Nous étions convenus de nous retrouver dans les salons d’un hôtel parisien. À l’heure dite je vous retrouvais tous les deux confortablement installés dans des fauteuils club de cuir patiné, en train de siroter une coupe de champagne. Je me présentais à vous pendant que le garçon m’apporta la même chose. Une fois m’avoir servi il disparu derriere son bar nous laissant tout à notre affaire. Madame était courtement vêtue et sa jupe était largement remontée au dessus de ses genoux en raison de sa position profondément enfoncée dans le fauteuil. La situation ne semblait nullement la gêner. Bien au contraire elle prenait un malin plaisir à nous faire découvrir son entrecuisse en écartant légèrement ses jambes, se livrant ainsi à notre regard intéressé. Séductrice et désireuse de vérifier si son petit jeu faisait de l’effet sur ma personne, elle défit sa chaussure et remonta son pied nu le long de ma jambe jusqu’à mon pubis sur lequel elle s’arrêta un long moment. Elle me malaxait littéralement la queue avec son joli pied et je gloussais de plaisir à chaque fois qu’elle m’agrippait, avec ses orteils, le gland. L’exercice avait pour moi bien d’autres bénéfices, il faisait danser sous mes yeux sa petite chatte rasée dont je voyais les chairs rosées s’agiter. De plus madame dégageait un puissant parfum érotique composé du mélange des effluves de ce pied échauffé qui me branlait ouvertement et de sa chatte humide et toute excitée dont je pouvais humer la fragrance depuis mon siège. « je ne me suis pas lavée exprès pour toi depuis hier soir, tu sais? » m’annonçait elle. « j’en suis ravi » lui rétorquais je et ce n’était rien de le dire. Tous mes sens étaient en émoi et je me laissais guider ainsi aveuglement vers un plaisir que je pressentais torride. Puis son pied me quitta et je pu récupérer un peu de ma composition, ce qui me laissa le temps de me retourner pour vérifier que nous étions seuls et totalement livrés à nous même. J’en profitais pour dégager ma queue et vous l’offrir en spectacle : je caressais discrètement mon membre tendu et gorgé de plaisir. Madame ne perdait pas son temps non plus. Elle enfonça deux de ses doigts profondément dans sa chatte et s’appliqua un mouvement de va et vient expert qu’elle semblait fort apprécier. Les retirant de leur cachette soyeuse elle rapprocha sa main de mon visage et me la soumis, me sachant amateur. J’attrapa sa main et plaça ses doigts sous mes narines pour en apprécier le délicat fumet. Elle avait effectivement gardé son précieux suc depuis la veille et il s’était mélangé avec les odeurs de sa chair durant toute cette journée. J’y retrouvais les composantes subtiles de sa transpiration intime ainsi que de son urine, le tout formant un mélange poivré ayant valeur d’aphrodisiaque détonnant pour moi. Je m’y attardais un peu bien conscient du joli cadeau qui m’était fais et souhaita remercier sa propriétaire en suçotant ces doigts qui l’avaient visités. Elle semblait elle même ravie de l’attention que je lui portais et les remis aussitôt à l’intérieur de son entrejambe pour y recueillir un peu plus de sa gelée. Puis se contorsionnant comme un serpent en allant directement enfoncer l’un de ses doigts dans l’anus. Elle se branla ainsi sous nos yeux ébahis par autant d’assurance alors qu’elle même se livrait de la sortei sans retenue, le regard mi clos. Elle ressorti prestement son doigt en gémissant légèrement et m’interrogea doucement : « oseras tu ? ». Sans hésiter je me rapproche d’elle pour lui répondre « oui tout ce que vous voudrez » et de la même façon je viens découvrir les épices intimes qui me sont ainsi offertes. J’en profite largement et renifle ses doigts en soutenant son regard, me délectant de faire ainsi sa connaissance et prenant plaisir à rendre honneur à une telle indécence aussi troublante. En guise d’adieu je porte un délicat baiser sur ce doigt qui porte les stigmates de sa visite récente au fond de son anus et le promène tout le long de ma langue. Madame souhaite me faire à ce moment un cadeau et me tend la culotte qu’elle a portée tout ce jour. J’y vois de jolies traces et vient les humer à leur tour. Puis ayant vérifié que personne ne pouvais nous voir je sors à nouveau ma queue et me masturbe devant vous tout en respirant l’étoffe souillée que vous m’avez offerte. Je ne tarde pas à me faire jouir, retenant mes gémissements je me répand par longues saccades de sperme sur la table de l’hôtel tout en continuant à regarder madame dans les yeux. Ceci n’était que le début de notre rencontre ce que certains appeleraient une mise en bouche.
ode à l’odeur intime des femmes
7. février 2020
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4 Minutes de lecture moyenne
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