J’étais encore au lycée en seconde ou en première les dates se brouillent dans ma mémoire, c’était la fin des années 80, mes parents avaient un couple d’ami : Bernard et Jeanine qui avait 3 enfants : une fille aînée Angélique et 2 fils. Angélique était ma cadette 4 ans, elle était blonde-rouquine avec des yeux bleus de loup, fine, pâle et très sportive, elle était la préférée de ses parents et se comportait en despote avec ses frères. Je n’aimais pas bien Angélique que l’on appelait « Lique » capricieuse et intrigante, son comportement de » chouchoute » m’affligeait.
Jeanine, sa mère, par contre m’excitait. C’était une femme d’une quarantaine d’année, un peu nunuche, grande et charpentée, brune, coupe carré, un peu forte, un gros cul, des bonnes cuisses et des gros seins. Elle s’habillait presque exclusivement en jeans ou en leggins avec des Stan Smith blanches et des hauts qui moulait sa poitrine et son ventre.
Je me branlais régulièrement en pensant à elle après l’avoir vu, je l’honorais secrètement d’une masturbation frénétique. Je le redis : elle m’excitait difficile de savoir pourquoi, elle n’était pas très apprêtée, ni sexy mais elle dégageait chez moi des envies sexuelles qu’elle seule à l’époque me procurait.
Un jour au bord de sa piscine, elle avait déclaré sur un ton amusé, me voyant barboter :
» Si j’avais 20 ans de moins j’aurais bien fait de Romain mon 4 heures ! »
Je rougis et tout le monde ria. Sa phrase fit tilt pour moi.
Un jour pluvieux, elle vint à la campagne pour aller cueillir des champignons, prévoyante, elle avait avec elle un sac de sport avec de quoi se changer. Profitant d’un chocolat chaud familial, je m’éclipsais pour fouiller son sac et dans la poche kangourou je trouvais une culotte blanche très classique de la marque Sloggi.Je m’empressais de me masturber avec et crachais ma semence sur le gousset intérieur doublé en coton et remis tout en place. La semaine suivante, je me remarquais ses regards mutins et appuyés ainsi que des sourires en coin à mon égard, elle semblait vouloir se rapprocher de moi. A l’évidence, elle avait remarqué que sa culotte avait été souillée et identifié l’auteur.
Bernard, son mari était horticulteur, il me demanda de partir avec eux deux pour un fleurissement à Pralogniant la Vanoise. Nous devions partir tôt le matin et rentrer tard le soir. J’acceptais sachant que je serais à coté de Jeanine dans le camion à caisse rapportée. Ce jour là elle portait une sorte de leggins beige épais, un débardeur blanc qui moulait bien ces gros seins lourds et un sweat foncé. La journée fut éreintante, plantation, remise et ordre des massifs de la ville, nous partîmes à la nuit tombante. Dans le camion à 3 places devant j’occupais la place droite collé contre la porte et Jeanine au milieu.
Elle ne tarda pas à s’endormir sa tête lourde s’appuyant sur mon épaule. je sentais son parfum et ses odeurs corporelles, elle avait une odeur douce et sucrée. Dans l’obscurité de la cabine et le bruit du moteur couvrant mes mouvements, je pouvais m’adonner à des palpations en règle. Je commençais par considérer ses gros seins qui me faisait fantasmer. Les caressais par dessus le sweat puis je glissais vite ma main en dessous. Jeanine ne bronchait pas, endormie, bouche mis close, elle respirait doucement. Je sentais son souffle contre mon cou.
Sous mes caresses ses gros tétons pointèrent rapidement, devenus tous durs, je le faisais rouler sous mes doigts. Son souffle devint plus lourd son haleine plus chargée.
Je risquais une main entre ses grosses cuisses serrées, essayais de glisser une main sur son entrecuisse pour la caresser. Bernard conduisait absorbé par la conduite de nuit sous la pluie qui venait de tomber. Les cuisses de Jeanine se desserrèrent me laissant un passage, je glissais ma main entre son leggins et sa culotte, je sentais les poils drus de sa toison à travers le coton de sa culotte et démarrais un massage appuyé de sa vulve. Son souffle devint plus court, sa bouche plus ouverte dans son sommeil, elle semblait apprécier ce que je lui faisait.
Après un dizaine de minute de ce massage, je pouvais sentir l’humidité de son sexe poindre et imbiber le coton de sa culotte. Son excitation m’incita à aller plus avant et à glisser ma main dans sa culotte. Je m’exécuta d’une main hésitante peu sûre risquant d’être surpris de la réveiller et de provoquer une réaction indignée. Le pervers naissant que j’étais pris ce risque » Qui ose gagne » dit on dans les forces spéciales…
Elle avait une grosse toison naturelle qui commençait à la limite de l’élastique du haut de la culotte, ses poils étaient rêches et drus. Je glissais deux doigts plus bas et tomba sur son clitoris décalotté par mes caresses précédentes, il était gros, dur et gonflé à l’instar de ma verge dans mon survêtement. Je le fis rouler sous mes doigts, elle était trempée, mes doigts poissant de sa cyprine épaisse. Elle entrouvrit un peu plus ses cuisses, je senti sa main droite glissant sur la bosse de mon survêtement, elle feignait de s’être endormi. J’avais vraisemblablement affaire à un bonne coquine en quête de sensation forte. Allant direct au but, elle glissa sa ma dans mon boxer pour palper, évaluer ma verge et en examiner la raideur.
« Tu bandes dur mon petit salaud » glissa t’elle doucement à mon oreille.
Je ne répondis rien trop occupé à faire rouler son haricot d’amour sous mes doigts et à caresser sa grosse chatte poilue et mouillée. Elle caressait mon sexe avec délicatesse et sensualité, je puis mesurer ce jour là l’expérience d’une femme mure avec le sexe d’un jeune homme.
Petit à petit les lumières de la pré-agglomération éclairaient la cabine, cela devenait trop risqué de se faire surprendre par Bernard ma main dans la culotte de sa femme et elle me branlant doucement avec 3 doigts. je retirais doucement ma main de son sexe trempé, Jeanine en fit de même, feint de se réveiller, passa ces doigts son son nez, et suça son index en me regardant une malice dans les yeux. Je devais essuyer les doigts de ma main gauche couvert de mouille,ne sachant que faire je décidais de les lécher, les yeux de Jeanine s’illuminèrent de convoitise et elle eu un mouvement machinal en passant sa langue sur ses lèvres. Elle me sourit.
Nous arrivâmes chez mes parents avant de prendre congés Jeanine me demanda si j’étais disponible le mercredi après midi suivant, il y avait du rempotage à faire dans les serres. Je donnais mon accord pour 14h.
A suivre
« Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite » 😉
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