L’exercice
raconté par Vincent
Ce soir-là, je n’arrivais pas à terminer un exercice, il me manquait des éléments. Je décidais d’appeler un camarade pour lui demander conseil. Je lui téléphone, c’est sa mère qui décroche. Je lui demande si je pouvais passer voir Romain car j’avais besoin de renseignements pour terminer un exercice. Elle me demande de la part de qui. Je lui réponds Vincent. Elle me répond qu’il est sous la douche, qu’elle va aller lui demander. Après quelques instants de silence, elle me répond que je pouvais venir.
Je sonne à la porte d’entrée. Sa mère vient m’ouvrir. Une belle femme svelte, brune et souriante. Je lui dis : « Je suis Vincent ». Entrez, il vous attend dans sa chambre. Elle me conduit devant la porte, frappe et j’entends : « entre »
Romain est assis devant son bureau, sur lequel est posé son ordinateur. Il est vêtu d’un peignoir de bain blanc. « Excuse-moi, je sors de la douche »
Sa chambre n’était pas très grande mais lumineuse avec son Velux. Il y avait une armoire, un bureau, un lit d’une personne, des étagères chargées de livres.
Il ne s’est pas levé de son siège pour me saluer, je me suis approché pour lui serrer la main. Son peignoir était ouvert sur son torse, les jambes légèrement entrouvertes. Je pouvais voir l’intérieur de sa cuisse presque jusqu’en haut.
Je me suis assis à côté de lui sur un autre siège. Durant tout le temps où il m’expliquait comment finir mon exercice, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder de temps en temps sa cuisse, espérant qu’un mouvement me ferait voir un peu de son sexe. Il n’en fût rien. Une fois terminé, je me lève pour prendre congé. Au moment où il se lève pour me raccompagner, son peignoir s’ouvre. Il le referme rapidement s’excusant de l’incident, précisant que c’était un problème à chaque fois. Je ne sais pas si c’était un message jeté à la mer, mais j’eus le temps d’apercevoir ses poils, ses boules et son sexe en semi érection.
Le soir, je réfléchissais comment savoir si cela était un accident ou volontaire. Je décidais de l’inviter à la maison pour le remercier. Il accepta l’invitation. J’avais un peu de temps pour préparer mon scénario.
Le jour de l’invitation, j’avais mis un short assez ample et court, ainsi qu’un t-shirt. Comme il était venu à vélo, il portait un jeans et un t-shirt. Après avoir salué ma mère, nous sommes allés dans ma chambre. Nous avons discuté de tout et de rien.
Je n’avais pas mis de slip sous mon short, et je savais qu’en prenant certaines positions, il pouvait s’en apercevoir. Je voulais voir sa réaction. Parfois, son regard s’égarait sur mon short. Il ne pouvait pas ignorer que j’étais nu dessous. Sa réaction me surpris lorsqu’il me dit : « Tu ne portes pas de slip « ? Ce à quoi je répondis : « Comment tu sais ça « ? Il me dit : « vu comment tu étais assis, je ne pouvais ne pas voir tes boules » ! Je lui dis : « Quand il fait chaud, j’aime bien sentir l’air frais passer entre mes jambes, surtout lorsque je fais du vélo. Il prit un air étonné. Mon plan avait donc fonctionné, il était à priori intéressé.
Nous nous voyions de temps en temps l’un chez l’autre. Un après-midi alors que nous étions seuls chez lui, il a commencé à chercher la bagarre. Nous nous sommes empoignés. Ce corps à corps a fini sur son lit. Nos jambes essayaient de bloquer l’autre, nos mains saisissant parfois la braguette du jeans pour constater que nous bandions. Dans notre joute, il a réussi à déboutonner mon jeans pour y introduire sa main jusqu’à toucher mon sexe à travers mon slip. J’ai pu me dégager d’un mouvement brusque me permettant de glisser ma main dans son jeans, passer l’élastique de son slip pour atteindre ses fesses. A son tour il s’est dégagé. Essoufflés par notre bagarre, nous marquons une pause allongés l’un à côté de l’autre.
Romain dit : « Quelle bagarre, tu as eu chaud que je t’att**** la bite « !
Je réponds : « Ouais, mais moi j’ai réussi à rentrer ma main et toucher ton cul « !
Un bruit dans la maison me fit me lever pour prendre congé.
Je voulais aller plus loin encore avec Romain. Il fallait donc trouver une stratégie. Je lui proposais d’aller à la piscine ensemble comme cela je pourrai le voir en maillot de bain. Après nous être changé dans nos cabines respectives, je le vis sortir avec son slip de bain noir bien moulant son paquet.
Romain veut sortir de l’eau. Je lui dis : »je ne peux pas sortir j’ai une sacrée gaule ». A ce moment je sens sa main se poser sur mon maillot. Il dit : « je voulais vérifier ».
Le temps passe vite à la piscine et nous devons partir. Avant nous passons par la douche collective, mais hélas, nous devons garder notre maillot. Le corps enduit de mousse, je regarde Romain se savonner, surtout lorsqu’il met sa main dans son maillot pour se laver la bite. Il met du cœur à l’ouvrage pour frotter que parfois j’aperçois le bout de sa queue.
Nous voulions changer d’activité, trouver quelques endroits de mecs qui pourraient prendre leur douche à poil. Romain proposa d’essayer le squash. Nous nous sommes donc inscrits dans une salle. Le premier jour nous y sommes allés doucement. Cela nous a fait quand même transpirer. Enfin le moment de la douche. Il y avait une dizaine de douches communes. Trois étaient déjà occupées par des mecs à poils. Nous avons fait de même. Romain et moi avons choisi de se mettre en face l’un de l’autre. Nous étions face au mur tant qu’il y avait d’autres mecs. Une fois seuls, je me suis retourné, je voyais les fesses poilues de Romain que j’avais tâtées. Il s’est retourné. Nous étions face à face. Je voyais enfin sa bite au repos sur ses boules qu’il savonnait. Il a saisi sa queue pour se décalottant pour nettoyer son gland. J’avais du mal à contenir un début d’érection. Heureusement que le lavage prenait fin car deux mecs arrivaient.
A partir de ce moment, je savais que nous irions encore plus loin. Un samedi après-midi, j’ai proposé à Romain d’aller faire une balade à vélo jusqu’au lac. En short, t-shirt et sac à dos, nous voilà partis pour une dizaine de kilomètres. A mi-chemin, nous nous sommes arrêtés au bord de la route, une pause pipi fut nécessaire. Côte à côte, nous avons sorti par la jambe du short notre queue et commencer à uriner, ne pouvant m’empêcher de jeter un coup d’œil sur la bite de Romain qu’il avait décalottée pour faire tomber les dernières gouttes. C’est là qu’il me dit : « si nous finissions le parcours sans slip ? « J’étais effectivement d’accord. Nous avons enlevé notre short, retiré notre slip. Un court instant nous étions presque à poils au bord de la route, au risque qu’un véhicule ne surgisse. Le reste du parcours était comme j’aimais, sentir l’air passer par la jambe du short et venir caresser mon entre jambe.
Les VTT n’eurent aucun problème pour descendre le petit chemin que je connaissais qui menait sur une petite plage au bord du lac. Par chance nous étions seuls. Les vélos posés, nous nous sommes mis à l’aise en ôtant nos t-shirt. Allongé sur nos serviettes, Romain dit :
« Ce soleil et cette balade m’a excité, j’ai envie de ma branler » Sans attendre, il descend son short à mi-cuisses et commence à se masturber. Sa queue était déjà bien bandée. Sa main pouvait l’entourée, mais pas assez grande pour la contenir. Son mouvement de va et vient était lent, faisant glisser son prépuce doucement sur son gland, jusqu’à le décalotter au maximum comme si il était circoncis. Cette vision me fit aussi bander. Je me suis aussi branlé en même temps que Romain. Me voyant gicler le premier, Romain éjacula à son tour de longs jets de sperme.
Après ce petit plaisir, nous sommes allés nous tremper dans l’eau du lac la queue encore raide. Nous avons joué, et bien sûr nos corps étaient souvent en contact, queue contre queue.
Nous avons terminé l’après-midi allongé à poils sur notre serviette en discutant. Romain me dit : « dis donc, l’autre jour à la douche du squash tu commençais à bander. » je répondis : « c’est de te voir à poil. Je ne sais pas comment tu faisais pour ne pas bander. » « J’arrive à me contrôler. »
Nous nous rhabillons, reprenons nos vélos et retour à nos maisons.
Notre relation montait doucement les marches du plaisir.
Nous continuions à faire du squash où je devenais meilleur, ce qui étonna Romain. Il me demanda pourquoi, je répondis que j’avais acheté un jeu sur ma télé. Il me dit qu’il aimerait bien essayer. Pendant la douche, j’arrivais à mieux contrôler mes érections, même lorsqu’il y avait d’autres beaux mecs avec nous.
C’est lors d’un samedi après-midi alors que mes parents étaient partis pour le weekend que Romain est venu essayer mon nouveau jeux. Après avoir bu un verre, Romain voulu faire une partie de squash. J’ai préparé tout le matériel. Chacun armé de notre télécommande qui reproduisait nos mouvements, nous avons commencé à jouer. Ayant l’habitude, je le dominais. Après quelques parties, nous avons fait une pause, le temps de boire un apéritif concocté par Romain avec ce qu’il avait trouvé dans le buffet. C’était assez costaud, ce qui nous chauffait le cerveau. Nous avons mangé les pizzas étaient avec bière pour faire passer tout ça, mais entretenait les effets du cocktail. A la fin du repas nous étions bien pompettes. Romain voulu refaire quelques parties de squash pour se ratt****r. Je gagne la première partie. Etonné, je vois Romain enlever son t-shirt. Je perds le second match –un peu exprès je dois l’avouer pour voir la réaction de Romain – Il a voulu que j’enlève aussi mon t-shirt. J’ai fait semblant de refuser, alors il s’est jeté sur moi pour l’enlever. Je lui dis : « Ah, tu veux jouer au strip squash ?, Tu vas perdre mon gars. »
Effectivement, il fallut peu de temps pour que Romain se retrouve tout nu. Il voulait continuer pour qu’à mon tour je me retrouve aussi à poils. Je fis durer le plaisir de voir le sexe et les boules de Romain s’agiter à chaque tir. Bon gars, je me suis foutu à poils pour être à égalité, en disant à Romain : « si tu perds cette partie, tu accepteras mon gage. » « D’accord, si tu acceptes toi aussi mon gage si tu perds » « Ok » Romain ne bandait pas, par contre moi j’avais une belle gaule qui le fit rire. Je ne sais pas ce qui s’est passé, – peut-être mon érection m’a distrait – mais j’ai perdu. Epuisé, je me suis laissé tomber sur le canapé. A ce moment, Romain me rappela que j’avais accepté son gage.
Il s’approcha du canapé, saisit ma bite toujours aussi raide, commença à me masturber. Surpris au début, car c’était la première fois que quelqu’un me branlait. J’ai commencé à prendre du plaisir surtout lorsqu’il tirait doucement sur la peau du prépuce pour décalotter mon gland déjà bien humide. J’avais fermé les yeux pour plus apprécier ce que je ressentais. La liqueur n’a pas tardé à gicler fortement atteignant mon visage. Ma langue récupéra le sperme sur mes lèvres. Je dis à Romain : « As-tu déjà goûté ton sperme ? «
De me voir ainsi, Romain bandait à son tour. Voulant lui renvoyer l’ascenseur, je l’ai branlé à mon tour. Ma main ne contenait pas la longueur de sa queue. J’ai réussi à le faire jouir de plusieurs jets. Avec mon doigt, j’ai ramassé la dernière goutte posée sur son gland pour le déguster. Nous avons pris notre douche ensembles, nous lavant mutuellement, ne négligeant aucune partie du corps de l’autre, passant du torse au ventre, les jambes, le sexe, les fesses, rien n’échappait à mes mains.
Après la douche, comme il faisait encore chaud bien que la nuit soit tombée. Nous sommes allez nous installer à poils sur la terrasse pour boire une bière et discuter. Je reposais la question à Romain si il avait déjà goûté son sperme. Réponse :
– Oui
– Tu as aimé ?
– Au début non, puis petit à petit j’y ai pris goût
– -Et alors ?
– Maintenant j’aime beaucoup ça. Et toi ?
– j’ai aimé dès le début, maintenant je ne peux plus m’en passer. A chaque branle, il faut que j’en bouffe.
Une autre bière et nous parlons des filles. Romain a eu quelques aventures pas très stables. J’étais dans la même situation, quelques rencontres pour faire l’amour sans vraiment d’attache.
La nuit étant bien avancée, nous sommes allés nous coucher dans mon lit. Je fus le premier réveillé par le jour à travers les volets. La nuit avait dû chaude, le drap ne nous recouvrait plus. Je constatais que Romain avait une sacrée érection. Il devait faire un rêve érotique. Je ne pus m’empêcher de poser ma main dessus. Romain ne bougea pas. Je le saisi franchement. Romain se mit sur le dos comme pour profiter de son rêve. Au moment où je le décalottais, Romain se raidit. De voir ce gland, rose, luisant, bien rond, j’approchais ma bouche pour le lécher. Romain poussa un gémissement. Je continuais en l’enfonçant doucement dans ma bouche et commencer lentement un va et vient. Romain s’étendit entièrement, écartant ses jambes. Je pus caresser ses boules, glisser ma main entre ses fesses. Dans un râle, je fus surpris par la quantité de sperme qu’il projeta dans ma bouche. J’ai bien failli m’étouffer, mais n’en perdis aucune goutte. Une fois tout lâché, j’entendis Romain dire :
– « tu suces drôlement bien. »
– « tu étais réveillé ? » dis-je rouge comme une pivoine.
– « c’était tellement bon que je pensais rêver. »
Alors que je prenais ma douche, Romain s’est invité. D’abord un baiser, puis il est descendu directement sur mon sexe encore raide du plaisir que j’avais pris à le sucer. Agenouillé, il a avalé ma verge. Je sentais sa langue jouer sur mon gland. Je contrôlais mon plaisir afin qu’il dure. Ses mains me massaient les fesses, les poussaient pour enfoncer au maximum ma queue. Je sentais son souffle nasal sur mon pubis. Quand il m’a écarté les fesses pour me titiller mon anus, pris dans le plaisir, je l’ai laissé faire. Lorsque j’ai senti son indexe pénétré, j’ai écarté les jambes. Son doigt synchronisé aux va et vient de sa bouche eurent raison de mon contrôle, et je lâchais dans sa bouche une nuit entière de sperme qu’il avala avec gourmandise.
Nos sexes reposés, une douche bien fraîche, un bon petit déjeuner, une balade à vélo, l’heure de midi est vite arrivée. Repas, encore un peu de jeu vidéo, et Romain est rentré chez lui.
J’ai repensé à son doigt dans mon anus qui m’a fait éjaculer rapidement. J’ai recommencé tout seul en me masturbant. Cela ne pouvait en rester là. C’est chez Romain que cela s’est passé. Un après-midi, alors que sa mère était dans la maison. Nous étions dans sa chambre. Il s’est mis à me chatouiller. Je suis tombé sur son lit. Il en a profité pour me tripoter jusqu’à descendre mon short et slip. J’étais horrifié sachant sa mère présente. Il me dit :
– « t’inquiète, elle est très occupée à tondre la pelouse dans, elle en a pour un moment et elle n’entre jamais dans ma chambre sans avoir frappé avant et que je lui dise d’entrer. »
En effet j’entendais le moteur de la tondeuse, et tant que je l’entendais cela me rassurait. Je laissais donc faire Romain. Il retira mon short et slip, en fit de même. Je sentais son sexe tendu se frotter contre ma raie, puis se présenter à l’entrée de ma rondelle qu’il avait mouillée de sa salive. Je sentis d’abord son gland passer mon premier sphincter, sa queue s’enfoncer doucement, son gland forcer le deuxième sphincter. Il commença son aller et retour en accélérant l’allure. Le son fort de mes gémissements était étouffé par l’oreiller.
Plusieurs minutes s’écoulèrent avant qu’il s’arrête de me pilonner et que je sente en moi la chaleur de son sperme me remplir. Je n’étais pas de reste, car ses mouvements faisaient frotter ma queue sur sa couette qui laissa jaillir ma semence.
Nous sommes restés quelques instants l’un sur l’autre sans bouger, le temps de reprendre notre souffle. Pris dans notre plaisir, nous n’avions pas entendu que la tondeuse s’était arrêtée de tondre. Je fis un bond lorsque j’entendis frapper à la porte et la mère de Romain dire : « Ca va les garçons ! Vous voulez venir boire et goûter ? »
Et Romain de répondre : « On arrive. »
Le temps de nous rhabiller, nous nous sommes retrouvés dans la cuisine devant un coca et des gâteaux. Je savais que je renouvellerai cette expérience pour ressentir encore ces sensations.
Les années sont passées vite, le temps que je rencontre une fille dont je suis tombé follement amoureux, que j’ai épousée mes études finies et un travail. Nous avons trois enfants dont des jumeaux qui sont adolescents et je me pose la question de savoir si comme moi l’un ou l’autre vivrait les mêmes expériences.
Je n’ai pas oublié Romain. Mon travail me fait faire beaucoup de kilomètres, et à chaque occasion qui se présente si nous pouvons nous retrouver dans la même ville, nous prenons le même hôtel et passons une nuit d’extase.
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