Deux hommes rentrèrent dans la pièce,le premier sans ménagement fourra sa queue dans votre bouche. Suce salope tu n’es bonne qu’à ça !
L’autre sans beaucoup plus d’égard vous prit l’anus à sec,vous arrachant un cri de douleur.
Équipé de la cravache je profitai de fouetter vos seins pendant, que mes congénères s’affairaient à vous astiquer les orifices. Ce premier binôme, finissant son œuvre à grand renfort de foutre. Un deuxième équipage arriva pour vous prendre,sans plus de douceur,vous défonçant tous les trous sans exception. Ce fût le tour d’une troisième équipe d’attaquer,vous étiez bavante de partout. Je pris le temps de mettre à chauffer les fers ,vous alliez être marqué avant le voyage que je vous avez organisé.
Continuant à couiné,je demandais que l’on continu de vous filmer. Une petite vidéo dans les boites mails de vos amies du sporting club serait sans doute très appréciées.Votre déchéance dégoulinante fera bien parler cinq minutes et serrer quelques fesses peu scrupuleuses.
Arrivant à la cinquième équipe je demanda que l’on vous retourne. Je profitais de contempler votre poitrine ballotante et vierge de tout marque indélébile,ça n’allait pas durer.
En effet le crime de putanisme doit être punit de flétrissure,vous n’y couperait pas,père Paul s’apprête.
Il faut dire que notre religieux,n’est pas un prêtre comme les autres. En effet celui-ci est un exorciste,il sait chassé le diable lorsqu’il se manifeste,vous en êtes le flagrant exemple.
Attendant que l’on en finisse de vous troncher,j’admirais la rougeur des deux fers qu’il avait spécialement réservé pour vous. Une « fleur de Lys » pour votre poitrine, un « P » rappelant votre statut social qu’il appliquerait sur votre épaule.
Nos deux derniers amis finissant de dégorger sur vous, l’heure de l’ultime châtiment fût venu.
Deux hommes vous emmenèrent pour vous attacher à une croix en bois massif.
Père Paul pris la peine de prier pour vous,avant d’exercer son exorcisme.
Marmonnant des litanies latines notre religieux saisit le premier marqueur et vous l’appliquant avec
une précision chirurgicale fit un signe de croix libérateur. Vos hurlements n’eurent d ‘égales que la fumée engendrée par votre cuisante rencontre. Cette fois c’était sûr vous étiez brûlante.
Sur le haut de votre sein gauche apparu rougeoyant le dessin d’une superbe fleur. Notre homme retourna au fourneau et pris le deuxième outil de supplice, et vous l’appliqua sur le haut du bras.
Là encore votre douleur fût bien perceptible aux oreilles de tous.
Chaque homme dans la pièce prit le temps de venir contempler le travail d’orfèvre de l’homme d’église.
Vous restâtes attachée à votre croix toute la nuit ,agonisante, personne ne vint vous libérer avant le lendemain matin….
Au lever du jour, je revins vous retrouver.
-Ta vie va bien changer petite conne. Fini les Louboutins et les tailleurs Chanel.
Ça va être djellaba et coups de fouet connasse .Cheikh Rafik a l’un des plus grand harem de la
région,tu feras parties du lot d’idiotes qui le remplissent.
Passant mes mains dans vos cheveux et caressant votre visage je profite de ses derniers moment en votre compagnie.
-Tu vois, de tout ce que tu as pu m’apporter,ton cul restera sans doute le meilleur souvenir.
Vous forçant à vous mettre à genoux et ouvrant ma braguette.
-Je ne voudrai pas que tu partes sans avoir quelque chose dans le ventre. Vas y prend là.
Vous exécutant,vous commençâtes à me sucer sans rechigner,même à y prendre du plaisir.
-Tu n’es qu’une pute.
De plus en plus fort, de plus en plus profond,ma queue allait se plonger dans le fond de votre gorge,vous étouffant à moitié.Je vous tenais la tête,vous gavant de ma bite, telle une bête d’abattage.
Au bout de quelques minutes de ce traitement,vos yeux étaient à nouveau rougis et mouillés.
La cadence infernale que je vous imposais ,ne vous laissait que peu de temps pour respirer, vous étiez en apnée. Soudain dans un râlement bestial mon sexe dégorgea une quantité de foutre indescriptible dans le fond de votre gorge,finissant de vous asphyxier.
-Avale salope !! Tu n’auras que ça à manger aujourd’hui.
Je vous lâchai et vous vous retrouvâtes, jonchant le sol,la bouche baveuse,les yeux mouillées et les fesses à moitié à l’air.
-C’est quand même comme ça que Tu es la plus belle.
-Va t’essuyer, l’arabe t’attend !
Prenant une serviette traînant au sol,et enlevant les traces de sperme et de rouge à lèvre dégoulinantes de part et d’autre de votre bouche,vous tentâtes de reprendre forme humaine.
Deux hommes en costume rentrèrent dans la pièce .Vous attrapant par les bras, ils vous emmenèrent sans ménagement dans une berline garée devant l’entrée.
L’heure du grand voyage est arrivé.
Moi je vous regardais vous éloigner,en me disant que je ne vous reverrai sans doute jamais.
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