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Agnès

Agnès



A 45 ans je suis dirigeante d’un très grand groupe industriel international. Pour arriver à ce poste j’ai fait un parcours sans faute au plus haut niveau. Je suis bardée de diplômes prestigieux de plusieurs pays tant dans le domaine scientifique que de celui des affaires. Toute ma vie a été consacrée à ma réussite car j’ai depuis toujours un niveau d’exigence tant pour moi que pour les autres du plus haut niveau. Je suis aussi une excellente skieuse, une nageuse honorable et je fais de l’entretien physique tous les jours pour évacuer le stress, conserver une grande capacité de travail et un jugement rapide et lucide. Pour mes collaborateurs je suis une terreur mais je suis respectée voire admirée. Je dors très peu et travaille intensément par passion. J’aime gagner et je suis régulièrement à la une des journaux ou interviewée par les médias télévisuels.
La contrepartie de cet engagement professionnel sans faille c’est que je n’ai jamais eu de vie privée digne de ce nom. Quelques heures de temps en temps pour visiter rapidement mes parents à qui j’ai complètement échappé. Une semaine par an pour faire un voyage organisé très cher dans des contrées lointaines où je suis inconnue. Quelques coups de fils ou soirées avec des amies de jeunesse. Tout cela suffit à remplir ma vie affective.
Par contre ma vie sexuelle est un désastre alors que physiquement je suis plutôt bien et que j’ai une garde-robe des plus grands noms de la mode. De courtes liaisons pendant mes études ont tourné au fiasco car je suis intransigeante. Je n’ai pas le temps de séduire et ne m’autorise pas de me laisser séduire. Peu d’homme s’y frotte car j’ai une réputation de frigide largement répandue autour de moi. Je suis devenue une virtuose de la masturbation rapide avec usage d’un god vibrant performant acheté lors d’un déplacement au japon. J’ai une très belle collection de films érotiques rares dont certains ont probablement été tournés dans des conditions illégales.
Un soir d’hiver alors que je m’étais épuisée à bosser un dossier pour faire face à un procès en justice à gros enjeux j’ai été envahie par un immense sentiment de solitude. J’ai subitement eu envie d’avoir quelqu’un près de moi pour parler et être touchée. J’ai contacté une agence très réputée, spécialisée en fourniture d’Escort-boys et j’ai expliqué mon besoin : un homme beau, cultivé, avec un corps musclé et d’une discrétion absolue pour une nuit. L’agence m’a envoyé un mot de passe pour pénétrer un site ultra confidentiel où une sélection d’homme était présentée avec une fiche détaillée et des photos pour chacun d’eux avec précision de leurs prestations, tarifs et disponibilités.
J’ai feuilleté rapidement et j’ai retenu Martial qui avait un profil me séduisant. C’était un beau brun viril, diplômé en droit, spécialistes en arts martiaux et en tir à l’arme de poing qui acceptait des missions de garde du corps et même de garde très rapprochée. Il était très cher mais avait de l’expérience et n’avait jamais trahi la confiance mise en lui.
Martial m’a rejoint à mon domicile le lendemain soir à ma demande tard dans la nuit. J’avais préparé son paiement en cash dans une enveloppe. Bien sûr il m’a reconnue et j’ai mis les choses au point « Tout ce qui se passera entre nous doit strictement rester entre nous, en cas de bavure je serai très contrariée et j’aurai les moyens de vous le faire comprendre ». Il m’a répondu « mais c’est une évidence Madame, ne vous faites aucun souci ». Nous avons discuté un petit moment pour dégeler l’ambiance. Il était intéressant et a fini par se rapprocher de moi.
Il m’a enlacé, et nous avons eu une relation sexuelle très agréable. Il était comme je le souhaitais à la fois attentif, délicat, et viril. Après m’avoir chauffée par des préliminaires habiles il m’a longuement baisée avec virilité en missionnaire, en levrette, puis moi à plat ventre. Il était équipé d’un pénis hors normes et d’une endurance incroyable. Je crois qu’on a coïté pendant quatre heures. Je rattrapais des années d’abstinence en jouissant à répétition de ce corps si chaud contre le mien.
Nous nous revoyons une fois par mois à date fixe. Je suis depuis encore plus performante dans mon travail. Ça me coûte très cher mais je crois bien que l’été prochain j’emmènerai Martial avec moi pour ma semaine de vacances. Je ne sais absolument rien de sa vie en dehors de nos rencontres.

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