Histoires de sexe Histoires de sexe viol

[vue sur le net] Vacances père, fille (2)

[vue sur le net] Vacances père, fille (2)



Ce fut la chaleur écrasante qui rentrait par les persiennes de la chambre d’amis qui me réveilla. L’après-midi était bien entamée et j’avais horriblement faim. A mes côtés, sur la table de chevet, se trouvait un plateau repas avec un jus d’orange et une salade de tomates avec du jambon sec. Un petit mot de mon père accompagnait ce repas tardif
– » ma chérie, je n’ai pas voulue te réveiller, je suis parti en ville nous acheter de quoi faire un festin ce soir, mais il faut que tu mange quand même un peu car avec la soirée qui nous attend tu as besoin de force. »
La soirée promettait d’être sensationnelle, mais je n’étais pas au bout de mes surprises, car sous l’assiette ce trouvait un autre petit mot de mon père.Je dépliais la feuille à la hâte pour découvrir une liste d’ordre:
– » Voici ce que tu devras faire pendant mon absence
1: mange ce que je t’ai préparé
2: prend une douche et mets-toi l’huile de corps au monoï que tu trouveras dans mon tiroir de salle de bain
3:habille toi comme une jeune femme sage, pas de vêtements provocant,je veux voir le moins de peau possible, et mets dans la mesure du possible,plusieurs couches de vêtements
4: la chambre d’amis sera ta chambre tant que tu seras ma maîtresse, les jours ou tu seras ma fille tu iras dans ta chambre, mais c’est moi qui en déciderai
5: Ce soir Max vient diner avec nous, tu te comporteras comme une gentil fille. »

Déception, la soirée, MA soirée, allait être compromis car mon père avait décidé de la passer avec Maxime, un de ces amis du coin , que je n’avais jamais eu l’occasion de rencontré, mais qui faisait partit de toutes les soirées de mon père. Je voyais le plan foireux à des kilomètres: un apéritif interminable où ils parleraient entre eux,le repas se poursuivrai de la même manière, je tomberai de sommeil et irai me coucher dans ma chambre et mon père déciderai d’aller faire la java avec son pote.Mes larmes me montaient aux yeux, car c’était l’ascenseur émotionnel qui parlait, la joie de ce début d’après-midi, mêler à l’espoir de cette soirée le tout avec la grosse déception de ce que mon père envisageait.
Je m’exécutais quand même, monotone, avec un mince espoir de me faire prendre par Lionel ce soir. J’avalai mon petit repas, languissais sous l’eau tiède de la douche et me pointais devant ma garde-robe. Que pouvais-je bien mettre?Et plusieurs couche en plus, avec cette chaleur, pourquoi voulai-t-il que je meurs de chaud? L’idée que c’était pour me voir me devetir de manière innocente devant lui me plus et raviva l’espoir qui avait disparu. J’optai tout d’abord pour un ensemble de sous-vêtement noirs en dentelle, très discret, très classe et surtout terriblement sexy, pour reprendre les mots d’un de mes ex. J’enfilai ensuite des bas, pour faire une couche de vêtement. Je mettais ensuite un pantalon noir,que j’avais acheter à l’occasion d’un entretien pour un job d’été et qui avait fini dans ma garde robe ici. Pour compléter la panoplie je mettais un débardeur blanc qui mettais en valeur de manière assez sensuelle ma poitrine et qui laissait entre-apercevoir le tissus de mon soutien-gorge. Je finissais en mettant un petit chemisier en voile, de couleur noir lui aussi, mais qui donnait une touche »jeune femme sage » à la panoplie « femme en deuil ». Le débardeur blanc donnant aussi un côté plus frais à cette tenue. J’enfilai mes escarpins noirs, aux talons interminables, qui mettaient en avant ma chute de reins. J’étais prête depuis quelques minutes, peu maquillé, et j’avais déjà horriblement chaud bien que la journée touchait à sa fin et que le soleil s’étalait sur l’horizon.

Vers19h j’entendis mon père se garer dans l’allée, suivi d’une deuxième voiture, celle de Maxime.
J’entendais sur le pas de la porte pour les accueillir. Mon père eu un sourire très satisfait en me voyant ainsi apprêter et se permis une tape discrète sur mon cul. Puis il me présenta Maxime « oh mon Dieu ».
Je n’imaginai pas mon père fréquenter des personnes beaucoup plus jeune que lui,et pourtant, Maxime devait avoir dans les 35 ans, et si je trouvais mon père sexy, il devenait presque fade à côté de Maxime: Brun ténébreux, yeux vert clair, grand,avec une carrure bien musclé et une voix sombre. Je fondait littéralement et fut offusquer de constater que je ne lui faisait apparemment aucun effet et qu’après m’avoir saluer, retourna à la conversation avec mon père. On s’installa dans le salon et mon père nous servis un apéro. Comme je l’avais prédis ils ne parlaient qu’entre eux, et ce Maxime dans tout son sex-appeal, était d’une arrogance déconcertante, à le giflé. Je compris aussi que ce fameux Max que mon père me parlait si souvent était surtout un pote de « coucherie » et que les soirées qu’ils passaient ensemble c’était pour tirer leur coup. J’aurais voulue fuir, mon père qui m’avait prise le jour même parlait devant moi, avec un inconnu à mes yeux, de leur plans cul, pourquoi me faire ce mal? Alors que j’allais me lever pour quitter la pièce, mon père, tout en continuant sa conversation,m’intima du regard, de rester à ma place. L’alcool mêler à la chaleur devenait insupportable,je décidais alors de déboutonner mon chemisier. J’avais capter l’attention de Lionel. Laissant à sa vue mon décolleté discret, son regard allait de Max à moi et de moi à Max. Au moment de passer à table,je laissais tomber entièrement mon chemisier, laissant mes épaules dorés à la vue de mon amant et la chaleur monta d’un cran. Un jeu de séduction avait commencé entre nous et c’est donc ça qu’il cherchait et ce pourquoi il avait invité Max et pourquoi il m’avait demander tout ça. Max n’était qu’un prétexte entre nous pour joué au chat et à la souris. Je décidais d’être un peu plus active. Je servais les plats en frôlant Lionel,mais je frôlait aussi Max en regardant mon père droit dans les yeux pour voir cette flamme de jalousie qu’il avait. Et Maxime de voyait pas notre petit jeux, il continuait sa diarrhée verbale, sans que quiconque ne l’écoute plus. Pourtant, vers la fin du repas, il s’aperçut de ma présence:
– » Quand même Lionel, tu as une fille magnifique,tu aurais pu me la présenter plus tôt
-Pour que tu la sautes comme tu sautes toutes les autres,non merci, c’est chasse gardé
-Tout de suite, non, une beauté comme ça, faut en prendre soin, faut la garder. »
Maxime n’avait pas percuter que la chasse garder de mon père c’était rien que pour lui, que personne d’autre que lui, ici et maintenant ne sauterai sa fille chérie, qu’il avait mener à l’extase dans l’après-midi.

Mais Maxime était surtout et aussi fort alcoolisé. Mon père lui proposa alors de rester dormir:
-« la chambre d’amis étant en bazar j’y dormirai, tu n’as qu’à prendre ma chambre, aller va te pioter demain pas de grasse-mat’ pour toi. »
Alors que Max montait difficilement les marches m’ont père me chuchota de le rejoindre d’ici 15 min. Ce que je fis sans me faire prié. La pièce était dans la pénombre, Lionel se tenait à la fenêtre, celle-ci était ouverte et le chant des grillons nous accompagnait:
-« Assis-toi sur le lit.Je t’ai trouvé impolis quand tu as voulue nous faire faux-bond tout à l’heure, ça ne te plaisais pas d’entendre combien de maitresse j’ai eu entre mes bras. Et encore, je ne t’ai pas dit ce que je leur faisais à ces femmes. »
Il se retourna alors vers moi, ôta son t-shirt et s’approcha d’un pas autoritaire
« -Tu veux que je te dise ce que le leur faisait? Déjà je ne leur laissait pas le temps de se déshabiller. » Et dans un mouvement violant il me déchira mon débardeur et mon pantalon,je me retrouvais face à lui en sous-vêtement et bas avec mes talons ,je me sentais terriblement sexy et hyper-excité par le comportement autoritaire de Lionel.
-« Très sexy chérie, lève-toi! Fais un tour sur toi même! Penche toi! Mhh, t’es bandante. Et qui est-ce qui va profiter de tout ça?
– C’est toi Lionel
-Je suis ton père alors appel moi PAPA, tu m’agaces avec tes Lionel-par-ci Lionel-par-là.
– D’accord papa
– Bien je préfère, penche-toi encore, que je puisse admirer ce merveilleux petit cul. Allonge-toi maintenant et écarte tes bras et tes jambes, et avant d’aller plus loin se soir, es-tu sur de vouloir te donner à moi, entièrement? »
j’acquiesçais, déjà allongée dans la position qu’il m’avait ordonnée, entièrement soumise à mon géniteur. Il prit une boite sous le lit de laquelle il sortit des menottes. Il m’accrocha mains et pieds au lit, et me banda les yeux. Ses mains huilé vinrent me caresser et me masser le corps. Il avait des mains chaudes, expertes. Il savait où s’attarder pour faire monter le plaisir. Il effleurait mes tétons, descendait vers le pubis et remontait rapidement. A chaque caresse j’espérais qu’il en fasse un peu plus, c’était un vrai supplice charnel.Il finit enfin par me délivrer des ses caresses à l’aide de sa bouche chaude et humide. Il vint d’abord faire enfler un peu pus mes tétons avant de titiller mon clitoris jusqu’à l’explosion. Entre chaque caresse il m’ordonnai de me taire afin de ne pas réveiller notre inviter. Et il continuait de me décrire ce qu’il faisait aux autres femmes. Alors que je pensais qu’il allait me prendre en levrette je sentis son doigts, lubrifié de cyprine, d’insinué vers mon petit trou. Instinctivement je me contractait:
– » Est-ce que tu as confiance en ton papa,
-oui,papa j’ai confiance en toi
– alors laisse-toi faire et souviens-toi que tu t’es donné entière à moi. Tu vas être gentil?
-Oui papa, c’est juste que c’est une première pour moi
– ai confiance. »
Il continua la masturbation de mon petit trou avec un doigt, pendant que son autre main recommençait à titiller mon clitoris. Je me sentais plus détendus.Il me pénétra alors dans coup dans la chatte et enfonça par la même occasion son doigt dans mon petit trou.La surprise laissa place au plaisir, ça devenait agréable et j’amplifiai les mouvement de va et vient sur sa queue et surtout sur son doigt. Il fini par me remplir dans un orgasme et je n’eus pas le temps de me remettre du mien qu’il présenta sa queue à l’entrée de ma bouche. Je commençai une fellation frénétique. Ça queue avait son gout et mon gout, les deux mélanger m’excitait comme une pucelle. Je le sentis gonfler en moi, je sentais les coups de sang monter dans sa queue. Et je me retrouvait de nouveau à quatre patte. Cette fois la queue de mon père était à l’entrée de mon anus, et c’est avec toute l’excitation qui était en moi que je m’appuyais sur le gland. Il me pénétra délicatement, j’eus d’abord un peu mal et mon anus se contracta d’abord. Mon père continua quand même son exploration et une fois qu’il fut entièrement dedans il commença de léger va et viens. C’est moi qui accéléra la cadence jusqu’au feux d’artifice et dans un chuchotement hurlant de plaisir je criais en silence:
« oh oui papa!!!!!!!!!!!papa!!!! »

Le lendemain, au petit déjeuner,je retrouvais Maxime au bord de la piscine, là où mon père m’avait fait jouir pour la première fois. Il m’informa que mon père était partit au sport et qu’il ne reviendrait qu’en fin de matinée:
– » Et je voulais m’excuser aussi pour hier, j’avais déjà bien bu en arrivant ici, et j’ai eu un comportant déplorable à ton égard, j’en suis désolé. Et tu m’avais tellement troublé qu’avec l’alcool je ne savais plus trop comment réagir. Je me ferrais pardonner. »

Je souriais à Maxime, il avait vraiment l’air gêné par son comportement de la veille. Son ébriété m’avait tout de même permis de retrouver mon père dans sa chambre sans que notre invité ne se doute de rien. Comme pour se ratt****r il me servis un verre de jus d’orange fraichement pressée et une tasse de thé:
– » Et sinon que fais-tu dans la vie, car quand je vois ton père on parle rarement de nos vies;
– Oui j’ai crue comprendre que vous étiez bine trop occuper à autre chose.
– Oh ne te formalise pas avec ce que nous avons dit hier, alors qu’est ce qu’une jeune femme comme toi fait?
– Je viens de valider ma licence en droit et en septembre je commence une maitrise pour faire du droit international et je veux me spécialiser dans le droit aux états-unis,le summum pour plus tard serait de travailler pour une grande firme américaine.
– Que d’ambition pour une jeune femme de ton age, tu as quoi? tout juste 20ans?
– 22 ans plus précisément, enfin 23 à la fin de l’année. Et toi, que fais-tu? Ce qui m’intrigue c’est que mon père fréquente quelqu’un d’aussi jeune que toi, a part la famille, ses relations ont toujours plus de 45ans.
– Laisse-moi rire, Je ne l’ai jamais vue avec quelqu’un de plus de 35 ans, du moins quand il est ici. De 20 à 35 ans, voilà ce qu’il fréquente ici, enfin ses conquêtes quoi!
– Vraiment tout ce rapporte au cul chez toi!Avec une mentalité pareil ta vie doit être bien triste.
– Détrompe-toi ma belle. Je travaille dans le monde de la pub, rien de triste ou d’ennuyant. Et le cul, c’est ce qui fait tourner cette planète.
– Voilà une idée bien fermée.
– Bref,ça ne sert à rien de parler de ça, je crois que nous ne serons pas d’accord. Tu es encore jeune et crois probablement encore que le sexe rime forcement avec amour. Laisse-toi quelques année et tu verras.
– Au ne t’inquiète-pas pour moi, si tu savais tu ne parlerais pas.
– Tu serais-donc une cachotière de coquine alors?
– Pour quelqu’un qui voulais se faire pardonner, je trouve que tu redeviens bien impoli.
– C’est toi qui me lance sur se terrain. »

Je ne voulais pas en entendre plus et quittais mon transat. Il m’énervai au plus au point. Il était là, torse-nu, avec son bronzage doré, ses yeux vert, moqueur, ses muscles parfait, son air arrogant de MONSIEUR JE SAIS TOUT.
Ah il m’excitait, heu m’énervait au plus au point. J’avais envie qu’il me possède, qu’il me sert fort dans ses bras.Il me rendait folle. Et lui, il me voyait comme une jeune femme fleur bleu qui ne connait rien au sexe et qui ne rêve que du grand amour. Tout était confus dans ma tête car niveau cul je n’étais pas fleur bleu,en témoigne de ma relation avec mon père.Mais LUI,là, qui m’agaçait, LUI, j’avais envie de lui plaire, j’avais envie qu’il m’aime. Car en effet toute cette haine que je ressentait en sa présence n’était autre que de l’attirance et du désir, mais pas seulement sexuel. Comment en une soirée avait-il peu m’envouter à ce point? Juste en m’ignorant d’abord, et en me sous-estimant ensuite.
L’eau tiède de ma douche se mêlait à mes larmes que je n’avait pu retenir. J’étais dans ma salle de bain depuis je ne sais combien de temps, les yeux fermés,l’eau coulant interminablement, quand mon père vint me rejoindre,nu,et se cola à moi. Il aperçut mes yeux rougit par les larmes et me questionna du regard. Ne pouvant lui fournir de réponse,je me blottissait au creux de ses bras, dans le réconfort d’une étreinte paternelle. Puis,petit à petit, ses mains commencèrent à caresser mon corps d’une manière plus insistante. Ses lèvres se posaient dans mon cou et sa chaude respiration me faisait frissonner. Je sentais mes tétons durcirent. L’eau coulant sur nos deux corps était extrêmement aphrodisiaque et éveillait en moi mon appétit sexuel. J’en oubliait Maxime et la confusion de mon esprit disparu. J’étais de nouveau le jeune femme qui voulait se faire prendre par son père et tout mon corps répondait à ses caresses. Dans un mouvement à peine perceptible il appuya sur ma tête afin que je m’accroupisse pour me retrouver avec sa queue dans ma bouche.
– » Tiens ma puce,ça te consolera. »
Je commençais alors une pipe phénoménale, je m’appliquai comme peu de fois je l’avais fait; Je répondait à tout ses frissons et soubresauts avec des coups de langue. J’aspirais son gland en lui malaxant les couilles, j’avalai sa queue au plus profond de ma gorge à m’en faire pleurer,je le pompait frénétiquement à m’en donner des crampes à la mâchoire. Il me répondait par des soupirs roques, pressant ses mais de chaque coté de ma tête. Il finit par jouir en moi,et j’avalai tout, affamé par son gout.
Quand nous furent tous les deux secs, Maxime revint à mon esprit. Mon père me rassura qu’il était parti lorsqu’il était revenu du sport. En fait il m’avoua qu’il lui avait proposé de venir passer quelques jours à la maison mais qu’il n’avait pas accepter car il souhaitait que je donne son accord. Maxime avait dit à Lionel qu’il avait peur que je n’accepte pas sa présence et qu’encore ce matin il avait eu l’impression de me déranger.
– » Je voulais m’assurer qu’il n’y avait pas de problème pour toi pour qu’il vienne quelques jours à la maison.Ensuite je veux que tu m’explique pourquoi tu pleurais tout à l’heure. »
Je me sentais prisonnière, mon père ne comprendrai pas que je refuse la présence de son ami, je ne pouvais ne pas lui dire non plus que Maxime me plaisait beaucoup, et si Maxime venait, voudrais-je continuer ma relation avec mon père? Nous avions attend un stade de non retour, auquel je n’avais pas réfléchis. Quand serait-il entre nous deux au retour de nos vacances? Mon père redeviendrait-il mon père et moi sa fille, comme avant,sans aucun changement? Et si je tombais amoureuse de Maxime, que se passerait-il? Dans un tourbillon de questionnement et la chaleur de la salle de bain étant étouffante, je perdis pied et tomba dans les bras de mon père.

Mon père me porta jusque dans la fraicheur du salon, où tout les volets étaient restés fermés depuis le matin. Le cuir froid du canapé me fit frémir car je n’étais pas habillée. Mon père commença par me masser les épaules,comme quand j’étais stressée par les examens,et ça me détendis immédiatement. Malheureusement mon questionnement intérieur continuai. Ses mains glissèrent alors sur ma poitrine et je le stoppai aussitôt, lui faisant ainsi comprendre que ce don j’avais besoin c’était un père un non un amant. Pourtant il continua ses caresses.
– » Qu’avons-nous fait, papa? Je t’ai pousser à devenir mon amant le temps de ses vacances mais que se passera-t-il après? Et puis maintenant nous ne sommes plus 2, nous sommes 3. Comment dois-je me positionner?
-Comment ça 3?
– Enfin pas vraiment 3, mais Maxime, s’il vient, que va-t-il se passer? Tu continuera à être mon amant en se présence,où tu redeviendra mon père? Et si je tombe amoureuse?
– De qui?
– Ben, de Maxime, il me plait beaucoup, beaucoup plus que toi.
– Alors heureusement qu’il te plait beaucoup plus que moi, ça me rassure.
– Papa, qu’est-ce qu’on va faire,prend cette décision pour nous,moi je ne sais pas quoi décider. »
Mon père continuai à me malaxer les seins en restant distrait et pensif. Mes tétons durcir légèrement, j’aimais sentir ses chaudes et douces mains sur ma peau nue,mais j’aurai aussi aimé que Maxime face pareil, de manière mon paternel, plus brutal en quelque sorte. Mon père fini pas prendre une décision pour nous, de manière autoritaire mais satisfaisante pour nous 2:
– » Voilà ce qui va se passer, je vais dire à Maxime de venir car j’ai envie qu’il soit là, s’il doit se passer quelque chose entre vous tant mieux,mais tu resteras quand même à ma disposition quand je le souhaiterais. Et si tu tombes amoureuse, que veux-tu que j’y fasse? Je te laisserais partir car il doit en être ainsi.Quand on va rentrer à la maison on reprendra notre vie comme avant, je recevrai encore des femmes et se sera comme ça. Par contre si un jour on à envie de ce faire du bien ensemble alors on se fera du bien, comme ce qu’on fait ici, car tu m’as fait comprendre que se faire du bien ce n’était pas mal. Et si un jour tu fréquentes et ben on continuera quand même à se faire du bien car se n’est pas tromper que de passer du temps avec son père. Et de toute manière je ne te laisserai pas vraiment le choix car c’est toi et ton impertinence qui mon fait tomber dans ça, donc tu es adultes, tu assumes les conséquences de tes actes. Écarte les jambes maintenant. »
Et c’était là sa conclusion.Je me retrouvais allongée, nue sur le canapé froid,les tétons en feux. Mon père se leva, disparu,me laissant dans cette position et ré-apparus avec un objet ressemblant à un œuf vibrant et une télécommande. Il introduisit l’œuf dans ma chatte légèrement humide et m’expliqua qu’il déclencherai les vibrations quand bon lui semblera, il activa l’appareil pour me donner un aperçu puis l’éteignis aussitôt. Il me demanda de ne toujours pas bouger,je restais ainsi,les jambes écartées. Il s’installa à côté de moi,son téléphone à l’oreille, et avec sa main libre, me caressant mon clitoris qui enflait sous chacune de ses caresses:
– » Ouai Max, c’est Lionel…Bah écoutes,tu peux venir sans problème à la villa…oui, oui Alex n’est pas contre, hein ma chérie?…. oui elle est à côté de moi, je ne dirais pas qu’elle est ravis mais ça n’a pas l’air de lui déplaire, hein ma chérie?….Ouai,au fait tu pourras ramener ton escabeau?….bah je voudrais commencer à refaire la peinture dans la chambre d’Alex…Mais non pas de soucis,on fera comme hier,tu dormira dans ma chambre…Oh tu sais elle peux dormir avec son vieux père quelques jours quand même…ouai en plus ça va prendre quoi 2-3 jours grand max, hein ma chérie? tu n’y vois pas d’inconvénient? Bon bah tu nous rejoins cet aprèm’ alors?….a plus,ciao. »
J’étais au bord de l’orgasme,pendant toute la conversation mon père avec continué de jouer avec mon clitoris et allumant par intermittence l’œuf vibrant.Mon corps était en feux,mais tétons dur comme le marbre,ma chatte dégoulinante de mouille, et c’est à coup de langue sur mon petit bouton que Lionel vint me délivrer de cet orgasme.

J’avais finis par vêtir une petite robe légère, en mousseline,qui enveloppait mes courbes,et nous sortions de table quand Max arriva à la villa, avec son sac sur l’épaule.Il portait un polo blanc et un bermuda blanc, qui permettait de voir les muscles saillant de ses bras et de ses mollets. Ses cheveux furent légèrement décoiffés par la brise et sa démarche nonchalante était irrésistible. C’est à ce moment là que mon père décida de ré-activer l’œuf vibrant que j’avais été obliger de garder en moi.Le SALOP.

En arrivant à notre hauteur Maxime afficha un sourire radieux et donna l’accolade à mon père, puis il effaça son sourire en passant devant moi et m’adressa un salut à peine audible. Voilà, je ne représentais rien d’autre que la petite fille chérie de son pote, un tantinet coincée, et qui serait dans ses pattes le temps de son séjour chez nous. Et moi je restais planté là, à canaliser toutes les sensations qui grandissaient en moi depuis que mon père avait réactivé l’œuf vibrant. Il avait un sourire vicieux quand il entraina Maxime dans la villa. Il l’accompagna jusqu’à sa chambre pour que son invité puisse poser son sac et me laissa à mon triste sort. Il fallait que je me soulage avant leur retour. Mon père ne m’en voudrait pas. Je montais à pas pressés dans la chambre d’amis, devenue ma chambre, la fermais à clé et m’allongeais sur le grand lit. Mon père qui avait dû m’entendre aller dans la chambre, avait cessé de faire fonctionner l’œuf et frappa discrètement à la porte :
-« Ça va ma chérie ? Je peux entrer ? »
Je lui ouvrais la porte, écarlate. Il ne put réprimer un éclat de rire en voyant dans quel état il m’avait mise. Il m’informa que Maxime finissait de ranger ses affaires et que nous avions quelques minutes devant nous. J’étais en colère contre lui, car s’il n’avait pas mené Maxime à sa chambre, pendant combien de temps m’aurai-il fait subir la décharge de l’œuf ? M’aurait-il emmené au bout de l’extase devant son ami ? Et alors que je chuchotais de rage il m’empoigna et me jeta sur le lit. Et, en moins de temps qu’il n’en avait fallu pour me l’insérer il tira sur la ficelle de l’œuf, ce qui me provoqua une immense chaleur dans le bas ventre, et mon orgasme déferla dans tout mon corps.
J’étais toute pantelante sur le lit. L’excitation, la rage, le plaisir, toutes ces émotions entremêlées m’avaient épuisée. Et alors que je me remettais à peine de cet orgasme, mon père, qui était resté debout, au bord du lit, m’ordonna de faire la sieste, pour me remettre de ces émotions. Je me retrouvais enfin seule, et des larmes que je ne pus retenir se mirent à couler sur mes joues. Je me sentais humilié car Lionel avait joué avec mon corps comme bon lui semblait et m’avais ensuite laissé à mon triste sort. Mais à quoi je m’attendais ? Quand j’ai commencé cette relation avec mon père je lui ai très bien fait comprendre ce que je souhaitais : qu’il me possède comme il possédait ses maîtresses, et c’est ce qu’il faisait. La présence de Maxime dans la villa ne faisait qu’accroitre son excitation et ne faisait qu’augmenter mon doute fasse à cette relation. A force de tourner le problème dans tous les sens je commençais à avoir mal au crâne, et finalement dans la fraicheur de la chambre je fini par m’endormir. Je me réveillais une petite demi-heure plus tard en me sentant mieux. Mon mal de tête était parti et je fini par conclure que mon état émotionnel était dû au faut que Maxime ne me calculait pas comme je souhaitais et que c’était mon ego qui était frustrer.

Après m’être rafraichie je décidais de rejoindre Lionel et Maxime, mais la villa était vide. Je retrouvais Maxime au même endroit où je l’avais laissé plus tôt ce matin, allongé sur un transat, il bouquinait, lunette de soleil sur le nez, chose que je n’aurais pu imaginer. Il ne prêta aucune attention à moi et m’informa sans lever les yeux de son livre que mon père était parti en ville voir une amie. Une claque !!! Mais je n’en laissais rien paraître, après tout, j’avais bien envisagé de flirter avec Maxime alors mon père était libre de faire ce que bon lui semblait. Je décidais, moi aussi, d’ignorer Maxime et de profiter de cette chaude après-midi. Je laissai glisser ma petite robe sur mon corps afin d’être en maillot de bain. Mon magnifique maillot qui me rend si sexy, qui n’avait pas laissé indiffèrent mon père, ne fît aucun effet à Maxime. Tanpis. Je pris soin de bien m’appliquer ma crème solaire mais ne risqua pas de demander à Maxime de m’en mettre sur le dos. Puis une fois que cette cérémonie fût finie, je me dirigeai vers la piscine où je rentrai sans problème, la température de l’eau était exquisément fraiche. Une fois complètement mouillée, je commençai à faire quelques longueurs. Ça me permit de me défouler de toutes les émotions que j’avais accumulées ces derniers jours. Après plusieurs minutes je me sentais vide et tellement bien. J’attrapai le transat gonflable qui était au bord de la piscine et m’y installai. Je me laissai bercer par les clapotis provoqués par ma nage, le soleil me sécha et je laissai pendre une jambe dans l’eau afin de garder un peu de fraicheur. Tout était si calme et si apaisant.
Un bruit fini par briser le silence. Maxime venait de poser son livre et de se lever de son transat. Il se dirigea vers la piscine. Je décidai de continuer de l’ignorer et retournai à mon oisiveté. Je l’entendis rentrer dans l’eau. Mon transat qui ne tanguait plus, repris son doux balancement. Maxime devait nager maintenant car le balancement était plus fort. Puis, d’un coup tout s’arrêta. J’ouvris les yeux, surprise. Il se trouvait à ma droite, ses deux avant-bras sur mon transat. Son regard était sévère, mais il restait affreusement sexy, les cheveux mouillés. J’aurais tant aimé voir l’eau ruisseler sur sa peau. Il finit par interrompre ma contemplation :
« -En effet, tu n’as pas l’air si prude que ça quand je voie tout le cirque que tu fais pour attirer mon attention. Bien que tout cela soit inutile.
-Je ne cherche pas à attirer ton attention, car je sais bien que je ne t’intéresse pas, après je ne vais pas jouer les pudiques juste parce que tu es là.
– Tant mieux, j’aurais été déçu de ne pouvoir te contempler.
-Je suis perdue, je ne t’intéresse pas, mais tu me mates quand même.
-Décidément tu comprends tout de travers. »

Maxime se mit bruyamment à rire et dans un geste rapide, me fit tomber dans l’eau et me rattrapa en me collant, avec un bras ferme, à son corps. Mais yeux étaient perdus. Il me dévisageait, d’un air grave. Je sentais sa peau contre ma peau nue qui n’était pas couverte par les tissus de mon maillot de bain. Et bien que je ne sois déjà pas beaucoup vêtu j’avais l’impression qu’il me déshabillait du regard. Malgré la fraîcheur de l’eau, je me sentais défaillir sous le regard de cet homme. Il me serra plus fortement. J’avais l’impression que les secondes duraient une éternité. Il cala une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. Son doigt humide caressa le lobe de mon oreille, descendit le long de ma mâchoire, s’attarda sur mon coup et fini sa course en suivant le contour de ma poitrine avant de se perdre dans l’eau. Que me veut-il ? Me désire-t-il ? Je me serais alors trompée ? Pourtant il était si odieux, si méprisable avec moi. Et là, nous étions tous les deux, face à face, dans la piscine, il me tenait étroitement contre son corps avec un bras, et son autre main venais de faire la caresse la plus sensuel que j’eus connu. Je sentis même son érection contre mon ventre.
Après de trop longues secondes, ses lèvres finirent par venir se poser sur les miennes. Tout alla alors très vite. Il me plaqua contre le rebord de la piscine. Sa bouche dévorait ma bouche. Sa langue valsait avec ma langue. Ses mains étaient partout sur moi. Dans un geste expert il défie le nœud de mon maillot de bain à mon coup et glissa le tissu qui tomba au fond de la piscine. J’étais nue, dans l’eau. Cette sensation était exquise. Il fît de même avec son short de bain. C’était une douce extase de sentir son corps mouillé contre le mien. Il agrippa mais deux jambe autours de sa taille et me tenant fermement par les hanches il me pénétra dans un soupir. Il commença des va et viens lents et délicats puis accentua le rythme. Mon bassin venait à la rencontre du sien à chaque mouvement. Son sexe remplissait le mien avec tant d’aisance. Nos lèvres étaient toujours sceller par notre fougueux baiser, et je poussais des cris à l’intérieur de sa bouche tandis qu’il me répondait par des râles roques. Un dernier coup de reins fini par m’emmener au septième ciel, où il me retrouva rapidement, se libérant de notre baiser et reposant sa tête sur mon épaule en chuchotant mon nom. Nous restâmes ainsi enlacés quelques minutes et nous finîmes par sortir de l’eau après avoir récupérer nos maillots de bains.

Maxime m’attira contre lui, allongé sur un transat. Nous gardions les yeux fermés, bercés par la chaleur descendante de la fin d’après-midi. Mon père n’allait probablement pas tarder à rentrer et il fallait que Maxime et moi nous expliquions sur ce qui venait de se passer :
« – Tu m’expliques,
-Mhhh
-Qu’est ce qui vient de se passer ?
-T’as besoin d’un dessin ?
-Ah, je comprends mieux…tu avais besoin de tirer ton coup !!! »
J’allais me retirer de son étreinte mais il la sera plus fort.
« – Depuis hier soir j’ai envie de toi, tu m’excites au plus haut point, mais t’es la fille de Lionel, je ne pouvais pas avoir envie de toi, c’est mal…alors je préférais faire le con, être distant. Et toi tu continus à te pavaner devant moi. Tu m’as piqué au vif. Si tu savais ce matin comme j’avais envie de toi. Et non je n’avais pas besoin de tirer mon coup, mais tu avoueras que c’était un bon coup, ça en valait la peine.
-Oui je dois l’avouer. Puis c’est assez gratifiant qu’un mec canon et sexy comme toi ai eu envie de moi.
-Je te retourne le compliment
-Alors on en reste là ? Enfin je veux dire, pourquoi se câliner si c’était juste comme ça, pour se faire du bien ?
-Peut-être parce que ce n’est pas juste comme ça ma belle. »
Olala j’étais prête à accepter que ce n’était peut-être qu’un coup comme ça, et là sa dernière phrase me laissait entrevoir d’autres possibilités. Je venais de baiser avec un Apollon, et ce n’était peut-être pas terminé. Finalement je ne le laissais pas si indiffèrent que ça.

Je me laissais bercer par ses bras quand le bruit des pneus dans l’allée nous réveilla de notre sieste post-coïtal, nous laissant perplexe. J’avais oublié l’espace d’un instant l’existence de mon père.

Nous sautions sur nos jambes, rompant notre étreinte, Maxime reprit sa lecture et je m’installai sur le transat voisin, feignant de faire la sieste. Mon père apparu sur le seuil de la baie-vitrée, chargé de sacs du traiteur chinois. Il avait son air jovial, nous laissant supposer qu’il avait eu une bonne partie de baise. Maxime abandonna sa lecture et j’aidai mon père à ranger les courses.
Le soleil commençait à baisser et la fraicheur du soir à s’installer. L’après-midi avait filé à la vitesse grand V. Je décidai d’aller enfiler une robe en laine légère, manches courtes, col rond, de couleur pêche, elle arrivait juste au-dessus de mes genoux. J’attachai mais cheveux en une queue de cheval, faisant tomber mes boucles noirs sur mon cou. Je me remettais un coup de crayon noir et de mascara. Le résultat dans la glace me satisfaisait et j’allais rejoindre les hommes sur la terrasse. Mon père en m’apercevant siffla d’admiration, et Maxime qui essayait de garder un air « je-m’en-foutiste » ne put réprimander lui aussi un petit sourire de satisfaction. Mon père se permit une réflexion, comme il commençait à en avoir l’habitude quand Maxime était là, son côté un peu « je suis un salaud avec les femmes » :

« – Pourquoi tant de chichi ? Il n’y a personne à séduire ici, puis on ne sort pas se soir.
– Ce n’est pas grand-chose, juste comme ça.
– Bon, après tout on s’en fout. Donc Max je te disais… »

Maxime ne me lâchait pas des yeux et moi non plus. Je lui plaisais, et ça me plaisait. Il finit par détourner son regard pour écouter mon père. Lionel, que j’adorais quand nous étions tous les deux, que ce soit en tant que père ou amant, mais que je détestais quand il était avec Maxime. Probablement qu’il avait l’habitude d’avoir ce genre de comportement avec ses amis d’ici, même avec ses conquêtes. Mais quand nous étions sur Paris c’était l’homme le plus respectueux que je connaisse. Jamais de mots déplacés envers les femmes, il ne parlait jamais de ses « plan-cul ». Alors qu’ici il tenait un discours totalement diffèrent qui me faisait presque le détester en l’instant présent, peut-être même un peu plus depuis que je savais que Maxime me convoitait. Surtout maintenant, qu’il nous racontait son après-midi :

« – Donc quand je suis parti tout à l’heure je suis allé directement chez Maho, tu sais la petite japonaise qui vient de Londres ? Je suis arrivé chez elle, je te dis pas l’air surpris qu’elle avait quand elle m’a vue. Elle savait déjà ce qui l’attendait. Avec son air innocent elle était bandante je te dis pas. Elle avait une mini-jupe avec un petit haut blanc à travers duquel on voyait ses petits tétons roses pointer. Elle m’a gentiment proposé un thé, que j’ai accepté pour le fun. La voir se trémousser dans tous les sens pour mettre l’eau à chauffer, sortir les tasses … bref, je m’imaginais déjà en train de la prendre par tous ses petits orifices. Elle s’est enfin assise en face de moi pour me servir mon thé et on a parlé de tout et de rien. Elle était tellement mal à l’aise, à attendre la suite. Alors je me suis affaler un peu plus sur son canapé et je lui ai demandé de mon rejoindre. Elle ne s’est pas fait prier. Je lui ai montré l’effet qu’elle me faisait, et sans rien lui dire elle m’a baissé mon pantalon pour me faire une pipe phénoménale … ».

Je ne pouvais pas en entendre plus, je trouvais ça écœurant que mon père ose ce genre de détail devant sa fille. Je quittais la terrasse en débarrassant la table. La nuit était bien tombée et je commençais à être fatigué, la pendule de la cuisine indiquait seulement 22h30 mais je ne tenais presque plus debout. Je décidais de rejoindre la chambre d’amis où je retrouvais un peu de sérénité. Je plongeais dans un sommeil profond. Une douleur à l’épaule me réveilla en plein milieu de la nuit. Il me fallut quelques minutes pour en comprendre la cause. Mess bras étaient au-dessus de ma tête, attachés par un tissu, lui-même attaché à la tête du lit. J’étais totalement nue et mon père se tenait à mes côtés à m’observer en me caressant le corps avec une main distraite.
« – Alors ça ne t’intéressait pas de savoir ce que j’ai fait à Maho tout à l’heure ?
– Non, pas vraiment. J’avais les larmes aux yeux rien que de repenser à la conversation de la soirée.
– Je vais quand même te le dire, ce que je lui ai fait, tu es parti quand je vous racontais qu’elle me suçait, ensuite je l’ai attrapée et menée jusqu’à sa chambre, puis je l’ai déshabillée et attachée comme je t’ai attachée, avec le même foulard. Elle était allongée comme toi maintenant. »
Et comme il l’avait fait la veille, mon père me décrivit ce qu’il avait fait à sa jeune asiatique en même temps qu’il me le faisait. Il l’avait d’abord caressé de manière sensuelle. Ses mains chaudes glissaient sur mon corps, parcouru de frisson. Puis il pinça mes tétons, très fort, et un petit cri étouffé s’échappa de ma bouche. Il continua de les pincer jusqu’à les faire ponter et gonfler de manière satisfaisante. Sa bouche se posa enfin sur ma peau brulante il me mordilla mes tétons à tour de rôle. La douleur provoquée, irradiait dans mon bas ventre. Je bougeais mon bassin au rythme du plaisir qui montait en moi. Il finit par me le plaquer contre le matelas avec son corps lourd, m’interdisant tout mouvement. Lionel continuait à me meurtrir mes tétons en les tétant frénétiquement et moi je gémissais des « papa » silencieux. Je ne pensais pas pouvoir prendre autant de plaisir juste en s’occupant de mes seins. Je sentais mon liquide charnel couler entre mes jambes et j’attendais la délivrance ultime. L’érection de mon père se frottait contre ma cuisse. Je suppliai mon père de me faire jouir, mais il continua à s’attarder sur mes seins. Puis il s’arrêta, me laissant pantelante.

« – Ensuite j’ai lécher la chatte de Maho qui était toute mouillée, elle a eu un premier orgasme, et je l’ai pénétrer violemment, elle a d’abord crié de douleur et son plaisir est revenu et elle a vibré entre mes reins, mais pour toi je m’arrêterai là, c’est ta punition pour essayer d’allumer Maxime devant moi, tu crois que je n’ai pas vue ton manège se soir.
– Non papa, s’il te plait, fini moi. Je pleurais vraiment maintenant, de frustration.
– Je ne voulais pas l’allumer, je voulais juste être belle, pour moi. Tu ne peux pas me laisser comme ça, papa, s’il te plait, je suis ta fille et tu m’aimes, tu ne peux pas me laisser dans cet état, pas ta petite fille chérie. »

Ces mots furent mon salut. En effet, ça lui faisait trop de mal de laisser sa fille chérie dans cet état. Il posa alors férocement sa bouche sur mon sexe, et à peine sa langue toucha mon clitoris que je sombrais dans un orgasme sans fin. Il me lapait, me titillait, me léchait avidement. Il enfonça deux doigts en moi qu’il bougea sur mon point g, j’avais envie de hurler de plaisir, mais je ne pouvais pas, je me retenais ce qui en augmentait le plaisir, et un autre orgasme s’abattu sur moi. Lionel libéra alors son érection de son caleçon et me pénétra très délicatement. Il me fit l’amour le plus doucement et sensuellement possible. Mon père était une montagne de contradictions. Du connard il passait au romantique, du violent à l’aimant. Je finis par m’endormir dans ses bras, ne sachant de quoi demain serait fait. Entre Maxime et Lionel je ne savais ce qui allait se passer.

Quand je me réveillai, la matinée était bien avancée, mon père n’était plus dans le lit et des bruits me parvenaient du couloir, j’enfilai mon short de nuit en mon débardeur et passait la tête dans le couloir. Mon père et Maxime débarrassait la chambre. Mon père m’aperçut et me lança un sourire radieux :
« – Bonjour beauté, bien dormi ? Le petit dej’ est prêt, on te rejoint dans 5 minutes le temps de descendre ça au sous-sol. »
Je lui souri à mon tour et constatai que Maxime feignait toujours l’indifférence. Je sautillais alors pied-nus jusque à la terrasse, à la fois heureuse et dessus. Mon père était redevenu aimable avec moi mais Maxime restait fermé et malgré le fait qu’il ait insinué qu’il pourrait y en avoir plus entre nous, il feignait l’indifférence totale.
Je m’installai à la terrasse, le temps était agréable, il faisait déjà chaud mais une brise légère rendait l’air respirable. Je fermais les yeux pour apprécier la caresse du soleil sur mon corps. Des lèvres chaudes vinrent se poser en un baiser sur les miennes. En ouvrant mes yeux, Maxime se tenait devant moi, un sourire jusqu’aux yeux, satisfait de son « entrée ».

« – Salut ma belle, tu es ravissante au matin.
-Salut.
-tu as perdu ta langue ?
– heu non, je suis juste un peu perdue, après ce qui s’est passé hier tu continues de m’ignorer, et là tu m’embrasses
-ton père arrive, je voulais en profiter avant, je ne veux pas qu’il se doute de quoi que ce soit, il me connait avec les filles et je ne veux pas qu’il croit que je vais te faire pareil car il me semble qu’avec toi ça pourrai être diffèrent.
– il te semble ?
-oui, il me semble, et ça me plait. »

Je l’embrassais à mon tour de manière moins pudique. Un toussotement nous fît sursauter, mon père venait de nous rejoindre avec le café chaud.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire