Sylviane – Mon mari aime les gods part 2
Après les jeux de doigts que nous avions pratiqué, j’ai parlé avec mon mari. Christian m’a avoué alors qu’il avait depuis longtemps des envies de sodomie. Mais il n’osait pas vraiment en parler. Nous étions jeunes encore et nous n’avions pas pimenté notre sexualité comme maintenant. Nous étions à l’époque beaucoup plus classiques. Et déjà cet intermède où j’avais fait jouir mon mari avec mes doigts dans son anus, c’était à l’époque le summum de notre dépravation.
Donc mon chéri m’avoua qu’il adorerait être vraiment sodomisé par moi avec un godemiché de taille réelle. Je lui demandais ce qui tombait sous le sens si il avait envie d’une expérience avec un homme ou s’il en avait eu une. Il m’assura que non c’était une envie qui avait fait son chemin. Je ne voyais pas de raison pour refuser cela à Christian, je prenais cela comme un simple jeu. Et j’avais tellement aimé le spectacle de sa jouissance de cette façon que je me demandais ce que serais une véritable sodomie.
Comme je le pense tous les couples nous avions quelques jouets, dont un god en latex de belle taille, enfin de la taille plus ou moins du sexe de Christian. Mais nous avions acheté un harnais dans lequel s’insérait ce jouet.
Au lit mon chéri avait déjà une érection presque parfaite. Il me dit que l’idée même qu’il allait se faire enfiler le mettait dans tous ses états. Agenouillée sur le lit, lui debout je commençais par le sucer. J’adore sucer les queues.. et être à genoux devant l’homme, cela depuis j’allais dire toute petite.. mais la première que j’ai fais dégorger une queue dans ma bouche je n’avais pas 15 ans… et j’ai vomi.. personne n’est parfait !!
Je pompais Christian en lui malaxant les couilles. D’une main je caressais ses fesses, insinuant mes doigts dans la raie, trouvant l’anus, j’y pointait un doigt qui entra avec facilité, puis un second. En quelques instants j’avais trouvé le point … comment dire ? P pour prostate ? Pourquoi pas.. Enfin j’avais mis les doigts sur le bon point.. et je sentais dans ma bouche sa queue palpiter. Christian bandait comme un âne. Ses couilles étaient lourdes, occupés par nos jobs la semaine avait été sexuellement calme et Christian.. passez moi l’expression en avait plein des couilles.
Je lâchais sa queue, qu’il était beau comme çà nu, les genoux légèrement pliés il s’empalait sur mes doigts avec délice.
– Allez mon chéri, met toi à genoux je vais t’enculer … dis je avec le rouge qui montait à mes joues.
J’avais du mal à tenir une conversation crue, c’est venu petit à petit et maintenant loin d’être mal à l’aise ce langage est un plus qui fait marcher ma libido déjà bien étoffée.. ou délirante comme vous le voulez.
Il m’obéit sagement, c’est à partir de ces moments que je me suis rendue compte que j’aimais dominer les hommes. Avoir le pouvoir, jouer avec eux comme ils jouaient avec moi. Gémellité sensuelle qui fait de moi une tribade qui ne connaît guère de limites. Christian est en place. Je ceint le god ceinture, je serre les attaches. Je constate avec plaisir que le talon du god presse sur mon clitoris. C’est le gage que moi aussi je vais avoir du plaisir en même temps.
– Cambre toi mon chéri dis-je en appuyant sur ses reins. Il bande tellement que sa queue reste collée à son ventre. Je passe ma main sur ses couilles, je les prend dans mes mains les fait rouler. Tandis que de mon autre main j’enduis sa rosette de crème. Je ne veux pas lui faire mal.
J’enduis le god, puis je me place derrière Christian. Je pose le gland sur son anus et là je m’apprête à le pénétrer.
Messieurs un peu d’indulgence avec vos femmes le jour où elle céderont à vos suppliques .. Oh vous êtres nombreux à rêver de vous faire prendre par vos femmes courage admettez le.
Il est une chose qu’il nous est peu aisé à nous femmes de comprendre, d’assimiler du premier coup c’est le coup de rein qui vous est si naturel. Pour nous désolées il faut un certain temps d’apprentissage. Mesdames témoignez en je vous en supplie !
Un peu gauchement donc je donne un petit coup de rein qui fait pénétrer légèrement le god.
– Oui ma chérie, vas y n’ai pas peur enfile moi amour. Dit mon homme tout excité.
Mes mains posées sur ses hanches je suis pour la première fois dans la position où il se trouve si souvent. Sensation étrange et jubilatoire. Je me venge des innombrables fois où il m’a prise la tête dans l’oreiller. Bien sur c’est pour moi un grand plaisir pas une punition. Là non plus ce n’est pas une punition pour mon mari. Un autre coup de rein je gagne quelques centimètres. Christian gémis d’une façon si féminine. Troublant et si excitant. Je recule un peu le god ressort, je donne un coup de rein et il entre sans heurt dans le cul de mon homme. Plusieurs fois je joue à entrer sortir. Je remarque que son anus reste ouvert le temps que je revienne en lui. Il se cambre encore plus. Tout comme je le fais quand je cherche à prendre son sexe un peu plus loin en moi.
Doucement je me libère je commence à aller et venir en lui. Mais je n’ose toujours pas aller très loin. Soudain la main de Christian agrippe ma cuisse et me tire à lui
– Prend moi chérie, encule moi à fond prend moi comme une salope
Ces mots dans sa bouche font bouillir mon sang. J’accède à sa demande et trouvant enfin le bon geste je propulse mon ventre en avant faisant coulisser le god au fond du cul de mon homme.
– Oh oui comme çà c’est bon mon amour dit il
Je donne des coups plus amples, lentement je ressors presque de son anus pour y revenir. Le talon du god m’écrase le clito que j’ai très saillant et très gros. J’adore ce jeu. Mon mari si viril se fait prendre par moi comme une midinette. Cette inversion des rôles me plaît, me comble de plaisir même. Femmes, mes sœurs.. essayez vous verrez votre homme différemment. Oh il ne sera pas moins viril, mon Christian est toujours un vrai mâle, n’ayez crainte.
Nous sommes tous deux excités, mes joues sont brûlantes, mes tétons tendus et je mouille comme une folle. Christian aussi semble mouiller je glisse amplement et profondément en lui. Je ressors entièrement, j’adore la vision de son anus écartelé. Et d’un coup je m’enfonce en lui jusqu’à la garde. Il se cambre redresse la tête en poussant un grognement de plaisir. Il ne souffre pas mais je me rends compte que plus je le prend avec force plus il aime, plus il réagit. Par moment il est secoué de petits spasmes. Je m’allonge sur lui profitant de son dos pour y frotter mes mamelons sensibilisés par le plaisir qui naît en moi. Je passe ma main sous son ventre pour y trouver sa queue. Oh quelle humidité je rencontre. Poussée par la curiosité je me retire un instant et je regarde son sexe dur, presque collé à son ventre. De son gland gonflé et rouge pend un long fil qui goutte sur le drap, déjà plusieurs tâche humides montre quel plaisir lui donne la pénétration. J’ai envie de voir son visage.
– Chéri met toi sur le dos s’il te plaît.
Docilement il s’installe, me regarde amoureusement.
– Je t’aime mon ange viens prend moi défonce moi le cul tu fais çà si bien. dit Christian
Sa queue est vraiment gonflée, là en pleine lumière je la vois épaisse noueuse, le réseau de veine presque saillant. Je me place entre ses cuisse je trouve facilement son anus et d’une longue poussée je m’enfonce en lui. Il pousse un feulement de félin. Je vois une énorme perle transparent se former au bout de son gland, elle glisse puis lentement tombe sur son ventre.
Chaque coup de rein que je donne fait sourdre sa liqueur. Rapidement son nombril est plein de ce nectar. Je me penche et lèche à même la coupe cet ambroisie. Christian est moite de sueur et moi je ne suis pas mieux. Je sens les gouttes glisser de mes aisselles à mes flancs. Je me regarde dans la glace, mon corps est luisant dans la lumière, sombre et brillant à la fois, mes seins sont dressés, ma croupe rebondie se meut lentement pour pousser le god au fond de mon homme. J’ai gravée dans ma mémoire cette image. Mon dieu j’étais si belle à cette époque, jeune, long cheveux, la taille fine, la poitrine galbée, un cul à faire damner un pape. Non je ne me plains pas. Aujourd’hui je ne suis pas si mal que çà, je fais encore tourner des têtes, bander des queues et mouiller des chattes, mais les années sont passées par là.
Christian est haletant, mes mains posées sur sa poitrine j’agace ses tétons, c’est la première fois et je constate qu’il aime çà.
– Une vraie petite femme mon chéri… Je t’aime Dis-je
– Baise moi bien chérie, oh oui tu me baise comme un mec.
Je sens que nous sommes près de la conclusion, ma main se pose sur sa queue, elle tressaille Christian repousse ma main.
– Non continues à me baiser je vais jouir dit mon homme dans un souffle
Je continue mes coups de hanche, sa queue tressaute par moments, se dresse, son ventre se creuse, il gémit de plus belle.
– Fort.. vas y défonce moi vite !!
J’obéis, je me met à vraiment le prendre à fond, sortant rentrant de son cul avec force, je passe ma main sous le god et le maintient fermement vers le haut. Ainsi le gland va masser sa prostate je pense que ça va lui donner du plaisir. Je ne me suis pas trompée !! A peine ai-je plaqué le god vers le haut que Christian se met à littéralement hurler comme jamais je ne l’avais entendu, sa queue est tendue à l’extrême . Elle tremble, palpite et soudain c’est l’explosion une coulée déjà puis ses couilles remontent à la base de sa tige on ne les voit plus ou presque et là c’est l éruption. Son sperme gicle à chaque coup de rein, de plus en plus fort. La première giclée balafre sa poitrine, la seconde passe au dessus de son visage s’écrase sur le mur et l’oreiller, une troisième le visage. Puis elles diminuent d’intensité, mais une dizaine de giclées maculent son ventre. Je sors de son cul, je m’allonge sur lui frottant mes seins dans son sperme brûlant. Ma bouche trouve la sienne, pour la première fois nous gouttons son sperme tous les deux. Je glisse mes doigts sous le harnais j’atteins ma chatte j’ai à peine touché mon clito et enfoncé mes doigts que je jouis dans les bras de Christian qui boit mes cris de plaisir à même ma bouche enfoutrée.
Mémorable moment parfois on l’évoque avec mon mari. C’était une nouveauté nous avions l’impression d’avoir brisé un tabou. Nous n’étions pourtant qu’au seuil de nos découvertes.
Sylviane
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