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Début d’une soumission

Début d’une soumission



Un soir, assise au comptoir devant un drink je remarque qu’un homme me regarde depuis un petit moment. Je suis moulée dans ma petite robe d’été et attire beaucoup de regards. Il faut dire que l’endroit si prête. Il y a seulement 2 ou 3 femmes dans ce bar pour une trentaine d’hommes. Les autres femmes sont accompagnées. Un gars s’approche de moi et engage la conversation.
« Alors ma chérie, t’es toute seule ? Çà te dirais pas un petit moment de plaisir avec moi ? »
« Pour qui me prenez-vous ! J’suis pas une pute ! Barrez vous connard ! »
Je remballe vertement l’importun de belle façon. Je remarque plus particulièrement un homme qui m’observe avec insistance et s’en est gênant. J’ai l’impression de me faire déshabiller du regard. Je fini mon verre et m’apprête à sortir. Cet homme en fait de même et m’emboîte le pas. Dans une rue transversale, il me saisit et me pousse à l’écart en me tenant fermement par un poignet.
« Lâchez-moi, pour qui me prenez-vous ? »
« T’as que cette réplique ? Je vais te dire pour qui je te prends ! T’es qu’une nana qui rêve de se faire baiser comme une bonne pute. Je suis sûr que tu rêve d’une belle bite dans ton petit cul de salope ! »
« Mais Monsieur !!!!!!»
« Y’a pas de Monsieur salope ! J’vais me servir de toi comme une soumise et tu vas m’appeler Maître putain ! »
« Mais … »
« Ta gueule ! A genoux ! »
Je me rend compte que je ne m’en sortirai pas comme çà et obtempère sous l’autorité de ce mâle.  Là, il sort sa queue de son pantalon. « Montres-moi comment tu suces ! Une belle pute comme toi doit sucer comme une reine ! Allez ! Ouvres la bouche ! »
Morte de trouille et en même temps excitée par cette curieuse situation, j’ouvre docilement la bouche et prend timidement cette queue déjà d’un beau volume entre ses lèvres.
« Je le savais que t’étais une bonne salope soumise et que t’aimerai être traitée de la sorte. »
Dans mon angoisse, je le suce maladroitement. Il me prend la tête à deux mains et l’attire vers lui.
« Tu suces comme une gamine. Vas-y, bouffes-moi la queue. J’suis sûre que tu aime la bite salope !»
Dans le mouvement, il me force la gorge et j’ai un haut le cœur. Je me prend au jeux et me met à pomper ce dard plus ardemment.
« Ben voilà quand tu veux ! C’est mieux. Il faut parfois mettre les choses au point dès le départ pour obtenir ce que l’on veut. J’avais raison t’es une vrai pute ! J’ai fait le bon choix. »
Je sens le plaisir qui monte en lui par des tressaillements de sa bite qui sont révélateur.
« Avales tout mon bon jus, compris ? »
A mon grand étonnement et à sa grande satisfaction, la bouche pleine, je lui répond :
« Mmmm,,,Oui Maître. »
Aussitôt à ces mots, il se lâche en longue giclèes crêmeuses dans ma bouche. Le sperme tape par saccade au fond de ma gorge et je dégluti tant que je peux.
« Bien, t’es une bonne salope, vas-y, nettoies bien ma queue, il en reste un peu. »
Soumis, je prend son sexe entre mes doigts et comme une experte, en extrait les derniers reliquats de sperme. Je me lèche les  lèvres et le regarde comme pour le provoquer et aussi curieusement conquise, j’attends la suite comme la bonne soumise qu’il veut que je sois. Il ôte sa ceinture et je m’attend au pire. Mais je suis décidée de poursuivre cette aventure . Je le regarde un peu effrayée croyant qu’il va me fouetter mais il me la passe seulement autour du cou me fait relever.
« A défaut d’un collier et d’une laisse, je vais te traiter comme une petite chienne domestique ! »
Je le regarde surprise et interloquée puis baissant les yeux, je lui dit :
«  Oui Maître »
« Tu apprend vite je vais te dresser et tu connaîtra de mes mains 1000 plaisirs mais aussi des 1000 souffrances …. » 
Domptée, Il me tient en laisse avec sa ceinture passée autour du cou et m’emmène sur un parking. Alors que je me dirige vers ma voiture, Je reprends mes esprit et m’insurge :
« Baisez-moi ici si vous voulez mais je ne monte pas dans la voiture ! » « Depuis quand une soumise donne t’elle des ordres ? »
« Je ne veux pas quitter cet endroit. Prenez-moi par le cul si vous voulez ou je vous fais encore jouir dans ma bouche mais je reste ici. C’est comme cela ! »
« Ben voyons ! »
Sans prendre en considération ma demande, il ouvre le coffre de la voiture et prend quelques lanières. J’ai beau me débattre et essayer de crier, je me retrouve rapidement bâillonnée et poignets attachés derrière le dos. Comme un sac de linges sales je suis jettée sur la banquette arrière et bloquée par les deux ceintures de sécurité. Je gesticule dans mes entraves comme un ver de terre et ça a plutôt tendence à amuser mon tortionnaire. L’homme sans un se mets au volant et démarre. Au bout de 20 minutes, il me semble que nous quittons la ville et roulons dans la campagne.  Nous quittons la route pour emprunte une allée. La voiture entre dans ce qui je supose être un garage et j’entends le bruit d’une porte qui se referme. Il m’extirpe de la voiture et je me débat pour lui échapper mais en vain. Il me conduit tant bien que mal dans une pièce voisine aménagée en donjon. Je suis morte de trouille en découvre ce lieux dédié au supplice. La pièce est peinte en noir et la majorité des accessoires sont rouges. L’éclairage tamisé laisse planer une ambiance légèrement lugubre de salle de torture.
« Voici une des pièces dans laquelle tu vas passer beaucoup de temps. » « Mmmmm !!! »
Alors, cet homme m’attache à une corde reliée à une poulie et tire dessus pour m’immobiliser les bras en l’air. Je me débat et m’épuise. Une cravache en main, il s’approche de moi. Je suis terrorisée mais je me rends compte que je n’ai rien à gagner de me rebeller. Je tente de prendre sur moi et de me calmer un peu. La cravache s’abat sur mes fesses. Je serre les dents pour ne pas lui donner le plaisir de m’entendre crier.
« D’abord, tu vas apprendre à te conduire comme je l’entends. Je veux bien enlever ton bâillon mais si tu pousses le moindre cri, je te le remets et pour des heures , ok ? »
J’acquiesce les larmes aux yeux, en hochant la tête.
« Pas la moindre mot sans mon autorisation, compris ? »
« Oui Monsieur » dis je brisée.
« Tu vas d’abord apprendre que ce n’est pas à toi de me donner des ordres mais l’inverse. Ensuite j’ai décidé que tu seras mon jouet sexuel et je compte bien te dresser pour cela. »  
« Mais pourquoi moi ? Pourquoi m’avez-vous enlevée alors que j’étais prête à me donner à vous sans limites ? »
« Parce que ton fantasme est d’être k**nappée, violée et dressée à être une pute soumise. »
« Jamais de la vie ! Vous n’êtes pas bien ! »
« Tout simplement parce que tu t’es confiée à moi sans me connaître. Tu m’as raconté que tu rêvais d’être une chienne saillie par de nombreux hommes. Que tu souhaitais plus que tout tomber sur un Maître sévère qui ferait de toi un objet sexuel, une vide couilles et une bouffeuse de chattes.»
« Je ne comprends pas ? Que que qu’es ce que vous dite ???»
« Ne fais pas l’idiote, je sais beaucoup de choses sur toi, sur tes fantasmes, sur ce qui te fait mouiller, sur ce que tu recherches sur les sites de BDSM, de bondage et autres. Ton pseudo est … michelemimi …C’est pas vrai ? »
Il lève alors la cravache attendant ma réponse. Je le regarde morte de honte en répondant :
  « Non ! C’est pas vrai !»
La cravache s’abat sur mes cuisses. J’ettouffe un cri de douleur.
« T’as intérêt à ne pas mentir salope ! Je sais que ce n’est particulièrement ton truc de recevoir la cravache. Juste ? »
« Oui Monsieur. Oui je vais sur jalf et xhamster ! »
« Je sais aussi que tu as un côté rebelle et que tu changes rapidement d’avis. Tu vas apprendre que je ne tolèrerai pas tes écarts. Je veux que tu obéisses au doigt et à l’œil, Ok. »
De peur de recevoir encore des coups j’obtempère.
« Oui Monsieur. »
« Tu dis  oui monsieur mais je sais que tu penses le contraire petite peste ! »
« Oui Monsieur. »
« Tu vas être dressée, crois-moi et il y aura des punitions pour te faire réfléchir. Je vais te détacher et tu vas te mettre à poil. »
« Oui Monsieur. »
Je reçois un autre coup de cravache sur les fesses et là je ne peux m’empêcher de lâcher un petit cri de douleur. Des larmes de colère, de honte et de douleur coulent sur mes joues.
« Maître salope ! Pas Monsieur.»
« Oui Maître. »
« allez petite chienne ! A poil !  Ici tu n’auras pas besoin de fringues »
Une fois détachée, Je me déshabille fébrilement une boule au ventre.
Une foi nue, je tente bêtement de dissimuler de mes mains mes seins et ma chatte.
« La position à adopter pour une soumise est les mains derrière le dos et le regard baissé. »
« Oui Maître. »
Aussitôt malgré ma honte, je regarde le sol et me dévoile à cet inconnu en croisant mes bras dans le dos. Il s’approche et fais glisser la cravache sur mon cou, mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes fesses. Je frisonne au contact de l’instrument. En me tirant par la ceinture que j’ai toujours autour du coup, il m’amène vers  une croix de St André fixée sur une roue à l’horizontal. Une fois couchée sur le dos, jambes et bras en croix, les poignets et chevilles enserrés dans des sangles en cuir, ce Maître libère le mécanisme et fais lentement tourner la roue. Offerte de cette façon, jambes écartées, il glisse deux doigts dans ma chatte outrageusement mouillée.
« Tu mouilles déjà comme une salope. »
« Oui Maître. »
Il fait tourner la roue et glisse ses doigts dans ma bouche.
« Suce ta mouille de pute soumise ! »
Il prend un gode monstrueux, fait à nouveau tourner la roue et me pénètre de l’énorme olibos. Je pousse un râle. Il le fait maintenant, entrer et sortir lentement ce qui m’arrache des petits gémissements de plaisir. Je ferme les yeux en gémissant et mon tortionnaire semble prendre beaucoup de plaisir à me voir ainsi attachée à sa disposition.
« Tu m’excite salope ! »
Je le vois ôter son pantalon et son sexe en sortir bien dressé. Il fait faire un demi tour à la roue. Ma tête renversée en arrière, son sexe arrive juste devant ma bouche. Il le glisse dans ce doux fourreau et en soumise docile désormais, je m’applique à le sucer délicieusement. Il sort de ma bouche et fait faire un demi tour à la roue et s’enfonce entre mes cuisses puis après quelques coups de queue,  fait encore tourner la roue pour revenir dans ma bouche. Le tour suivant, sa queue glisse entre mes fesses et rentre dans mon cul tout aussi facilement que dans ma chatte. « Je constate que t’es déjà bien entraînée pour être prise de partout comme une pute ! »
Après avoir savouré le plaisir de mes trois orifices, il arrête la roue, sa queue devant mon visage et éjacule abondamment m’aspergeant de sa liqueur. Son sperme coule sur mon visage et ma bouche pour finir sur mes seins. Il s’empare alors d’une petite cuillère et méthodiquement prélève le sperme répandu en grosses trainées blanches pour m’en remplir la bouche.
« Cette salope avale avec délectation ! Mais c’est qu’elle aime ça cette chienne ! Au moin, je n’aurais pas à te forcer à bouffer du sperme ma salope ! »
« Oui Maître, j’adore le sperme. Ça me rend dingue qu’on m’en remplisse la bouche. »
« On verra jusqu’à quelle limite, ma salope ! »
Là, Il quitte la pièce en me laissant seule attachée sur la roue et ferme la porte en atteignant la lumière. Le temps passe des minutes ou des heures. Je ne sais pas et épuisée, je m’endors malgré l’inconfort de ma position.

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