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JOHANNA une vie de putain 15

JOHANNA une vie de putain 15



JOHANNA UNE VIE DE PUTAIN 15

Johanna est dans le train, terminus Lyon.

Arrivée en gare elle prend un taxi qui la conduit à l’adresse que Harold son maître lui a donnée.
Elle se souvient de ses paroles peu rassurantes:
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Habituée à lui obéir elle laisse son cerveau au repos bien que ce qu’il lui a dit semble étrange et ne présage rien de bon pour elle.
Il lui a précisé qu’avec la grosse somme d’argent qu’il a reçu elle a intérêt à être à la hauteur même s’il se passe des choses bizarres.

Après avoir roulé pendant un moment le taxi quitte la route et pénètre dans une propriété.
L’entrée est composée d’un porche ancien en pierres et de grilles métalliques, le taxi roule maintenant dans l’allée gravillonnée d’un grand parc.
Le véhicule s’immobilise devant un perron.
Johanna descend et règle le prix de la course, son mac lui a donné un peu d’argent pour ça.
Elle examine les lieux et voit un beau et grand manoir ou un château, les deux termes peuvent s’appliquer à la bâtisse, et des dépendances.
Elle entend des hennissements et en conclut qu’il y a des écuries.

Un homme d’un âge avancé et costumé vient à sa rencontre pendant qu’elle monte les marches du perron.
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Cela a le mérite d’être clair.
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Le ton de l’homme est méprisant.
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Elle ne s’offusque pas du peu de considération qu’il a eu à son égard et se dirige vers l’endroit qu’il lui a montré.
Une porte est ouverte, elle entre dans les écuries et finit par apercevoir un homme qui nettoie une selle.
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Le palefrenier la guide vers un box vide où le sol est garni de paille.
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La fille obéit sans dire un mot.
Ensuite elle se retrouve enchaînée.
Un collier métallique autour du cou, des bracelets métalliques aux chevilles et aux poignets, tout ça relié à des grosses chaînes pas très longues fixées au mur.
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Il quitte le box, ferme la partie basse de la porte la laissant seule, elle s’assoit sur la paille et attend.

Ce sera le lieu où elle logera toute la semaine.
Un employé de cuisine lui apportera ses repas,ses gamelles serait un mot plus approprié car ce sera un mélange d’aliments voire de restes, que l’on déposera sur le sol.
Question sommeil ce n’est pas évident: les chevaux hennissent, tapent du sabot sur le sol et bougent beaucoup pendant la nuit.
Pratiquement tous les jours, de temps en temps la porte du box s’ouvre, une ou plusieurs personnes des deux sexes la regardent comme une bête curieuse, elles commentent et rient.
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C’est ainsi qu’elle apprend que deux autres putains sont aussi enchaînées dans d’autres stalles.

Une première fois le palefrenier vient la libérer des chaînes, lui met un gros collier en cuir agrémenté d’une laisse fait dans la même matière.
Il l’emmène dans la parc de la propriété, ils passent devant des hommes et des femmes qui se promènent ou se reposent assis sur des bancs, des membres de la famille du maître des lieux ou des invités, ils suivent la prostituée des yeux et parlent entre eux.
Il la fait entrer dans un pavillon fabriqué en pierres et en bois.
A l’intérieur six hommes sont assis et boivent un verre de boisson alcoolisée.
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Il parle un peu avec eux puis s’en va.
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Les ordres fusent et c’est à quatre pattes qu’elle doit lécher puis sucer les queues avec interdiction de faire jouir ces messieurs.
Elle passe de l’un à l’autre faisant des fellations sans s’attarder pendant que ceux qui attendent étirent et tordent ses tétons, enfoncent leurs doigts ou des objets dans sa chatte et son cul.
Ils se mettent à rire aux éclats, un bâton assez long est enfoncé dans son anus ce qui leur fait dire qu’elle a une sacrée queue.
Ensuite elle se retrouve à genoux avec une queue dans la bouche et une dans la chatte.
Pendant qu’elle fait un fellation elle ne se préoccupe pas du pénis qui fait des aller-retour dans son intimité.
Il ne se passe pas beaucoup de temps avant que ses orifices ne soient arrosés de sperme.
Deux autres hommes remplacent ceux qui viennent de se soulager et les va-et-vient recommencent dans sa grotte pendant que sa bouche est bien remplie car la verge qu’elle suce est très grosse.
Elle s’étrangle quand la semence gicle au fond de sa gorge et a du mal à déglutir à cause des dimensions du pénis que l’homme enfonce autant qu’il peut dans sa bouche.
Peu de temps après elle sent le sperme de celui qui donnait des coups de reins couler dans son vagin.
C’est au tour des deux hommes restants de se soulager dans sa chatte et sa gorge.

Changement de stratégie, elle se retrouve avec une queue dans la chatte et une dans l’anus et pendant que les deux membres la défoncent elle doit s’occuper avec sa bouche et ses mains des pénis en attente.
Son calvaire dure un bon moment pendant lequel les verges se succèdent,s’enfoncent dans ses orifices et y laissent leur sperme.
Tout ce qu’elle doit faire pendant ce temps c’est remettre en forme les queues gluantes avec sa bouche et surtout ses mains.
Arrive le moment où vidés de leur semence les hommes la délaissent, elle reste accroupie sur le sol le corps souillé de sperme.
Les plus faibles ont éjaculé trois fois et deux hommes cinq fois.
Elle ne prète pas attention à leurs commentaires incessants, ils n’ont pas arrêtés de parler pendant qu’ils la sautaient et continuent encore maintenant que c’est fini.
Le palefrenier est de retour et la ramène tenue en laisse dans la stalle où il l’enchaîne de nouveau après avoir fait un détour dans uns salle équipée de lavabos et de douches.

Pendant la semaine un palefrenier l’emmènera dans des chambres ou d’autres lieux, comme un pavillon de chasse, où à chaque fois, la prenant souvent brutalement, un ou plusieurs hommes se soulageront dans sa bouche, sa chatte et son cul.

Le pire pour elle se produit quand on l’emmène dans un endroit boisé, elle se retrouve attachée à un arbre et attend.
A chaque fois plusieurs hommes excités et avinés la rejoignent.
Ils la pendent à une branche d’arbre par les pieds ou les poignets faisant en sorte qu’elle ne touche plus le sol et que ses fesses et son dos soient à bonne hauteur.
Elle est frappée, fouettée avec une tige de noisetier ou une cravache.
Ensuite une fois que ses tortionnaires sont bien excités pas ses cris et ses larmes, que sa peau est bien marquée elle est prise sans douceur.
Ils lui défoncent la chatte et le cul s’y soulageant de leur sperme.

Il y a aussi les parties de chasse où elle sert de gibier.
Elle doit courir se cacher dans les bois et celui qui la trouve lui ligote les pieds et les poignets, la ramène dans un pavillon de chasse en la portant sur son dos puis la saute.
Ensuite on lui laisse de nouveau un temps d’avance, elle court se cacher mais est vite repérée et de niveau ficelée elle subit encore le même sort.
Quand plusieurs homme la trouvent en même temps c’est chevilles et poignets attachés qu’ils la portent, comme-ci elle était un gros gibier, après avoir passé un morceau de bois assez long dans ses liens et là ils la sautent chacun leur tour ou ensemble investissant tous ses orifices.

Le plus humiliant c’est ce qu’elle a du faire à un cheval sous le regard d’hommes et de femmes qui riaient beaucoup.
Accroupie sous la bête elle s’est servie de ses mains ainsi que de sa bouche avant de finir le visage et le corps arrosés de semence.

Le mercredi le palefrenier la libère des chaînes et attache ses poignets à une longe en cuir.
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Tenant l’extrémité de la longe il l’entraîne dans l’écurie jusqu’à un cheval blanc sellé qui attend à côté de sa stalle.
Il attache la longe à la selle puis s’en va.
La putain attend sans bouger.
Un bon moment après un homme habillé en cowboy arrive et monte sur le cheval.
Quand la bête commence à avancer la fille n’a pas le choix et suit réglant ses pas sur l’allure du cheval.
Sortis des écuries ils empruntent une allée dans la parc, le cavalier demande à sa monture d’accélérer, ne pouvant faire autrement, sous peine de tomber et d’être traînée, Johanna doit trottiner puis courir pour suivre.
Après avoir traversé une partie boisée la prostituée est en sueur et essouflée qaund ils arrivent dans une clairière et là c’est l’étonnement.
C’est un spectacle de farwest qui est reconstitué avec des cowboys et des indiens.
Elle n’est pas la seule putain, elle aperçoit deux filles attachées bras et jambes en croix à de pieux plantés dans le sol.
C’est à un poteau qu’on l’attache.

Le spectacle qui durera plusieurs heures commence avec les batailles entre indiens et cowboys.
Un bon nombre d’hommes et de femmes assistent assis sur des bancs ou appuyés à des barrières, certainement des spectateurs payants.

Le scénario est simple pour les deux camps, il faut libérer ou capturer les femmes qui se retrouvent prisonnières des uns puis des autres, souvent attachées dans des positions diverses et passent leur temps à faire des pipes et à se faire sauter sans douceur par une ou plusieurs personnes en même temps dans des positions différentes.
Il faut que les rapports sexuels aient l’air de ne pas être consentis par la femme.
On la traîne en la tirant par les cheveux, les pieds ou les poignets suivant l’humeur des cowboys et des indiens.
Quand parfois elles se retrouvent ficelées et couchés sur le dos d’un cheval, positionnées en travers avec la tête qui pend d’un côté et les pieds de l’autre ça va encore mais quand elles doivent courir les poignets attachés à un longe que tient un indien monté sur un cheval, il leur est difficile de suivre l’allure de la bête sans tomber et être traînées dans l’herbe.
C’est une Johanna très fatiguée qui est ramenée à l’écurie toujours attachée à un cheval par une longe, elle a du mal à suivre l’allure imposée par le cavalier et trébuche et tombe plusieurs fois.
Elle est contente quand enfin elle se retrouve de nouveau enchaînée dans le box et qu’elle peut s’allonger sur la paille.

Un soir un homme vient chercher Johanna et l’emmène à l’intérieur du château par une porte située à l’arrière.
Il la conduit dans une grande salle où pas mal de convives vêtus en costume et noeud papillon sont installés autour d’une grande table à s’empiffrer et boire.
Outre les serviteurs en livrée, deux filles nues attendent immobiles un peu à l’écart, Johanna se met à côté d’elles.
Tout en attendant la suite elle examine la salle avec ses décorations et les tableaux sur les murs.
Dés qu’un homme désigne une des putains celle-ci doit faire ce qu’il demande.
Pour Johanna ça commence par une pipe après s’être glissée sous la table, elle avale la semence une fois que le convive s’est soulagé dans sa bouche.
Ensuite une autre personne recule sa chaise, lui faisant face elle se met à califourchon sur lui et s’aidant d’une main enfonce la queue dans sa chatte puis c’est qui fait bouger son corps pour faire aller et venir le membre en elle jusqu’à ce que son vagin soit arrosé de sperme.
Puis allongée sur la table, les jambes pendant dans le vide, plusieurs verges se succèdent dans sa chatte et aussi dans son anus qu’ils finissent par arroser.

Comme les deux autres femmes elle finit sur le tapis prise par plusieurs hommes en même temps.
Les mâles passent d’une putain à l’autre.
Quand on lui met une queue dans la main elle la masturbe pour la remettre en érection.
Comme il y a beaucoup d’invités elle se fait défoncer longtemps avant que les hommes vidés de leur sperme ne se mettent à boire des verres d’alcool en riant et commentant bruyamment leurs exploits.

Au bout d’une semaine que Johanna a passée enchaînée à vivre dans un box dans l’écurie et après qu’elle aie servie d’exutoire au maître des lieux et à ses invités une ou plusieurs fois par jour, le palefrenier lui retire ses chaînes et lui rend ses habits.
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Pas un mot de plus, il tourne les talons la laissant seule.
Elle s’habille et sort de l’écurie, dans la cour elle attend que la taxi arrive et l’emmène à la gare.
Après avoir passé un bon moment à poireauter elle monte dans le train et regagne la ville où elle réside et où retrouve son quotidien: arpenter le trottoir et faire des passes.

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