche et avala le gros chibre intégralement, jusqu’aux énormes couilles.

Elle fit ensuite le tour de toutes les queues dressées devant elle pour les lécher, les sucer, gober les grosses paires de couilles. Certains préféraient lui tenir la tête pour lui baiser la gorge à grands coups.

-« Putain elle suce bien cette salope. Elle a été déjà bien éduquée, mais on va encore la faire bien progresser pour en faire un vrai vide couilles avec deux hangars à bites ouverts en permanence et prêts à dégorger toutes les queues de blacks et de rebeux »
-« D’ailleurs Moussa, tu en es où avec le dressage de tes deux salopes ? » demanda Hakim pendant qu’il se faisait pomper par Jessica.

Moussa était un grand sénégalais de quarante cinq ans, au physique de déménageur, et pourvu d’un sexe hors norme, aussi bien en longueur qu’en épaisseur, extrêmement veiné et doté d’un gland énorme. Une gigantesque paire de couilles accompagnait son membre surdimensionné.

-« La femme et la fille de mon patron ? Ca se déroule très bien. D’ailleurs, elles sont trois maintenant. Je viens de dépuceler sa cadette il y a deux jours. Sa jolie petite princesse comme il l’apelle. Un vrai visage d’ange, avec de grands yeux verts et des longs cheveux blonds. Elle fait de la gym et maitrise bien le grand écart hahaha. Je possède ses trois femelles maintenant. On va pouvoir commencer à bien s’amuser. Vous inquiétez pas les gars, vous savez bien que je vous ferais profiter de la marchandise. De toute façon, avec moi elles font toutes un tour sur le chantier au moins une fois. Je vais juste profiter encore un peu de la chatte bien serrée de la petite. Et lui dépuceler le cul très vite. Ca va être bon de les dresser toutes les trois, la mère et ses deux filles. »

Manon de son côté était arrivée aux algeco. Des dizaines d’hommes attendaient patiemment dehors, dans la tiédeur de cette nuit d’été.

-« Je vous présente le vide couilles du jour les mecs. Mattez moi ces longues jambes fines et ce petit cul tout ferme. Elle vous plait cette petite chienne ? »
-« Ouais, de la bonne chienne blanche, on va bien la défoncer »

-« Elle vient juste de se faire dépuceler le cul la semaine dernière. Il est encore tout serré, alors je compte sur vous pour bien vous en occuper OK. Faites passer l’info aux retardataires. Vous pouvez lui prendre la chatte aussi, mais il faut que vous passiez tous par son cul. Dis le salope que tu veux te faire défoncer le cul. »

-« Oui, s’il vous plait, prenez moi tous le cul » répondit Manon.

-« Fous toi à poil maintenant salope, et allonge toi sur le matelat. Prends le tube de lubrifiant et met en une bonne couche sur ta chatte et ton cul »

La blonde s’exécuta et s’allongea sur un vieux matelat taché du sperme des abattages précédents, les cuisses écartées, la vulve et l’anus offerts. Elle était nue, excepté la paire de sandales à talons hauts qu’elle avait gardé aux pieds. Elle pris le tube de gel à côté d’elle et s’enduisit les orifices de lubrifiant, en s’introduisant 2 doigts dans chaque trou.

-« Bon, le garage à bites est prêt. Vous avez tous tiré votre numéro de passage ? Et bien allons-y, au premier de ses messieurs. Je vous rappelle qu’on la pénètre avec capote, mais vous pouvez gicler sur elle si vous voulez. »

Le premier homme s’avança. C’était un maghrébin d’une quarantaine d’années, portant une djellaba. Il s’agenouilla entre les cuisses de Manon, releva sa djellaba, enfila une capote sur son membre déjà dressé et s’introduisit directement dans l’anus de la jeune blonde. Il lui ramona longuement le cul tout en l’insultant et en lui crachant au visage. Sentant venir le moment d’éjaculer, il se retira, enleva rapidement la capote et approcha sa queue du visage de Manon pour balancer plusieurs gros jets de sperme sur le visage et les longs cheveux blonds de la salope.

Le second mec ne tarda pas a s’approcher. Celui là était un jeune black d’une vingtaine d’années en survêtement. Il baissa son pantalon de jogging et offrit tout d’abord sa queue à sucer à Manon.

-« Suce mon zob la babtou, après je vais te défoncer la chatte et le cul »

Le gros sexe noir ne tarda pas à être happé par la bouche gourmande de Manon qui lui fit une fellation experte. Une fois bien dur, le mec enfila son préservatif et pénétra d’un coup sec la chatte offerte. Il lui pistonna cet orifice cinq minutes puis passa dans l’autre trou qu’il défonça à grands coups de marteau pilon, sans aucun ménagement. Il éjacula dans la capote, à l’intérieur du cul de Manon. Il se retira, enleva la capote et demanda à Manon d’ouvrir la bouche. Il fourra alors la capote usagée et rempli de sa semence entre les lèvres ouvertes, comme dans une vulgaire poubelle.

Le défilé des hommes continua alors, sans interruption. Jeunes, vieux, beaux, laids, tous se succédaient à la chaine dans les orifices de la belle blonde. Les SDF du quartier, prévenus de l’aubaine, avaient accouru pour profiter de ce vidage de couilles gratuit.

Au bout de 4 heures, 37 hommes lui étaient déjà passé dessus. C’était l’heure de la pause. Manon fut relevée et amenée près d’un petit cabanon pour être nettoyée au jet d’eau. Elle était recouverte de sperme, les mecs ayant pour la plupart éjaculé sur son visage ou sur sa poitrine. Ses orifices étaient rougis par les frottements malgré le lubrifiant qu’elle appliquait régulièrement entre deux pénétrations.
Elle put boire de l’eau dans une gamelle posée sur le sol, en lappant comme une chienne. On lui offrit une heure de sommeil. A la fin de cette courte sieste, elle fut ramenée sur le matelat, où le défilé des hommes se poursuivit, inexorable.

Quatre heures plus tard, une nouvelle pause identique à la précedente fut organisée, puis Manon dut retourner encore une fois sur la matelat pour vidanger les hommes restants.
Au matin, le compteur était monté à 126 hommes. Tous étaient passé par son cul. Celui-ci était méconnaissable. Béant, usé, bien loin du petit anus encore vierge une semaine auparavant. C’était maintenant un trou de pute à blacks, prêt à servir au plus grand nombre.
Sa chatte aussi était démolie par cette nuit de défonce intensive. L’abattage avait fait son oeuvre.

De son côté, Jessica avait subit un traitement différent, mais non moins difficile.

Après la séance de fellations, les choses sérieuses avaient débutées.

Les dix hommes sélectionnés pour son dressage spécial, choisi pour leur expérience dans ce domaine et leurs compétences perverses hors du commun, avaient commencé par la baiser et l’enculer à la chaine. Il l’avait disposée sur le dos au bord d’une table, les jambes maintenues solidement écartées par deux hommes. La bouche de Jessica était baisée sans ménagement pendant que son autre extrémité subissait les assauts des autres mâles.
Une fois les trous bien ouverts, on passa aux doubles pénétrations. Jessica était comme une folle, incitant les mecs à la baiser plus fort, à bien l’enculer comme une pute. Les doubles se succédèrent, doubles vaginales et doubles anales furent légions.

-« Putain quelle salope cette blanche »
-« Elle encaisse bien la pute, elle a été bien dressée »
-« Allez on va la fister cette chienne. Faut qu’on lui éclate les trous »
-« Tu vas être un vraie hangar à queue salope quand on aura fini »

-« Oh oui élargissez moi bien les trous » cria Jessica

Les mecs fistèrent donc les deux trous de leur soumise du jour. Ils étaient experts en la matière. De son côté, Jessica avait déjà pris quelques mains noires dans ses orifices par le passé,et ceux-ci, déjà bien défoncés par les doubles péné, n’offrirent presque aucune résistance.

Hakim, le plus vicieux du groupe, proposa d’enfiler deux mains dans chaque trou vu qu’une seule rentrait comme dans du beurre. Et ce fut fait. La jeune Jessica pris allégrement deux mains dans la chatte, puis deux dans le cul.

Toute la nuit, Jessica dut subir l’élargissement progressifs de tous ses orifices. Au matin, ceux-ci n’étaient plus que deux gouffres béants.

Jessica fut mise en position, les jambes écartées en l’air, les trous offerts et les dix hommes giclèrent successivement dans les orifices ouverts.

Les filles furent enfin ramenées à la voiture et nous partimes ainsi au matin, clôturant ainsi cette nuit mémorable.

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